Chantage.

Genre : drama, Quatre en bave un max et Trowa s'amuse.
School fic, si on peut dire.
Rating :M (le max quoi)

Note :
Autant vous prévenir, y'aura pas de fleur bleu et de tous va bien, la vie et belle. Mais personne ne meurt, enfin normalement.
Heero et Duo sont relié aux 27ème plan.
Cette fic est centré sur Quatre et Trowa et y'a pas d'amour entre eux (ou alors ils sont vraiment malade… ou maso).

Pour les fautes, je suis désolés ci y'en a c'est a cause de Word… et un peu de moi mais il avait qu'a les corrigé.

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Chapitre 1.

¤

POV.

Cella fait environ 2 semaines que je suis rentré en 2nd général au lycée rattaché a l'université de Sank. C'est un énorme campus qui comprend le lycée et l'université. Il est réputé à travers le monde et est très diversifié. Il est très sélectif et les résultats prime, il faut, soit faire partie de la haute société, soit être très doué pour pouvoir y être admit.

J'y suis entré dans le but de faire des études de sociologie afin de mieux comprendre la tendance sociale de notre époque et ensuite reprendre la tête de la Win Corp. , l'une des plus grandes entreprises de la planète, dont je suis l'héritier moi, Quatre Raberba Winner.

J'ai quinze ans, je suis plutôt petit, blond comme les blé avec de grand yeux de couleur océan et d'origine arabe… difficile à croire non ?

En général on me prend pour une fille tellement j'ai les trait fin et mon allure est frêle en plus j'ai 29 sœurs aînées. Inutile de vous dire qu'elles m'ont toutes surprotégé depuis ma naissance puisque ma mère est morte pendant l'accouchement.

J'ai aussi un secret.

Un secret qui, si quelqu'un venait à le découvrir, ne serait pas sans conséquences aussi bien pour moi, que pour ma famille et la Win Corp. .

Je vous ai dit que mes sœurs m'avaient toutes surprotégé ? Eh bien c'est pas tout, tout le monde sait que quand une fille voit un garçon mignon est veut à tout pris lui mettre des robes et toutes sortes de tenus plus grotesque les unes que les autres.

Je n'ai malheureusement pas dérogé à la règle, ainsi depuis mon plus jeune age mes sœurs se sont amusées à me mettre toutes sortes de robe.

Au début je trouvais ça marrant.

Mais au fur et à mesure que j'ai grandit la pression qui pesait sur mes épaules en tant qu'héritier de la plus grosse multinationale du monde était lourde et étouffante. Je voyais de moins en moins mes sœurs et leur présence si rassurante et réconfortante pour moi, vain à me manquer cruellement. J'avais l'impression d'étouffer, il n'était pas rare que je me mette à pleurer la nuit pour évacué la pression.

Père n'a jamais été quelqu'un de tendre et d'attentif au besoin des autres.

L'année de mes 11 ans, une de mes sœurs préférée, Myra m'a envoyé une robe de sa création, elle avait toujours voulu devenir styliste, et son époque préférée était le XIXème siècle. Elle m'avait mit une lettre qui disait :

« A mon chère petit frère que j'aime tant, dit moi ce que tu en pense mon chéri. »

Ce simple geste m'a fait me sentir revivre, cette robe s'était mise à symboliser l'amour de mes sœurs pour moi. Elle avait fonction de protection contre mes angoisses, mon mal-êtres…

Cette robe de poupée grandeur nature à alors meubler l'absence de mes sœurs, remplace leur tendresse et leur protection lorsque je me sentais angoissé, déprimé ou tous simplement quand je me sentais mal à en pleurer.

Depuis ce jour des que je me sens mal, je met une des robes que ma grande sœur à crée. Je n'ai pas eu de mal à m'en procurer dès qu'elle a vu que j'aimais bien sa robe elle m'en a offerte plein, a chaque fois à ma taille, pensant que j'en faisait la collection.

