Salut la compagnie me voici avec une nouvelle OS, alors ne vous inquiétez pas je vais mettre à jour mes deux autres fics.

C'est juste que la lettre que j'ai écris au départ n'était pas censé être une fanfic, ce que j'y raconte m'es vraiment arrivé et je ne sais pourquoi j'ai voulu la mettre dans cette histoire. J'avais vraiment besoin de sortir tout ça et puisque ça m'empêcher d'écrire mes autres fics autant qu'elle serve pour une autre.

C'est complètement UA et bien que ce soit une OS si jamais certains pense qu'il faut une suite alors je l'écrirais.
Trois fics en même temps ça doit pas être impossible ;)

Et aussi je suis à la recherche d'un beta-lecteur car je sais que je fais beaucoup de fautes et j'aimerais limiter la casse. Je trouve aussi que c'est un avantage puisque ça me permettrait de modifier ou ajouter certains passages. Donc si quelqu'un est intéressé qu'il m'envoie un MP.

En tout cas j'espère que ça vous plaira.

Bonne lecture ^^ et rdv en bas

Il sait qu'il ne devrait pas être là, elle lui a interdit à de nombreuses reprises.

Il sait que s'il se fait prendre il en subira les lourdes conséquences.

Mais il a besoin de savoir, il a besoin que pour une fois dans sa vie il connaisse la vérité.

Il a besoin de mettre un visage sur ses souvenirs flous, il a besoin de mettre un nom sur cette voix.

Il a besoin de la trouver.

Mais sa mère lui a interdit de parler d'elle sous ce toit, interdit de poser la moindre question sur elle.

Les photos d'avant sa naissance à disparut, tout signe qu'un jour quelqu'un d'autre à vécu dans cette maison ont été enlevé.

C'est comme si elle n'avait jamais existé.

Mais il le sait, il la vue dans ses rêves, quand des souvenirs si lointain lui reviennent.

Il avait une mère avant, une autre. Une avec qui vivait sa mère brune, une avec qui elle était heureuse.

Tout ce qu'il sait d'elle, c'est qu'elle les a abandonné.

Mais malgré cela il veut savoir qui elle est, il veut la voir.

Parce que malgré tout elle reste sa mère.

Et il en est sûr c'est dans le bureau de sa mère qu'il trouvera les réponses à ses questions parce qu'il doit bien y avoir une raison pour laquelle elle lui interdit l'accès.

Et pourtant au bout d'une heure de recherche il n'a rien trouvé, il ne reste plus que ce tiroir continuellement fermé à clé.

Ça doit être là, c'est forcément là.

Il ne lui reste qu'une heure avant que sa mère ne rentre d'une réunion du conseil municipal, il doit faire vite.

Il est doué pour voler des choses et être très discret, ne jamais se faire prendre. Il suppose qu'il tient ça de son autre mère car ce n'est pas le cas de la brune. Grâce à ce don il a pu récupérer la clé du tiroir sans que sa mère s'en aperçoive.

Malgré son assurance il redoute ce qu'il va découvrir, il redoute la vérité parce qu'il a apprit que la plupart du temps elle fait mal.

Le tiroir s'ouvrir avec un déclic qui résonne dans la maison vide, un son qui le fait frissonner car il sonne terrible, comme si on sonner l'heure de sa sentence.

Il l'ouvre si lentement, il a l'impression que le temps s'étire et la sueur perle sur son front. Ses mains sont moites et tremblent légèrement.

Ce qu'il va découvrir va changer sa vie à jamais.

Le tiroir est vide à l'exception d'une simple enveloppe reposant en son milieu. Le blanc cassé se démarque sur le bois brute du bureau et lui fait penser au sang sur la neige fraîche.

Il la saisit entre ses doigts tremblent et l'amène au niveau de son visage. Sur l'enveloppe immaculé est écrit un unique nom, aucune adresse, aucune autre indication. Jute dans l'écriture fine et élégante de sa mère un nom.

Emma Swan

Il retourne l'enveloppe et est heureux de découvrir qu'elle n'est pas fermé.

Il récupère la lettre d'une main fébrile et la déplie délicatement.

Il peut voir que le papier est écrit recto-verso et des tâches de larmes parsèment la feuille.

Il décide de prendre son courage à deux mains, prend une grande inspiration et commence à lire.

Peut-être qu'un jour j'arriverais à oublier la souffrance, à oublier tout ce qui s'est passé.

Mais les larmes qui coulent toujours sur mes joues et les cicatrices sur ma peau sont un rappel amer.

Tu ne te rends pas compte à quel point tu m'a détruit, tu ne vois pas à quel point je souffre, tout simplement parce que tu n'es plus là.

Tu es partis aussi vite que tu es entré dans ma vie.

On se connaissait à peine et pourtant en si peu de temps tu étais au plus profond de mon cœur et mon âme.

Tu étais la première à qui je me suis autant ouverte, je t'ai montré mon côté le plus sombre parce que je savais qu'on possède la même noirceur au fond de nous.

Et tu m'as tant bouleversé, tu m'as tant fait douter de moi et de qui je suis.

J'étais totalement perdu et je n'arrivais pas à mettre des mots sur mes sentiments, bien qu'aujourd'hui je sais que c'était de l'amour.

