PDV Edward.
Je m'appelle Edward Anthony Cullen, je suis née le 20 juin 1901. Je suis un vampire mais un vampire végétarien, ce qui veut dire que je me nourris seulement d'animaux. Je vis avec ma famille, ma mère Esmée, mon père Carlisle, mes sœurs Alice et Rosalie et mes frères Jasper et Emmet. Alice est avec Jasper et Rosalie est avec Emmet. Je suis le seul célibataire de la famille. En 108 années, je n'ai toujours pas trouvé l'amour. Avec mes frères et sœurs, nous nous faisons passer pour des lycéens car en apparence, j'ai le physique d'un jeune de 17 ans.
Tous les jours de mon existence se ressemblent. Aujourd'hui, nous sommes le vendredi 12 septembre 2009, denier jour de cours avant le week-end, mon moment préféré de la semaine où je n'ai pas besoin de jouer la comédie auprès des humains. Malheureusement pour moi, mon extravagante sœur, Alice a décidé d'aller à l'ouverture d'un club à Port Angeles, le samedi soir de ce week-end, et elle voulait à tout pris que je vienne. Je finis par céder sachant qu'elle ne laisserait pas tomber. Alice était celle de la famille qui se mélangeait le plus aux humains.
Ce matin là, comme d'habitude, on prit ma voiture pour aller au lycée. Dès que je fus garais, les amies d'Alice vinrent lui dire bonjour. Angela, l'une de ses amies, était la seule que j'appréciais car ses pensées étaient toujours bienveillantes. Je le sais car je peux lire dans les pensées. Les pensées de Lauren par contre était souvent centrées sur moi et me dégoutaient. Encore aujourd'hui, elle avait un décolleté plongeant espérant que cela l'aide à m'attirer dans ses filets.
La journée se déroula comme les autres.
Le samedi soir arriva trop vite à mon goût, j'avais passait mon après-midi à chasser sachant que je passerais la soirée entouré d'humain. Je dû mettre la tenue choisie par Alice, un slim et une chemise noire.
Je me garais devant le club, The lemon. Alice était toute excitée. J'essayais de lire ses pensées pour en connaître les raisons, ne comprenant pas. Mais elle chantonnait l'hymne français.
La queue devant le club était très longue. Alice et Rosalie utilisèrent leurs charmes pour que le videur nous laisse entrer sans que l'on passe par la file d'attente.
Le club était bondé, rempli d'humain et de leur effluve. Toutes les pensées des humains se bousculèrent dans ma tête et j'essayais de faire abstraction de celles-ci. Une odeur particulièrement alléchante parvint à mes narines. J'essayai de trouver la personne détentrice de ce parfum tentateur mais il y avait beaucoup trop de monde.
Lauren et Jessica apparurent.
- Salut tout le monde, nous dit Jessica.
- Salut Edward, me dit Lauren avec une voix qu'elle croyait sexy.
Elle était vêtue d'un haut avec un décolleté outrageux et d'une mini-jupe. Comprendra t'elle un jour que quoi qu'elle fasse, elle ne m'attirera jamais ? Elles nous amenèrent jusqu'à une banquette où se trouvaient Angela, Ben et Mike. Lauren me réservait une place à côté d'elle. Elle avait mis en place tout un plan afin de m'obtenir. J'avais l'impression de n'être pour elle qu'un simple jouet qu'elle désirait. Je trouvais une excuse pour ne pas de suite devoir la supportais.
- Je paye la première tournée, dis-je.
Tous passèrent leurs commandes. Alice et Emmet vinrent avec moi au bar pour commander.
Plus je m'approchais, plus l'arôme que j'avais sentis au tout début s'amplifié. Mon regard se posa sur une barmaid, des cheveux bruns légèrement ondulés et des yeux chocolat. Elle portait un débardeur noir qui contrastait avec sa peau blanche et un jean. Je ne voyais plus les personnes autour, je ne voyais plus qu'elle, comme si elle était devenue le centre de mon univers. Elle était en train de servir différent client en souriant. Elle était tout simplement magnifique.
