Bonjour !
Voilà, je suis toute nouvelle sur le fandom mais j'écris depuis bien longtemps sur le Hobbit, bien avant les films en fait, mais je n'ai jamais eu l'envie de partager mes écrits avant celui-ci.
Un petit résumé ?
Alors 'action se passe en Terre du Milieu, Erebor est de nouveau aux nains et personne n'est mort. Bilbon est rentré chez lui et toute la vie reprend son cours initial. Sauf que c'était sans compter sur deux princes turbulents, un oncle qui en a plus que marre et un hobbit qui ne répond pas aux invitations.
En gros ?
Le bordel !
Les risques ?
Mourir de rire sous la connerie que les nains peuvent faire lorsqu'ils s'ennuient, lorsqu'ils en ont ou alors lorsqu'ils sont en colère.
Bonne lecture !
Erebor, le plus grand Royaume des Nains après Khazad-Dûm. La ville s'étend sous plusieurs dizaines voir presque centaines d'étage en profondeur et en hauteur. Taillée à même la roche, elle est l'une des merveille de la Terre du Milieu. Gouvernée par Thorin Ecu-de-Chêne, le royaume de Durin ne peut que flamboyer et s'enrichir, gagnant en puissance et renommée.
Pourtant, une seule chose pouvait ébranler le souverain de la Montagne Solitaire. Une chose, qui parait si infime que personne ne pourrait le croire. Un détail qui pourrait détruire la cité d'Erebor en un soupir.
Les deux neveux et héritier de Thorin, Fili et Kili, fils de Dis.
-Il faut que je trouve une solution, grogna Thorin.
Le Roi sous la Montagne faisait les cents pas dans son royal bureau sous les yeux yeux rieurs de ses camarades, Balin et son frère Dwalin. Le premier étant son ami, conseillé et précepteur des princes et le deuxième étant le maître d'arme de la ville en plus d'être celui attitré des deux jeunes nains.
Thorin tournait comme un lion en cage depuis près d'une heure, traçant petit à petit une marque dans le sol en pierre, l'usant de son passage répétitif. Il était rongé par la colère et le désir de vengeance. Comme tous les jours à vrai dire.
-Allons, sourit Balin. Qu'on-t-ils fait cette fois-ci ?
-Ce qu'il ont fait ? siffla le roi en fixant son ami du regard. Ils ont littéralement ruiné le travail des forges ! Des ouvriers sont en train de réparer leurs bêtises en ce moment même !
Dwalin haussa un sourcil. A la base, il venait se renseigner auprès de son roi de la validité du mot qui excusait les princes d'entrainement aujourd'hui. Il avait une réponse partielle. Toutefois, il serait bien curieux de savoir comment les deux garnements avaient réussit leurs coups.
-Ils ont fait une course avec les chariots qui transportent l'or dans les grandes fonderies, se désola le brun.
Thorin se laissa tomber sur sa chaise en se prenant la tête dans les mains. Il n'en pouvait plus. Chaque jour Fili et Kili trouvaient une nouvelle idée farfelue à réaliser et chaque jour c'était pire que le précédent.
-Il s'en fallut de peu pour que Kili tombe dans l'or en fusion et Fili a hurlé dans toutes les forges comme quoi c'était inadmissible et dangereux, que les chariots n'étaient pas sécurisé. C'est le responsable des forges qui m'a avertit.
-Je vois. Et où sont-ils maintenant ?
-A l'infirmerie, soupira le roi. Encore.
Aussitôt, Balin proposa aux deux autres d'aller voir ce qu'ils faisaient et essayer d'obtenir une information ou une vague idée du but de leur course poursuite. Thorin se leva, les épaules voûtées, il hésitait et marchait à reculons dans les couloirs, se rattrapant à chaque angle de mur pour ne pas rejoindre la baie médicale.