Je ne suis pas un travesti, je suis un homme dans un corps d'homme, je n'ai aucun doute la dessus (1). C'est juste que mettre ces robes m'apaise.

Si cella devait ce savoir, toute ma famille serait humiliée, je serai renié et la Win Corp. perdrait toute sa crédibilité et ne s'en relèverait pas.

Imaginer « L'héritier de la plus grosse entreprise du monde est un travesti ou va t'on si quelqu'un qui ne s'assume pas dirige la Win Corp. » Vous prendriez vraiment votre président au sérieux si vous découvriez qu'il n'a aucune confiance en lui ?

Moi pas.

Cella entraînerait la ruine de ma famille et sa je ne le veux pas, je ferai n'importe quoi pour que sa n'arrive pas. Pour que ce secret ne soit jamais découvert. (2)

Malheureusement mon secret a été découvert…

Fin de POV.

¤

Flash Back.

Cella faisait une semaine que la rentrée des classes avait eu lieu. Leur uniforme était noir, chemise blanche, cravate noir avec une tête d'aigle en or brodé dessus leur veste était noir élégamment coupé et bordé de doré également brodé, pantalon noir et chaussures noirs pour les garçons. Les filles avaient des jupes plissées noir dont la taille devait aller de mi mollet à mi cuisse selon leur envie et les saisons avec des souliers à talon large de leur choix, les bottes leur étaient autorisées tant que se n'était pas vulgaire.

Le directeur étant une femme typée fatale et un brin féministe, elle était sévère avec les garçons et plus laxiste avec les filles.

La journée s'était bien passée, Quatre s'était déjà fait un ami : Duo Maxwell. Un jeune homme de sa classe fringuant, joyeux aux longs cheveux châtain tirés en tresse, avec des yeux étonnants, on aurait presque dit qu'il avait des reflets violets.

Duo l'avait présenté à ses amis :

D'abord Heero Yuy, son petit copain (ce qui n'avait pas gêné Quatre car il était tolérant et ne savait pas si lui était oui ou non homosexuel, il n'avait jamais ou le temps d'y penser a vrai dire), un terminal métis, allemand et japonais aux yeux cobalt de glace et aux cheveux brun ébouriffé… Un punk avait pensé Quatre quand il avait vu ses piercings aux oreilles et celui de sa lèvre ainsi que son uniforme débrailler. Il avait une apparence assez froide mais Duo certifiait qu'en faite il était « doux et gentil » (3)

Puis demi sœur de Heero, Hilde Sbeiker qui était en première, elle était l'opposé de son frère, rieuse et bavarde. Ses cheveux étaient courts et bleu foncé avec des yeux bleus, sa jupe lui arrivait mi cuisse et elle avait des bottes noires qui s'arrêtaient mi-mollet à grands talons. Hildle avait le même père que Heero sauf que lui était le fils de la maîtresse, donc il portait le nom de sa mère et elle la fille de l'épouse légitime. Mais bizarrement leurs mères s'entendaient à merveille et donc ils avaient été élevé comme un frère et une sœur.

La meilleure amie de Hildle était Réléna Peacecraft, fille du ministre de l'intérieur. Elles étaient toute deux dans la même classe. Elle avait les cheveux mi-longs blonds cendrés, les yeux bleus, une jupe qui s'arrêtait au dessus du genou et des souliers noirs avec peu de talons. Il émanait d'elle une sorte d'aura charismatique et sereine. Elle avait beaucoup impressionnée Quatre malgré sa grande gentillesse.

Son petit ami, un chinois du nom de Wufei Chang avait les yeux onyx et les cheveux noirs de jais tiré en une queue de cheval qui lui tombait en dessous des omoplates. Il était en terminal et était un ami de Heero. Son aspect sérieux et sa facilité à s'énerver à près Duo avait beaucoup fait rire Quatre.

Le dernier était le colocataire de Heero, Trowa Barton. C'était un garçon élancé aux allure féline, il avait les cheveux courts et châtains roux avec une longue frange qui cachait une partie du visage de ce fait on voyait mal ses yeux et on ne pouvait que les devinés vert. Un terminal extrêmement silencieux car il ne l'avait pas entendus prononcé un mot.

