Eternelle Ange : Hey ! J'arrive avec une '' Mini-fiction ''. Vous aurez les points de vue de chaque personnages !

Point de vue de : Bella ; Edward ; Alice ; Jasper ; Rosalie ; Emmett ; Esmée ; Carlisle.

Peut être un autre point de vue de Bella, une fois que tous les personnages seront passer. Ou bien un point de vue externe. Il y aura pour sûr, deux point de vue d'Alice.

Je vous conseille de chercher sur YouTube, pour le point de vue externe : Funérailles de Mike, Desperate Housewives.

L'accident est inspirer de ma vie. C'est comme ça que j'ai perdue mon père, quand je n'avais que 10 ans. Repose en paix, papa. Je t'aime..


L'accident Qui Changea Tous..

-Ethan, pourrais-tu emmener ta sœur aujourd'hui, s'il te plaît ? Demandai-je à mon fils.

-Encore aller dans cette primaire ? Pourquoi tu ne l'emmènes pas ? Et papa aussi peut le faire. Dit mon fils.

-Ethan Jasper Cullen ! Pourquoi réponds-tu à ta mère ? Elle t'a demandé quelque chose, tu le fais, point. Dit la voix sévère de mon mari, Edward.

Je savais que Ethan n'aimait pas emmener sa sœur de 9 ans à son école primaire. D'après lui, un gars de 18 ans ne devait pas emmener sa petite sœur de 9 ans à l'école.

-Très bien, je l'emmènerais. Dit-t-il. Encore. Murmura-t-il.

Je souris aux propos murmurés par mon fils.

Edward vint déposer un baiser sur mes lèvres alors qu'il allait se servir une tasse de café.

Cela faisait maintenant 10 ans que j'étais mariée avec Edward, et nous faisions un couple parfait. On s'aimait et on était heureux.

Ethan ressemblait beaucoup à son père, question physique. Les mêmes cheveux cuivrés et en bataille et les mêmes yeux vert émeraudes.

Par contre, Sophie tient tout de moi. De sa maladresse, de la couleur de ses cheveux, châtains, et son regard chocolat, comme moi.

En gros, c'est Mini-Edward pour Ethan et Mini-Bella pour Sophie...

Une fois que Sophie eut terminé de déjeuner, je mis son bol et sa petite cuillère dans le lave vaisselle. Elle rangea le lait, alors que je rangeais le chocolat en poudre dans le placard, sous l'évier.

Ma fille vint déposer un bisou sur ma joue, de même sur la joue de son père. Elle sortit de la maison, alors que Ethan nous fit un signe de la main, avec son célèbre '' Je vous aime, à ce soir ! ''. Bizarrement, Sophie ne nous avait pas dit la célèbre phrase qu'elle avait de son frère.

-Moi aussi je vous aime, à ce soir ! S'exclama la voix de Sophie qui venait de revenir dans la maison mais qui était de nouveau dehors.

Je me mis à rire, suivit par Edward.

Je m'approchai de mon mari et m'installai sur ses genoux.

-Alors, aujourd'hui c'est repos toutes la journée. Que faisons nous ? Demandais-je.

Pour une fois, lui et moi avons pu poser un jour de congé. Je travaillais dans la boutique de vêtements de sa sœur, Alice. Pour moi, poser un jour de congé n'était pas un problème, car Alice était ma belle-sœur mais aussi ma meilleure amie. Mais c'était Edward le problème dans l'histoire. Car il travaillait dans une compagnie de construction, au nom de sa famille. '' Construction Cullen's ''. Et ce n'est pas facile de poserdes jours de congé. Bien qu'il était le patron avec son frère Emmett et son beau-frère Jasper, qu'il avait fait entrer dans la boite, car c'était le meilleur ami d'Edward et Emmett, mais aussi le mari d'Alice.

-Et bien, j'ai pensé que l'on pourrait aller chercher les enfants aujourd'hui.

-Sophie sera contente, mais... Je crois pas que Ethan veuille. Fis-je remarquer à mon mari entre deux baisers.

-Tant pis pour lui... On ira quand même le chercher. Répondit mon mari en me rendant mes baisers.

