Résumé: Je suis selon ce que dit le monde, celui que l'on respecte, celui que l'on adule sans même le connaître. Je fais peur, j'installe le doute mais je suis leur sauveur.
Ils ne m'ont jamais vu, ne savent pas ce que je suis, comment je sui, où je suis, ils connaissent juste mon nom : Harry Potter, le Survivant.
Disclaimer: Les personnages appartiennent à l'auteur de Harry Potter.
Pairing: HP/DM. Bien dans cette ordre là. Bref on se comprend.
Harry Potter était ce que l'on pouvait appeler un émancipé. N'étant pas dupe, ni soumit il avait quitté le foyer que l'on lui avait imposé de force et était partit loin de tout, des Dursley, des voisins et encore plus de Mr Maugrey le facteur qui louchait bizarrement sur lui. Ce n'est que peu après dans sa quête en rencontrant un sorcier qui avait fuit son monde qu'il apprit son destin. Avec l'aide de son mentor il avait décliné l'invitation de Poudlard et avait préféré apprendre la magie de la rue comme l'on dit, la magie sans baguette, la magie pourpre, des magies puissantes.
Jamais en allant à Poudlard il n'aurait pu avoir et entretenir les connaissances qu'il à acquis.
Harry Potter était devenu contre vent et marée un homme que rien ne pouvait ébranler, il était le pilier de son monde intérieur, mais son devoir le rappelant vite à l'ordre il devait également devenir celui de tout un peuple.
Il eu un sourire froid en songeant à cela. Il ne s'attendait sûrement pas à voir débarquer leur sauveur. Il était persuadé que dans l'esprit de ces gens, de ces larbins qui attendent en vain un gamin pour leur retirer le feu des fesses il devait être le petit être chétif que Dumbledore se souvenait avoir connu peu après ses un an.
Mais Harry était tout autre, ne vous ai-je pas dit qu'il était devenu puissant.
Le Jeune homme brun de nature dominait Poudlard du haut de son mètre quatre vingt huit. Perché au dessus d'un amas de rocher pointu, le vent et la pluie fouettait sur son visage envoyant sa longue frange et la plus part de ses cheveux valser sur sa mâchoire carrée.
Il posa un regard à la foi froid et amusé sur le château, ils allaient avoir peurs les bougres. Personne ne savait qu'il arrivait pour cette rentrée, selon ses calculs cela devait être sa septième et dernière année.
- Je t'aime mon petit ange, dit ma mère en déposant un doux baiser sur le dessus de ma tête.
- Ne m'appelle pas comme ça devant mes amis, maman!
- Voyons Draco ce ne sont qu'Hermione et Ron il n'y a pas de quoi avoir peur à ce que ta belle coiffure soit défaite devant tout le monde.
Je lui lançai un faut regard noir, en passant mes doigts fins dans mes longs cheveux blonds, je réajustais mon sert tête noir, et lui dit au revoir dans un dernier moment d'impuissance.
- Au revoir Lady Malfoy passé le bonjour à votre compagnon de notre part.
- Je n'y manquerai pas ma chère Hermionine. Prenez soin de mon Dray.
De vrais dames de le haute ces deux là. Après une petite grimace de la part d'Hermione à l'entente de son nom complet nous montons dans le train direction Poudlard pour notre dernière année. Que j'imagine déjà pleine de rebondissement.
Dans le train nous rejoignons Blaise, Théo et Pansy. Le voyage se passe sans encombre à part quelques papouilles de trop pour Théo et Blaise mais bon on se débrouille bien quand même heures plus tard après la répartition nous attendons tous le petit discours de Dumby quand soudain...Débarque une femme girafe (non je blague)
Je montai lentement les escaliers accentuant autour de moi l'aura de mystère que je savais omniprésente.
J'avais un goût non-négligeable pour le mystère et le « drama » chose que mes futurs camarades ne découvriront que bien vite. Après quelques grands pas j'atterris dans un grand hall et me dirigeai à l'incessant brouhaha que j'entendais devant moi. J'arrivais devant deux grandes portes qui me surplombe d'au moins deux mètres j'entendis une voix nasillarde déblatérer peu à peu une liste de nom. Mon heure n'est pas s encore venu.
Si mon goût pour le mystérieux et le dramatique était prononcé celui pour les entrées spectaculaires et le frisson l'était encore plus, j'étais quelqu'un d'étrange.
La femme s'arrêta de parler, je réajustai sur ma tête ma capuche qui ne laissai apparaître que la lueur de mes yeux verts; mon nez et ma bouche. Je portai un manteau noir genre « officié » qui me descendait jusqu'à mi cuisse. En dessous j'avais un pantalon cintré noir évasé et une chemise pourpre. Ma capuche était assez longue pour que seul ceux devant moi ne devine mes traits, mes manches évasées donnaient un coup de pouce au sinistre quand j'écartai mes bras et qu'avec la seule force de ma magie sans baguette je n'ouvre les portes lourdes de plusieurs tonnes devant moi.
J'entendis plusieurs hoquets de stupeur, des chaises racler, des gens se levés. J'eu un sourire froid. Je pris un temps avant de laissé mes bottes en peau de dragon touchés le sol de cette grande salle. Je décidai enfin d'avancer ne m'occupant pas des alentours, fixant mon regard dans celui du vieil homme devant moi, il sut qui j'étais.
Après dix mètres je fis claquer les portes derrière moi et me dirige vers la table où en me voyant venir Dumbledore s'est lever, redonnant ainsi confiance aux élèves.
En m'adressant un sourire l'homme tend une main vers moi.
- Bienvenue à Poudlard Harry...Potter.
La bombe est lâchée.