On arriva au bar, elle vint à notre encontre. Elle eu un mouvement de recul en nous voyant puis se ressaisit. J'essayais de lire ses pensées pour comprendre sa réaction mais rien. Elle se rapprocha le plus possible, se pencha vers nous et murmura :
- Vous êtes végétarien ?
- Oui, ne t'inquiètes pas, lui dis Alice.
-Ok. Par contre, je vous préviens au moindre écart de conduite, je me verrais obligé de vous tuer.
C'était de plus en plus étrange. Elle avait l'air de savoir qui nous étions et pensais pouvoir nous battre. Et pourtant, j'étais certain qu'elle n'était pas un vampire mais une humaine.
Emmet rigola.
- Tu sais qui nous sommes et pourtant tu crois être à la hauteur, lui dis t'il.
- Moi, je sais qui tu es mais toi, tu ne sais rien de moi. Et je t'assure que j'aurai facilement le dessus sur toi.
-Elle dit la vérité, nous dit Alice.
On la regarda tous les trois interloqués. Emmet et moi car on ne voyait pas comment humaine pourrait avoir le dessus sur un vampire. Et elle sûrement car elle se demandait pourquoi Alice la croyait si facilement.
- Je peux voir l'avenir et j'ai vu de quoi tu es capable, lui dis Alice.
- D'accord. Vous voulez quoi ?
Son regard s'accrocha au mien, je ne pouvais pas couper la connexion. Une fois encore plus rien n'existait à part elle. J'avais l'impression de pouvoir voir au plus profond de ses pupilles son âme. Plusieurs sentiments s'y reflétaient et je me demandais comment une humaine pouvait ressentir autant d'émotions. Elle coupa la connexion à mon plus grand malheur.
- Tu disais ? demanda t'elle à Emmet.
- J'aimerai trois whiskys coca, trois vodka kas, deux tequila sunrise, un malibu ananas et un coca.
- Ok.
Elle s'occupa de nos commandes.
- Qu'est-ce qui vient de ce passer entre vous deux ? me demanda Emmet.
- Rien.
- Tu plaisantes, j'ai dû répétais trois fois la commande avant qu'elle m'entende.
- J'en sais rien Emmet, ok.
- Voilà votre commande. Ca fera 64 dollars.
Je pris l'argent dans mon porte-monnaie et lui donna. Quand nos mains se touchèrent, un courant électrique nous traversa. Son rythme cardiaque s'accéléra sous l'effet de la décharge.
Même si je ne pouvais pas lire dans ses pensées, je pouvais voir grâce à ces yeux qu'elle était étonnée.
- J'ai du travail, excusez-moi, bafouilla t'elle.
Elle alla prendre les commandes d'autres clients. Je dû retourner voir mon cauchemard personnel, Lauren. Je m'asseyais à coté d'elle de façon que je puisse continuer d'admirer la barmaid. Elle m'attirait inexplicablement et je ne connaissais même pas son prénom. J'entendais que Lauren me parlait mais mon attention était sur la barmaid. J'écoutais tout ce qu'elle disait, surveiller tous ses gestes. Il y avait un autre barman avec elle, assez costaud. Il nous regardait assez souvent et je trouvais ça étrange surtout que je ne pouvais pas non plus lire dans ses pensées. Je le vis s'approcher d'elle et il lui murmura :
- Tu sais qu'il y a des vampires ?
Elle leva les yeux vers nous et son regard croisa le mien.
- Je suis au courant. Ils sont végétariens, on ne risque rien.
- On ne sait jamais avec les vampires.
Elle lui sourit amusée.
- Ne t'inquiètes pas je serais maitriser si l'un d'eux perdait le contrôle.
- Je te fais confiance pour ça. Mais je trouve que l'un d'eux, te manifeste beaucoup d'intérêt.
Elle me regarda de nouveau et je m'empressais de détourner le regard pour ne pas qu'elle pense que je l'espionnais même si c'étais sûrement déjà trop tard.
- Je saurais me défendre si le grand méchant vampire veut me mordre.
Je la regardai à nouveau, amusée par sa réplique. Elle était en train de boire un verre de whisky d'une seule traite. Quand elle eu finit, elle jeta un rapide regard en ma direction et repris son travail.