Je ris ainsi qu'Edward.

-Alors, nous sommes d'humeur coquine aujourd'hui ? Dit-t-il en me voyait tripoter sa chemise et bouger sur ses jambes.

-Coquine ? Moi ? Jamais de la vie ! M'exclamai-je.

Edward mit son nez entre ma poitrine. J'avais bien fait de mettre un décolleté aujourd'hui !

Point De Vue D'Edward

Nous entrions enfin dans notre chambre et je la déposai avec précaution sur le lit, puis je m'allongeai sur elle. Nos corps se réunissaient, s'entremêlaient et je pouvais deviner sa chaleur à travers l'étoffe des vêtements. Les vêtements !

Il y en avait beaucoup trop ! Je la dépouillai de son petit T-shirt et elle dégrafa rapidement son soutien-gorge tandis que j'enlevais ma chemise. J'avais tellement envie d'elle, mais je voulais prendre mon temps, Elle était à moi. Je caressai son visage tendrement, du bout des doigts, je parcourus sa nuque, son épaule, avant de butiner sa peau douce de mes lèvres, de la pointe de la langue je traçai un chemin sur sa poitrine. J'entourai ses seins de mes mains, je les pétris avec adoration, pris la pointe d'un mamelon entre les doigts et la titilla. Elle s'arqua, enfouit les doigts dans mes cheveux lorsque je me mis à les agacer de la bouche, des dents, de la langue.

Le bruit de la fermeture de son pantalon déchira le silence et je le fis descendre en prenant bien soin de caresser chaque parcelle de peau que je découvrais au fur et à mesure que je faisais descendre son jean.

Lorsque je vis sa culotte, je ne pus éviter de sourire.

-Bella, tu es la femme la plus sexy que je n'ai jamais rencontré. Et j'adore ta culotte en dentelles, sauf qu'il est temps de l'enlever…

Elle se mordit la lèvre, et ce petit geste provoqua en moi un émoi incontrôlable. Je compris que je n'allais pas tenir bien longtemps avant de me débarrasser moi-même de mon jean.

-Edward, vient, s'il te plaît...

Je me penchai vers elle et gémis contre sa bouche lorsqu'elle prit mon sexe entre ses doigts et le caressai sur toute sa longueur, me guidant vers elle.

Je la pénétrai profondément d'un seul coup, puis restai immobile, gémissant contre sa bouche. Ses mains allaient et venaient sur mes épaules, elle me serra contre elle puis entama une danse irrésistible qui m'incita à bouger, je ne fus plus capable du tout de contrôler mes ardeurs. Je me perdis en elle, m'y fondant, la laissant me procurer des sensations inédites en moi. Je sentais la façon dont elle soulevait les reins à ma rencontre, j'entendais ses halètements dans mon oreille, son petit cri de jouissance, je vis le voile de plaisir recouvrir ses prunelles, et je m'enfonçai au plus profond de son être. Un violent frisson me parcourut et je finis par enfouir mon visage dans ses cheveux déployés sur l'oreiller, soupirant d'aise.

Après un long et confortable silence, je roulai sur le côté, et lui fis face. J'enlevai quelques mèches de cheveux sur son visage, et m'aperçus de son sourire béat.

Oui, cela faisait longtemps que ma femme et moi n'avions pas fait l'amour. La cause ? Les enfants étaient toujours à la maison, ou sinon, nous n'avions pas de jour de congé...

Point De Vue De Bella

J'étais dans la voiture avec Edward, en direction de l'école primaire de Sophie, car elle terminait 15 minutes avant Ethan. Edward avait sa main gauche sur le volant, alors que sa main droite était sur ma cuisse, mes doigts entrelacés dans les siens.

-Je t'aime. Murmurais-je.

-Moi aussi. Dit-t-il. Tu es toutes ma vie.

-Comme je ne regrette pas de m'être mariée avec toi, Edward. Tu es l'homme le plus merveilleux que je connaisse. Tu es doux, tendre. Je n'ai jamais connue un homme comme toi. Je t'aime plus que tout. Je pourrait donner ma vie pour toi. Bien que cela fasse 10 ans, je n'arrive toujours pas à me rendre compte que je suis mariée à un homme aussi merveilleux que toi. Et... Et tu m'as donné deux merveilleux enfants... Merci Edward. Dis-je les larmes au yeux.

