Auteur : Flammula
Titre : Harry Potter, les souvenirs de James
Source : Harry Potter
Genre : « suite » à Harry Potter et l'ordre du Phénix. Et puis rétrospective…enfin voilà quoi
Disclaimer : Rien n'est à moi (et c'est triste, j'aurais aimé être aussi forte pour inventer et écrire un livre comme la fait notre vénérée J.K. Rowling…peut-être quand même que j'ai droit à un p'tit truc paskeu c'est moi qui ai trouvé pas mal d'idée pour une éventuelle suite ??? Et p'tête aussi paskeu je me suis imaginé comment c'était avec le père de Harry)
Prologue :
Jamais l'été n'avait été aussi déprimant au 4 Privet Drive pour le jeune Harry potter. A l'attente d'avoir des nouvelles de ses amis et au fait de devoir vivre avec les Dursley, la peur d'avoir des nouvelles de Voldemort s'était ajoutée au malheur du sorcier.
Comme si ce qui s'était passé l'année précédente n'était qu'un rêve, les Dursley avaient repris leurs habitudes désobligeantes face à Harry, et contrairement à l'été de cette même année passée, Harry n'avait pas été en colère d'être enfermé chez les moldus tout un mois…
« Joyeux anniversaire Harry !! Tous mes vœux de bonheur pour tes 16 ans ! »
Allongé sur son lit, à moitié débraillé pour avoir enfilé négligemment ses vêtements en se levant, le jeune sorcier retournait entre ses doigts la carte d'anniversaire que lui avait envoyé son ami Hagrid. Au pied de son lit, se trouvaient avec les autres cartes, les cadeaux que tous ses amis lui avaient offerts. Il ne les avait pas encore déballés et avait préféré commencer par chaque carte, dans l'espoir de peut-être trouver des informations dissimulées. Tout comme l'été dernier, il ne savait pas ce qui se passait dans le monde sorcier. Et comme l'été dernier, il n'y avait aucune nouvelle dans les lettres et les cartes. Sauf que cette fois, il manquait une carte… D'ailleurs, ces vœux qu'il avait reçus, il les trouvait insultants vis-à-vis de cette carte manquante. Harry ne voulait pas qu'on lui souhaite d'être heureux alors qu'il ne recevrait plus jamais aucune des lettres qu'il attendait le plus. Les lettres de la personne qui le comprenait le mieux…de la personne qui avait été pendant trois ans comme un nouveau père.
Car Sirius Black ne pourrait plus jamais lui écrire. Harry avait passé ses quatre premières semaines de vacances, enfermé dans sa chambre et pour une fois, l'oncle Vernon n'en était pas la cause. Peut-être cela pourrait sembler exagéré de la part de l'adolescent, mais il y a certaines choses que le temps ne peut effacer. Surtout s'il y en a eu trop peu d'écoulé. En un mois on ne peut pas oublier ce genre de sentiment et d'émotion. Tous les trois jours il donnait de ses nouvelles aux autres, et le reste du temps, malgré lui, Harry restait allongé là, sur son lit, la fenêtre ouverte pour laisser entrer et ressortir Hedwige et s'engouffrer le vent frais d'un été humide. Car le soleil n'avait même pas eu le courage de se montrer et il avait oublié de réchauffer le cœur des anglais cette année.
Harry avait donc trouvé l'occasion de s'exercer à l'occlumencie : jamais il ne voulait refaire de rêve comme celui qui l'avait mené au ministère de la magie. D'ailleurs cet exercice l'épuisait. Mais ce qui importait vraiment, c'était de ne plus jamais se faire manipuler. Ou bien d'autres personnes qu'il aimait risquaient de mourir.
Le jeune sorcier se releva pour s'asseoir sur son lit. Une bourrasque de vent emplit la pièce, agitant ses cheveux noirs dans tous les sens, mais ne parvenant pas à les décoiffer plus qu'ils ne l'étaient déjà au naturel. La cicatrice en forme d'éclair qu'il avait sur le front commença à brûler lorsqu'il entendit crier dans son esprit. Harry teint son crâne dans ses mains et se courba, jusqu'à poser son front sur ses genoux tellement il avait mal. Lorsque la douleur se calma, il se redressa, continuant pourtant d'appuyer sa main contre l'endroit douloureux de sa tête. Il était habitué maintenant à ce que sa cicatrice lui fasse si mal à n'importe quel moment. Parfois…souvent en fait, il pouvait ressentir ce que Voldemort lui-même éprouvait. Et le plus effrayant était lorsqu'il s'agissait d'un sentiment de bonheur et de satisfaction car ça n'annonçait rien de bon pour Harry. Et pour tout le monde d'ailleurs. Et justement, il avait ri. Aucune envie de savoir ce qui s'était encore passé…Harry avait eu assez de mauvaises nouvelles pour le moment. De toute façon il le saurait tôt ou tard, qu'il le veuille ou non. Il était encore assez tôt dans la matinée et le jeune sorcier préféra se recoucher. Il ouvrirait ses cadeaux plus tard. Lorsqu'il se sentirait mieux et pourrait les apprécier à leur juste valeur.
Sans qu'il s'en rende compte, il sombra vite dans le sommeil, et se mit à rêver. Il rêvait d'un été, d'une maison, bien 20 ans en arrière…
Fin prologue !
