Bonjour tout le monde !

Cette histoire... c'est un peu (beaucoup) n'importe quoi. Je ne me souviens même plus du moment où l'idée m'est venue (et c'est peut-être mieux comme ça). Mais j'ai essayé d'écrire quelque chose de comique, j'espère que ça a marché.

Sans surprise, FMA ne m'apparient pas, tout est à Hiromu Arakawa.

Je remercie Naiia qui a corrigé mon histoire, et qui a déjà joué à Pokémon.

Bonne lecture !


Riza tournait en rond dans le bureau, un pistolet en main.

« Mais que fait donc Havoc ? Même le colonel est arrivé plus tôt que lui...
- C'est vrai. Pour une fois que j'étais à l'heure !
- Vous savez, vous ne devriez pas vous en vanter, colonel. »

Il était déjà 10h30 et Riza n'appréciait pas du tout que le sous-lieutenant ne soit toujours pas arrivé. Ils devaient s'occuper d'un vieux dossier qu'ils n'avaient jamais fini de remplir, à propos d'une vieille mission et Riza n'avait vraiment pas envie de faire des heures supplémentaires pour finir le travail des autres.

Donc, pour se calmer, elle avait décidé de prendre une pause pour briquer un peu ses armes chéries.

Les autres personnes présentes dans le bureau espéraient aussi qu'Havoc arrive rapidement. La vision du lieutenant un pistolet en main ne les rassuraient absolument pas et Mustang, Breda, Fuery et Falman craignaient de se voir tués par une balle perdue.

Au grand soulagement de ses subordonnés, Roy finit par dire :

« Asseyez-vous, lieutenant. Vous allez me donner le tournis, à tourner au milieu de la pièce comme un lion en cage.
- Mais, colonel...
- C'est un ordre. »

Riza fronça les sourcils et soupira, mais se rassit.

« Votre calvaire est bientôt fini, lieutenant. J'aperçois par la fenêtre Havoc qui arrive... »

Pour une fois, Riza fut contente d'entendre le colonel parler. Elle lui rappela tout de même de se remettre à travailler, plutôt que de lorgner par la fenêtre.

Quelques instants plus tard, un Havoc tout débraillé entra dans le bureau. Toutes les personnes présentes levèrent la tête pour le voir arriver et entendre ses explications. Il n'avait clairement pas eu le temps de se raser et on pouvait voir son maillot de corps qui dépassait de sous son uniforme.

Le premier réflexe de Riza fut de se mettre à tirer sur le retardataire.

« Haaaaaa ! Lieutenant, arrêtez ! Je suis trop jeune pour mourir ! »

Malheureusement pour lui, les hurlements de Havoc recouvrirent difficilement le bruit des pistolets de Riza et le sous-lieutenant se retrouva plaqué contre un des murs du bureau, les bras en l'air, comme en signe de rémission.

Roy mit une main sur l'épaule de Riza dans l'espoir de la calmer, et parla d'un ton ferme.

« Lieutenant, vous pouvez lâcher ce pistolet, je crois qu'il a compris. Havoc, pourquoi êtes-vous en retard ?
- Eh bien... Comment dire... Vous, vous êtes bien en retard presque tous les jours, alors ce serait mal venu de votre part de...
- Mais moi, je suis votre supérieur ! Ne m'obligez pas à vous punir pour insubordination ! »

Paralysé par le regard noir que lui envoyait Roy, le fautif répondit d'une petite voix misérable :

« En fait, hier, en sortant du boulot, j'ai croisé un vieil ami... Et il a absolument tenu à me donner un truc qu'il ramenait de je ne sais plus quel pays étranger en me disant que c'était vraiment génial et qu'il fallait que j'essaye... Finalement, j'ai joué toute la nuit, et j'ai oublié de programmer mon réveil. J'ai donc eu beaucoup de mal à me lever ce matin et... Lieutenant par pitié rangez ce fusil ! »

Effrayé par Riza qui commençait à sortir de nouveaux pistolets d'on ne sait où, Havoc cacha son visage derrière ses mains. Après avoir rit de la terreur du sous-lieutenant, Roy lui demanda sans cacher sa curiosité :