Ils mangeait ensemble depuis trois jours et Quatre passait de très bon moment en leur compagnie, ils étaient tous très sympas. Il parlait surtout avec Hilde, Réléna et Duo, Wufei intervenant parfois, Heero balançant de temps en temps des vannes à son petit ami entre deux baisés et à sa sœur, et Trowa qui restait toujours silencieux, observant.

Comme il était dans la même classe, Duo et Quatre le reste de la journée ensemble. Le soir venu, Duo allait rejoindre Heero tandis que Quatre rentrait dans son dortoir. En vue de sa position sociale, le blond avait obtenus une chambre simple assez spacieuse avec salle de bain personnel muni d'une baignoire. De plus sa chambre était au fond du dortoir donc il disposait d'un silence plutôt présent.

Quatre n'avait ressenti le besoin de mettre sa robe qu'une seule fois et s'était la veille de la rentré, il s'était senti anxieux et stressé à l'idée d'être dans une classe ou il ne connaissait personne, il avait toujours eu des cours particulier jusqu'alors. Heureusement le lendemain Duo était venu lui parler et il avait tout de suite sympathisé, comme ce dernier avait dit, il était rapidement devenu de très bons amis. Depuis il n'en avait pas ressentit le besoin, Duo était vraiment un garçon formidable, il était franc, son moral était toujours au beau fixe et il ne s'intéressait pas au gens à cause de leur position sociale. En fin c'est ce qui lui semblait, en général il jugeait assez bien les gens.

C'est content de sa journée et bien dans sa tête qu'il alla prendre un bain. Cella ne lui était pas arrivé depuis longtemps.

Il patogea trois bons quart d'heur quand il consentit à s'extirpé de son bain. Il eut a peine le temps d'enfiler un peignoir quand il entendit :

-Bonsoir Quatre.

Il sursauta et se retourna vers la porte d'entré, le cœur battant à tout rompre sous le coup de la frayeur.(4) Dieu qu'il avait été surpris.

-T… Trowa, bégaya-il. Tu m'as surpris ! Tu… tu veux quelque chose ?

-Oui… et non, ajouta t-il avec une pose.

-Ah, répondit Quatre encore trop surpris pour dire quelque chose de mieux. Euh… viens t'asseoir.

Le blond lui montra le lit impeccablement fait, puis referma son peignoir de façon à se que l'on ne voit plus ses tétons. Une fois rhabiller, faut dire que Trowa l'avait tellement surpris qu'il en avait laisser son peignoir à moitié ouvert heureusement qu'il avait noué une serviette autour de sa taille avant d'enfiler son peignoir. Il 'assis sur une chaise et sourit à son visiteur, attendant que se dernier daigne parler.

-Jolie chambre, dit-il de sa voix grave en caressant la couette de lit de sa main droite.

-M… merci…

Un silence s'installa, puis l'aîné sourit, un peu, légèrement… vicieusement…
Quatre fronça les sourcils, se demandant ce que le châtain pouvait bien lui vouloir.

Au bout d'un moment Trowa recommença à parler :

-Je connais ton secret…, dit-il d'une voix amusé, un sourire moqueur montrant le bout de son nez.

Quatre pâlit.

-P…Pardon ?

-Je disait, je connais ton secret, répéta t-il son sourire goguenard un peu plus visible.

-Je… je ne saisit pas…, Quatre blêmit encore un peu plus alors que le sourire de l'autre augmentait encore un peu.

-Vraiment ? Trowa tendit une photo à Quatre. Regarde ça alors.

L'arabe prit la photos et ses yeux s'agrandir en la découvrant.
La panique le submergea et il bafouilla :

-Ou… q… quand…

Trowa répondit d'un ton calme, son sourire moqueur et amuser bien visible à présent.

