BON. C'est ma première fanfic, soyez indulgent pour mon p'tit cœur de mortel, j'vous aime
Bon, comme d'hab j'écris sur plusieurs musiques, voilà voilà...
MUSIQUE: THE PAPER KITES : Woodland (Ok chut c'est un album u_u)
MUSIQUE: Daughter : Youth (Cette musique écoutez là au printemps/hiver)
Enjooy !
ÉTÉ
Une douce lumière dorée filtraient les feuilles de couleur d'olive. Et entre les troncs se baladaient de magnifiques plumes dorées. Des rires se baladaient dans cette si silencieuse forêt, et la douce chaleur dorée s'aventuraient dans cette forêt muette.
-" Arrête-toi Gabriel !"
-"Attrape-moi si tu le peux !"
Des rires, des sourires, et des plumes de couleur crème,ébène, jade, ambre, un sublime arc-en-ciel de plume.
C'était une douce matinée à travers la longue et belle forêt. Une si douce matinée, ou la chaleur de l'été se mettait déjà en route, où la rosée du matin sillonnait encore les feuilles.
-"Je suis fatigué ! On peut pas rentrer ?"
-"Arrête de te plaindre ! Il fait trop beau pour aller s'enfermer dans une bibliothèque au palais !"
Et la forêt, petit à petit, laissa place à une grande plaine, un magnifique levé de soleil aux nuances ambrés, ocre, doré, bleuté, rosé, nuancé de douces nuances de violets, alors que les étoiles s'effaçait petit à petit de ce si magnifique ciel, et que le majestueux soleil se relevait de sa douce nuit étoilé et que ses magnifiques rayons éclairait le magnifique champs dans des nuances dorées.
AUTOMNE
Calme.
C'était un mot qui exprimait l'expression des enfants du palais divin. Le jeune Gabriel, avait ses trois paires d'ailes majestueuses repliée, et il regardait depuis la fenêtre de sa chambre personnelle les feuilles de couleurs feu s'envoler et tomber.
Le plus grand, Michael, s'assit sur une chaise, et pris un livre. Il le lit aux côtés du plus jeune ange, nommé Castiel.
L'étoile du matin aimait déjà s'asseoir devant la cheminée, alors que le temps était déjà clément à ce moment là, profiter du doux son des crépitements de la cheminée.
Et Raphael... Comme toutes les saisons, préférait la bibliothèque du palais céleste à toutes autres activités possible.
HIVER.
Un doux pleur résonne entre les murs enneigé du palais.
-"P...Pourquoi ? POURQUOI ?!"
-"Je suis désolé..."
-"LAISSE-MOI ! VOUS NE PENSEZ QU'A VOUS !"
-"S'il te plaît, calme-toi..."
Et les pleurs redoublèrent, et les cris redoublèrent, et les sanglots aussi.
La cheminée ne crépitait plus, la bibliothèque était vide, les couloirs empli du son des rires et des pas amusé d'un ange aux ailes dorées ne fais plus que le bruits du vents et de la pluie dehors. Les étoiles sont tombés et chaque nuit n'est qu'un profond noir sans ses couleurs bleutées et ses reflets violacés mélangé à ses petits points blanc.
Plus que le noir, les pleurs.
PRINTEMPS.
La terre.
Les humains.
Les gazouillements d'un oiseau, les bourgeons d'une fleur, un fruit encore vert. Un rire d'enfant, une mère attentionnée à ses côtés, une air de jeu.
Et de l'autre côté la fin.
-"Je ne veux pas en arriver là."
-"Je ne fais rien, moi."
Puis le retournement de situation que tout le monde connaît.
L'étoile du matin se retourne brusquement devant le Messager, et enfonce l'arme de celui-ci dans son cœur.
Et la terre pleure. Le monde pleure, car une puissance divine est morte.
Et même au paradis, alors que depuis des lustres ils ont fait le deuil de ce rire si commun pour lui, même le paradis pleure.
Car il est partit, pour de bon.
Et les bourgeons éclose, les fruits deviennent rouge, ambré, rosé, brillent de leurs couleurs, et les rires redoublent, et les sourires redoublent, et la joie continue, car la vie doit continuer, et les oiseaux gazouillent, et les anges pleurent.
END.
