Introduction

Heere Yuy

Dès qu'il avait reçu la lettre d'admission, il avait trouver un nouvel appartement et un travail à temps partiel : vive les joies d'Internet. En un simple clic tout vos rêves sont à vos pieds. Lorsque tout fut arranger, il referma son portable et s'accotât le dos sur le dossier de sa chaise. Bien sur qu'il était heureux de pouvoir faire une maîtrise en informatique, le seul problème fut qu'il doive habiter avec des étrangers. C'était loin de chez lui et le voyagement était hors de question. Ça lui avait pris tellement de temps pour décidé d'envoyer sa demande que maintenant qu'il était admis : il n'y avait plus de chambres ou d'appartements seuls. Il allait devoir vivre avec des étrangers, et ça, ça le déranger un peu plus.

Il regarda le plafond et soupira. Ça lui faisait un peu étrange de retourner à l'école. En plus qu'avec son passé, il avait dû falsifier son identité. Maintenant que « Heero Yuy » existait, il devait commencer de bon pied. Il se leva et entama une série d'exercice.

Duo Maxwell

Lorsqu'il ouvrit la lettre, son cœur sauta d'un bond. Impossible! Il regarda soucieusement le nom inscrit sur l'enveloppe : Maxwell, Duo. La lettre lui était bien adressée. Lui, Duo Maxwell, orphelin, enfant vouer à une vie misérable, avait été admis dans la plus grande école d'Arts du pays! Il n'en revenait pas! Alors, ils avaient aimer son porte-folio… Il regarda la pile de lettre représentant les réponses de ses autres demandes et un sourire carnassier envahi son visage. Il avait été lamentablement refusé partout. Partout, excepter la meilleure. C'était un rêve, une main se tendant vers lui pour lui montrer le chemin, lui permettre de le suivre! Une vive réalisation le stoppa net dans son mouvement…

-Mais elle est à l'autre bout du pays, cette putain d'école!

Il écrivit une lettre à son propriétaire pour l'informer qu'il ne renouvellerait pas son bail et se rappela de passer à l'église pour faire ses aux revoirs.

Trowa Barton

Catherine lui avait remis la lettre ce matin en exagérant une fausse joie. Il savait que sa sœur était heureuse qu'il soit admis, mais cela implique qu'il devait s'éloigner du cirque. Elle ne voulait pas qu'il parte. De son côté, Trowa était triste de devoir quitter les lieux, mais il allait enfin pouvoir compléter son rêve. De toute manière, il ne pouvait pas faire le nomade pendant la duré de ses études. Il soupira en regardant la lettre. Il allait devoir se trouver un appartement, lui qui n'avait jamais eu de foyer fixe, et probablement un travail à temps partiel. Il avait fait des économies, mais la vie d'étudiant coûte cher. Il soupira de nouveau… il allait s'ennuyer du cirque, de son lionceau, des animaux, de cette vie ou rien d'autre n'a d'importance qu'amuser la foule, mais principalement, il allait s'ennuyer de sa sœur, il le sentait déjà.

Quatre Reberba-Winner

La lettre avait presque été jeter avec de la paperasse avant que Quatre ne s'en aperçoit. Ça avait été de justesse! Il la regarda pendant 2 bonnes minutes en souriant avant de s'asseoir. Elle était arrivé tellement en retard. Quatre avait fait sa demande au premier tour, sauf que la lettre avait été perdu dans la poste. Il avait plusieurs fois téléphoné à l'école. Dieu seul sait quel trajet elle avait dû faire avant de lui apporter la bonne nouvelle! D'un coup de main, il avait envoyer balader tout les papiers de son bureau par terre pour laisser amplement de place à la petite enveloppe blanche. Il l'ouvrit.

« M. Quatre Reberba-Winner,

Nous sommes fière de vous accueillir dans notre école en septem… »

Il ne prit même pas la peine de lire le reste tellement il était heureux!

Chang Wufeï

Un pavillon, un merveilleux jardin, une jolie fiancée en grande robe bleu; voilà ce à quoi Chang Wufeï était confronté. Meilan était tombée par hasard sur une petite lettre écrite en français, un morceau de papier qui jurait avec le contexte asiatique de l'endroit.

-Wufeï! Comment as-tu osé faire une chose pareil! Alors tu es vraiment prêt à abandonner ton clan, jeune dragon?

-Je n'ai pas besoin de me justifier, c'est ma décision. Et ma chère, je n'abandonne pas mon clan…

-Et comment pense-tu t'en occuper à des kilomètres d'ici?

-Tu t'en occuperas!

Elle tressaillit. C'était loin d'être la réponse qu'elle s'attendait.

-Ça te feras de la pratique pour quand tu vas le prendre en charge, continua Wufeï.

-Et le mariage? Tu y as pensé un peu? Ne me dit pas que tu veux le reporter…?

-Le mariage est prévu pour l'été prochain et il sera célébré comme tel. Je m'en vais pour un an, ce n'est pas l'éternité.

-C'est l'éternité pour moi…

-Tu n'auras pas le choix. Demain je pars et rien n'y changeras, compris?

Meilan grinça des dents. Elle ne pouvait rien faire pour le retenir si c'était vraiment ce qu'il voulait. Même si ça impliquait qu'elle resterait seule pendant un an. Elle ravala ses larmes pour le pas perdre sa fierté.

-… si tel est votre volonté, articula-t-elle lentement.

Elle quitta le pavillon sans convenance, pas un mot de plus. Wufeï resta seul avec le bout de papier en main. Il avait toujours eu son clan et sa famille pour lui dicté quoi faire. Cette fois, il voulait s'en sortir seul, malgré tout ce que ça impliquait. Il avait réussit à obtenir l'autorisation de son père, à la conclusion d'une dispute, et celui-ci coupait tout ses liens avec la famille.

Sylver Cat