Au sommet de RedLine, Marie Joie. Lieu d'habitation des Dragons Célestes. A vision paradis sur terre….. Enfin, pour certains
«Ah ! Non ! Aaaah ! Arrêtez, je-je vous en prie..!» ça fait mal… mais si je me plaints plus, je ne pourrais pas sortir d'ici.
«Ça t'apprendra que de la porcelaine aussi chère ne tombe pas du ciel ! Sale esclave !»
Et il est parti. Les autres esclaves présents dans la pièce s'approchèrent de moi. Les esclaves des Dragons Célestes. Je n'ai jamais voulu que ça m'arrive. Ni a moi ni a personne d'autre…
«Ne t'inquiète pas Mozart… la douleur finira par passer… » C'était Sherry, une danseuse aux longs cheveux noirs aux yeux turquoise
«Demain tu ne remarqueras plus rien» Et lui, c'était Jason, un professionnel au poker
Ils sont tous les deux morts… Ainsi que Matt, et Lisa, Rika, Leon…
Mozart se réveilla en sueur. De l'autre coté de la grande chambre remplie d'armes et de bouquets de tout genre, se trouvait Baby 5. Elle doit la surveiller, jusqu'à se que le Rose en décide autrement.
Les Dragons Célestes avaient décidé qu'ils n'en voulaient plus d'elle, Mozart fut donc relâchée. Mais comme pour tous les marqués (avec la marque du Dragon) qui ont été libérés comme elle, la société n'en voulais plus d'eux. Elle avait alors décidée de mourir en mer. Se laisser voguer jusqu'à ce qu'une tempête la fasse couler. Mourir libre. Quelle pourrait être une meilleure manière pour qu'un esclave veille finir ses jours, sinon en étant libre ? Mais malheureusement le destin en voulu autrement. Un petit changement de plans, j'ai nommé Donquixote Doflamingo, lui a donné un nouveau titre ainsi que devoir. Depuis ce jour là, i mois, Mozart était devenue la petite canarie du Grand Corsaire ainsi que l'une de ses « jouets ». Il ne lui avait pas forcée à LE faire jusqu'à maintenant, juste des propositions plutôt inappropriés dont toutes les réponses furent « non », et bizarrement, il les accepta sans broncher.
Mozart se leva et changea de ses pyjamas, aux vêtements qu'on lui avait donnés. Un chemisier blanc à manches ¾. Une jupe bordeaux qui lui allait d'un peu au dessous de anches, jusqu'aux chevilles avec une coupe du coté gauche allant de la cuisse jusqu'en bas. Des bottines marron et ses cheveux blonds clairs se retrouvaient dans une tresse qui tombait sur son épaule jusqu'à son ventre. Elle avait aussi une couronne de fleurs, que son « admirateur secret » lui a offert ( Doflamingo).
Elle monta au dernier étage du palais pour se rendre au toit. C'était le seul endroit où personne ne la dérangeait... Bon... personne sauf l'autre imbécile collant - - ' (Trébol). Mais à cette heure là ils dormaient tous, normalement. Dans le chemin, Mozart entendit de la musique classique, elle adorait la musique classique. Celle-ci venait de derrière deux grandes portes Mozart s'approchait et l'ouvrit doucement, suffisamment pour regarder à l'intérieur. Il y avait 4 grands trônes tous tournés vers la fenêtre, et une table basse sur laquelle était posé un tourne-disque. Appuyé sur le rebord de la fenêtre, regardant la vue que la pièce offrait sur l'île était Doflamingo. 'Oh non, oh non, oh non ! Il faut que je parte de suite !' pensa Mozart. Mais alors que s'apprêtait à partir son corps arrêta de réagir.
«Que fait tu réveillée à cette heure ci ma petite canarie ? Fufufufu»
Son corps fit un demi-tour et commença à marcher s'arrêtant seulement devant son maitre.
«Euh… Bonjours Jeune Maitre, c-comment allez vous ?» dit elle poliment, elle savait plus que n'importe qui dans ce palais, qu'il ne fallait pas mettre leur maitre en colère.
