- Tu es sûr que tout va bien se passer ?
Je regardais ma mère poser sur moi un regard inquiet. Aujourd'hui, j'allais faire ma rentrée au collège Teiko. Je venais de déménager d'Espagne pour aller m'installer au Japon, pays adoré de ma mère. Bien sûr, j'avais les base de la langue japonaise. Ma mère me l'ayant appris dès le berceau. Je m'appelle Gabriel Santiago. 15 ans. En dernière année de collège au japon ou en 3ème en Europe.
Je vis seul avec ma mère qui m'a élevé sans aide paternelle, à la seule force de ses bras. J'avais d'ailleurs hérité de son caractère calme et indépendant. En parlant d'hérédité, j'avais presque son physique. La peau bronzée et les yeux vert de ma mère, et la couleur noire des cheveux de mon père. Oui, je connais mon père, il n'est pas mort comme dans les série américaine. Il n'a juste pas pris la peine d'assumer la grossesse de ma mère et l'a abandonné. Tout simplement. Je l'ai vu une fois, quand j'avais 11 ans. Je me suis contenté de le frapper avec mes petits bras de gamins avant de lui écraser le pied. Ca avait d'ailleurs pas mal amusée ma mère.
Mais revenons à ma rentrée, car oui, j'avais beau ne pas le montrer – masque d'indifférence oblige -, je stressais pas mal. En même temps, on ne peut pas vraiment me le reprocher... Arriver dans un collège étranger est tout sauf facile.
Ma mère me fixait, inquiète, tandis que je descendais de la voiture. Je n'étais pas vraiment loin du collège, à peine à 15 minutes de marches, mais ma mère avait insisté pour qu'elle m'accompagne, sûrement beaucoup plus stressée que moi. Ma mère s'en voulait un peu de m'obliger à partir dans un pays étranger, comme ça sur un coup de tête, mais moi je ne la blâmais pas. Elle avait passé 15 ans de sa vie à m'élever en travaillant comme une acharnée pour me nourrir, je ne pouvais pas me plaindre de son bonheur... Surtout que je n'avais pas beaucoup d'amis dans mon ancien bahut.
Une fois sortie de la voiture, je levais les yeux sur l'immense bâtiment qui surplombait une cour – de récréation peut-être ? -. Je me retournais vers ma mère pour lui offrir un sourire réconfortant, essayant par la même occasion de me convaincre que tout irai bien. Elle pencha sa tête par dessus le siège passager avant de me faire un bisou sur la joue.
- Je passe te prendre à la sortie... Tu m'a dit quelle heure déjà ?
- 17 h.
- Ok, bonne chance, je t'aime.
- Merci, moi aussi.
Sur ces mots, elle referma la portière avant de démarrer la voiture. Seul sur le trottoir, je soupirais une dernière fois avant de passer les hautes grilles qui bordaient l'entrée.
Une fois au milieu de la cour, entouré par des centaines de japonnais, j'essayais de prendre mes marques. Étrangement, je m'attendais à ce que certains se retourne sur mon passage, après tout, j'avais la peau bien foncée comparé à eux. Mais il n'en fut rien, comme s'ils étaient habitué à voir des gens différents.
Je continuais mon chemin et pénétrai dans l'établissement. Tout était propres. Les murs étaient blancs tandis qu'un couloir, dont toute la partie vers l'extérieur était entièrement fenêtrée, traversait le bâtiment. J'apperçu un plan du collège, collé près d'une salle – sûrement pour l'évacuation en cas d'incendie – et me penchait dessus. A priori, j'étais das l'aile supérieure, au 2ème étage, côté biologie, section 9... Oh. Mon. Dieu. Ils auraient du faire encore plus compliqué tiens... Après avoir longuement réfléchi aux plus et aux moins, je décidais de rentrer dans une salle au hasard et de prier pour trouver quelqu'un pour m'indiquer (car oui, le CE se trouvait à l'aile inférieur, 5ème étage, côté sciences po, section 3...). J'entrais donc dans la première pièce à ma droite, faisant coulisser la porte. Je me retrouvais dans une salle de classe dont toutes les chaises et les tables étaient repoussées sur les côtés. Au milieu au fond, près de la fenêtre, était assis un garçon au cheveux... Rouge. Non, pas roux, rouge. C'était bizarre. Ils sont trop spaces ces japonnais.