- Elle a une sacrée descente, pas vrai Eddie, me dit Emmet.
Ce surnom, c'était Lauren qui me l'avait donné et Emmet savait que je le détestais.
- De qui tu parles ? lui demanda Lauren.
- De la barmaid, j'ai l'impression qu'Edward a eu le coup de foudre. Il ne fait que la reluquer depuis tout à l'heure.
Lauren la regarda et la trouva insignifiante par rapport à elle-même. Ca ne lui plaisait pas de ne plus avoir mon attention pour elle seule.
- Et si on allait danser ? Tu danses avec moi, Edward.
J'acceptais à contre cœur, ne voulant pas la blesser. On alla sur la piste de dance et elle commença à se déhancher devant moi.
- Edward, m'appela une belle voix que je reconnaitrais entre mille même si je ne la connaissais que depuis peu.
Je me retournais vers elle et là trouvais encore plus magnifique qu'auparavant. Cependant, le fait qu'elle m'ait appelé par mon prénom m'étonnait. Je ne me souvenais pas lui avoir dit et j'avais une très bonne mémoire étant un vampire.
- Je suis désolé, je dois vous emprunter votre cavalier. Je dois m'entretenir avec lui.
Elle s'adressait à Lauren, celle-ci était furieuse, ne supportant pas que l'on puisse me volée à elle. Elle avait l'intention de répliqué mais la musique changea et devient plus douce. Du coup, ma belle barmaid noua ses bras à ma nuque, faisant partir Lauren. Son odeur me parvint de plein fouet, un mélange de freesia et de fraise.
- J'avais l'impression que tu avais besoin d'aide alors je suis venue, me dit-elle.
- Merci. Tu m'as appelé par mon prénom tout à l'heure comment le connait tu ?
- C'est un secret.
- Pourrais-je au moins connaître le tien ?
- Bella.
- Aussi magnifique que toi.
Elle rougit légèrement. Ensuite, elle attrapa une de mes mains qui était restée le long de mon corps pour la poser au bas de son dos.
- Je ne vais pas te manger, tu sais, dit elle en rigolant.
Je posais mon autre main à côté de la première et la ramenais un peu plus vers moi.
- Je n'ai pas l'habitude.
- Tu ne vas pas non plus me dire que tu es vierge.
Je la regardai gênée.
- Tu l'es ? me demanda-t-elle étonnée.
- Oui.
- Mais tu es née en quelle année ?
- 1901.
- Ca fait 108 années d'abstinence, c'est énorme.
- Je veux le faire qu'avec la fille dont je tomberais complètement amoureux.
- Et si ça n'arrive jamais ?
- Je crois que c'est en train de m'arriver.
J'eu l'impression de voir une lueur de désir dans ses yeux. Nos lèvres se rapprocher de plus en plus. Puis, en même temps, on se jeta l'un sur l'autre. Nos bouches se dévoraient avec passion. Ses mains fourrageaient mes cheveux. Une de mes mains était descendue à sa fesse pour rapprocher encore plus nos deux corps. Mon autre main sur sa nuque pour approfondir le baiser. Sa langue demanda l'entrée de ma bouche et s'en suivi une bataille acharnée entre nos deux langues. Le goût de sa bouche était exquis. La notion de temps disparaissait, je ne voulais plus la quitter mais elle se sépara de notre étreinte. Son rythme cardiaque et respiratoire était très élevé. Elle reprenait petit à petit sa respiration sans me quitter des yeux. Elle semblait réfléchir. Moi-même, je ne comprenais pas. Je n'avais ressentis cela. Pendant quelques secondes, je crus voir de la panique dans ses yeux.
- Je dois retourner travailler, faudrait pas que je me fasse virer pour mon premier jour.
Pendant qu'elle m'avait parlé, elle avait bougé ses mains, un peu dans tous les sens. Elle reparti derrière le bar sans un mot, sans un regard. Je me retrouvais seul comme un idiot. Je décidais de retourner avec les autres. Lauren était très contente que je revienne. Quand à Bella, elle était en train de boire, un autre verre. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'observer. L'autre barman s'approcha d'elle et lui parla :
- Evites d'abuser avec la boisson. Je n'ai pas envie de devoir te faire descendre du bar.
