Pairing; Kensei Muguruma & Shuhei Hisagi / BLEACH
Rating; Pour l'instant, restons sur du K.
Disclamer; Bien évidement, je ne possède pas les droits d'auteurs de Bleach, ils sont à Tite Kubo, seul l'histoire m'appartient, mais je ne gagne que des reviews et une satisfaction personnel.
BONNE LECTURE!
HIMAWARI;
Chapitre 1 : L'animal de la mangrove
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Victor Hugo – extrait de « Les contemplations »
« Un vrai ennemi ne te laissera jamais tomber »
Plic. Ploc. Plic. Ploc.
Le sons de la pluie qui s'abat sur la surface grésillant de l'étendu d'eau.
Swik... Swik... Swik...
Le bruit des mains qui glisse des branches.
Whoooo... Whoo...
Le souffle du corps qui s'élance vers la branche suivante.
Swik. Whoooo. Swik. Whoo. Swik. Whoo. Swik. Whoooooooooo. Tack.
Le murmure des pieds qui s'écrase contre la surface plane d'une racine.
Shuhei ouvrit les yeux. Allongé sur l'énorme racine -elle devait bien faire dans les 6 mètres de diamètre- réveillé au souffle qu'avait produit Kazeshini en atterrissant à ses cotés.
-Qu'est ce que tu fous là, Shinigami ?
Le ton dédaigneux employé par Kazeshini laissait clairement entendre que, peu importe la réponse, il n'était pas le bienvenue. Il ne voulait pas de Shuhei ici. Ici, c'était chez lui. Son royaume. Celui qu'il avait gagné face à son « maître ». Qu'est ce qu'il pouvait faire ici d'ailleurs ? Il devrait être là-bas. Avec les vrais personnes qui conte pour lui. Devant le manque de réponse du brun, il haussa le ton.
-Oï !J'te parle ! Shinigami !
Toujours pas de réaction. Pire, Shuhei commençait à refermé les yeux. Il lui asséna un violent coup de pieds dans les côtes, au niveau du rachis. Shuhei ne broncha pas. Pourtant il avait frappé fort. C'était pas une tafiole lui. Énervé par le peu d'intérêt que lui accordais son vis à , le zampakuto agrippa le vice capitaine au col, rapprochant leurs 2 visages, les mettant à quelque centimètre l'un de l'autre.
Et, pour la première fois depuis le début de l'échange, Kazeshini put voir ses yeux. Ses yeux brillant d'une tristesse sans fin. Son souffle, devenus erratique par l'énervement, se calma. S'apaisa. Et, pris de se sentiments humain qu'il ne connaissait définitivement pas assez, il pris Shuhei dans ses bras, apposant sa petite tête brune au creux de son cou. Il avait l'air d'un enfant abandonné depuis trop longtemps. Il n'était pourtant pas comme sa, d'habitude. D'habitude il rayonnait de cette aura calme et détendu. De cette confiance en lui même, en les autres. Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui il redevenait l'enfant d'autre fois. Celui qu'ils s'étaient jurée de ne plus jamais être. Et Kazeshini se sentit faible. Faible de ne pas avoir lus en son maître. Faible de pas savoirs comment l'aidée. Faible et impuissant.
D'un mouvement hésitant, il posa sa main sur les cheveux d'Hisagi. Et délicatement, la laissa glisser sur les mèches corbeau. Il recommença. 1, 2, 3, 10 fois. Puis trancha le douloureux silence qui s'était installé entre eux.
-Il y a un problème, Shuhei ?
Une gémissement fit écho à cette demande. Comme une sorte de glapissement d'animal blessé, qui geindrait pour appeler à l'aide.
Oui, de toute évidence, il y avait un problème. Un gros. Déjà car ce n'était pas exactement le genre de son maître de gémir douloureusement sur son épaule, et ensuite parce que généralement, quand on vient d'empêcher un shinigami mégalomane de prendre le contrôle de tout les mondes possibles et imaginable, généralement, on a plutôt la pêche.
Soudain, Kazeshini percutât. Enfin.
« Putain. Je suis con. »
Comment il avait pu passer à coté de sa ?Avec Aizen « Je suis un pervers mégalomane complètement baisée de la caisse » Sosuke et Ichimaru « J'ai un sourire à la con et mais je suis pas si méchant que sa » il y avait Tosen Kaname. Ex. Capitaine de la 9e. Et accessoirement une sorte de mentor pour son maître, qui, même si il ne le montrait pas, avait été anéantie à sa trahison. Non. Pas Anéantie. Juste détruit. Anéantie, il l'avait été à sa mort. Et aujourd'hui.
