Coucou les loulous! (Wow, ça commence bien) qu'est-ce qu'il vient de se passer? (je t'ai parler. Ou tu t'es parler. Au choix!) Donc, en gros, je suis touchée par le même symptôme que tous ces auteurs là? Mais c'est complètement Quitch, ton truc! (Euh... Mais je suis là pour te hanter jusqu'à la fin de tes jours moi...) Jusqu'à la fin de quoi?! (De tes jours... Nan mais là je me la pète, en fait, en gros c'est jusqu'à la fin de ton histoire sauf si les lecteurs veulent que je restent) Génial... (LOL) Non, c'est pas LOL, c'est Quitch, bordel. (Enfin bref). Comme tu dis:
Breeeeeeeeeeeeeeeeeeef,
Salut tout le monde bienvenue sur ce Three-Shot (Encore) et mer...zut je croyais que c'était qu'un cauchemar. Cette histoire se lit bien sûr séparément de "Amour Toujours" et "I want to be me" mais, sauf si j'ai fait des petites erreurs d' incohérences, ça suit le même fils du temps, les gens font les mêmes métiers, etc, etc...c'est exactement le même univers sauf que pas sur les mêmes personnes... voilà! (Autre chose:)
Cette histoire est centrée sur Law et Luffy, cette fois. Et donc, pour les homophobes: .voir.
Je me suis donnée à fond pour que mes chapitres soient plus longs qu'avant et je me suis rendue compte que c'était pratiquement impossible selon comment je fais alors j'espère que ce n'est pas trop court quand même je me suis donnée à fond (pour vous)!
J'avance bien sur "Ascensceur", ma grande fic que j'espère finir et, enfin, poster, pour ceux qui en ont déjà entendu parler et qui veulent savoir (et tu commences à parler comme les autres auteurs, tu sais, ceux qui ont écrits des tas d'histoires...) J'en ai déjà écrit...quatre. En si peu de temps. Alors silence.
Bonne lecture!
Chapitre 1 : J'en peux déjà plus.
« D'accord, d'accord, c'est vrai. C'est un gamin insupportable, chiant au possible, trop dynamique, souriant (plus souriant tu meures, bordel !), sautillant, bondissant, criant, hurlant, riant, faisant le plus de bruit possible (en témoigne son boulot de DJ), et ayant la famille la plus nombreuse que l'univers m'ai été donné d'observer (et en plus, en plus, ils sont tous tarés). C'est aussi le seul gamin à avoir osé te monté sur les épaules sans aucun problèmes pour te remercier quand tu as conclu son test de dépistage par un : « bref, vous n'avez aucun problème », suivi d'un soupire. Mais, jure-moi, jure-moi, Trafalgar Law, que tu n'as pas un faible pour lui, et je t'étripe. » Jewelry finit enfin sa tirade, les yeux plantés dans ceux de son camarade médecin. Law leva les yeux au ciel. Il n'avait aucun compte à recevoir de personne. Et ce gamin ne lui plaisait pas. Même avec ses grands yeux chocolats, ses cheveux noirs en bataille, son grand sourire, son innocence innée, ses pépites dans les yeux et sa toute petite bouille d'ange. Nan. Ce gamin magnifique ne lui plaisait pas ! Pas du tout même ! Ou du moins, pas devant ses collègues. Dehors, oui, peut-être qu'il lui plaisait un tout petit peu… Mais pas beaucoup ! Oh ! Il était le légendaire Trafalgar Law, tout de même !
Enfin bon. Il quitta rapidement l'hôpital avant de se faire rattraper par un bonbon rose en pleine furie de noël. Il fit le chemin tranquillement à pied, parce qu'il ne voyait pas pourquoi il devrait prendre une voiture alors qu'il habitait à quoi ? Cinquante petits mètres de son bâtiment de travail ?
En entrant chez lui, il remarqua une paire de tongs posées sur le sol, un chapeau de paille sur le canapé brun de son salon et…une odeur de brulé dans tout l'appartement. Ouvrant la fenêtre, il entendit Luffy pester contre son four « trop rapide pour cuire ». Il sourit légèrement.
« Qu'est-ce que tu as encore fait dans mon appartement, Mugiwara-ya ?
Ne râle pas, chirurgien de mes rêves, j'ai voulu te cuisiner un petit quelque chose pour noël, mais rien à faire, tout crame. Impossible de cuire quoi que ce soit dans ton four, hein ? » Law retint un petit rire sarcastique. Peut-être que si le petit brun pensait à surveiller la cuisson, les choses s'arrangeraient niveau cuisine. Il sourit tout de même un peu plus en repensant à ce que lui avait dit le jeune homme. « Chirurgien de mes rêves » n'était pas une formule qu'on employait pour un simple ami, et Trafalgar le savait très bien.