-Je... Tu es aussi la femme la plus merveilleuse, Bella. Tu as fait de moi un homme heureux. En acceptant ma demande en mariage... Merci Bella. Pour tout. Sache que tu es ma vie, maintenant. Je serais toujours là pour toi et pour les enfants.

Il me sourit et je lui souris aussi.

Edward reporta son attention sur la route et j'en fis de même.

Alors que nous étions à quelques minutes de l'école primaire de Sophie, je vis un camion arriver du côté de la portière d'Edward. Nous étions à un feu rouge et le camion nous fonçait dessus.

-Edward ! Le camion ! Hurlai-je.

( Nous avons tendance à oublier que la vie est un cadeau fragile. )

Mais c'était trop tard... Le camion venait déjà de percuter la portière d'Edward.

Point De Vue Externe

Les voitures de polices arrivaient ainsi que des ambulances, sur le lieu de l'accident.

Il y avait aussi les journalistes. Eux, ils ne manquent jamais une occasion d'avoir un scoop. Alors que les cameramen filmaient, des milliers de familles étaient devant leurs poste de télé. D'autres écoutaient la radio et entendaient la voix des journalistes.

( Si seulement on pouvait changer le cours du temps. )

Rosalie Cullen et Emmett Cullen se trouvaient devant leur poste de télévision et regardaient un film.

Jasper Hale était au travail mais écoutait la radio. Des musiques pour le relaxer car il était le seul à travailler aujourd'hui étant donné que Edward et Emmett avaient posé une journée de congé. Lui il n'avait sa journée de congé que demain. De même pour Alice Cullen, elle écoutait la radio tout en rangeant des vêtements, car demain seule Bella serait présente. Rosalie étant enceinte de 7 mois, elle ne pouvait plus travailler.

Carlisle et Esmée était à la retraite, et ils regardaient les infos, pour apprendre la vie de tout les jours.

Les films furent coupés pour laisser place au reportage, de même pour les musiques sur la radio. Laissant place aux voix des journalistes.

À la télé, les personnes pouvaient voir une mercedes noire, complètement défoncée. Collé au véhicule, un camion.

Un ambulancier sortait le corps d'Isabella, dîtes Bella, de la voiture. Seulement inconsciente, dirent les journalistes qui avaient interroger un ambulancier. Bella fut mise dans une ambulance, sur un brancard, avec un masque à oxygène, car elle avait un peu de mal à respirer.

Plusieurs ambulanciers furent présent pour sortir le corps d'Edward. Les ambulanciers déposèrent le corps d'Edward sur le sol, un peu plus loin de la voiture. Un ambulancier faisait un massage cardiaque au jeune mari, au jeune papa, au jeune Edward. Rien n'y faisait. L'ambulancier joignit ses mains, pour les déposer l'une sur l'autre, à l'endroit du cœur d'Edward. Rien.

Il prit le défibrillateur et fit des pressions sur Edward. Encore et Encore. On voyait son corps se soulever légèrement du sol, comme si son cœur pointait en direction du ciel. Rien. Edward était partit. Il venait de perdre la vie.

Soudain, alors que plusieurs ambulancier essayaient de sortir le corps du conducteur du camion, une petite fille arriva en courant et cria. Les policiers l'empêchèrent de passer mais elle passa tout de même. Elle courut vers Edward, qui n'était autre que son père.

Elle secoua son père encore et encore. Rien. Elle criait. C'était affreux à attendre.

-Papa ! Papa réveille-toi ! Papa s'il te plaît !

Mais le papa ne répondit pas. La jeune fille, la jeune Sophie, espérait que son papa se réveille d'un coup, comme il le faisait souvent. Et qu'ilse mette à chatouiller sa fille. Sophie n'attendait que ça. Elle espérait que ce n'était qu'une nouvelle farce de son père. Mais son espérance fut de courte durée, car un policier arriva vers elle et lui révéla la triste vérité.