« Mais quelle est donc cette chose qui a tant retenu votre attention ?
- Euh... Si mes souvenirs sont bons, on appelle ça une Gameboy. C'est un genre de petite boîte rectangulaire et plate.
- Est-ce que l'avez sur vous ?
- Oui... Mais je ne voulais jouer que pendant les pauses, je vous le promets !
- Passez la moi. »

Comme il n'avait pas vraiment le choix, Havoc tendit sa précieuse machine au colonel, sous le regard curieux de tous les autres membres de l'équipe.

Roy observa la Gameboy sous toutes ses coutures, appuyant au hasard sur les plus gros boutons. Tout le monde se taisait, attendant sa réaction. Il finit par demander :

« Sous-lieutenant Havoc, comment marche cette chose ?
- Attendez, je vais vous montrer... »

Ledit sous-lieutenant se leva pour se placer à côté de son supérieur. Il lui prit la Gameboy des mains et lui expliqua le fonctionnement des boutons.

« Ici, c'est pour l'allumer... Si vous appuyez à nouveau, ça va l'éteindre. Il y a la croix pour se déplacer, et aussi... »

L'explication continua pendant quelques minutes. Pendant ce temps-là, Riza avait à nouveau utilisé son arme pour remettre Fuery, Falman et Breda au travail.

Une fois qu'il eut compris l'utilité de chaque bouton, Roy demanda (où plutôt confisqua) la console à son subordonné (apparemment, il avait besoin de l'étudier plus en détail pour vérifier qu'elle ne pouvait pas être utilisée en tant qu'arme de guerre), et ce malgré les protestations de Riza qui aurait largement préféré qu'il remplisse ses dossiers. Mais ce n'était pas comme s'il le faisait habituellement, alors bon...

Mais après avoir dit au lieutenant que si lui, il ne pouvait pas garder la Gameboy, alors elle, elle devait aussi arrêter de toucher à son pistolet, plus personne ne protesta.

Tout le monde dut se remettre au travail, et, un peu avant la pause de midi, Riza décida de contrôler le travail de tout le monde. Les garçons avaient tous bien avancé, sauf Roy, qui avait passé son temps à jouer avec la Gameboy.

« C'est une blague, colonel ? Vous n'avez même pas avancé d'une seule page !
- Mais voyez-vous, lieutenant, ce jeu est vraiment très addictif... Je ne voulais jouer que cinq petites minutes et puis finalement, je n'ai pas pu décrocher. Je comprends que le sous-lieutenant soit arrivé en retard ce matin ! »

Riza soupira, réfléchit quelques instants et finit par dire :

« Puisque vous n'avez rien fait ce matin, vous n'avez pas besoin de prendre une pause pour le déjeuner. Je vous ramènerait quelque chose ici et je compte sur vous pour travailler pendant que je ne serais pas là...
- Oui, bien sûr ! Et puisqu'il était en retard ce matin, le sous-lieutenant Havoc restera avec moi pour compenser le temps qu'il a perdu.
- Je ne suis pas bête, colonel ! Vous voulez qu'il reste avec vous pour vous expliquer plus en détail le fonctionnement de cette... Gameboy.
- Mais non ! De toute façon, si je ne travaille pas, vous le remarquerez vite en revenant.
- Très bien. Ne bougez pas d'ici, je vais aller vous chercher quelque chose à manger. Et nous sommes au troisième étage, alors ne pensez même pas à vous enfuir par la fenêtre !
- Vous savez bien que vous pouvez me faire confiance, lieutenant.
- Oui, c'est ça, c'est ça. Breda, Fuery, Falman, vous pouvez prendre votre pause. »

Roy et Havoc se retrouvèrent seul dans le bureau. Le premier se leva, vérifia qu'il n'y avait personne dans le couloir qui permettait d'aller dans le bureau où ils se trouvaient, et s'approcha de Havoc pour lui demander :

