Titre : La métamorphose de ton cœur
Genre : Dramione
Disclamer : L'univers Harry Potter appartient à JK Rowling, et non pas à moi... (dommage)
Note de l'auteur : Des petites larmounettes d'émotion montent à mes yeux alors que je rédige la première note d'auteur de ma vie. Et ça ne sera pas la dernière, car à l'heure où j'écris, cette fiction est terminée et partiellement corrigée. C'est la première fanfiction que j'écris mais surtout, c'est la première fois que je fais quelque chose d'aussi long, donc j'appréhende beaucoup les réactions que je vais avoir (si réaction il y a). Je suis consciente que cette histoire est au final assez banale, mais c'est ma première histoire, et je tenais tout de même à la proposer, en espérant pouvoir progresser à l'aide de vos critiques.
Cette fiction fera 80 000 mots et un peu moins de 20 chapitres quand j'aurai fini de la poster. Je posterai à fréquence d'un chapitre par semaine, mais je ne me suis pas donnée de jour précis pour poster. (peut être les dimanches ou les lundis ? )
Je remercie d'avance toutes les personnes qui prendront le temps de me lire, et encore plus celles qui me donneront leur avis en me proposant des pistes pour améliorer mon écriture, mes intrigues et la profondeur de mes persos. Je suis vieille, mais débutante en écriture, donc toutes les remarques sont bonnes à prendre ! :)
Un grand MERCI à mon n'amoureux que je soule depuis un moment avec cette histoire et qui a eu la patience de corriger les nombreuses fautes d'orthographes que je laisse passer.
Je vous laisse avec un prologue très court.
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Prologue
Un rat courut brusquement se réfugier dans le trou moite rempli de mousse qui lui servait d'abris. Un nuisible, et même plutôt deux venaient de pénétrer dans son domaine, sa cave, là ou il vivait. C'était plus que fréquent ces derniers temps. Et il s'agissait souvent des deux mêmes nuisibles. Un homme à la peau fantomatique, au crâne chauve, au nez inexistant et à l'allure de serpent poussa un jeune garçon qui se fracassa le crâne contre le sol, laissant un liquide rouge brique se répandre et teindre ses cheveux blonds. L'adulte prit soin de fermer la porte derrière lui et il sortit de sa poche une longue baguette magique dont le bois était presque aussi clair que sa peau.
- Endoloris, cracha-t-il en direction du garçon qui commença aussitôt à hurler.
La scène s'éternisait, et le rat se tapissait le plus possible au fond de son trou. La souffrance du jeune homme émanait de son corps qui était parcouru de soubresauts. Les murs tremblaient tellement le sort était puissant et tellement le garçon s'époumonait à extérioriser sa douleur.
- Tu sais ce qui arrive, lorsqu'on n'obéit pas aux ordres de Lord Voldemort ? Dit l'homme d'une petite voix douçâtre pendant que le garçon sanglotait sans répondre. Que je ne te vois plus jamais laisser filer un prisonnier que je t'avais ordonné de tuer! ENDOLORIS !
Le second sort atteint le garçon en plein dans la nuque. Il recommença à se tordre de douleur sans pouvoir contrôler les mouvements désordonnés de son corps. L'homme à l'allure presque humaine riait froidement, d'un rire à glacer le sang, en regardant le jeune garçon souffrir. Il n'était peut être pas humain, et le sang qui coulait dans ses veines était peut être aussi glacé que le serpent auquel il ressemblait. Lorsque le sort s'interrompit l'adulte frappa le garçon qui essayait de se lever avec son pied et des martèlements à la porte finirent par se faire entendre, ainsi que les cris d'une femme.
- Noooooon ! Mon fils ! Rendez moi mon fils ! Je ferai tout ce que vous voudrez ! Se lamentait la femme, qui pleurait.
- Maman, ne t'en mêle pas, va-t'en ! Dit le garçon, en utilisant le peu de force qui lui restait.
Mais l'homme rampait déjà vers la porte puis l'ouvrit, d'un tour de baguette.
- Peut être que voir ta mère souffrir t'aidera à mieux comprendre les ordres que je te donne, dit l'homme, un rictus mauvais aux lèvres.
Il trainait la mère par l'encolure de sa robe. Le garçon blond était tellement faible qu'il ne pouvait même pas se mettre debout pour aller l'aider. Il était condamné. Condamné à souffrir et à voir les gens qu'il aime souffrir.
Le cri de souffrance de sa mère lui arracha les tripes, et il plaça sa tête entre ses genoux pour lutter, toujours allongé par terre, alors que des larmes de rage coulaient de ses yeux pour s'écraser sur le sol froid et humide.
...
Voilà pour le prologue ! Difficile d'émettre un avis avec quelque chose d'aussi court, n'est ce pas ? Le chapitre 1 arrive dimanche ou lundi, et il sera bien plus long que ça !
Bisous à tous mes lecteurs ! =)