-La veille de la rentrer. Ma sœur me tannait depuis un moment pour que je lui envoie des photos de campus. Je suis donc allez dans les jardins au coucher du soleil et j'ai grimpé dans le chêne pour avoir une vue d'ensemble quand j'ai, par inadvertance, regardé par ta fenêtre.

Il fit une pause avant de reprendre plus lentement, son sourire étant devenus malsaine au fur et à mesure qu'il parlait.

Quatre lui se décomposait à vu d'œil, il n'arrivait même plus à penser, il se sentait irrémédiablement aspirer en enfer à une vitesse vertigineuse.

Il était perdu…

-J'ai été étonner de voir une fille dans un dortoir de mec. Une très jolie poupée assise sur son lit, seul, plongé dans ses pensées (5). J'ai pris plusieurs photos, assise, debout, tirant les rideaux. Mais quelle à été ma surprise quand je l'ai vu, en garçon, avec Duo. Au début j'ai crut que tu t'étais trompé d'uniforme. Mais je t'ai trouvé bien plate, sans forme et en y regardant bien, on voit que tu es un garçon. J'ai quand même voulus vérifier, alors je suis venu te voir… se soir. J'ai eu confirmation, tu es un garçon.

Quatre était effondré, son secret avait été découvert.
Il fallait coûte que coûte que Barton se taise, quoi qu'il lui en coûte.
Son cerveau se remit en marche, lentement et il dit :

-Tu… tu l'as dit à… quelqu'un ?

Trowa fit non de la tête.

-Tu vas le… dire ?

Aucune réaction de l'aîné. Quatre sentait les larmes lui monté aux yeux et il dit :

-Je t'en supplie ne dit rien à personne… je… je ferai tous ce que tu veux, mais ne dit rien… je t'en prie…

Les larmes coulaient à présent sur son visage.

Mais quelle con, j'aurai dut être plus prudent…pensa Quatre.

Le châtain haussa un sourcil et dit, un sourire satisfait sur le visage :

-Tout ce que je veux ?

Quatre releva la tête et acquiesça, lentement avant de murmurer un « oui, tout ce que tu veux » à peine audible.

-Vraiment tout ? Insista l'autre.

Le blond rabaissa la tête et souffla : « oui, tout »

Bien sur Trowa était venu dans cette idée. Il avait tout de suite trouvé que le blond ressemblait à un ange. Depuis lors il n'avait eu qu'une idée, surtout quand il avait compris qu'il pourrait le faire chanter sans trop de problème.

Il voulais faire de lui sa poupée, son petit jouet bien obéissant qui ne pourrait rien lui refuser, transformé cette ange de pureté en en ange souillé.

Il voulait avoir tout pouvoir sur lui, qu'il vive avec la constante inquiétude de se qui pourrait lui arrivé, il voulait qu'il sache que si il lui désobéissait ou même, que il le décevait sa vie ferait fini…

Et quoi de plus efficace que le chantage pour arrivé à ses fins ? (6)

Trowa se releva et de dirigea vers son nouveau jouet. Il lui releva son visage baigné de larme, approcha le sien, et dit :

-Eh bien, à bientôt… Quatre.

Avant de s'éloigner sans un regard en arrière, abandonnant Quatre le regard vide et les yeux embrumé de larme, de long sillons sur ses joues blanches.

Au moment de franchir la porte, Trowa ajouta, sans se retourner :

-Oh, inutile de prévenir les autre de notre… arrangement. Ça serait assez ennuyeux, si il venait à le découvrir tu ne crois pas ?

Il n'attendit pas la réponse et sorti en referment la porte dernière lui, retournant dans son dortoir avec un sourire satisfait. Il allait passer une très bonne année, sûrement la meilleur.

Quatre était défait, il avait bien compris ce qu'il lui avait dit : « Tais toi, ou tu en subira les conséquence ». Il avait tout pouvoir sur lui, son moyen de pression, aux yeux de Quatre était énorme. Inutile de se voilé la face, tant qu'il n'avait pas d'autre solution, mieux valait faire profile bas et obéir. Ça ne pouvais pas être si terrible que sa après tout.