« Ce jeu est formidable ! Comment s'appelle-t-il ?
- Pokémon, mon colonel.
- C'est un nom un peu bizarre, mais passons. J'ai joué sur la partie qui était déjà en cours, c'est possible d'en avoir une pour moi ?
- Je ne sais pas, je vais essayer... Apparemment on ne peux pas. Mais puisque je crois que je n'ai que peu de chances de revoir ma console, je vais réinitialiser le jeu. Attendez, je retourne au menu principal... Voilà. Il faut que vous vous choisissiez un nom et vous pourrez commencer à jouer.
- Merci, Havoc. Votre dévouement est apprécié. Mais surtout, ne dites rien au lieutenant. Le mois dernier, elle a fait retenir sur ma paie les frais des réparations des impacts de balle qu'elle a fait dans les murs quand je ne travaillais pas. Qui pourrait penser qu'il faut payer aussi cher juste pour deux trois petits trous ! »

Contre toute attente, lorsqu'elle revint apporter leurs repas à Roy et Havoc, Riza les trouva tous les deux en train de travailler studieusement.

« Mais qu'est-ce que vous mijotez, vous deux ?
- Mais rien, lieutenant ! Vous voyez bien qu'on est en train de travailler !
- Vraiment, colonel ?
- Oui... Allez manger, maintenant ! Quand vous reviendrez, il y aura des dossiers remplis sur votre bureau !
- J'attends de voir. Je reviens dans une heure. »

En entendant la porte du bureau claquer, Roy soupira de soulagement. Puis, il se remit à travailler. Une minute plus tard, Riza ouvrit la porte en grand en hurlant que personne ne devait bouger.

Quand elle vit Roy en train de travailler, elle fut plus que surprise. Elle était pourtant sûre que le colonel essayerait d'échapper au travail d'une manière ou d'une autre et elle ne comprenait pas ce qu'il faisait encore à son bureau.

Roy fit son sourire le plus innocent et dit :

« Vous avez oublié quelque chose ? »

Riza se contenta de froncer les sourcils et de refermer doucement la porte sans qu'un mot de plus ne soit prononcé.

Dès que le bruit des pas de Riza ne se fit plus entendre, Havoc demanda au colonel s'il comptait vraiment remplir les dossiers.

« Bien sûr que oui. Vois-tu Havoc, moi, contrairement à toi, je sais comment marchent les femmes. D'ailleurs, un jour, je t'apprendrais, pour que tu puisses enfin te trouver une copine. Mais ce sera pour un autre moment. Là, tu vois, je compte travailler pour de vrai pendant une ou deux heures, pour que Hawkeye soit contente et qu'ensuite elle me laisse tranquille. Et là, à moi la Gameboy ! J'ai déjà hâte de jouer !
- Vous êtes amusant, colonel. Si j'avais su qu'il suffisait d'une récompense pour vous faire travailler, j'en aurais parlé à Hawkeye il y a bien longtemps. Elle aurait été si contente que j'aurais sûrement pu avoir le numéro d'une de ses amies !
- Vous avez trop d'espoir, Havoc. Mais c'est beau, c'est même très émouvant.
- Arrêtez de vous moquer de moi où je reprends ma console ! »

Pour une fois, Roy ne fit pas le malin et il se remit immédiatement au travail.

Quand Riza revint dans le bureau, elle fut surprise de voir toute l'équipe en train de travailler. Roy avait le nez plongé dans ses dossiers, Havoc n'était même pas en train de fumer, Falman, Fuery et Breda étaient tous revenus avant elle de leur déjeuner et une belle pile de dossiers durement complétés trônait sur son bureau.

« Messieurs, je suis fière de vous ! Continuez comme ça et nous aurons peut-être fini avant l'heure ! »

Elle s'assit à son bureau et se remit elle aussi à travailler. Cependant, la promptitude du colonel à remplir ses dossiers lui avait mis la puce à l'oreille : il préparait un mauvais coup.

Il arborait un air innocent et on aurait (presque, si on connaissait un tant soit peu sa feignantise légendaire) pu croire qu'il travaillait vraiment. Mais Riza sentait (elle avait développé un sixième sens pour ça) qu'il procrastinait.

