Voici la fics de notre petite gwen , elle ne possède pas les personnages de , même si je sais que ca la dérangerais pas lol
Voilà laissez nous des reviews c'est toujours plus sympa ;)
Chapitre 1 : Palpitation
Encore une nouvelle journée dans ma parfaite petite vie.
Seule dans ma chambre, je finissais de me préparer pour le lycée. J'enfilais cette tenue hors de prix que j'étais allé choisir avec ma mère, la semaine passé.
C'était un rituel, avant chaque rentrée scolaire, ma mère nous emmenait mes sœurs et moi, choisir un ensemble haute couture, histoire surement de marquer les esprits. Comme si j'avais besoin de ça.
Je me regardais pour la dixième fois dans le miroir pour trouver une imperfection, mais rien. Jamais rien. Le reflet que me renvoyait la glace était toujours parfait. Pas un seul cheveu ne dépassait, pas de kilo superflu, teint parfait, maquillage impeccable.
Nos parents investissaient des centaines de dollars tout les mois pour que nous incarnions la perfection.
Pourtant depuis des semaines, restait figé sur mon visage, cet air triste et morose, que je tachais tant bien que mal de dissiper par des sourires parfait mais forcés.
Il était 8h30 et j'allais être en retard. Je descendis saluer mes parents et manger mon petit déjeuner constitué essentiellement de fruit et de produits diététiques.
"-Bonjour ma chérie, tu es magnifique dans cet ensemble."
"-Merci maman."
Ma mère était pour moi la perfection absolue. Ravissante, sans superflu, toujours souriante et d'une gentillesse inégalable.
"-Ce n'est pas aujourd'hui ta certification de mathématique?"
"-Si papa, tu parles d'une rentrée, un contrôle des le premier jour."
"-C'set pour vous mettre vite dans le bain.
Bonne chance ma chérie."
Mon père m'embrassa sur le front et quitta la cuisine pour se rendre à l'hôpital. Il était un des chirurgiens les plus réputés du pays.
Mes parents s'étaient connus à la fac et ne s'étaient plus jamais quittés. Mon père étudiait la médecine, tandis que ma mère suivait des cours de journalisme. Elle travaillait aujourd'hui comme présentatrice du plus important journal télévisé de la région.
Nous ne manquions évidement de rien et pourtant je ressentais en moins un vide si intense qu'il m'était impossible de l'expliquer à quiconque. Je me contentais de faire bonne figure. D'abord devant mes parents, que j'aimais beaucoup trop pour inquiéter et ensuite devant mes amies. Présidente des élèves, meilleure amie de la reine du lycée et membre du groupe de filles le plus populaire de l'école, je devais avoir le sourire du matin jusqu'au soir.
Mes amies m'attendaient déjà devant la maison. Je me dépêchais donc d'avaler ma pomme et de courir jusqu'à la voiture d'Aude, qui klaxonnait à réveiller les morts.
"-Encore en retard!"
"-Eh oui tu me connais, même le jour de la rentrée."
"-On ne change pas une équipe qui gagne."
Nous nous connaissions depuis la crèche. Nos parents côtoyaient le même cercle d'amis. Sandrine était la fille du maire, Véro celle du chef de police. La mère d'Estelle avait était dans sa jeunesse la miss de notre état, et son père était sénateur. Les parents de Aude quand à eux était les fondateurs d'un riche empire hôtelier. Nous faisions parties de la jeune richesse de la ville.
Arrivé à l'école, Aude gara sa voiture à sa place habituelle. Même après deux mois de vacances, personne ne s'aventurait à la lui prendre.
Je sentais les regards se poser sur moi, surtout ceux des garçons. J'étais pourtant célibataire, j'avais eu certes beaucoup de conquête et nombreux était les garçons qui pouvaient se vanter de m'avoir eu dans leur lit. Je n'en étais pas fier, mais en couchant avec eux je me sentais vivre et surtout, je me sentais bonne à quelque chose. J'avais néanmoins envie de quelque chose de plus sérieux ces derniers temps. Je voulais me sentir aimer pour autre chose que pour mon corps parfait.
A ce moment précis, devant les portes de mon lycée, j'ignorais encore que mon existence allait changer du tout au tout.
Nous nous apprêtions à rentrer dans l'établissement lorsque deux trés belle voiture entrèrent sur le parking. Elles se garèrent toute les deux assez loin de l'entrée, et pourtant tout les regards étaient dirigés vers elles.
De la première voiture, une sportives rouge, sortit d'abord une jeune fille, petite mais très jolie. Elle avait le teint très pâle, ses cheveux étaient brun et coupé en carré. La seconde jeune fille était d'une beauté qui me coupa le souffle.
Je constatai vite que je n'étais pas la seule. Tous les yeux masculins qui me dévoraient un instant plus tôt étaient figés sur elle à présent. Ses cheveux blonds brillaient comme le soleil, et contrairement à la précédente, elle était grande, et avait une démarche impériale.