Il était traîné par un Dwalin marmonnant dans sa barbe que 'les héritiers de Durin n'étaient que des casse-pieds têtus et emmerdeurs'. Une fois sur place, Thorin reprit son sérieux devant l'infirmière attitrée des deux frères depuis les Montagnes Bleues.
-Votre majesté, fit-elle la langue coincée entre ses dents de concentration.
-Mairen. Comment vous portez-vous ?
-Hormis le fait que les princes fassent leurs visites quotidienne ? Très bien jusque leur arrivée.
La naine était un peu unique dans son genre. Elle était mi-naine, mi-humaine avec une fine et légère chevelure rousse ré-haussée de plusieurs tresses et des yeux gris. Son père était un valeureux guerrier des Montagnes Bleues à qui sa mère humaine le confia depuis sa toute enfance. Ce qui faisait qu'elle était aussi grande que Kili et aussi forte que Fili.
Etant à peine plus âgée que les deux princes, elle grandit avec eux tout en soignant leurs diverses blessures pendant leurs jeux et finit par devenir leur infirmière attitrée. La rousse avait un caractère très spécial et n'hésitait jamais à tenir tête aux deux frères voir même à quelqu'un de supérieur à elle.
-Faisont bref, fit Thorin. Qu'ont-ils cette fois-ci ?
-Ho rien de bien grave, quelques entailles dû à leurs chutes depuis le haut des grandes cuves d'or en fusions.
L'infirmière continuait de nettoyer les blessures de Kili qui gesticulait sous le traitement. Thorin se massa les yeux de désespoir et les rouvrit pour interroger l'aîné et fut surpris de le trouver ligoté à une chaise, la tête entourée de bandage. Il pointa son héritier d'un doigt, les mots ne voulant pas sortir.
-Fili ne voulait pas me laisser approcher Kili alors je l'ai frappé, d'où les bandages, et je l'ai ligoté.
-Mon oncle ! Cette femme est folle, se plaignit le blond.
-Les garçons, soupira leur oncle. Cela fait combien de temps que vous n'avez pas passé une journée sans frôler la mort ?
-Il y a bien cette fois pendant notre quête, quand nous avions trouvé le butin des trolls, commença le brun.
-Tu oublis que tu as faillis te faire décapiter par Orcrist en te plaignant à Oncle Thorin de son arme elfique.
Les deux frères fusillèrent le roi du regard qui haussa les épaules sous le rire de Balin et Dwalin. Il est vrai que Kili était passé à un cheveux de la nouvelle lame du roi après son commentaire et qu'il ne devait sa vie sauve qu'à Gloin qui l'avait bousculé par mégarde.
-Boarf, un neveux de plus ou un neveux de moins ...
Puis il partit alors que Mairen criait sur Kili de se calmer s'il ne voulait pas avoir une bonne raison de rester à l'infirmerie. Dwalin s'excusa alors, ne pouvant plus supporter son cousin et ses terreurs de neveux. Il les côtoyait assez souvent pour ne pas les voir plus que nécessaire.
Balin suivit le roi afin de parler de la gestion d'Erebor et de participer aux doléances qui avaient été écourtées à cause de l'incident des forges.
-Je ne sais plus quoi faire Balin, avoua le brun. Si ça continue, ils vont détruire Erebor en un éternuement.
-Essaie donc de leur trouver une occupation.
-Ils font tourner en bourrique le moindre précepteur qu'ils ont eût ! Hormis toi. Et je ne parle même pas de leur donner du travail à la forge ou dans les aires d'entraînements, il y aurait des Khazadicides.
Thorin prit alors le premier rouleau qui tomba sous sa main et se décida à s'enfermer dans le travail afin d'ignorer et d'oublier sa terrible famille pour le restant de la journée si ce n'est de ses jours. Pourtant, un nain entra dans le bureau après avoir poliment toqué à la porte.
-Majesté, une lettre vient juste d'arriver par épervier.
-Une lettre ?
