Chapitre 1 : Une nouvelle pièce du puzzle.
Rogue,
Dumbledor, les Dursley, ils sont tous responsables. C'est à
cause d'eux que Sirius est mort. Et les autres qui n'ont rien fait
pour l'aider; je les hais. Dire que maintenant je suis coincer
ici.
C'est pour ta sécurité qu'il à dit. Il
faut que tu restes dans ta famille, tu y seras protéger.
Tu
parles, ma famille laisser moi rire; la seul et unique famille que
j'ai eut est morte, à cause d'eux en plus. Et dire qu'ils me
disent tous oh Harry comme je voudrais que tu sois avec nous, ça
me ferait tellement plaisir. C'est vraiment pathétique.
Harry
ruminait ses sombres pensées encore et encore, la mort de son
parrain l'obsédait. Sirius était mort, et personne
n'avait rien tenté pour le sauver.
Il était
maintenant chez son oncle depuis quinze jours et il s'ennuyait ferme.
Même les hiboux de Ron et Hermione ne lui remontait pas le
moral.
A ce moment un hibou toqua à sa fenêtre.
"Encore
un message des autres, ils ne peuvent donc pas me laisser
tranquille?" Grogna-t-il.
Il reconnu alors un des hiboux du
collège, celui-ci lui apportait ses notes aux épreuves
de cinquième année. C'est ce moment précis que
choisi son cousin pour entrer.
"Harry je vais le dire à
maman que tu reçois encore de lettres de tes amis par ces
sales bêtes.
Fiche-moi la paix, en plus ce son mes
notes."
Etonné et curieux Dudley se dandina sur ses
pattes pour s'approcher et essayer de lire la lettre de Harry.
Celui-ci le regarda bizarrement et lui dit d'un ton doucereux:
"Tu
ne devrais pas essayer de lire ça, car si un moldus a le
malheur de le lire il est transformer en crapaud.
-Ce n'est pas
vrai tu mens."
Le ton doux et froid d'Harry lui faisait peur,
même s'il n'y croyait pas trop, Dudley sentait que quelque
chose clochait.
"Tu es sur, tu veux vérifier" lui
dit-il d'un air détacher.
Paniquer, Dudley s'enfuit en
courant dans l'escalier, appelant ses parents. Dudley partit, Harry
attaque la lecture de ses notes.
Divination: correcte
Défense
contre les forces du mal: Excellent
Métamorphose: Très
bien
Potion: Bien
Histoire: Faible
Botanique:
Bien
Sortilège: Très bien
Certaines de ses
notes n'étaient pas très brillantes, mais il s'était
bien débrouillé avec les matières principales.
Il avait presque finit de lire la lettre quand la porte claqua
brusquement laissant place à toute la famille Dursley au
complet.
"C'est quoi encore cette histoire, tu veux changer
ton cousin en crapaud. Je vais te foutre dehors moi, que ce vieux
schnock soit d'accord ou pas, je m'en fous."Hurla l'oncle
Vernon.
"Allons calme toi mon chéri, ne te met pas
dans cet état pour cette erreur de la nature. En plus j'aurais
peut-être une meilleure idée, pourquoi ne l'enverrions
nous pas chez sa marraine"
A ces mots l'oncle pâlit
puis grogna: "Je croyais que le sujet était clos? Qu'on
ne parlerait plus d'ELLE ici?"
Il semblait aussi en colère
que mal à l'aise, comme toutes les fois ou il était mis
en présence avec un de ces éléments répugnant
qu'étaient les sorciers. Un franc dégoût était
apparut sur son visage.
"J'ai une marraine?
Ca y est, tu
es contente Pétunia? Maintenant il va nous casser les pieds
avec ça. Ecoute moi bien le morveux, tu vas rester dans ta
chambre jusqu'a ce que je sois débarrasser de toi." Se
tournant vers les deux autres. "Quant à vous descendez
dans la cuisine on a à parler."
Surpris par le ton de
Vernon ils obéirent sans discuter.
Resté seule
dans sa chambre Harry essayait de digérer la nouvelle.
Une
marraine, j'ai aussi une marraine. Mais pourquoi Sirius ne me l'a pas
dit, il doit bien être au courant, Dumbledor aussi. Qui
est-elle? Une amie de ma mère, ou de mon père, des deux
peut-être? En tout cas c'est une sorcière c'est sur, vu
la tête de l'oncle Vernon quand il l'a entendu.
Dans la
cuisine.