NDLA : Waaah ! C'est pas terrible mais c'est que le début. Pour l'instant on voit pas trop ce qui a bien pu me foutre un pareil titre dans la tête…à découvrir au prochain épisode !! Bref. Je vais en fait faire un bon dans le passé, et je sais pas encore si je vais revenir sur Harry. Oh, sûrement. Après tout j'ai commencé avec lui ! Je vous encourage à attendre la suite et à la lire…je sais c'est pas trop tentant avec un prologue pareil, mais je crois avoir fait beaucoup mieux pour la suite ! Promis. Lol
Prologue :
Jamais l'été n'avait été aussi déprimant au 4 Privet Drive pour le jeune Harry potter. A l'attente d'avoir des nouvelles de ses amis et au fait de devoir vivre avec les Dursley, la peur d'avoir des nouvelles de Voldemort s'était ajoutée au malheur du sorcier.
Comme si ce qui s'était passé l'année précédente n'était qu'un rêve, les Dursley avaient repris leurs habitudes désobligeantes face à Harry, et contrairement à l'été de cette même année passée, Harry n'avait pas été en colère d'être enfermé chez les moldus tout un mois…
« Joyeux anniversaire Harry !! Tous mes vœux de bonheur pour tes 16 ans ! »
Allongé sur son lit, à moitié débraillé pour avoir enfilé négligemment ses vêtements en se levant, le jeune sorcier retournait entre ses doigts la carte d'anniversaire que lui avait envoyé son ami Hagrid. Au pied de son lit, se trouvaient avec les autres cartes, les cadeaux que tous ses amis lui avaient offerts. Il ne les avait pas encore déballés et avait préféré commencer par chaque carte, dans l'espoir de peut-être trouver des informations dissimulées. Tout comme l'été dernier, il ne savait pas ce qui se passait dans le monde sorcier. Et comme l'été dernier, il n'y avait aucune nouvelle dans les lettres et les cartes. Sauf que cette fois, il manquait une carte… D'ailleurs, ces vœux qu'il avait reçus, il les trouvait insultants vis-à-vis de cette carte manquante. Harry ne voulait pas qu'on lui souhaite d'être heureux alors qu'il ne recevrait plus jamais aucune des lettres qu'il attendait le plus. Les lettres de la personne qui le comprenait le mieux…de la personne qui avait été pendant trois ans comme un nouveau père.
Car Sirius Black ne pourrait plus jamais lui écrire. Harry avait passé ses quatre premières semaines de vacances, enfermé dans sa chambre et pour une fois, l'oncle Vernon n'en était pas la cause. Peut-être cela pourrait sembler exagéré de la part de l'adolescent, mais il y a certaines choses que le temps ne peut effacer. Surtout s'il y en a eu trop peu d'écoulé. En un mois on ne peut pas oublier ce genre de sentiment et d'émotion. Tous les trois jours il donnait de ses nouvelles aux autres, et le reste du temps, malgré lui, Harry restait allongé là, sur son lit, la fenêtre ouverte pour laisser entrer et ressortir Hedwige et s'engouffrer le vent frais d'un été humide. Car le soleil n'avait même pas eu le courage de se montrer et il avait oublié de réchauffer le cœur des anglais cette année.
Harry avait donc trouvé l'occasion de s'exercer à l'occlumencie : jamais il ne voulait refaire de rêve comme celui qui l'avait mené au ministère de la magie. D'ailleurs cet exercice l'épuisait. Mais ce qui importait vraiment, c'était de ne plus jamais se faire manipuler. Ou bien d'autres personnes qu'il aimait risquaient de mourir.
Le jeune sorcier se releva pour s'asseoir sur son lit. Une bourrasque de vent emplit la pièce, agitant ses cheveux noirs dans tous les sens, mais ne parvenant pas à les décoiffer plus qu'ils ne l'étaient déjà au naturel. La cicatrice en forme d'éclair qu'il avait sur le front commença à brûler lorsqu'il entendit crier dans son esprit. Harry teint son crâne dans ses mains et se courba, jusqu'à poser son front sur ses genoux tellement il avait mal. Lorsque la douleur se calma, il se redressa, continuant pourtant d'appuyer sa main contre l'endroit douloureux de sa tête. Il était habitué maintenant à ce que sa cicatrice lui fasse si mal à n'importe quel moment. Parfois…souvent en fait, il pouvait ressentir ce que Voldemort lui-même éprouvait. Et le plus effrayant était lorsqu'il s'agissait d'un sentiment de bonheur et de satisfaction car ça n'annonçait rien de bon pour Harry. Et pour tout le monde d'ailleurs. Et justement, il avait ri. Aucune envie de savoir ce qui s'était encore passé…Harry avait eu assez de mauvaises nouvelles pour le moment. De toute façon il le saurait tôt ou tard, qu'il le veuille ou non. Il était encore assez tôt dans la matinée et le jeune sorcier préféra se recoucher. Il ouvrirait ses cadeaux plus tard. Lorsqu'il se sentirait mieux et pourrait les apprécier à leur juste valeur.
Sans qu'il s'en rende compte, il sombra vite dans le sommeil, et se mit à rêver. Il rêvait d'un été, d'une maison, bien 20 ans en arrière…
Fin prologue !
NDLA : Waaah ! C'est pas terrible mais c'est que le début. Pour l'instant on voit pas trop ce qui a bien pu me foutre un pareil titre dans la tête…à découvrir au prochain épisode !! Bref. Je vais en fait faire un bon dans le passé, et je sais pas encore si je vais revenir sur Harry. Oh, sûrement. Après tout j'ai commencé avec lui ! Je vous encourage à attendre la suite et à la lire…je sais c'est pas trop tentant avec un prologue pareil, mais je crois avoir fait beaucoup mieux pour la suite ! Promis. Lol