J'étais tellement absorbés à la regarder que j'en avais oublié l'autre voiture, jusqu'à ce que la voix de mes amies me sortent de ma contemplation.
"-WHAOU!!!"
Toutes les quatre avaient poussé ce cri d'extase en même temps. Je détournai mon regard pour suivre le leur.
Du second véhicule, sortirent d'abord deux garçons. Le premier était blond, très beau, mais avait une allure peu assuré. Il fuyait tout le monde du regard et se précipita au cotés de la petite brune.
Alors que le second, un dieu ambulant, semblait très sûre de lui. Il avait une carrure de rugbyman, brun avec des yeux couleur ambre comme les trois autres, mais les siens était à se damner. Je fus vite coupé de mes fantasmes en le voyant embrassés la belle blonde. Il formait un couple parfait et quelque chose me disait qu'Estelle n'aurait pas cette année son titre de reine du lycée.
Alors que nous pensions qu'il n'était que quatre, un troisième garçon sortit de la voiture. A ce moment précis, mon cœur s'est arrêté de battre, et je crois qu'il ne reprit jamais son rythme normal depuis. Il était comme les quatre premiers d'une beauté époustouflante.
Mais il avait ce quelque chose que l'on ne peut expliquer et qui vous frappe en plein coeur.
Ils entrèrent tous les cinq dans l'établissement, il me frôla et je failli défaillir. Il me le fallait, je ne renoncerai pas, et je serai prête à tout. je sentais au fond de moi, que ce ne serait pas une mince affaire, et que j'y laisserai sans doute quelques plumes, voir même mon coeur. Je me sentais lié à lui par une chose que je ne pouvais expliquer.
C'est alors que la sonnerie retentit, me coupant de mes rêveries. Notre premier cours était celui consacré à l'examen de Math.
Sur le chemin de la salle, Sandrine nous apprit ce que son père lui avait dit sur les nouveaux venus.
Il venait d'une petite ville à coté de Port Angeles sur la côte ouest, ils avaient déménagés durant l'été. Tous les cinq étaient les enfants adoptifs d'un médecin et de sa femme, et ils habitaient une grande villa à la sortie de la ville.
Je fus positivement surprise en voyant qu'il était dans ma salle, les tables étant disposé en carré autour du professeur pour l'interrogation, j'en choisis une face à lui.
Le professeur nous distribua les copies e lança son chronomètre, nous avions une heure pour réussir le test.
je commença à cocher quelques réponses, et comme toujours pour les QCM, j'y allais au hasard. Mais au bout d'à peine dix minutes, mon esprit se mit à divaguer bien malgré moi.
Cette créature magnifique était face à moi et rien ne pouvait m'empêcher de penser à lui.
C'est alors qu'il se leva et sortit de la salle, sans écouter les protestations du professeur, je le suivis dans le se retourna vers moi et me tendis la main.
Comme s'il savait ce que j'attendais de lui, il m'entraina dans une salle vide, puis il commença à m'embrasser avec une fougue qui m'excita fortement.
J'avais déjà embrassé des centaines de garçons, mais avec lui s'était comme si c'était la première fois. L'envie de le posséder monta en moi, j'avais envie de lui comme je n'avais jamais eu envie de personne. A nouveau comme s'il savait ce que je voulais, il m'attrapa par les hanches et m'assit sur le bureau.
Petit à petit, ses mains montaient sous ma jupe, il arriva à mes bas, qu'il m'enleva doucement, puis il remonta en n'embrassant chaque partie de jambes, d'abord mes pieds, puis mes mollets, mes cuisses, et enfin il se retrouva aves la tête sous ma jupe à enlever violement mon shorty, et à m'enlever ma jupe. J'étais presque nu sous ses bras. Il continua alors à s'attaquer à moi en déchira mon haut. Peu importe le prix que ma mère y avait mis, il avait tout les droits, tant ses caresses me faisaient du bien.
Il commença à jouer avec les brettelles de mon soutien-gorge, puis l'enleva complètement, et pris dans ses grandes mains ma poitrine ferme de plaisir et de désir pour lui.
Volontairement il se mit à les lécher doucement, comme pour faire monter le désir en moi, il avait décidée de me torturer.
Il avait introduit deux doigts en moi et caressait mon clitoris tout en continuant de jouer avec mes tétons, il ne me fallut que peu de temps pour atteindre l'extase. Je passai ma main sous son pull, et caressa son torse musclé, tout en profitant de chaque seconde de mon orgasme.
Malheureusement pour moi, je fus interrompu en plein élan par la sonnerie de fin de cours. Je me retrouvai devant mon professeur qui ramassait ma copies, vierge de réponses. J'avais rêvé, tout ceci n'était qu'un rêve. Je leva ma tête vers lui, il me fixait d'un air un peu gêné, puis il détourna le regard et sortit de la salle.
Il m'avait donné le meilleur orgasme de ma vie, virtuellement certes, mais le meilleur incontestablement, et je ne connaissais même pas son nom.