«Pas besoin d'être si polie ma petite muse.» dit-il en approchant son visage de celui de Mozart «Que fait tu levée de si tôt ?»
«Euh j-je n'arrivais pas à dormir, donc je me suis levée pour aller me promener un peu dans… dans le palais…» ce n'était pas vraiment un mensonge…
«Pourquoi ne me chanterait tu pas une chanson alors ? Ça t'occuperait, non ? fufufu»
«O-Oui bien sur ! Q-Que voulez vous que je vous chante Jeune Maitre ?»
Doflamingo se leva et s'approcha d'une armoire ouverte remplie de disques, de l'autre coté de la salle. Il en prit un et lit rapidement le titre, vérifiant que c'était le bon disque.
Let's get out of htis town, baby we're on fire
Mozart la reconnue de suite, et commença à chanter pour celui qui était désormais, son maitre.
Everyone around here seems to be going down, down, down
If you stick with me, I can take you higher, and higher
It feels like all of our friends are lost
Nobody's found found found
I got so scared I thought no one could save me
You came along scooped me up like a baby
Every now and then the stars align
Boy and girl meet by the great design
Could it be that you and me are the lucky ones ?
Everybody told me love was blind
Then I saw your face and you blew my mind
Finally you and me are the lucky ones this time
…
I tried so hard to act nice like a lady
You taught me that it was good to be crazy
Mozart se sentait tellement bien en chantant cette chanson qui la rappelait des souvenirs de sa liberté, de quand sa voix lui appartenait à elle et personne d'autre. Elle était si bien qu'elle ne remarqua pas que Doflamingo avait déjà arrêté la musique.
Feels like, feels like, you know,
It feels like falling in love for the first time
Feels like, you know,
It feels like falling in love
«Fufufu. Tu chantes vraiment bien ma petite canarie.»
«Merci Jeune Maitre» dit elle en s'inclinant respectueusement.
En prenant le menton de Mozart entre son indicateur et pouce, il approcha son visage de celui de la jeune femme.
«Je t'ai déjà dit que tu n'a pas besoin d'être si polie, n'est ce pas ?»
«Euh.. s-si ! Pardonnez- moi Jeune Maitre» bafouilla-t-elle en rougissant dû à la proximité
«Je dois partir maintenant. J'ai des choses à faire.» dit-il en la lâchant e en marchant vers la porte, souriant intérieurement.
Mozart lâcha un soupir lorsqu'il parti, pensant avoir l'avoir échappée cette fois…
«On se retrouvera dans ma chambre ce soir, Euterpe¹»
Sur ce, il partie en fermant la porte, ignorant la jeune femme qu'il laissa effondrée en larmes dans la pièce.
¨Plus Tard, centre ville de Dressarosa¨
Baby 5 faisait ses courses avec Mozart, elles devaient s'occuper des achats des autres « jouets » de Doflamingo. Elles étaient aussi accompagnées de quelques membres de la famille Don Quichotte. C'était leur maitre qui leur avait demandé de le faire. Le même maitre que les observait au loin, dans le toit d'un des immeubles qui entouraient la place dans laquelle elles se trouvaient.
Après deux heures de courses, un homme s'approcha d'elles. Il avait les cheveux marron clairs et les yeux d'un bleu clair. Il était bien musclé et avait l'air charmant.
«Mademoiselle, j'ignore comment j'ai fait jusqu'aujourd'hui, mais je ne crois pas pouvoir vivre plus long temps sans votre compagnie à mes côtés» cria-t-il désespéramment, un genou à terre en prenant la main inoccupée de Baby 5
Celle-ci rougis instantanément et en lâchant ses courses elle se mit à genoux elle aussi, pour être à son niveau et dit :
«Vous avez besoin de moi !»