- Je ne suis qu'à mon deuxième verre. C'est au bout de dix que je danse sur le comptoir.
- Ca me rassure. Toutefois ça fait vraiment bizarre de te voir t'enfuir devant un vampire.
- Je ne me suis pas enfui.
- Bien sûr que non.
- Et puis, ce n'est pas toi qui m'as dit qu'il ne fallait pas coucher avec les vampires.
- Oui et tu écoutes toujours ce que l'on te dit.
- Bien sûr. Maintenant, retourne travailler.
- Oui, patronne.
Elle lui tira la langue puérilement. Alors, c'est elle la chef du bar. Aucun risque qu'elle se fasse virer, elle m'avait mentit. Elle était plutôt jeune pour posséder un bar, je lui donnai 18 ans. Je continuais à l'observer pendant tout le reste de la soirée. Elle me regardait quelquefois mais s'empresser de détourner le regard. Elle avait continué à boire quelques verres et je m'inquiétais pour elle. J'avais peur qu'elle est un accident en rentrant chez elle. C'était la première fois que je m'inquiétais pour une humaine. Les autres décidèrent de rentrer à la maison. Je sortais avec eux mais quand nos amis humains partirent, je fis part à mes frères et sœur de ma décision de rester. Tous les employés étaient sortis, il ne restait plus qu'elle. Et devant le club, il ne restait qu'une moto et je m'inquiétais d'autant plus.
Enfin, elle sortit. Elle avait revêtu une veste en cuir. Elle vint à ma rencontre.
- Encore là ?
- Je doute que tu sois en état de conduire.
- Je vais très bien.
- Tu as pas mal bu. Je te ramène.
- Tu as déjà conduit une moto ?
- Non mais je serais me débrouiller.
- Il est hors de question que tu touches à ma bécane.
- Et moi, je ne te laisserais pas partir dans cet état.
Elle retourna vers sa moto et grimpa.
- Tu as entendu ce que j'ai dit ? En plus, tu n'as même pas de casque.
-T'as qu'à venir avec moi. Tu me protégeras.
Elle se mordit la lèvre inférieure sensuellement. Je grimpais sur la moto derrière elle.
- Accroche-toi à moi.
Je faisais ce qu'elle m'avait demandé. Elle démarra sa moto. Elle roulait très vite. J'avais l'habitude d'aimer la vitesse mais là je ne pouvais m'empêcher de m'inquiétais. J'étais tellement proche d'elle, son odeur était tellement forte. Mon corps régissait sans que je ne puisse le contrôlait. J'avais peur qu'elle le sente et qu'elle le prenne mal mais une odeur délicieuse me parvint, celle de son excitation.
On arriva devant une grande demeure, juste avant l'entrée de Forks. Je descendis de la moto et elle fit de même. Elle me regarda, quelques secondes, son regard c'était assombri. Elle se jeta sur mes lèvres. La sensation de sa bouche contre la mienne était délicieuse. Cette fois-ci, je pensais au fait qu'elle avait besoin de respirer et me détachai d'elle pour le lui permettre.
Je pouvais voir de l'hésitation dans ses yeux.
- Tu peux me suivre chez moi, si tu veux.
Elle se remit à se morde la lèvre inférieure. Elle était tellement craquante quand elle faisait ça.
- Je te suis.
Elle attrapa ma main et je la suivis.
Elle s'arrêta devant ma porte et me dit :
- Ne fait pas de bruit. Ma mère est en train de dormir.
- Ok.
On monta à l'étage et elle me fit rentrer dans sa chambre. Elle referma la porte et se jeta de nouveau sur moi. Instinctivement, je posais mes mains sur ses fesses et la souleva puis la plaqua contre le mur. Elle gémit contre ma bouche ce qui eu pour effet de m'exciter encore plus. Nos corps étaient tellement proches l'un de l'autre. Elle se frotta contre moi, ce qui créa une friction entre nos deux sexes. Pour la première fois, je grognais de plaisir. J'abandonnai sa bouche pour parsemer son cou de baisers. Ses gémissements venaient de devenir mon son préféré. Je m'étonnais de l'effet que j'avais sur elle. Je décidais de m'en servir pour en savoir plus sur elle. J'allais à son oreille et lui mordillais le lobe.