Et en effet, le colonel était en train de jouer sur sa nouvelle Gameboy. Il n'avait aucune envie de la rendre à Havoc et comptait bien la garder le plus longtemps possible.

Il avait posé la console sur ses genoux et ne jouait qu'avec une main, l'autre était posé sur le bureau et tenait un stylo avec lequel il faisait semblant d'écrire.

Au milieu de l'après-midi, une personne toqua à la porte du bureau. Après que Roy ait permis à ladite personne d'entrer, les soldats eurent la bonne surprise de découvrir que c'était Hughes qui voulait voir Mustang.

Enfin, bonne surprise... Roy était toujours content de voir son meilleur ami, et les autres pensaient que le lieutenant-colonel ferait assez de bruit pour qu'ils puissent prendre une petite pause pour l'écouter le temps qu'il parle de sa femme puis de sa fille puis qu'il montre toutes les photos qu'il avait et ils ne savaient quoi d'autre.

Mais Riza, elle, n'était pas du tout contente. Ils étaient là pour travailler ! Pas pour discuter de leurs familles ! Le lieutenant-colonel Hughes ne pouvait pas attendre encore quelques heures, le temps qu'ils aient finis ce qu'ils avaient à faire, avant de venir les embêter ? Non, bien sûr, montrer encore une énième photo d'elle ne savait quel membre de sa famille, c'était bien plus important !

Et ce que redoutait Riza (mais qu'espéraient les autres) arriva. Personne n'eut le temps de faire quoi que ce soit : moins d'une seconde après son entrée dans le bureau, Hughes avait déjà sorti son portefeuille et ses photos.

« Regardez ma petite Elysia ! Elle est pas mignonne ? C'est moi qui lui ai fait ses tresses ! Gracia les fait bien mieux que moi, bien évidemment, mais je comptes m'entraîner, comme ça, je pourrais... »

Toutes les personnes présentes dans le bureau étaient soufflées. Comme Maes pouvait-il tant parler sans avoir besoin de faire de pause ? Il ne semblait même pas reprendre sa respiration !

Malheureusement pour le père de famille, Riza n'était pas du tout décidée à le laisser parler autant qu'il l'aurait voulu. Alors qu'il présentait sa treizième photo, Riza mis en place le plan machiavélique qu'elle venait de préparer.

Tout d'abord, elle s'approcha de Maes. Elle fit semblant de s'intéresser à ce qu'il disait (on avait arrêté de l'écouter aux environs de la septième photo), et posa l'une de ses mains dans le dos de Maes.

Ensuite, elle se mit à pousser délicatement le lieutenant-colonel vers la porte. Le plus important était de le diriger doucement vers la porte, pour qu'il ne remarque pas que Riza l'emmenait vers la sortie.

Mais étant donné qu'une fois qu'il se mettait à parler de sa famille, plus rien ne pouvait le distraire de sa mission, il ne fit pas attention à la pression que Riza mettait dans son dos pour le forcer à avancer.

Enfin, Riza poussa Hughes dans le couloir grâce à la porte qui était restée ouverte, claquant cette dernière derrière lui.

Le lieutenant poussa un soupir de soulagement - le gêneur était parti et le travail pouvait enfin reprendre. Mais son soulagement fut de courte durée, car moins de cinq minutes plus tard, Hughes était de retour dans le bureau.

« En fait, Roy ! Je devais te dire que tu dois aller voir... Pour qu'il... Mince, j'ai oublié... Il y a quelqu'un qui veut encore voir les photos de ma fille ?
- Non ! »

Ce non fut un cri qui venait à la fois de Riza, Havoc, Fuery, Falman et Breda. Seul Roy n'avait rien dit, car il ne voulait pas vexer son ami. Mais il était parfaitement d'accord avec les autres.

Maes allait partir, dépité, quand Roy l'arrêta.