L'ambulance ayant le corps de Bella, partit pour l'hôpital et prodiguer les soins nécessaires pour être sûre qu'elle soit hors de danger.

Quand Ethan arriva avec sa voiture à l'endroit de l'accident, son chemin habituel, il vit sa sœur pleurer dans les bras d'un policer et son père au sol. Il se gara au milieu de la route et sortit de sa voiture. Il courut et il prit sa sœur dans ses bras.

-Il est partit, Ethan. Papa est partit. Disait Sophie en pleurant.

-Je sais Sophie, je sais. Répondait Ethan avec des larmes sur son visage.

Après un long moment, Ethan et Sophie demandèrent aux policier si leur mère allait bien. Et une once de bonheur percuta leurs cœurs, en apprenant que leur mère s'en sortirait, qu'elle était déjà à l'hôpital.

Les personnes étant devant leur télé pleuraient pour les personnes qui venaient de perdre un fils. Pleuraient pour Isabella, Sophie et Ethan.

« C'est une triste histoire. » Voilà ce que les gens pensaient. Mais leurs pensées étaient vraies.

Il ne faut pas être sensible pour pleurer. C'est tellement triste, que les larmes coulent d'elles mêmes. Sans que l'ont puissent les arrêter.

Mais les pires dans l'histoire, c'était Carlisle et Esmée Cullen, ainsi que Rosalie et Emmett Cullen.

Ces quatre personnes se trouvaient devant leurs postes de télévision. Le film pour Rosalie et Emmett, avait été coupé, laissant place aux infos du soir.

Ces quatre personnes qui ne demandaient rien, qui étaient en couple, tranquillement enlacées sur leur canapé à regarder la télé, avaient perdu un être cher de leur famille. Un fils, un frère, un beau-frère. Ils pleuraient, hurlaient. Ils pouvaient faire tout et n'importe quoi. Pleuraientet hurlaient autant qu'ils le pouvaient, il savait que jamais Edward ne reviendrait à la vie. Il venait de perdre son âme, et c'était irréversible.

À la radio, les musiques furent coupées pour laisser place aux journalistes

-Un terrible accident vers l'école primaire de Seattle, vient d'être causé par un camion. Le véhicule a percuté une mercedes noire. La jeune femme, Isabella Cullen est en vie, elle a été transporté à l'hôpital, malgré son besoin d'oxygène. Son mari, qui était au volant, fut celui qui a le plus reçu le coup du camion. Edward Cullen est mort sur le coup. Le conducteur du camion est mort sur le coup lui aussi.

Mais l'esprit de Jasper et Alice s'était arrêté à la phrase concernant Edward.

( En une fraction de seconde, le cadeau s'est envolé. )

« Edward Cullen est mort sur le coup. Edward Cullen est mort sur le coup. »

Cette phrase se répétait inlassablement dans l'esprit de Jasper Hale et Alice Cullen. Jasper en avait lâché son stylo, alors qu'il était en train de remplir un contrat pour la construction d'une nouvelle maison. Alice avait lâché la pile de vêtements qu'elle avait dans les mains. Les vêtements au sol, alors que la jeune fille était elle aussi par terre, pleurant toutes les larmes que son corps pouvait contenir.

C'était comme si tout était au ralentit. Les visages de Rosalie, Emmett, Carlisle, Esmée, Jasper et Alice, s'étaient figés, pour laisser place à la douleur. Tous ceci était comme au ralentit, oui. Mais en vérité, cela n'a duré que quelques minutes, quelques secondes. Alors que la peine sera toujours présente. Chaque secondes, minutes, heures, jours, années, peu importe que le temps passe. Car la douleur sera toujours là. Àjamais.

Oui, la vie n'est jamais toute rose. Et elle ne le sera jamais. La famille Cullen n'avait rien demandé. Mais à cause d'un conducteur ayant perdu le contrôle de son véhicule, étant ivre, ils venaient de perdre un être cher. La douleur ne partira pas comme ça. Elle ne s'atténuera pas. Elle ne s'atténuera jamais...

Personne n'oublie...

Personne n'oubliera jamais...


J'espère que vous avez aimez. Le prochain chapitre sera un point de vue Edward !

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