« Alors comme ça je suis le…hum…comment tu as dit ça déjà ? Ah, oui. « Chirurgien de tes rêves » ? Plutôt plaisant, à vrai dire. » Luffy sortit la tête de la petite cuisine pour l'observer avec ses grands yeux, se mordant un peu la lèvre inférieur, le teint un peu pâle. Law était surpris, il n'aurait jamais crut que l'adolescent (ou le jeune adulte), blêmirait par sa faute : si il l'avait su, il n'aurait sûrement pas essayé de la taquiner à ce sujet ! Enfin, le petit DJ prit la parole, dans un murmure un peu trop triste pour être agréable aux oreilles de Law :
« Ne fait pas comme si tu ne le savais pas. S'il-te-plaît. »
« Bordel ! » Faillit hurler Law, réalisant sa bêtise. Jamais il n'aurait du dire ça au plus jeune. Ce dernier avait un faible pour lui et il souffrait de sa non réciproquée. Bon, d'accord, Law n'était pas si indifférent au garçon. Mais il n'était pas obligé de le lui dire, après tout. Tant qu'il n'était pas sûr que son petit coup de cœur pour le gamin dure, il se devait de ne pas lui en faire part, pour ne pas lui donner de faux espoirs. Luffy souffrait assez comme ça, à cause de lui, pour ne pas qu'en plus, il en rajoute une couche. Dans un soupir, Law se leva, se plantant face au jeune brun. Luffy se mordit la lèvre plus fort encore. Doucement, Law passa le dos de sa main sur la joue du jeune homme face à lui. Luffy blêmit tellement qu'il ressembla à de la porcelaine. Et, à la réflexion, cette image plu à Trafalgar : la porcelaine est belle, délicate et fragile, on se doit de la protéger. Et il savait Luffy beau, délicat quand il le fallait et fragile, malgré toutes ses barricades qu'il mettait autour de lui pour ne pas qu'on s'en rende compte.
« Ne me tente pas…murmura celui qui sortait tout juste de l'adolescence, les mains tremblantes. » Law retira doucement sa main du visage de l'ange, et il pu voir un éclaire de douleur apparaître dans les yeux du garçon. Il fit un pas en arrière, lentement, comme si prendre son temps lui permettrait de ne plus voir cet éclat dans ces magnifiques yeux. Luffy mit doucement ses mains dans ses poches et, lui aussi, il fit un pas en arrière, comme pour souligner la distance qu'il y avait entre les deux adultes.
« Désolé, murmura Law à son tour. » Il baissa gravement la tête, conscient du faux espoir qu'il venait de donner à son ami, et se détourna de la cuisine pour s'installer confortablement dans le canapé, un gros livre de médecine qu'il avait chipé au passage sur la table à manger entre les mains.
Luffy, quand à lui, soupira. Il ne pouvait tout simplement pas être avec le chirurgien : trop différents et, surtout, son amour pour lui n'était pas réciproque. L'homme aux cheveux noirs avait vingt-et-un ans, alors que lui tout juste dix-huit. Ce même homme avait eu son bac avec mention « Très bien » avant de devenir un grand médecin dans un hôpital de renom, au centre de Paris, alors que lui avait obtenu son bac de justesse avant de gratter les petits boulots et de finalement se retrouver pistonner dans une boîte de nuit pour être DJ grâce au retour en ville de son grand ami musicien : Brook. Et enfin, dernière différence fatale, et la plus importante entre ceux-là : Law était un homme. Lui n'était qu'un bébé. Un bambin, peut-être. Pour sûr que Law ne comptait sûrement pas sortir avec quelqu'un comme lui et son immaturité, son innocence, sa naïveté. En témoignent les multiples copains de Trafalgar : tous plus âgé que lui, ou du même âge, tous dans l'univers de la médecine, ou très intelligents, tous matures, ou même carrément surdoués.
Luffy était surdoué. Mais les psychologues lui disait qu'il n'arrivait pas à « canaliser correctement sa…grande énergie ». Son amies Robin lui avait dit, quand à elle, « ça ne sert à rien de canaliser ton dynamisme, parce que c'est là qu'elle est, ton intelligence. Tu n'es pas intelligent de la façon dont les gens l'entendent. Tu es intelligent quand tu te dois de l'être et ce, selon tes propres conviction. Tu sors du cadre, ils ne savent pas quoi dire à ton sujet parce qu'ils ne peuvent pas te ranger dans une case. Et c'est ça, ta plus grande intelligence, sortir de la norme. ». Et il en était très content. C'était sûrement la meilleure personne qu'il avait consulté au sujet de sa « particularité intellectuelle ». Il était intelligent quand cela comptait vraiment pour lui, donc, pour rendre heureux ses amis, ses proches, et ça lui allait très bien comme ça.
Il posa délicatement une assiette contenant tout ce qu'il avait pu sauvé des différents plats qu'il avait entrepris de faire et dressa une petite place pour Law avant de lui souhaiter un joyeux noël, de déposer son cadeau au pied du sapin qu'il avait lui-même décoré pour l'amoureux du solo, et de s'en aller dans la nuit.
