Larmes salé sucré
Chapitre1 : obsessions
Pour des raisons que j'ignore, cela faisait plusieurs jours que dé que je l'apercevais je me demandais comment un être faible comme lui, un herbivore
Ennuyeux, et totalement dénué d'un intérêt quelconque pouvait avoir un effet aussi sensuel sur moi. Certes ses cheveux caramel, ses lèvres légèrement rosées aux allures sucrées, sa taille fine et ses jambes de mannequin ne devaient pas y être pour rien. Je me laissais entraîner dans une sorte d'obsession perverse d'observation du petit animal dans son habitat naturel. C'est-à-dire mon royaume Nanimorie.
Mon obsession me poursuivait la nuit et m'empêchais de dormir.
J'avais déjà pensé à me rapprocher de lui, mais rien à faire, sois il s'enfuyait à ma simple vus, sois je lui grognais dessus, le menacent de le tuer, lui faisant une peur bleu.
Il me fallait une solution et vite je ne résisterais pas longtemps à ses assauts de naïvetés mal placés et à son sourire niais.
Car oui il est niai, et adorablement en plus.
Bref, se jour là j'avais trouvé le moyen de me retrouver seul avec lui. Je l'avais convoqué dans mon bureau de préfet à l'heure du déjeuné après l'avoir vu venir avec le gnome insupportable qu'est Lambo dans le domaine de mon école (endroit ou cette erreur de la nature ne devait pas êtres).
Il était 11h50 et la sonnerie retentissait a 12h pile, attente de quelque minutes il est vrai, mais qui n'en resetait pas moins une éternité pour moi.
10 minutes plus tard le bruit retentissant de la sonnerie salvatrice pour mes nerfs se faisait entendre. Je ne pue m'empêcher de sourire a l'idée de l'état de nervosité dans lequel Tsuna devait être plonger. Je pouvait même voir la peur dans ses yeux noisette … Quel plaisir (non je ne suis pas sadique).
Le petit bruit d'une porte qui s'entrouvre me ramena dans le monde réel. Je tournais les yeux vers l'entrée pour apercevoir le fruit des mes obsessions dans l'ouverture, tout tremblotant (ne fait-on pas plus mignon)
Ma décision était prise ce midi il serait mien, j'aillait le dévoré.
Et pour conclure, je lançais d'un air détaché à Tsuna, un :
« Entre .. ! »
Fin du premier chapitre