Mais avant que j'ai pu mettre de l'ordre dans mes sentiments tu t'es enfuis en me laissant derrière sans aucune nouvelle.

Et j'aurais dû me douter de comment cela allez se terminer parce que toi et moi on est pareil, on fuit dès que les choses deviennent difficiles.

On préfère abandonner plutôt que de se battre parce qu'on est faible, parce qu'on est lâche.

Tu as fuis loin de moi et tu m'as brisée.

Désormais je ne peux plus aimer comme je t'ai aimé, je ne peux plus vivre comme je vivais avec toi.

Désormais tout semble différent, même le bonheur n'est plus le même, plus aussi doux et bon à vivre parce qu'il me manque un bout de moi, plus aussi fort et intense parce qu'il manque un bout de mon âme.

Et je voudrais te dire que je te pardonne mais ce serait mentir parce que tu as fais de moi ce que je suis maintenant, juste une ombre, un rien, le vide, le néant.

Maintenant mon cœur reste froid et tout ce que je suis capable de ressentir c'est la colère.

Je voudrais tant te faire souffrir, pouvoir t'arracher le cœur et l'écraser entre mes doigts.

Parce que c'est ce que tu as fais pour moi, tu as fais ressortir mon côté le plus sombre et je te hais pour ça encore plus si c'est possible.

Et j'espère qu'un jour je réussirais à t'oublier.

J'espère que je pourrais vivre et aimer à nouveau.

Car pour l'instant il y a ces murs infranchissables qui entourent mon cœur.

Et je sais que tu ne liras sans doute jamais ces lignes, que tu ne prendras sans doute jamais conscience du mal que tu m'as fais mais je veux que tu saches que malgré tout ce qui s'est passé, je veux que tu saches que malgré que je te hais,

Je veux que tu saches que je t'aime et je t'aimerais,

À jamais.

Les larmes coulent librement sur ses joues mais il n'en a que faire. Ce qui vient de lire le bouleverse tellement.

Il sait que ses mères s'aimé profondément et quand il voit à quel point sa mère brune en à souffert il ne peut empêcher une petite bulle de colère se former dans sa poitrine.

Maintenant il est plus que sûr il doit trouver son autre mère, il doit savoir tout ce qui s'est passé.

Il ne veut plus que sa mère souffre de tout ça, même dix ans après. Il veut qu'elle retrouve le bonheur et le sourire.

Sans se soucier il laisse le tiroir ouvert et la lettre sur le bureau.

Plus que quarante cinq minutes pour trouver où Emma réside, faire ses affaire et partir la chercher.

Il se doute que la brune sera folle d'inquiétude mais elle comprendra quand elle verra son bureau.

Il monte les marches deux par deux, se précipite dans sa chambre et se jette sur l'ordinateur.

Il a trouvé ! Il ne pensé pas en être capable mais il l'a fait.

Emma Swan réside à Boston.

Il a prit un biller de car grâce à la carte de crédit de son institutrice et à fait son sac.

Plus que dix minutes avant que sa mère ne rentre il doit se dépêcher.

Arrivé au rez de chaussé il jette un coup d'œil au bureau et décide d'y laisser une note.

Après cela il quitte la maison et la ville sans se retourner.

Il va ramener sa mère à la maison.

- Henry je suis rentré !

Elle laisse ses chaussures dans l'entré et dépose son manteau sur le portant.

Elle est contente d'être à la maison, cette réunion interminable commencé à lui peser.

Elle se glisse tranquillement dans la cuisine et se sert un verre d'eau.

- Henry ?

C'est bizarre que son fils ne lui réponde pas, d'habitude quand elle rentre du travail il se jette toujours dans ses bras.

Elle quitte la cuisine et se dirige vers les escaliers au passage elle apercoit la porte de son bureau entre ouverte.

- Henry je t'ai dis cent fois que tu n'as pas le droit d'aller dans mon bureau !

Elle pousse tranquillement la porte et rentre dans le bureau, elle constate que celui-ci est vide.

Cependant elle peut voir qu'un tiroir est ouvert et que quelque chose repose sur le bureau.

Elle ne peut empêcher l'angoisse sourde ramper dans son esprit et elle se saisit rapidement de la note qu'Henry à laissé.

Je suis désolé

Et puis c'est là qu'elle la voit. La lettre.

Celle qu'elle a écrit il y a tant d'année et qui semble une éternité.

Elle comprend maintenant où son fils est passé et elle ne peut retenir ses larmes.

Elle saisit son téléphone et d'une main tremblante tape un numéro.

- Allo ?

- Shérif, Henry s'est enfuit.

Ce qu'elle redoutait le plus va se produire.

Celle qui lui a brisé le coeur va faire son grand retour.

Emma Swan en personne.

Donc voilà dite-moi ce que vous en avez pensé et je vais essayer de poster la suite de Les mots peuvent tout changer courant cette semaine pour ceux qui la suivent.

Merci d'avoir lu et rdv pour les prochains chapitres de mes fics ou de cette fic si certains veulent.

Salut ^^

Ketsurui Yami

Un jour mes démons prendrons le dessus et tous verrons qui je suis vraiment,

Un Ange déchut