Vernon furieux essayait de se maîtriser pour que
Harry ne puisse pas entende ce qu'il avait à dire.
"Pourquoi
tu lui as dis, maintenant il va passer son temps à nous
demander des explications. Comme s'il n'était déjà
pas assez envahissant. Remarque se serait un bon moyen de s'en
débarrasser.
C'est impossible, Albus n'acceptera jamais.
Mais maintenant c'est lui qu'il ne va pas lâcher, il sait bien
que nous ne lui dirons rien. Et là ils vont avoir beaucoup de
mal à s'en dépêtrer. Un sourire sinistre éclaira
son visage. Nous verrons alors bien la quelle de nous deux avait
raison ma très chère sœur. A nous deux maintenant
monsieur le directeur, il ne faut pas me sous-estimer, vous semblez
l'avoir quelque peu oublier de vous le rappeler.
Tu ne vas pas
recommencer? Je croyais que..... Tu m'avais dis que c'était
fini, je le savais je n'aurais jamais du accepter de prendre ce gamin
chez nous. C'est lui qui est la cause de tout ça hein? Dis le
moi, c'est lui non, tu m'avais pourtant juré que c'était
fini."
Elle tourna alors vers son mari un regard plein de
tristesse et de fatigue.
"Oui, je le croyais aussi. Mai sil
se pourrait qu'ils aient raison, et que ce moucheron soit notre seule
chance. Notre avenir est peut-être entre ses mains.
Quoi!!!!!!!!! Comment oses tu dire cela? Comment....."
Sous
le regard stupéfait de Dudley, Pétunia se dirigea vers
l'entré. Répondant ainsi au coup de sonnette qui venait
de retentir.
Elle se trouve alors nez à nez avec un petit
bonhomme aux oreilles pointues.
"J'ai un paquet pour Mme
Dursley.
C'est moi.
Alors voila vous savez qui l'envoi? J'ai
bien fait de sonner comme elle me l'avait dit?
Oui, je sais qui
m'envois ce paquet et vous avez bien agis. Maintenant filez
vite.
Bien Madame."
Et l'elfe s'éclipsa laissant
Pétunia seule dans le salon, elle se dirigea alors vers une
armoire, posa son paquet en haut de cette armoire. Puis elle alla
claquer la porte d'entrée avant de retourner dans la
cuisine.
"C'était quoi?
Un marchant
ambulant."
Quelques instant plus tard dans un vieux
et somptueux manoir.
"Votre colis est arrivé Madame,
la personne à qui il était destiner l'a bien reçu
elle-même. J'y ai veiller, ainsi qu'a sonner comme vous me
l'aviez demander.
Bien merci" Fit une voix de femme.
"Mais
pourquoi l'avait vous envoyer à une moldus? Elle ne saura même
pas quoi en faire, ni comme ça marche et encore moins ce que
c'est.
Détrompe toi. Elle sait parfaitement s'en servir,
je le sais, nous avons appris ensemble."
Elle se leva alors
et partis rejoindre son fils.
Maintenant qu'il n'est plus là
il va falloir redoubler de prudence et de ruse si nous voulons
arriver à nos fin. Mais je ne laisserais personne se mettre au
travers de ma route, je protègerais les miens.
Les
jours s'écoulèrent ainsi sans grand changements ni
nouvelles crises. Harry cloîtrer dans sa chambre ruminait sa
haine, cherchant à deviner qui pourrait être cette
fameuse marraine. Il avait bien envoyer des tas de lettres mais
aucune réponses de ses amis ne lui était parvenus. Le
seul fait étrange qu'il avait remarquer, c'est l'attitude de
sa tante. Dès quelle était seule dans la maison elle se
précipitait sur le téléphone pour parler avec
quelqu'un. Du moins c'est ce que pensait Harry jusqu'a ce qu'un
jours, en allant à la cuisine boire un verre d'eau, il ne la
vit pas au téléphone. Alors qu'il l'entendais parler
dans le vestibule, il savait aussi parfaitement qu'il n'y avait pas
de téléphone dans le vestibule.
"Oui, il est
encore là. Non ne t'inquiète pas je ne le laisserais
pas filer,... oui Harry vaut son pesant d'or. Il est hors de question
que je laisse passer une telle chance...."
Surpris Harry
S'arrêta et repartis le plus silencieusement possible vers sa
chambre pour envoyer un SOS, à ses amis.
Dis clamer, les personnages sont de JK Rowling.
