UN DESTIN MIS A L'ÉPREUVE

Note de l'auteur : les personnages principaux ne m'appartiennent pas mais sont la propriété de la FNL. Tout personnage non présent dans la version orignal FNL m'appartient. Cette fanfiction a un but de divertissement et non un but lucratif.

La famille Taylor avait tout pour être heureux. Tami avait trouvé son bonheur en aidant les plus jeunes à s'en sortir, Éric venait de gagner le 3ème championnat de sa carrière de coach entraîneur chef. Leur plus grande fille, Julie vivait sa vie avec Matt à Chicago et la petite Grace était au collège. Tami et Éric étaient plus amoureux que jamais. Éric avait reçu une promotion dans une université de Chicago et décida d'accepter l'offre. Ça faisait un moment que Julie vivait loin d'eux et sa présence lui manquait, et à Tami aussi, il le savait très bien et avait décidé de lui en faire la surprise. Ce soir il l'invitera au restaurant pour lui annoncer la nouvelle.

Ce soir au restaurant :

Éric : j'ai une grande nouvelle à t'annoncer ma chérie !

Tami : je t'écoute mon amour

Éric : j'ai accepté une offre de coach chef dans une université.

Tami : c'est super chérie mais tu aurais pu m'en parler, on en aurait discuté ensemble. J'aime mon travail et ses enfants et…. mais tu m'as pas dit où était ton poste ?

Eric: University de Chicago!

Tami: Chicago?! Tu veux dire… ?

Éric (sourire aux lèvres) : oui ma chérie, notre famille sera de nouveau réuni. Et ce que j'ai bien fait de t'en faire la surprise ?

Tami (sautant dans les bras d'Éric) : oh mon amour, je t'aime ! C'est merveilleux. Quand partons-nous ?

Éric : dans un mois, il faut que je prenne mes fonctions avant la rentrée.

Tami soudain inquiète : 1 mois mais c'est trop court pour trouver une maison.

Éric : Ne tant fait pas, l'université me propose un logement de fonction.

Tami embrassa Éric et décida de rentrer à la maison pour fêter ça dans leur chambre en amoureux.

Une semaine plus tard, toute la famille était en plein préparatif pour le départ. Julie était très contente d'accueillir ses parents dans sa ville de Chicago. Il était tard quand Éric quitta son bureau de coach à Dillon Est. En effet, il préparait son départ de l'équipe et formait Billy Riggins au poste de coach chef. Il prit sa voiture pour rentrer chez lui quand soudain une voiture déboula de nulle part, elle fonçait droit sur lui. Éric mit un grand coup de volant pour éviter l'impact et glissa au bord du ravin qui longeait la route. La voiture le percuta malgré tout et il tomba dans le ravin en faisant des dizaines de tonneau qui fut arrêté que par un arbre en contre bas.

Vers 23h chez les Taylor le téléphone sonna, Tami répondit et fut très inquiète par l'interlocutrice, une secrétaire médicale. Son mari venait d'avoir un grave accident mais qu'on ne pouvait pas lui en dire plus au téléphone. Elle réveilla Grace, mit son manteau et partit toutes les deux, direction l'hôpital.

À l'hôpital

Tami (à la secrétaire médicale) : bonjour, mon mari est arrivé ici en urgence dans la soirée, on vient de me prévenir il y a quelques minutes.

Secrétaire : oui, Mme Taylor c'est cela ?

Tami inquiète: comment va-t-il ? Puis-je le voir ?

Secrétaire : je vais prévenir le médecin que vous êtes arrivé. Rejoignez la salle d'attente s'il vous plaît. On s'occupe de vous.

Dans la salle d'attente, Tami entendit quelqu'un l'appeler : Tami !

Tamia : Buddy !? Mais que fais-tu là ?

Buddy : c'est moi qui ai trouvé Éric et appelé les secours, ça fait 2h que j'attends des nouvelles. Il l'opère.

Tami : qu'est ce qui s'est passé ? Comment était-il ?

Buddy : je rentrais en ville quand j'ai vu une voiture accidentée sur le bas-côté. Le mec au volant était mort sur le coup. Quand je me suis approché j'ai vu des traces de pneu et des ornières au bord du ravin, et j'ai vu une voiture en contre bas. Je suis descendu voir. Quand j'ai reconnu la voiture d'Éric, j'ai couru vers lui. C'était horrible Tami ! Du sang couvrait son visage et il était inconscient, il avait un pouls très faible. Les secours sont arrivés 15 minutes plus tard et on mit plus d'une heure à le sortir de la voiture. Oh Tami je suis désolé ! (les larmes aux yeux).

Tami pleurait : oh Buddy, merci ! Heureusement que tu es passé par là. (Tami se jeta dans les bras de Buddy et tous deux pleuraient).

