Oui je sais que mon perso fait Mary sue mais m'en fiche :p

J'arrivai à temps. Ace montait l'escalier géant en compagnie de deux bourreaux, avant d'arriver à l'échafaud, dehors. Comme je volai très haut, presque à toucher le plafond, les nombreux gades ne me virent pas. Je descendis un peu et répandit de la poudre de fée sur les gardes qui tombèrent, endormis. En entendant les bruits de chute derrière eux les deux bourreaux se retournèrent. L'un regarda l'autre.

B1 : Qu'est-ce qui leur prend ? Je vais voir, reste avec lui.

Il alla voir le garde le plus proche et s'agenouilla pour voir ce qui n'allait pas mais je l'endormi aussi. Celui qui était avec Ace descendit aussi mais je lui réservai le même sort. Je volai jusqu'à Ace qui n'avait pas bougé et me mis derrière lui puis le libérai de ses menottes. Il se retourna si vite qu'il en perdit l'équilibre et je le rattrapai et je me retrouvai contre lui alors qu'il était dos au mur.

Moi : Je fais si peur que ça ?

Je reculai un peu.

Ace : A-Aiko. Mais qu'est-ce que tu fais là ?

Moi : Je suis venue te chercher baka.

Je mis mes ailes de téléportation et devant son air m'empressai d'ajouter :

Moi : Ne t'inquiètes pas je suis venue à la nage.

Je lui tendis la main.

Moi : Tu viens ?

Il la prit.

Ace : Oui.

Je nous téléportai sur le pont du Moby Dick.

Ace : Où sont-ils ?

Moi : Dans la salle à manger je pense.

Je posai mes mains sur son torse et soignai ses blessures.

Ace : Merci.

Moi : De rien. On t'aime alors c'est normal.

Il murmura quelque chose.

Moi : Hein ?

Ace : Rien. De n'est pas important.

Je compris. J'approchai ma bouche de son oreille et lui murmurai :

Moi : C'st à cause de lui c'est ça ?

Il me prit contre lui et répondit :

Ace : Oui. Pourquoi vous m'acceptez ?

Moi : Tu ne vas pas recommencer avec ça Ace.

Il se sépara de moi.

Ace : N-non … excuse-moi.

Je souris et avançai :

Moi : Viens on va aller voir les autres. D'accord ?

Ace : D'accord.

Je me dirigeai donc vers la salle à manger et Ace n'avançait pas.

Ace : Aiko ?

Je me retournai mais avant d'avoir pu dire quoi que ce soit il posa ses lèvres sur les miennes.

Après ce bref baiser il e regarda, un peu rouge.

Ace : Tu ne fais pas peur le moins du monde.

Je rougis à mon tour et allai répondre quand la porte de la salle à manger s'ouvrit. C'était Satch.

Satch : Les gars, ils sont là.

Le brun avança vers nous et me regarda tendrement.

Satch : Tu m'as manqué ma puce.

Il me prit contre lui et m'embrassa. Je suis vraiment désolée Ace. Je t'aimais et si tu n'avais pas poursuivi Satch se sépara de moi et regarda Ace.

Satch : Tu as eu de la chance.

Ace : Toi aussi à ce que je vois.

Étant donné que Satch était entre la vie et la mort quand Ace partit à la poursuit de Teach il ne pouvait pas savoir e qui s'était passé ici.

Satch : J'ai eu beaucoup de chance tu veux dire. Aiko a fais des merveilles.

Je pu lire dans le regard du pirate de feu qu'il regrettait d'être parti. Satch me pris la main.

Satch : Viens.

Les autres vinrent vers nous et le bombardèrent de questions. Satch m'emmena à la cuisine.

Satch : Tu as faim ?

Moi : Oh oui.

Satch : Alors je vais nous préparer un festin.

Nous étions seuls dans la cuisine. Il se mit aux fourneaux et commença à faire différents plats. Je m'assis à la table et le regardai faire.