Balin se leva pour prendre la missive et sans accord commença à la lire. Un grand sourire éclaira le visage du vieux nain qui tendit la lettre au roi dans l'instant.
-Cest notre bon vieux Bilbon qui donne de ses nouvelles !
-Ce n'est pas trop tôt ! A-t-il répondu positivement à l'invitation cette fois-ci ?
Balin se renfrogna et reprit la lettre. Aurait-il passé ce paragraphe ? Il l'a relu bien trois fois avant de soupirer. Le hobbit 'oubliait' encore une fois de répondre à l'invitation de Thorin de venir passer quelques jours à Erebor. Le brun grogna dans sa barbe et se mit à bouder avant de se relever, le regard malicieux et de faire de nouveau les cents pas sous le soupir découragé de son conseillé.
-Et si j'envoyais Fili et Kili chez Bilbon ? Notre cambrioleur ne veut pas nous revoir ? He bien ce sont ces deux monstres qui iront à lui, comme ça, je me venge de ce petit hobbit de m'ignorer et je me débarrasse de mes neveux en espérant qu'ils se perdent sur la route ou qu'il se fasse manger par les loups !
Le rire machiavélique de Thorin résonna dans le bureau et les couloirs en passant par les cuisines, les appartements royaux et toute la ville, inquiétant légèrement ses sujets qui oublièrent bien vite d'avoir entendu quoique ce soit.
Sauf Fili et Kili qui se figèrent dans l'infirmerie.
-Ohoh ...
-ça, c'est oncle Thorin ...
-Et ça sent pas bon pour nous ...
Quelques jours plus tard, si ce n'est une semaine, un corbeau toqua contre le carreau rond d'une petite fenêtre. Fenêtre appartenant à une maison enterrée sous une colline. Une petite maison incapable d'y accueillir un homme mais laissait passer convenablement des petites gens ou des nains. Mais ce n'étaient pas ces derniers qui en étaient les heureux propriétaire, il s'agissait plutôt d'un hobbit. Et pas n'importe quel hobbit.
-Voilà, voilà ! J'arrive ! Fit-il pour l'oiseau.
Il lui ouvrit la fenêtre en soupirant et lui tendit un bol de graine. Après tout, ce n'était pas comme si cet oiseau ne venait pas une fois ou deux par mois lui apportant une missive d'Erebor. Car oui, ce hobbit était un ami des nains, et n'était ni plus ni moins que Bilbon Sacquet, heureux propriétaire de Cul-de-Sac.
-Alors, qu'est-ce donc cette fois ? Encore une invitation pour Erebor ? Qu'est-ce qu'il ne comprend donc pas par 'je refuse de venir' ? Par la barbe de Gandalf !
Bilbon s'assit sur une chaise et relut une nouvelle fois la lettre qu'il tenait entre ses mains. Il lui fallut plusieurs lectures et se frotter les yeux pour que les mots parviennent jusque son cerveau. Pourtant, c'est comme si la suite logique des phrases était rédigée en sindarin par les Valar eux-même !
Cher Bilbon,
Suite à mes précédentes requêtes pour vous inviter, auxquelles vous n'avez point répondu, je me vois dans l'obligation de vous envoyer une lettre pour vous avoué ma tristesse. Je pensais que nous étions amis et que vous seriez heureux de revoir la Compagnie et de visiter Erebor maintenant reconstruite.
Mais là n'est pas le sujet principal de ma missive. En effet, j'ai décidé, en tant que Roi mais surtout en tant que Oncle et pour le bien-être de la cité mais encore plus du mien, d'envoyer mes chers et tendres neveux parcourir la Terre du Milieu afin de parfaire leurs formations des différents peuples et ainsi me permettre des vacances biens méritées loin d'eux.
C'est pourquoi, je leurs ai proposé de venir vous rendre visite en tout premier lieu afin que vous leurs enseigné tout ce qu'ils doivent savoir et ne pas savoir sur la belle région qu'est la Comté. Et puis, vous n'aviez qu'à répondre positivement à mes nombreuses invitations.