Il devait prendre sur lui et ne rien dire aux autres, comme lui avais demander Trowa. C'était son problème et il le résoudrait. Il ne savait pas encore comment mais il y arriverait.

Fin du flash back.

¤

Cella faisait maintenant un peu plus d'une semaine que Quatre était sous l'emprise de Trowa et pourtant ce dernier ne lui avait encore rien demander, pas qu'il s'en plaigne mais c'était bizarre. Ils agissaient tous deux comme si il n'y avait rien eu.

Quatre parlait avec Duo et Réléna, Hilde se disputait avec Wufei, Heero dormait sur les genoux de Duo et Trowa lisait Candide de Voltaire.

Demain serait Samedi, ils avaient décidé d'aller tous pique-niquer ensemble. Hilde en profiterait pour présenter son nouveau petit ami, dont elle était « folle amoureuse parce qu'il était parfait intelligent et trop canon ». C'était un étudiant en Master 1 de philosophie et il s'appelait Treize Kushrénada.

Le soir venu tous retournèrent dans leur dortoir respectif sauf Duo qui suivit Heero et Trowa qui partit à la bibliothèque.

Arrivé dans sa chambre Quatre soupira savoir que Trowa pouvait lui faire faire ce qu'il voulais était déjà pénible, mais ne pas savoir ce qu'il attendait de lui et ne pas savoir à quel moment il allait venir c'était encor pire.

Il s'apprêtait à se mettre en pyjama quand la porte s'ouvrit sur Trowa. (7)

« Et la bibliothèque ? » pensa Quatre

Trowa sembla lire dans ses pensées puisqu'il dit avec amusement : « J'avais juste quelque bouquins à rendre… Bien passons aux choses sérieuses. » Avant de fermer la porte à clé.

Quatre déglutit.

¤

A suivre…

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Ça, c'est une vengeance pour tous ceux et celles qui m'ont fait le coup.

Pour l'instant c'est soft mais ça ne va pas le rester, j'aime bien quand Trowa est non seulement un vrai enfoiré, mais aussi quand c'est un pervers… j'aime bien aussi quand il est victime d'auteur sadique et qu'il en bave un max. Mais j'aime aussi quand il est heureux

Normalement y'a des fans art pour cette fic, faut juste que ma sœur se bouge le cul.

Notes de l'auteur plus ou moins utiles :

1. en faite ce que j'essaye d'expliquer c'est qu'il ne met une robe parce qu'il se sens mélancolique au sens psychologique du terme (dépression intense avec sentiment de douleur moral) et qu'il compense en mettant une robe que sa sœur lui a crée avec amour, pas parce que c'est un fille dans un corps d'homme.

2. j'n'ai pas trouvé mieux comme explication, mais je trouve cella assez cohérents, dans le monde des affaires il faut être sans pitié. Quatre ne serai jamais prit au sérieux si ça se savait.

3. j'ai hésité avec tendre et aimant ;p

4. Merde on à pas idée d'entré comme ça chez les gens sans frapper, je l'aurait foutu dehors d'un force moi. Noter que plus haut j'ai re-décrit tous les perso, me demande pourquoi, on les connaît tous m'enfin on va dire que c'est à cause des quelques changements.

5. les robes de Quatre sont inspirées du gothique Lolita japonais, donc il ressemble à une jolie poupée. Un peu comme Shinya dans ses grands jours (il est trop beau se mac w)

6.ça y est, c'est foutus, suis une tordu doubler d'une sadique. Qu'es-ce que je vais faire ? Je vais me rattraper la prochaine fic que j'écrit sera toute mimi, pas de torture de perso ni de tordu, du soft.

7. l'art de savoir frapper à la porte par Trowa Barton. Tu pourrais frapper quand même.
Trowa : pourquoi ? Je fais ce que je veux non ?
aki : c'est pas une raison pour être mal élever.
Levage d'épaule je m'enfoutist, n'insistons pas.