Bon. Comment abordée le sujet sans faire explosé le son maître, au juste ? Bordel ! Il était Zampakuto lui ! Pas une putain de psy ! Il se battais ! Il tuait ! Il savait foutrement pas comment abordée se genre de sujet. Avec tact.
-C'est à cause d'l'aveugle que tu déprime comme un con ?
Pour le tact, on repassera.
Shuhei fut pris d'un violent frissons, tressautant dans les bras de son arme. Un premier sanglot lui échappa, signe que le point de rupture n'était pas très loin.
-Oï ! Faut pas t'metre dans un état pareil pour lui Shuhei. Il vous avait trahis, puis attaquer. Le renardeau la dit lui même « Si nos croyances sont inconciliables, il est inutile d'essayer de te convaincre. Au nom de la Soul Society, je dois te combattre. µ »... Toi, t'a fait s'que ta pu. Oï, ta quand même sauvé la mise à tête de hamster ! Si t'avais pas été là, il serait mort à l'heure qu'il est C'quand même pas rien t'sais … Et puis...
-Il est mort Kazeshini. La voie d'Hisagi était si faible à se moment, tellement contracté par les remords et la douleurs, que l'arme nu même pas l'envie de l'engueuler pour l'avoir coupée dans sa tirade à but réconfortante.
Oui. Ces vrai. Tosen Kaname était mort. Tombé au front, durant la guerre d'hiver. Pas tombée pour la Soul Society, mais pas vraiment non plus pour Aizen. Juste tombée sous le poids de la vengeance que ses épaules ne pouvait plus supporter. Sous le poids de l'injustice aussi.
Pourquoi était elle morte ? Pourquoi était t-il née aveugle ? Pourquoi avait-il du choisir Aizen ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
-Pourquoi, Kazeshini ? S'étrangla Shuhei, prenant par à l'étreinte jusque là à sens unique en encerclant son Zampakuto de ses bras, comme si ils avaient partagée le même chemin de réflexion -ce qui d'ailleurs était peu être le cas-.
-Pa-Pa-Parce que… Shu'... -Shu' ? Non mais depuis quand le fière Kazeshini appelait celui qu'il ne considérait même pas comme un maître par un diminutif ? Il ne ce reconnaissait plus. Il sombrait peu être dans la folie, dans la tristesse, la mélancolie... A moins que ce ne soi Shuhei qui sombre, et qu'il l'oblige, t'elle un bloc de béton, à sombrer avec lui-
Parfois, il y a des « pourquoi » qui son veuf de « parce que ».
Shuhei ouvrit les yeux. Et les referma ausitôt, éblouis par la lumière aveuglante des rayons du soleil qui se reflétait sur les murs blanc de la pièce. Allongé sur un lit, des gens s'agitait autour de lui.
Il aurait bien voulu demander à quelqu'un ce qui se passais mais vus l'agitation qui régnais, mieux valait-t-il qu'il fasse semblant de dormir -après tout, de ce qu'il avait vus, pas grand chose, et de ce qu'il entendais, trop à son goût, il n'espérais pas vraiment recevoir une réponse.
Rassemblant ses esprits, tout en essayant tant bien que mal d'ignorée le brouara tout autour de lui, Hisagi tenta fouiller dans l'épais capharnaüm de sa mémoire à la recherche d'indice qui pourrait lui expliquer se que diable il faisait ici. Et ou était ici d'ailleurs.
Il s'appelait Hisagi Shuhei, et était shinigami. Il occupait le poste de vice-capitaine à la 9e division du Gotei 13, d'un monde appelé « Soul Society ». Son Zampakuto se trouvait être Kazeshini et ressemblais à une sorte de démon noir et rouge qui voulait, la plupart du temps, tuer, massacrer, écarter, désosser, et tout un tas d'autre verbe tout à fait charmant, ces victimes.
Bon. Il ne semblait pas être victime d'amnésie -pas global en tout cas-. Les souvenirs les plus récent qu'il avait était la rencontre de Kazeshini dans son monde intérieur. Oui, sa il s'en souvenait très bien. Il avait sangloté sur l'épaule de son Zampakuto, à cause de la mort de l'ex-capitaine de la 9e division, Tosen Kaname.