Une 30aine de minutes plus tard un repas copieux nous attendait.

Satch et moi : Bon appétit !

Nous mangeâmes dans le silence.

À la fin je demandai à mon amant :

Moi : Les autres font quoi à ton avis ?

Satch : Parler avec Ace.

Nous débarrassâmes et fîmes la vaisselle à deux.

Après avoir terminé Satch m'emmena ma chambre qui était devenue un peu la notre t s'allongea sur mon lit. Je fis pareil et me blottis contre lui.

Satch : Tu 'as manqué ma princesse.

Moi : Toi aussi. 4 jours sans toi c'était insupportable.

Il se mit sur moi et m'embrassa, me déshabillant. Je fis pareil avec ses vêtements et nous fîmes l'amour passionnément.

Satch s'endormit après et je me rhabillai puis allai voir Ace.

Il fallait que je lui parle. Je croisai Marco dans les couloirs.

Moi : Tu sais où est Ace ?

Marco : Dans la réserve je crois.

Moi : Merci.

Je m'y dirigeai et l'y trouvai.

Moi : Il faut que je te parle.

Ace : Te fatigue pas je sais ce que tu vas me dire. Que tu es désolée, qu'on ne peut pas être ensemble ou un truc du genre.

Moi : Je me serais mise avec toi si tu n'étais pas parti.

Il me regarda comme si j'avais dis une bêtise.

Ace : Quoi ?

Moi : Je t'ai aimé. Tu ne me portais aucune attention alors j'ai laissé tombé et j'ai fais une croix sur mes sentiments. Ça a été dur mais Satch était là pour moi et je ne regrette pas d'être tombée amoureuse de lui. Alors oui je suis désolée. Dis ce que tu veux ça m'est égal.

Il ne dit rien et frappa le mur du poing.

Ace : Bon sang ! Pourquoi je ne m'en suis pas rendu compte plus tôt ?!

Je ne dis rien et baissai les yeux.

Ace : Pourquoi je n'ai pas attendu ? Pourquoi je suis parti … ?

Je sorti en silence. Je ne pouvais pas le réconforter, ça lui ferait encore plus de mal. Je rejoignis Satch mais ne me rallongeai pas à ses côtés. Je le regardai dormir en lui caressant les cheveux mais je pensai à Ace. J'avais mal pour lui mais c'était moi qui avais le plus souffert dans cette histoire …

3 jours étaient passés et Ace ne me parlait plus, au grand étonnement de Satch, qui nous savait proches. C'était à peine s'il me regardait. J'en avais mal au cœur et je savais parfaitement ce que l'on ressentait. Je voulais me dire que c'était bien fait pour lui mais n'y arrivais pas mais je ne saurais dire pourquoi.

À l'heure du dîner Ace ne vint pas manger.

Satch : Il est bizarre depuis qu'il est revenu.

Moi : Oui. Je ne sais pas ce qu'il a. J'irais lui parler après.

Satch : Vas-y tout de suite après il va se plaindre qu'il n'a pas mangé.

Moi : Oui tu as raison.

Je me dirigeai vers la chambre des capitaines. Je toquai à la porte mais il ne répondit pas.

Moi : Ace ? On mange. Viens. Après il n'y aura plus rien.

Mais il ne répondit pas u ne fois de plus. J'ouvris la porte mais pas d'Ace. Je partis à la salle de bain des capitaines juste à côté et ouvris la porte.

Une mare de sang se répandait sur les carrelages blancs. Ace était là. Blanc. Assis à terre, contre le mur. I s'était ouvert les veines avec son poignard. Je réagis et me précipitai vers lui puis le pris contre moi et tâtai son pouls au cou qui tait à pine perceptible.

Moi : Ace ! Reste avec moi ! Je t'en supplie !

Je m'en voulais tellement. J'aurais tant voulu prendre sa place en cet instant. Je criai le nom du médecin de sa flotte et soignai les poignets d'Ace, le serrant contre moi, les larmes coulant toutes seules.

À suivre …