- Comment sais-tu pour les vampires ?
- Si je te le disais, je serais obligée de te tuer et j'aimerais profiter de toi avant, me répondit-elle en me regardant dans les yeux.
Je l'embrassais de nouveau et caressais sa poitrine. Puis je quittai sa bouche pour sucer la peau de son cou.
-Edward, gémit-elle.
Je retentais ma chance.
- Répond à ma question.
Je la regardais dans les yeux, son regard c'était encore assombri. Et je pouvais voir à travers ses yeux que les miens était noirs, noirs de désir.
- Tu n'arrêteras pas ta délicieuse torture tant que je ne te l'aurais pas dit ?
- Non. Et je ne franchirais pas l'étape des caresses tant que tu ne me l'auras pas dit.
Elle se mordit de nouveau sa lèvre inférieure.
- Je suis une sorcière.
- Bien sûr.
Je capturai sa lèvre inférieure et la suçait. Quand je la libérai, je lui disais :
- Dis-moi la vérité.
- Je t'ai dit la vérité. Tu ne me crois pas ?
J'hochai la tête à la négative. Ma vision se brouilla et j'eu l'impression de décoller du sol. Quand enfin, je récupérais mes sens, je me retrouvais sur son lit avec elle à califourchon sur moi.
- Tu vois, je ne t'avais pas mentis.
- Pour une fois.
Elle me regarda étonnée.
- Tu m'as dit que tu risqué de te faire virer alors que c'est toi la patronne.
- J'ai paniqué. Ce que je ressens pour toi, je ne l'ai jamais ressentit pour d'autres. Et en plus, légalement, je ne suis pas la propriétaire. Aujourd'hui, je fête mes 18 ans.
- Joyeux anniversaire.
- J'ai une idée de cadeau que tu pourrais me faire.
- Je suis impatient d'entendre ça.
Elle se baissa pour m'embrasser. Je caressais tendrement son dos puis passais mes mains sous son débardeur. Sa peau était tellement chaude comparer à la mienne. Elle se repositionna au dessus de moi et retira son débardeur puis le jeta à travers la pièce. Un grognement se fit entendre et je compris qu'il venait de moi. J'avais une magnifique vue. Je me relevai et l'embrasser, tout en lui retirant son soutien-gorge. Je la basculais sur le lit et me positionnais au dessus d'elle. Elle était tellement belle ainsi offerte à moi.
Je commençais par caresser sa poitrine avec mes mains puis j'allais sucer ses mamelons. Ses gémissements me montraient que je me débrouillais bien. Elle passa ses mains sous ma chemise et je fis comme elle précédemment. Elle caressa mon torse. La sensation de ses mains chaudes sur mon corps de pierre était extraordinaire. Elle descendit à mon jean et défit le bouton et abaissa la braguette. Je me levais et enlevais mes chaussures, mes chaussettes et mon jean.
- Le boxer aussi, me dit-elle.
Je m'exécutais libérant mon sexe.
- C'est un crime, dit-elle.
Je la regardais ne comprenant pas ce qu'elle voulait dire. Elle vint vers moi à quatre pattes, me permettant d'admirer son petit cul. Elle se positionna devant moi sur ses genoux. Elle me regarda dans les yeux et une de ses mains vint branler lentement ma queue.
- C'est un crime d'avoir gardé ça pour toi.
Je l'embrassais alors qu'elle continuait ses mouvements sur mon sexe. Elle quitta ma bouche et me fit me reculer. Elle se mit à genoux devant moi. Elle attrapa mon sexe et donna un coup de langue puis le pris dans sa bouche et se mis à le sucer. Je ne pensais pas qu'une chose pouvait être tellement délicieuse. Sa bouche chaude qui était en train de faire des mouvements de va et viens, me procurait énormément de plaisir. Elle commença à faire râper ces dents sur ma queue.