Hisagi fut pris d'un violent frissons. Tout venait de refaire surface. La guerre d'hiver. L'affrontement de qu'il avait eu face au Grillar Grillo avec le capitaine Komamura. La mort de son ex-capitaine.
Noir. Total.
Il avait gagner. Kurosaki Ichigo avait vaincu.
Sa, Hisagi s'en souvenait très bien.
Blanc. Étincelant.
Et derrière la joie blanche et scintillante de la victoire -celle de Kurosaki, bien sur,
considérant son combat comme un échec, vus qu'il n'avait pas pus
sauver Tosen-taïcho- Shuhei avait vus apparaître les longes larmes
verte des saules pleureur de la mangrove.
Il se souvenait maintenant. La guerre était derrière eux. Il pouvait oublier maintenant. Reprendre une vie normal. Ne plus culpabiliser. S'occuper de sa division. Prendre du bon temps. Prendre le temps de regarder tournée le monde.
Une voix. Qui résonne dans son esprit.
Une sorte de glapissement d'animal blessé, qui geindrait pour appeler à l'aide.
« Hisagi, s'il te plaît, montre moi ton visage...
Puisque je suis encore sous ma forme hollow,
je peux encore voir avec mes yeux...
Pendant que je le peux, je veux voir ton visage et m'en rappeler...* »
Le rythme de la respiration de Shuhei s'apaisa. Doucement, il sombrait dans les méandres de Morphée. Les voix du personnels de la 4e division s'effaçait peu à peu. Son esprit se muait en un noir corbeau. Un noir profond. Comme une nuit de nouvelle lune qui aurait décidé de ne jamais finir.
Plic. Ploc. Plic. Ploc. Plic. Ploc. Slash.
Le tranchant de l'épée qui fend la pluie pour prendre la vie.
Le gémissement blessé qui se mue en silence vide. Vide de sens. Vide de vie.
La lune se décida enfin. S'élevant gigantesque, majestueuse, dans le ciel. Une lune rouge qui fait coulé son sang sur la terre du cœur de Shuhei.
(µ-Komamura à Tosen, tome 44 :Vice It)
(*Tosen à Hisagi, après avoirs été battu, tome 45)
Note de l'auteur : Alalala ! Je dois vous avouez, je suis toute émoustillée ! C'est la première fois que j'écris une fanfiction (d'ailleurs je m'était toujours imaginées écrire des OS mais il semblerait que ce soit très mal partie pour !). Je m'excuse encore une fois pour le nombre d'erreur d'orthographe que je fais, je sais que ces gênant, et même si je me relis, je reste vraiment très mauvaise. Il était tant que je m'y mette !
Enfin voilà pour moi! Concernant se chapitre, j'aurais voulu rendre sa plus poétique, mais j'ai eu peur qu'on ne comprenne pas bien... Ce premier court chapitre est une sorte d'immersion dans le cœur de Shuhei. Il est d'ailleurs, comme Kazeshini, un peu OC, mais comme il apparaît peu dans le manga (c'est bien dommage d'ailleurs, c'est un personnage avec un vrai fond!) je me suis permis quelque liberté. De plus, même si Kazeshini est un être meurtrier on le voie s'occuper d'un enfant dans l'arc des zampakutos, je me dit donc qu'il est tout à fait capable d'éprouver se genre de sentiments. Qui plus est, en tant que zamkakuto, il doit être lié, d'une manière ou d'une autre, à son maître. J'espere qu'on voit l'importance que Tosen avait pour Hisagi car elle est, normalement, une pièce maîtresse dans son évolution, surtout de vie à vie de celui que l'on attend KENSEI !
Bref ! N'hésiter pas si vous trouver des incohérence, des choses à améliorée, etc... car ces personnage secondaire, ces tout ceux qui écrive sur eux qui les fonds vivre, chacun à leurs manières !
(Ah ! Et aussi, est ce que quelqu'un à deviné de qui était la célèbre citation en début de chapitre ? J'adore mettre des citations partout, et celle ci est une que j'apprécie vraiment beaucoup ! J'en mettrais donc normalement à chaque début de chapitre, tout comme le petit poème Voyons si quelqu'un arrive trouvée celle ci ! Petit indice : C'est un chanteur français !)