Ils sont partit la veille de cette lettre mais vous n'avez crainte, ils n'arriveront pas avant le prochain hiver, voir le prochain printemps pour cause de leurs mauvaises orientations. Prenez donc vôtre temps afin de préparer leurs arrivées et ne vous inquiétez pas, ils sont responsables et ne dérangeront pas vôtre tranquillité du moment que vous les ignoriez.
Cordialement vôtre, Thorin Ecu-de-Chêne, Seigneur d'Erebor et Roi sous la Montagne.
PS : Ils devraient rester pour une durée indéterminée et aussi longue que possible afin d'être sûr qu'ils retiennent tout de vôtre enseignement avant de reprendre la route sur laquelle je leurs ai promis que vous les accompagnerez.
Le hobbit laissa tomber la lettre au sol, toujours effaré de ce que Thorin osait lui envoyer. Il pensait que c'était encore une invitation trop formelle mais au contraire, il disait lui envoyer ses neveux ! Non mais quel culot ! Foi de Sacquet, cela ne se passerait pas comme ça !
-De la peste soit de ces nains !
Fili soupira alors que Kili a côté de lui tournait et retournait la carte dans tout les sens. Le blond s'assit alors sur un rocher et attendit que son petit frère ait finit de trouver leurs chemins. Pourquoi Thorin les avait forcé à partir déjà ? Ha oui, pour se former aux différentes cultures. Il lui en foutrait des cultures !
-Je n'y comprend rien, jamais nous n'étions passé par le Gouffre de Helm lors de la quête.
-Je pense que Oncle Thorin n'a pas aimé note blague sur son mauvais sens de l'orientation quand nous l'attendions chez notre Cambrioleur la dernière fois, conclut Fili.
-Tu crois ?
En effet, juste derrière les deux nains, les Montagnes Blanches se dressaient de toutes leurs hauteurs et juste à leur pieds, Fort-le-Cor, bastion de roche des hommes du Riddermark.
Fili regarda la structure de haut en bas alors que Kili s'approchait plus près pour toucher la pierre. Seulement, le bruit d'un attroupement les détourna de leurs contemplation et ils virent une petite compagnie d'orcs approcher, sûrement attiré par deux voyageurs abandonnés. Les deux frères ne s'inquiétèrent pas le moins du monde et rangèrent tranquillement leurs affaires avant de se poster face aux attaquants.
-Tu crois qu'ils vont nous donner notre premier cours de diplomatie ? rigola Kili.
-Serais-tu tenté par un petit concourt mon frère ? Demanda Fili en sortant ses épées.
Une flèche empennée de jaune se planta entre les deux yeux de l'orcs le plus proche et le tua sur le champs donnant la réponse à l'aîné des princes qui grogna. Kili encocha une deuxième flèche et sourit à son frère de toutes ses dents.
-Évidement !
-Tricheur, marmonna le blond en s'élançant sur l'ennemi.
-Es-tu sûr que c'est une bonne idée ? Demanda Balin.
-Mais oui, et puis, si par le plus grand des hasard aucun des deux ne devait revenir, je serais tranquille pour le restant de mes jours ! Assura Thorin.
Les deux amis étaient dans la ville et se promenait sur le marché de Dale en compagnie de Dis qui faisait des emplettes. Thorin profitait de son nouveau temps libre pour se promener et passer du temps avec sa sœur ou ses compagnons. Il semblait plus rayonnant que jamais et avait donné comme excuse au peuple nain que leurs deux princes avaient eux-mêmes demandé de partir parfaire leurs formations auprès des plus grand.
-Dans ce cas là, Erebor n'aurait plus d'héritier, pointa le vieux nain. Et Je doute que Dis veuille faire de nouveau enfants.
-Qu'essais-tu de me dire Balin ? Grogna le brun.