Le garçon regardait par la fenêtre, l'air vaguement rêveur. La scène était d'une étrangeté apaisante, et ma main se mit alors à trembler. Je regrettai de ne pas pouvoir le dessiner. Oui, à mes heures perdues, je dessine. Tout et n'importe quoi d'ailleurs. Mais en ce moment, je me penchais plus sur les portraits. Et je voulais le dessiner, ce garçon étrange.
- Tu sais que c'est impoli de dévisager les gens comme tu le fais ?
Sa voix me fit sursauter, ne m'attendant pas à ce qu'il prenne la parole. Il avait une voix un peu chevrotante, en train de muer sûrement. C'était assez délicat à entendre, même pour moi qui était un mec. Il tourna alors son visage vers moi, me montrant ses traits aristocratiques dont les deux pupilles qui formait ses yeux avaient d'un côté un feu ardent, et de l'autre un or en ébullition. C'était étrange – encore – mais pas désagréable.
- Alors ? Tu as perdu ta langue ?
- Je le regardais tandis que lui me fixé avec un regard amusé et un léger sourire flottant sur les lèvres. Il se moquait de moi, génial...
- Ma langue non, mais mon chemin oui... Je suis nouveau et je ne sais absolument pas où je suis...
- Tu es dans l'aile supérieure, 2ème étage, côté biologie, section 9...
Je roulais des yeux, exaspéré. Et c'était censé m'aider peut-être ? Il avait beau être magnifique, ce mec m'exaspérait.
- Oui, ça je veux bien, mais j'aimerais qu'on me guide vers le CE.
- Il est à l'aile inférieur, 5ème étage, côté sciences po, section 3.
Ouah, génial. Il était sérieux là ? Le pire, c'était qu'il avait l'air très amusé par le fait que je sois en train de m'énerver contre lui.
- D'accord... Pourquoi pas... Tu pourrais m'y conduire ou ce serait trop te demander ?
- J'avoue que ta requête me fait perdre mon temps mais soit... Après tout, c'était moi qui était censé t'accueillir... Alors allons-y, Gabriel.
Je rêve... Ce mec devait m'accueillir mais il m'a laissé en plan. Génial le début de rentrée, qui aurait cru qu'elle commencerait si bien ? Il se redressa, se mettant debout, et je pu admirer le fait que je le dépassait de quelques centimètres. Je le surplombait presque. Mais pourtant, il avait ce petit quelque chose qui faisait qu'on se sentais inférieur à lui, quoi qu'il se passe... C'était assez déstabilisant.
Tiens d'ailleurs, les japonnais ne devaient pas s'appeler par leur nom de famille lorsqu'il n'était pas proche ? Quoi que je ne me plaignait pas qu'il m'appelle par mon prénom... J'imagine déjà la prof m'appeler « Santiago-kun »... Rahhh l'horreur.
Il me fit signe de le suivre, ce que je fis sans rechigner.
Nous traversâmes plusieurs couloirs avant d'arriver devant une porte, il toqua rapidement avant de l'ouvrir sans même attendre l'autorisation. Il m'avait conduis dans une salle de classe. Et à ce que je pouvais voir, cours de mathématique... Génial. Il traversa la salle sous le silence de la classe, avant de dire quelque mot à la prof qui acquiesça. Le gars aux cheveux rouge fit demi-tour avant de me dire une dernière phrase avant de partir.
- Viens me voir à la pause de 11h, dans la salle C321, je te donnerais toutes les informations dont tu as besoins. En attendant, bienvenue au lycée Teiko, je m'appelle Akashi Seijuro, je suis le président des élèves.