15 minutes plus tard, le médecin convoqua Tami, sa fille et Buddy pour discuter de l'état d'Éric.

Docteur : Mr Taylor est dans un état critique en ce moment, il a fait 2 arrêts cardiaques dus à la pression de sang contre son cœur. Son corps était complètement bloqué par le tableau de bord ce qui explique que son poumon, c'est perforé et des difficultés respiratoires à son arrivé ici. Nous avons pu arrêter l'hémorragie. Il y a des dommages à son cerveau dû aux nombreux chocs violents qu'il a subi à cause des tonneaux. Et sa colonne vertébrale est aussi gravement touchée.

Tami : que voulez-vous dire gravement toucher ?

Docteur : Mr Taylor est paralysé. Mais actuellement nous ne sommes pas en capacité de dire à combien de pourcentage. Une chose est sûre, il ne remarchera plus.

Tami (en pleure) : NON ! Ce n'est pas possible ! NON mon mari est un entraîneur sportif, il ne peut pas être paralysé, il est sportif et en excellente santé. Vous allez voir il va se lever et partir d'ici, il a toujours détesté les hôpitaux.

Docteur : je suis désolé mais c'est impossible pour le moment. Votre mari est dans le coma. C'est pour cette raison que nous ne pouvons pas vous certifiez les dégâts entraînés par le choc au cerveau, ni si ses autres membres fonctionnent.

Tami : NON, ce n'est pas vrai, vous mentez ! Je connais mon mari mieux que vous, Éric est un battant et solide. (Elle sortit dans le couloir en courant, dévastée).

Buddy : est-ce qu'il se réveillera ?

Docteur : pour être franc, c'est 50/50. Son cerveau a subi des chocs violents. S'il se réveille, il peut avoir de graves séquelles.

Buddy : de quel genre ?

Docteur : réapprendre les gestes du quotidien comme la parole. Au pire des cas, handicap mental mais cette probabilité est très mince je vous l'accorde. Au mieux ça peut affecter qu'une région de son corps. On ne peut pas le savoir avant qu'il se réveille.

Buddy : merci docteur. Peut-on le voir ?

Docteur : bien sûr je vais vous y conduire.

Dans la chambre d'hôpital :

Tami avait du mal à regarder son mari, lui si actif et si joyeux d'habitude, là il était calme et silencieux, très pâle aussi. Des fils le reliaient à plusieurs machines, un bip sonore résonnait dans sa chambre. Elle n'avait qu'une envie, c'était de partir de cette atmosphère pesante. Heureusement Buddy était là pour la soutenir et elle se devait d'être forte pour sa fille. Oh mon dieu, comment annonçait ça à Julie ! Le faite d'y penser lui faisait monter les larmes aux yeux. Leur vie était si parfaite et enfin leur famille allait être réunie. Pourquoi ? Éric ne méritait pas ça.

Elle s'approcha de son lit, lui prit la main et susurra des mots d'amours à son oreille. « Je t'aime mon amour, accroche-toi ! J'ai besoin de toi, tes filles ont besoin de toi ! Les jeunes ont besoin de toi ! S'il te plait mon cœur réveille-toi. Et elle pleura sur lui. Buddy était derrière elle et la soutenait comme il pouvait mais lui aussi était assez secoué par l'apparence de son meilleur ami. Surtout après ce que le médecin lui a dit à propos de son état physique et des séquelles possibles. Éric a toujours été là pour lui, maintenant à lui d'en faire autant, en espérant qu'il se réveille bientôt. Grace regardait aussi son père et lui tenait l'autre main mais rester murée dans son silence. Tami était inquiète à ce sujet. Ils restèrent pendant 1H comme ça et rentrèrent chez eux tard dans la nuit.

Le lendemain matin, Tami décida d'appeler sa fille Julie pour la prévenir de l'état critique de son père.

Tami : allo, ma chérie ! Tu vas bien ?

Julie : allo maman, oui ça va bien, je m'apprêtais à partir au travail. Tu peux me rappeler ce soir ?

Tami en larme au téléphone : ma chérie, il est arrivé quelque chose de grave à ton père. Il est dans le coma ! Je suis désolé ma chérie…

Julie : dans le coma… Qu'est-ce que…

Tami : ton père a eu un accident de voiture hier soir et il est dans un état critique et il a sombré dans le coma.

Julie en larme : mon dieu ! Pas papa, non ! Je prends le premier avion et j'arrive.

Tami : Julie non, on peut gère, tu as d'autres occupations professionnelles.

Julie : maman, papa est dans le coma et tu veux que je continue à bosser comme si tout allait bien. Je veux être là avec vous. J'arrive rapidement. Salut maman.

Julie raccrocha le téléphone et s'effondra sur le canapé en pleure et pria très fort que son père ce réveille. Elle appela ensuite Matt pour le prévenir qu'elle partirait pour Dillon dans la soirée.