-Si jamais Fili ou Kili ne devait jamais revenir, tu seras dans l'obligation de te marier et d'avoir des enfants.
Le roi se figea alors que son ami continuait d'avancer. Il se bloqua, le pointant du doigt puis lui-même, les mots ne voulant pas sortir de sa bouche. Puis il se remit en marche et attrapa les deux nains par le coude, les emmenant expressément vers Erebor.
-Que t'arrive-t-il mon frère ? Demanda Dis, perdue.
-Il est hors de question que j'épouse qui que ce soit !
La princesse regarda Balin, surprise et ne comprenant pas vraiment ce que son frère voulait dire. Le vieux nain lui répondit par un haussement d'épaule et un petit sourire. Tout de suite, elle comprit et rattrapa son frère qui était entrain de les semer.
-Thorin ! Qu'as-tu fait à mes enfants ?
-Rien ! Mais rien voyons !
-Oh ne commence pas avec moi, gronda-t-elle en le pointant du doigt. Je sais très bien qu'à l'origine c'était ton idée de les envoyer loin d'Erebor pour avoir un peu la paix.
Thorin s'arrêta et baissa la tête tout penaud. Depuis leur enfance c'était comme ça et même si le roi était l'aîné de la fratrie, il avait toujours eût un peur des remontrances de sa sœur, encore plus que d'avoir fait face à Smaug, le dragon n'était qu'un détail par rapport aux colères de sa sœur.
-Je te préviens Thorin Écu-de-Chêne ! Mes fils ont intérêt à rentrer vivant, c'est clair ?
-Ou-Oui …
Et la princesse reprit sa route vers la ville naine, courroucée et sûrement de mauvais humeur jusque la fin de la journée. Aucun doute que Dwalin allait venir lui tirer les oreilles sur la mauvaise humeur de sa sœur car c'était clair comme de l'eau de roche que le guerrier nain allait en pâtir.
-Balin, envois des messager un peu partout, qu'ils essaient d'avoir des nouvelles de ces deux monstres le plus rapidement possible. Il est hors de question que j'épouse qui que se soit et que j'ai des gosses, j'ai supporté ces deux démons, hors de question que je recommence !
-Un peu partout ? Mais où diable les as-tu envoyé ? Ils ne devaient pas aller chez Bilbon ?
-Si, bien sûr que si. Enfin à quelques mois près. Je crois qu'ils vont faire un détour par le Gondor et le Rohan. Peut-être aussi par la Lorien et les autres pays de ces traîtres d'elfes. Normalement ils devraient même repasser par Erebor ou Dale.
Balin soupira en prenant note. Ainsi, le grand roi des nains avait choisit de donner un faux itinéraire pour tenter de perdre ses neveux, qu'ils meurent dans la nature ou à cause d'un incident diplomatique qu'ils auraient engendré sans même le vouloir.
Et comme prévu, une fois de retour, Dwalin attendait devant la porte des appartements royaux, un air furieux sur le visage. Le brun soupira et lui fit signe d'entrer à sa suite et servit deux verres de vins.
-Je peux savoir pourquoi Dis m'a fermé la porte au nez ?
-Ses fils lui manque. Un verre ?
Le guerrier but le verre cul-sec et pointa son doigt sur son meilleur ami, les yeux plissé comme une menace. Ok, alors sa sœur avait déteint sur son ami. Ou alors l'inverse. Quoiqu'il en soit, c'était la même chose, il fallait éviter la colère de l'un comme de l'autre.
Dwalin ne dit rien et finit par quitter les appartements royaux en claquant la porte. Thorin soupira et se laissa tomber dans son fauteuil près de l'âtre.
-Pourquoi tout le monde m'en veux d'avoir envoyer les gosses en voyage ? Grogna-t-il pour lui-même. Et c'est quoi cette manie de me pointer du doigt ? Grmpff, aucune reconnaissance …
Verdict pour ce premier chapitre ?