Puis il me laissa comme ça, devant tout les élèves qui me regardait comme si j'étais un extra-terrestre. OK. Lol. Qu'est-ce que je fais maintenant ?
- Tu peux t'avancer Santiago-kun, je suis Nakimara-sensei. Puis elle se tourna vers la classe. Tout le monde, voici Santiago-kun, il vient d'Espagne et vient d'emménager ici. Présente-toi à la classe !
Je m'avançais, clairement pas à l'aise devant la classe. Celle-ci me fixait comme si j'étais un animal de foire. Je n'osais même pas les regarder. Je pris alors la parole, me forçant à prendre un air détacher...
- Alors, heu, je m'appelle Gabriel Santiago, j'ai 15 ans et je viens de Madrid, en Espagne. Heu... Enchanté ?
Je pris un air plutôt gêné... C'est vrai quoi... Qu'est-ce qu'on dit au gens pour se présenter... Nom, prénom, âge et pays d'origine non ? C'est tout... La religion peut-être ? Bof.
J'allais demander où m'asseoir quand une main se leva. Je lançais un regard à ma prof, qui me sourit doucement.
- Dans notre pays, lorsqu'on se présente à la classe, et qu'on en dit pas assez, les autres peuvent te poser des questions. Enfin, pas trop longtemps non plus, j'ai un cours à faire moi !
Je regardais un peu le garçon qui avait levé la main. Un mec aux cheveux brun comme la plupart des gens dans la classe.
- T'as des frères et sœurs ?
- J'ai un demis-frère de 14 ans bientôt.
Oui parce que ma mère s'est mise en couple avec un mec de son travail. Il nous a suivie bien sûr, mais pas mon demis-frère qui va d'abord finir son année avant de nous rejoindre, le temps d'apprendre le japonnais.
Il baissa la main, comme s'il était satisfait de ma réponse. Trop chelous ses japonnais je vous dit. Une seconde main se lève
- Tu fais du sport ?
- J'ai fais du foot pendant 3 ans.
Soudains, un mec blond se lève d'un seul coup. Les deux mains sur sa table, il s'était relevé et me fixait d'un air décidé, un grand sourire de con sur le visage.
- Rejoins le club de basket !
Je le regardais, un peu perplexe face à la réponse que je suis censé donner. Le basket ? Je n'y avait jamais penser... Je verrais bien, je n'aurai peut-être pas le temps de me consacrer à un club cette année...
- Je... Je vais voir...
- Heeeee ? Allleeeezzzz vient dans notre club, on manque de première année...
Je répondit vaguement que j'allais y réfléchir. Une autre main se lève, c'est un autre mec avec des cheveux blancs cette fois. Il me fixe un peu avant de parler.
- C'est pas toi qu'es passé à la télé récemment ? L'histoire avec le gamin et tout ?
- Ah, ouais...
Oui, ça s'était passé l'année dernière, durant les vacances d'été. Je traînais dans les rues avec des gars du collège quand j'ai entendu un cri. Pas tout de suite alertés, on a d'abord rigolé. Puis quand le cri s'est confirmé et qu'il s'amplifiait, je me suis dirigé vers le son. Ca venait de la rivière pas loin. J'ai couru jusqu'à la berge, tandis que les mecs me regardaient sans rien faire. Puis je l'ai vu. Un peu gosse, pas plus de 6 ans, qui se noyait dans l'eau. Donc, comme un automatisme, j'ai sauté dans la rivière. Au départ, ça allait, j'ai rejoins le gamins qui pleurait comme pas possible et je l'ai attrapé. Par contre, j'ai galéré à le ramener hors de l'eau. Il m'a bien fallu dix minutes. Puis quand j'y suis enfin arriver, j'ai balancer le gosse hors de la flotte et je me suis écrouler par terre, mort de fatigue.
