Un amour impossible ? Pas si sûr...

Excusez moi pour ne pas vous avoir mis le premier chapitre j'ai pas fait exprès mais c'était la premiere fois que j'ai utilisé fanfiction net et... je comprends toujours rien :s bon excusez moi encore une fois... ouaaaaaaaaain jsuis désolée . Bon voici le premier chapitre et je vais vous mettre le trois pour me faire pardonner ;)

Chapitre 1 : Début de vacances difficile.

Hermione venait de terminer sa 6ème année à Poudlard, et deux magnifiques mois de vacances l'attendaient. Elle ne savait pas si elle allait voir ses deux meilleurs amis, Ron Weasley et Harry Potter, mais elle savait quand même que ce seraient les plus belles vacances de sa vie. Sûrement car ce seraient les dernières avec ses parents. Dans le train, Ron avait demandé à lui parler, elle avait accepté. Ron était encore une fois rouge pivoine, comme la fois ou Harry avait fait une remarque désobligeante sur la tenue de Ron. Ce jour là les trois amis avaient décidé de fêter Carnaval, ce que beaucoup avaient apprécié. Pour l'occasion, Ron avait choisi de se déguiser en Moldu du XIIIème siècle. Il avait mis un tutu rose, une jupe pourpre et s'était mis du rouge à lèvres rose. Ses deux compagnons avaient alors éclaté de rire. Ron se tordait les doigts avec impatience.

Hermy... Je euh... Je t'aime.

Ron, je ne sais que dire... tu... tu es mon meilleur ami, et je... ne ressens rien pour toi mis à part de l'amitié.

Je le pensais bien, mais je voulais juste que tu le saches.

Il s'était alors retourné et était retourné parler avec Harry. Hermione était toujours sous le coup.

Tiens, ma Sang de Bourbe la plus détestée, dit une voix derrière elle qui la fit sursauter.

Oh, mon con d'ennemi, Malefoy !

Sois plus gentille avec moi, ou je pourrais te faire de la peine... à ton petit cœur fragile qui m'adore.

Qui t'adore ??? C'est ça et maintenant les cochons volent. Excuse-moi, Malefoy, mais moi j'ai des amis, et je préfère mes amis à mes ennemis.

Bon... d'accord Mione.

« Je rêve ou ce cafard sablé vient de m'appeler Mione ??? » Hermione se dirigea vers le compartiment de ses amis. Ils arrivèrent en gare, et Hermione descendit rapidement. Quelle chance, ses parents étaient venus avec Willie, son berger allemand.

Willie, ma belle ! Comment vas-tu ? je ne t'ai pas trop manquée ?

Hermione, dépêchons, nous devons rentrer à la maison.

Ils montèrent dans leur voiture (une Mercedes :D) et Hermione fut contente de retrouver sa maison qui avait une taille de château.

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Drago n'avait pas plus aimé cette année que les précédentes. Il se demandait pourquoi il avait parlé à Granger, vu qu'il la détestait. Ce qu'elle avait dit avait quand même attaqué son cœur fragile. Il avait beau jouer les gros durs, toujours humble, plein de quiétude, mais en fait il était très fragile. Plus fragile que Potter, qui était soutenu par ses amis. Des amis. Voilà ce qui manquait à Drago. Il s'en contre fichait. Il ne voulait pas d'amis. Le jeune garçon était dans sa chambre, verte et glaciale. Depuis que Potter avait mis son père au « trou », Drago vivait mieux. Il ne subissait plus le sortilège Doloris toutes les cinq secondes.

Il vit que la nuit était tombée, alors il se vautra dans son lit, sachant que si il était à Poudlard, l'autre Parkinson aurait essayé de s'y glisser avec elle. « Cette tête de bouledogue n'est pas assez intelligente pour mériter la moindre nuit avec moi, pensa le beau blond. »

C'était la 7ème nuit de juillet, quand le drame surgit. Hermione avait entendu un drôle de bruit venant de l'étage inférieur. Elle n'avait jamais parlé de sa richesse aux garçons, ce qui travaillait son esprit ce soir là. Elle descendit les escaliers pour connaître la raison de ce raffut. A mi-paliers, elle entendit des cris. Elle se dépêcha de descendre. Mais il était trop tard. Ses parents gisaient sur le sol. Hermione tâcha de prendre leur pouls, mais sans résultats. Elle éclata en sanglots.

Des sorciers. DES MANGEMORTS ! ILS S EN SONT PRIS A MA FAMILLE ! ILS VONT ME LE PAYER !

Willie s'approcha d'elle.

Ma Willie, cours chercher la police, je t'en supplie. Dépêche toi pitié.

Le chien détala à toute vitesse en direction du commissariat. Pendant ce temps, Hermione prépara ses affaires. « Je vais aller quelque part où je ne risque rien... Quelle égoïste je suis ! Mais où ? ». Hermione chercha dans son esprit une personne qui aurait la place pour l'accueillir.

Personne. Mis à part Malefoy. Mais je ne vois pas pourquoi il accepterait... On n'a plus qu'à espérer. (N/A : je sais que je suis débile de dire des trucs pareils ï