Titre : Chambre 312
Auteur : lunny
Disclamer : Les personnages appartiennent à Masashi Kishimoto. Mais je propose d'envoyer une pétition pour rendre ce manga yaoi ! (Comment ça, ça marchera pas ?)
Genre : UA : Univers alternatif ! Yaoi, sûrement des trucs saignants et choquants (enfin pas plus que d'habitude) pas de lemon prévu (pour l'instant) Le tout parsemé d'un humour des plus débiles !
Avertissement : Pour l'instant, on va se contenter du classique : relation entre deux hommes donc ceux qui sont homophobes : Fuyez ! Puis d'un petit avertissement pour vous signalez que cette fic ne contiendra pas de petits lapins roses sauf si ils sont dépecés. On a affaire à un tueur en série !
Résumé : UA Kabuto, psychiatre d'hôpital, doit étudier le cas d'un tueur en série soigné dans l'hôpital. Autant dire que ça va être dur. OrochimaruxKabuto
Note : Bon, je commence une nouvelle fic. Je prends mon couple préféré bien sûr, ils sont si mignons . Si le titre vous dit quelque chose, c'est normal, il y a une autre fic nommé Chambre 624, si j'ai nommé celle si d'un titre se rapprochant ; c'est que l'action se passe dans le même univers. Mais vous n'êtes pas obligé de la lire, ceci étant une fic indépendante. Il n'y aura que quelques allusions.
Bonne lecture !
Kabuto soupira et lissa les ailes de son avion en papier. Il s'ennuyait ferme. L'hôpital n'avait pas besoin de lui dans l'immédiat mais il devait venir comme même car on le payait pas pour faire des heures chez lui à regarder un programme nullissime sur la reproduction des coyotes dans le désert du Sahara. Donc, on le payait à s'ennuyer en faisant des avions en papier, pas très passionnant en tout cas. Il lança l'avion en papier qui atterrit sur la moquette de son petit cabinet dans l'hôpital. Il compta les avions en papier. Tiens dix-sept en une demi-heure, d'ici ce soir, il aurait fini son bloc-notes de 200 feuilles. Il soupira bruyamment. Psychiatre d'hôpital dans une ville qui était une île était vraiment ennuyeux. Et en plus, il logeait dans un trois pièces parce que son salaire était minable. Vivement que la journée se finisse et dire qu'il n'était que neuf heures et demi du matin. Monde maudit, il déchira une page de son bloc-notes. Il se remit au travail, c'est à dire de faire un dix-huitième avion. Kabuto s'ennuyait vraiment.
Quelqu'un entra dans la salle sans même frapper. Kabuto concentré sur son œuvre d'art ne leva pas les yeux. Quand il entendit un sifflement admiratif, il releva les yeux. L'inconnu fit un sourire ironique et s'exclama :
- Mais dis donc ! Ça bosse dur ici !
Kabuto sourit à son tour, c'est vrai qu'il travaillait dur. Faire des avions en papier était dur, mais il n'était pas payé pour ça….
- Qu'est-ce qui t'amènes Ibiki ? Tu voulais un peu de discussion ? C'est vrai que les cadavres sont pas très causants… A moins qui en un qui ait des problèmes ou ait des troubles mentaux…plaisanta Kabuto.
Ibiki, responsable de la morgue, tendit deux dossiers au psychiatre en lui disant :
- Rien de tout ça, j'ai du boulot à te transmettre.
- Non ! s'étonna l'homme, Vrai de vrai ! Enfin !
Ibiki rit devant l'expression émerveillé de son ami, il sortit de la salle tout en remarquant :
- Tu es bien le seul à être content d'avoir du boulot !
Kabuto sourit d'un air gourmand en regardant les pochettes des deux dossiers. Ça faisait bien longtemps qu'il n'avait pas eu de cas, comme il les appelait intimement. Il en avait presque oublié la couleur des dossiers. Il prit le plus gros et le feuilleta habilement.
Il sourit tout en murmurant :
- Intéressant…
A suivre..
L'auteur (sautant de joie) :
- Ouais j'ai fini le prologue !
Kabuto (soupirant) :
- Puis-je te rappeler que c'est comme même ta cinquième fic longue en cours ?
L'auteur (hurlant) :
- Cinquième ! Mince ! Je m'étais même pas rendu compte !
Kabuto (donnant un coup à l'auteur) :
- ça on s'en fout, je te ferai jute remarquer que c'était vraiment inutile de faire cette fic…
Orochimaru (regardant Kabuto) :
- Mais tu veux plus être avec moi ?
Kabuto (lançant un regard noir à l'auteur) :
- La dernière expérience a faillit détruire mes pauvres fesses !
Orochimaru (sortant une boîte de premiers secours) :
- Tu veux que je les soigne ?
Kabuto (s'éloignant d'Orochimaru) :
- Je sais très bien ce que tu as derrière la tête !
L'auteur (penchant la tête) :
- Ben moi pas comprendre…
Orochimaru (tapote la tête de l'auteur) :
- Pas la peine, tu vas juste te contenter de continuer cette fic…
L'auteur (souriant) :
- D'accord ! Mais moi je veux des reviews !