Ca a vite fait le tours de la ville et je suis passé à la télé, après les trente milles remerciements de la famille du gamin.
Soudains, un cri strident retenti dans la classe. Trois filles venaient de hurler comme des possédées.
- KYAAAAAHHHH !
Je sursautais malgré moi, avisant le groupe de fille totalement zarb'. Une blonde, une rousse et une brune. Soudain, la blonde leva la main.
- Santiago-kun, tu as une copine ?
- Hein ?
Je la regardais, ahuri. Non mais c'était quoi cette question ? Je regardais la prof, qui elle me fixait comme si elle attendait une réponse. Non, impossible. Mais dans quel pays je suis tombé ?
- Heu, non, pas pour l'instant...
- KYAAAH ! - Elles revenaient d'hurler comme des folles – et c'est quoi ton genre de fille nehhhh~ ?
Mon genre de fille ? Je n'y avait jamais vraiment réfléchi... Je n'étais sorti qu'avec une fille, en Espagne. Elle était collante et chiante... Et elle m'a coûté tellement chère que je l'ai lâché un mois après.
- Heu... Gentille ? Enfin je suppose...
- Lol ouais on y croit tous !
C'était un garçon qui venait de parler. Il avait la peau très foncé comme moi, et les cheveux coupés très courts. Au premier abord j'aurais dit qu'ils étaient noirs mais après une étude plus poussée, je me rendis compte qu'ils étaient bleus foncé. Tous des tarés bordel, tous des tarés je vous dit...
Ayant pitié de moi, la prof tapa dans ces mains pour attirer l'intention de toute la classe.
- Bien... Bon, Santiago-kun, tu vas t'installer à côté de Murasakibara-kun, au fond de la salle. Murasakibara-kun, montre à Santiago-kun la page où nous nous sommes arrêtés !
Bon, ça s'est calmé un petit peu, enfin... Maintenant, voyons qui est ce fameux Murasaki-machin-bidule-truc... Et j'eus rapidement ma réponse, que j'aurais peut-être pas dû autant espérer comme annonciatrice de bonne nouvelle. Je regardai ce géant aux (putains!) cheveux violets et longs (tous des tarés je me répète). Et j'étais censé faire les cours à côté de ce monstre au regard blasé et qui mange des chips en cours sans que ça ne dérange personne ?
Je me dirigeai donc vers lui, avec un regard défaitiste qui fit étrangement bien rire ce Aomine... Merci beaucoup. Je me posai sans aucune grâce sur ma chaise. Puis je soupirai en sortant mes cahiers, enfin plutôt le bloc note et un stylo... Je ne suis pas du genre à m'encombrer de trente mille cahiers, je préfère prendre des notes puis tout mettre dans un classeur le soir. Oui je sais je me complique la vie et alors ? Ce n'est pas votre problème que je sache...
Soudain, le géant (oui, nous allons l'appeler comme ça, ça sera plus court que Mura-truc) colla brusquement sa table à la mienne, sans même me regarder, et mit son livre entre nos deux tables. Il grogna rapidement avant de se remettre a manger ses chips. Autant vous dire que je me pissais dans le froc dès qu'il me regardais, il faisait vraiment peur.
Et l'heure se passa ainsi : le géant qui mangeait des chips, la prof qui faisait comme si de rien n'était et moi qui n'osait pas lever mes yeux du bouquin, de peur de croiser ceux de mon voisin... Génial.
A la fin du cours, tous les élèves rangèrent leurs affaires et se dirigèrent en dehors de la salle de classe. C'était la pause déjeuner. A peine j'avais mis un pied dehors que le garçon à la peau mate de tout à l'heure vint vers moi avant de m'enrouler un bras autours des épaules. Il était beaucoup plus grand que moi, il me dépassait d'une bonne dizaine de centimètres... Et dire que ma mère m'assurait que les japonnais était plus petits que la moyenne. Puis il souriait comme un abruti, du genre je suis heureux alors je me fous de te plomber le moral...