« Attends, Maes ! Viens voir la machine que le sous-lieutenant Havoc a ramené ! Ça s'appelle une Gameboy, et c'est super marrant à utiliser ! En fait, il y a jeu dessus, et il s'appelle Pokémon. Tu vois ? Ça, c'est un de mes Pokémons. Et il est de type... Devine ! Devine ! De type feu ! Un peu comme moi, en fait. Mais je disais que le but du jeu, c'est...
- Colonel ! Ça suffit, j'en ai assez ! »

Riza était debout devant le colonel, un de ces fusils chéris à la main, et elle le tenait pointé vers Mustang. Ce dernier lâcha son jeux et mis les mains en l'air. Il n'avait pas vraiment envie d'énerver encore plus sa Riza !

Cette dernière continua ses remontrances là où elle les avaient arrêtés :

« Maintenant, vous allez me donner cette console. Tout de suite, et pas de mais ! Et vous allez me finir ces foutus dossiers ! Que je ne vous trouve plus en train de procrastiner. Et vous, lieutenant-colonel Maes Hughes, retournez à vos occupations. Peut-être qu'ainsi vous pourrez rentrer plus vite chez vous et passer du temps avec Gracia et Elysia. »

Il se trouva que Hughes était tout à fait d'accord avec Riza (où en tout cas tout à fait prêt à faire tout ce que le lieutenant lui dirait, étant donné que si jamais elle en venait à lui tirer dessus, là, il ne pourrait plus jamais revoir sa famille).

Il sortit donc du bureau, en s'excusant d'avoir osé déranger ses collègues alors qu'ils avaient du travail, et en se faisant le plus petit possible dans l'espoir de ne pas plus attiser la colère du lieutenant.

Le temps que tout le monde se remette au travail, il était déjà seize heures, et Riza décida de voir où en était tous les garçons dans leurs dossiers. Ils avaient tous bien avancés, sauf (sans surprise) Roy.

« Colonel ! Je parie que vous étiez en train de jouer sur votre console pendant que moi, et les autres, on travaillait ! Vous devriez avoir honte !

- Mais, lieutenant, je...

- Vous voulez qu'on passe la nuit ici, c'est ça ? Je comptais sur vous pour faire ce qu'on vous demandait, pour une fois ! Mais non, vous n'en faites qu'à votre tête. Parfois, j'ai envie de moi aussi maîtriser l'alchimie, pour pouvoir vous rôtir !

- Je suis désolé Riza, je ne voulais surtout pas vous décevoir. Je me sens terriblement coupable. Vous êtes la personne qui croit le plus en moi et je vous trahis. Je ne recommencerais plus. Vous voulez un signe de ma bonne volonté ? Tenez, prenez la Gameboy. »

Riza en eut le souffle coupé. Le colonel qui acceptait de renoncer à l'un de ses joujoux ? Pour lui faire plaisir ? Elle prit la console que lui tendait Roy en promettant qu'elle la lui rendrait à la fin de la journée et retourna s'asseoir derrière son bureau.

Les deux dernières heures de travail se firent dans le calme. Roy se mit (pour une fois) à vraiment travailler et Riza n'eut donc plus de raison de s'énerver où de tirer des balles dans les murs. Et tous les autres ne dirent plus un mot de peur que la jeune femme ne se remette encore une fois en colère.

Quand il fut l'heure pour les soldats de rentrer chez eux, tout le monde s'était calmé. Les armes de Riza avaient retrouvés leurs places dans leurs holsters respectifs et Roy avait retrouvé sa console (enfin, la console de Havoc, mais quand ce dernier avait demandé au colonel s'il pouvait la lui rendre ; Roy avait éclaté de rire et dit qu'Havoc ferait mieux d'en demander une autre à son ami, car il ne la lui rendrait sûrement jamais).

La journée avait été plus que mouvementée - et quelque chose faisait sentir à toute l'équipe de Mustang que tout cette histoire de Gameboy n'était pas encore finie.


J'espère que ça vous a plu ! Un deuxième (et dernier) chapitre sortira la semaine prochaine (c'est-à-dire le lundi 10 juillet). Ce sera l'apparition de Ed, Al et Armstrong !

À bientôt !