«Oui ! On va se marier…» commença-t-il
«… et avoir des enfants !» termina-t-elle les larmes aux yeux
«Baby-san… on devrait s'en aller maintenant…» dit Mozart nerveuse, ne sachant pas quoi faire
«Oh ne t'inquiète pas, je suis sure que mon frère t'aimera bien.» dit-il en lui souriant
Et tout d'un coup il sauta sur Mozart sans prévenir et l'enlaça, enfonçant son visage dans sa poitrine, avec Baby 5 à ses cotés, choquée. Mozart n'eue pas le temps de réagir, que le jeune homme se trouva à terre avec Baby 5 sur lui, dont le bras s'était métamorphosé en un fusil, pointé vers son visage.
«Ça ne v pas de me trahir comme ça ?! En plus juste après une demande en mariage ?! »
«J-Je suis désolé ! Je ne sais pas ce qui m'a pris erm… ?» dit-il en se rendant compte qu'il ne savait pas son nom
«Baby 5 !» cria-t-elle énervée
«A-Ay Baby 5, je te le jure ! Je n'arrivais pas à contrôler mon corps !»
Baby 5 ne dit rien pendant quelques secondes, avant de se lever en retransformant son bras. Le brun qui pensait être sorti d'affaire n'eu pas le temps d'éviter le coup de pied de Baby 5 qui l'envoya valsé vers un bâtiment de l'autre coté de la place. Et en se retournant vers Mozart elle dit souriante :
« On y va, Mozart-chan ?»
«A-Ay Baby-san OO'' »dit elle en prenant leurs courses, avant de la rattraper, suivi des autres membres de la « famille ».
¨POV Mozart¨
De retours au palais, j'aidai Baby 5 à distribuer certaines choses que les autres avaient demandées. Je m'y étais habituée à leurs présences. Chacun d'eux avait une personnalité unique. Certains, je m'y suis habituée très facilement comme Baby-san, d'autres… pas vraiment…Sugar semblait être une enfant gentille, mais parfois elle avait un caractère, un peu cruel.
Quand je passai à coté de la piscine, une femme m'arrêta en se postant devant moi, les mains sur les anches, me regardant d'haut.
«Oh toi, la petite nouvelle !» c'est ce qu'ils s'amusaient à m'appeler, peut d'entre eux savait mon nom.
La femme qui me parla s'appelle Rose, si je ne me trompe pas. Elle était un peu plus grande que moi, blonde. Elle portait un haut de maillot de bain vert, des shorts jeans très courts, vraiment très courts, et elle était pieds nus. La plus grande différence entre elle et moi était nos poitrines. La sienne était extrêmement grande alors que la mienne… c'est limite si on arrive à l'apercevoir a travers mes vêtements. Elle était une des personnes qui adorait me rabaisser.
«Je t'ai vue ce matin avec le Jeune Maitre. Tu sais, ce n'est pas parce qu' il a fait de toi sa nouvelle putain que tu auras plus de valeur, si tu vaux déjà quelque chose bien sur ! – dit-elle avec un sourire narquois.
«Je ne suis pas une de ses jouets ! De plus, ce n'est pas parce que tu es une de ses vieilles catins que tu vaux plus que moi.»
Quand j'ai finis ma phrase, j'ai réussie à éviter un coup de poing de justesse. A ce que je vois, son âge est son point sensible.
«Fufufu…»
Euuw…. Lui.
«Jeune Maitre !» cria la blondinette en se jetant sur lui (nda : je veux juste préciser que je n'ai rien contre les blondes)
«Allons, il ne faut pas se battre pour moi. Fufufu»
«Ce n'était pas le cas !» cria-je
Il se retourna vers moi, toujours souriant, et je recula d'un pas. Je n'étais toujours pas habituée à ses regards. Même derrière ces lunettes (que si je puis me permettre, étaient de très mauvais goût), je me sentais rabaissée. J'avais tellement peur qu'il découvre le secret caché dans mon dos… et que pour cette raison il me tue.
En lâchant sa « compagne », il se retourna, s'adressant à moi avant de disparaitre à l'intérieur du palais, souriant narquoisement.
«Dans mes quartiers. Maintenant. Fufufu…»
¹ Déesse grecque de la musique