- Alors comme ça tu viens d'Espagne ? C'est cool ! J'suis sûr on va bien s'entendre ! Alors je vais te présenter tout notre groupe. Moi, c'est Aomine Daiki enchanté !
Avant même que je n'ai pu protester il m'avait déjà traîner dans un coin de la classe où il y avait un petit groupe d'élèves qui discutait. Il me rappelait vaguement un arc-en-ciel (non je n'ai pas consommer de drogue vos gueules). Il y avait cinq garçons et une fille. Je reconnus d'ailleurs mon voisins et le con qui m'avait laisser me débrouiller en début de matinée. Il y avait aussi le blond de tout à l'heure, qui m'avait proposer de rejoindre le club de basket. Ensuite, je vis une jolie fille que j'aurais sûrement trouvé magnifique si ses cheveux n'avait pas été rose... Oui, rose (et toujours pas de drogue je vous dit). Mais ce n'était rien comparé à la magnifique chevelure verte (bien sûr quand je dis magnifique c'est ironique) qui était assis à côté d'elle. Puis, tout au fond, je l'avais à peine remarqué mais il y avait un petit gars aux cheveux bleus tellement clair qu'il m'agressait les yeux. Pourtant, il se faisait discret et sirotait tranquillement sa boisson.
Aomine s'avança vers le groupe, et prit la parole.
- Oï ! J'ai fait ami-ami avec le nouveau ! Alors, Santiago, le mec au cheveux rouge qui joue avec la pair de ciseau c'est Akashi ! Fais gaffe il peux être dangereux des fois.
- Daïki, tais-toi ou je te tue.
- Hahaha. Ensuite, le blond là, c'est Kise ! Un vrai gamin, mais comme il est mannequin il a la cote !
- T'es méchant Aominecchi... Bienvenue au Japon Santiagocchi !
- Je ne dis que la vérité Kise. Puis, le gars aux cheveux verts avec des lunettes c'est Midorima. Un tsundere par définition. En plus, il suit l'horoscope comme un croyant. Un truc de dingue, tu vas voir.
- …
- Bref, juste à côté on a Murasakibara, qui est à côté de toi en classe. Il ne se nourrit que de bonbons.
- Et j'ai faim Aomine-chin... Donne moi à manger...
- J'ai rien désolé. Ensuite la fille à côté c'est Momoï.
- Enchanté Santiago-kun. J'espere qu'on sera ami.
- Et pour finir... Tetsu. Qui est où d'ailleurs ?
Hein ? Mais il est con ou quoi ?
- Bah il est devant toi.
Bam. Un silence de plomb se met en place, comme si j'avais dit la plus grosse connerie que la Terre n'avait jamais entendu. J'ai même vérifier rapidement mais oui, le turquoise était bien là où je l'avais indiqué. D'ailleurs, celui-ci me regardait les yeux écarquillés, à l'instar de tout le groupe.
- Quoi ?
- Tu vois Tetsu ?
- Il est pas invisible et j'suis pas aveugle que je sache.
Puis le rouge eu un sourire avant de prendre la parole.
- Intéressant...
Voilà ! Le premier chapitre de cette longue fiction où vous ne saurez qu'à la fin avec qui Gabriel Santiago, un personnage de ma confection, va sortir. Et je peux vous assurer que vous allez avoir des doutes à tout les chapitres...
D'ailleurs ce serait cool que vous me disiez avec qui vous voulez que mon personnage sorte. Parce qu'une review n'a pas de prix, et que ça m'encourage à mort...
D'ailleurs ! Si vous voyez que le chapitre mais beaucoup de temps à sortir, n'hésitez pas à m'engueuler dans les commentaires, du genre « Ca fait deux mois, bouge toi le cul nom de Dieu ! » . Je ne le prendrais pas mal, au contraire, ça me boostera.
Donc voilà, c'était le petit mot de l'auteur qu'un lecteur sur deux lit. J'espère que ça vous à plut.