Frigorifié, il se rendit chez son grand-père pour passer son réveillon en compagnie de toute sa famille et des ses amis les plus intimes comme les plus récents, heureux de retrouver son meilleur ami aux cheveux verts à qui il allait pouvoir raconter tout son début de soirée, histoire de se changer les idées grâce aux mots de Zoro, qui avait tendance à le réveiller de ses songes le plus noirs, et à l'aider à plonger dans ses plus beaux rêves.
C'est immensément joyeux qu'il retrouva tout le beau monde qu'il connaissait, dont Coby, tout nouvellement retrouvé, puisqu'il suivait un stage aux cotés de son grand-père, chez les militaires. Il sourit à son père, fit la bise à sa mère, et passa la barrière de ses nombreux amis (encore une différence avec Law) pour arriver devant Zoro (Sanji sur les genoux), Nami, et Jewelry. La rose sauta sur ses pieds, les yeux grands ouverts :
« Alors ? Tu étais chez Trafalgar pas vrai ? Est-ce que ça s'est bien passé ? J'espère que oui, je lui est hurlé dessus avant qu'il rentre (bon, mais je lui ai pas précisé qu'on se connaissait bien, toi et moi). » A la mine gênée de Luffy, elle devina que rien ne changeait dans la relation qu'entretenait ses deux amis. Nami leva les yeux au ciel, et Zoro grinça des dents.
« C'est pas vrai, il est vraiment trop cons ! s'exclama Sanji, presque choqué. » Zoro rit un peu devant la réaction de son copain et resserra son étreinte. Nami, quand à elle, se leva à son tour, aux cotés de Jewelry.
« Oublie-le sérieux, il te fait souffrir, il n'en vaux pas la peine. » Robin, qui s'était rapproché avec Ussop et Chopper hocha doucement la tête.
« Les gens qui font souffrir Luffy ne méritent pas de vivre, dit-elle tranquillement.
-C'est glauque, Robin, soufflèrent les deux garçons qui l'accompagnait et Nami, lassés d'entendre ce genre de discours dans la bouche de leur amie brune. Luffy, quand à lui, rigola bêtement : lui aussi avait l'habitude, et, franchement, ce n'était pas un problème.
« Dis-moi, dis-moi, fit sa mère, intervenant dans la conversation. Tu y es allé habillé…comme ça ?
-Ben. Ouais.
-Tu m'étonnes qu'il ne veuille pas t'épouser.
-Premièrement : Mais euh ! Deuxièmement : Euh, on en est même pas à sortir ensemble ou encore s'embrasser M'man.
-C'est bien ce que je dis. Et franchement, je le répète, ne va pas le voir dans ton espèce de truc et avec ce chiffon sur le dos, ou ses machins de paille aux pieds, si tu veux le séduire !
-Ne l'encourage pas, Hancock ! Ce médecin est trop bizarre pour que je le laisse fricoter avec mon fils…
-Genre…soupira Luffy, blasé par le comportement habituel de ses parents (même si le relooking, c'était une première, d'habitude, sa mère le trouvait parfait en toutes circonstances).
-Ce que je veux dire, commença cette dernière, c'est que, bien sûr, tu es parfait !
-Ah, je me disais aussi…
-Dragon ! Je n'ai pas terminé ! Ou en étais-je ? Ah, oui ! Tu es parfait mais, cependant, cette espèce d'imbécile ne le remarque pas et, visiblement, ça te blesse. Donc, on va mettre en valeur toutes tes qualités avec un relooking ! Bien sûr, tu garderas ton magnifique chapeau de paille, cadeau de ton oncle. Est-ce que cela convient à tout le monde ? » Demanda-t-elle enfin, se tournant vers toutes les personnes présentes pour quémander leurs avis, car ils s'étaient tous arrêter dans leurs conversations pour écouter celle-ci, plus passionnante. Comme tout le monde hochait la tête, elle sourit, ravie et fière d'elle.
« Mais euh… Moi ça me convient pas, gémit Dragon. »
Re-Salut (Re-Coucou) Il disparaît si vous le lui demandez (même pas en rêve) et mer...zut.
Bon, on a eu le temps de faire connaissance puisque je dois le supporter tout le long de cette histoire (et toi qui croyais que tu allais adorer poster sur du LawLu, te voilà enchaînée à moi jusqu'à la fin. LOL) et il s'appelle (Sherlock, enchanté) ne me demandez pas (pourquoi), et arrête de me couper (la parole?) La parole...
Bon! J'espère que ça vous a plu, bien sûr, signalez moi les fautes! (Et elle corrigera) Pourquoi pas toi? (Moi, je suis pas matériel, idiote). Je le hais mais je le hais. (BREEEEEEEEEF)
A la prochaine pour la suite de l'aventure qui unira (peut-être) ne leur fout pas le blues, Trafalgar et Luffy.
PS: Je poste plus tôt que prévu pour (excuser) le (pitit) retard de "I want to be me"
Et oui (j'ai bien écrit), il a bien écrit, pitit (pitit).
Au secours, sauvez-moi.