- C'est tellement bon, ma belle.
Elle continua encore un peu jusqu'à ce que je la stoppe, ne voulant pas venir dans sa bouche. Je la réinstallais sur le lit. Je lui caressais la joue.
- Merci, mon cœur.
Elle me sourit.
- Embrasse-moi.
Je m'exécutais. Puis je déposais des baisers sur son cou, sa poitrine, son ventre. Je lui retirais le reste de ses vêtements. L'odeur de son excitation était d'autant plus forte. Je pouvais voir son jus couler. J'avais tellement envie de la goûter et c'est ce que je fis. Je lapais tout son jus et quand elle fit complètement nettoyer, je m'attaquais à son clitoris en le léchant et le suçant. Ces gémissements devinrent petit à petit des cris. Mon prénom sortait de temps en temps de sa bouche, ce qui avait effet de m'exciter encore plus. J'introduis un doigt puis deux dans son vagin. Très vite, ses parois intimes se contractèrent autour de mes doigts. Je venais de donner mon premier orgasme. Je la regardais entrain de reprendre sa respiration, elle était magnifique. Ses cheveux légèrement en bataille, ses joues rouges et sa peau couverte d'une fine pellicule de sueur.
- Tu es sûr d'être puceau ? me demanda-t-elle.
- Tout à fait certain.
Je me repositionnais au dessus d'elle, me tenant grâce à mes coudes. Elle écarta les jambes. Je lui demandais d'un regard si elle voulait poursuivre, pour toute réponse, elle m'embrassa. Je la pénétrais lentement, les sensations étaient divines et je ne voulais pas perdre le contrôle. Quand, je fus entièrement en elle, je me stoppais pour m'habituer aux sensations que je ressentais. Elle enroula ses jambes à ma taille. Son antre charnel était tellement chaud, j'avais l'impression que la chaleur se propageait dans tout mon corps.
- Edward, me supplia t'elle.
Je commençais des mouvements de va et viens en elle. Ses mains étaient placées sur mon dos qu'elle griffait de temps à autre.
- Edward….plus vite…plus fort.
Je répondais à sa demande et accentuais la cadence. Je ne contrôlais plus mes grognements. J'étais tellement proche mais je voulais qu'elle vienne d'abord.
- Mon cœur, viens pour moi.
Son corps se cambra et elle jouie, je la suivi après quelques poussées. Je me détachais d'elle et m'allongeais à ses côtés.
Son rythme cardiaque et respiratoire redevint normal.
- C'était fabuleux, me dit-elle.
Je l'embrassais passionnément puis dû la laisser reprendre son souffle. J'étais assez fièr de moi. Elle caressa tendrement ma joue.
- Merci beaucoup, me dit-elle.
- Merci à toi.
Je crus voir de la tristesse dans ses yeux. Elle m'embrassa et j'eu la sensation de sombrer comme si je m'endormais.
Le lendemain, je me réveillais étonné d'avoir pu dormir. Je cherchais sa présence mais rien à part son odeur. Une rose rouge était posée sur l'oreiller à côté de moi. Un mot se trouvait dessous :
Merci pour cette nuit,
Elle était magnifique,
Ta petite sorcière.
J'étais déçu qu'elle soit parti. Je me levais et m'habillais. Je descendais et entendu un cœur battre. J'eu l'espoir que ça puisse être elle mais je tombais sur une femme d'un certain âge.
- Bonjour. Vous seriez où est Bella ?
- Si elle ne vous l'as pas dit, c'est qu'elle ne voulait pas que vous le sachiez, me répondit-elle.
- Vous n'êtes pas sa mère, pas vrai ?
- Non désolé, jeune homme.
- Je vois. Merci.
Je sortis de la maison. Malgré tout, je ne regrettais rien. J'avais eu grâce à elle ma plus belle nuit. Et je ferais tout ce qui est possible pour la revoir même si pour cela, il me fallait fouiller la terre entière.
N'oubliez pas de laisser un review pour me dire ce que vous en avez pensée.
Si ça plait, je ferais une suite.
