Salut ! une petite fic de deux chapitres.
Une petite histoire d'amour entre Kyo et Yuya.
Je ne sais pas si j'ai bien suivie le caractère des personnages on verra bien ^^.
Pardonnez-moi pour les fautes nombreuses qu'il doit y avoir. m(_ _)m
« Kyo m'aimes-tu ?
Yuya Shiina venait tous juste de rentrer dans sa deuxième année dans la faculté d'Art la plus réputé de Tokyo, quand elle tourna la tête dû à un gloussement qu'elle connaissait que trop bien. Son coeur se serra en voyant Okuni sauter dans les bras de Kyo...
Elle regarda avec tristesse la scène qui se jouait devant elle, Même si Kyo enlevait à chaque fois les bras de la brune brune sulfureuse qui l'entourait, rien que de les voir comme ça la rendait pratiquement malade de tristesse...normalement ça aurait du être elle...
Ils avaient tous pour être opposé, Yuya était sans doute la plus douée en musique dans cette fac, alors qu'il était simplement dans une réinsertion, une obligation que son père avait ordonnée, il était en quelques sorte le gardien.
Yuya détourna rapidement la tête avant de soupirer et entrer dans le bâtiment pour passer une journée de cours, qui se ressemblait maintenant.
- ça va Yuya ?
Elle leva la tête, légèrement endormi vers son ami Kyoshiro qui la regardait, inquiet.
- Oui, oui ne t'en fais pas.
- Ta blessure ?
- C'est correct Kyoshiro, répondit-elle avec un sourire. Je n'ai pas mal.
- Bien, soupira t-il peu convaincu. On va manger ?
- Vas-y toi. Je vais un peu jouer avant d'aller manger.
- comme tu veux...
Ainsi, seule, Yuya commença à faire courir ses doigts sur le clavier d'ivoire qu'elle aimait tant, la mélodie résonna dans la grande pièce vide, faisant danser avec légèreté les rideaux de la fenêtre ouverte sur un vent hivernale. Elle qui jouait avec son cœur et ses sentiments, la mélodie n'avait rien à voir avec ce qu'elle jouait d'habitude. Il fallait ce rendre à l'évidence, elle avait perdu le goût de jouer, et elle fut horrifiée des nombreuses fausses notes qu'elle fit, depuis qu'elle était seule.
« Arrête de jouer planche à pain ! Tu joues comme tes pieds ! Super mal! »
Elle s'était retournée si vite qu'elle eut la tête qui lui tourna légèrement, non sans lancer à regard d'assassin à la personne qui venait d'entrer dans la pièce. Le gardien...le fils du proviseur donc ! Elle répliqua Furibonde.
- Casse-toi si tu n'aimes pas ! Je joue pour moi et non pour les autres ! Et je ne suis pas une planche à pain ! Crétin !
Aussitôt dit, la blonde soupira en retournant vers le piano pour sa composition, pour passer l'examen, il fallait composer seul une mélodie de quelques minutes. Hélas pour Yuya, ce n'était vraiment pas son point fort, elle manquait cruellement d'inspiration pour ce devoir ! Elle n'osa pas recommencer et mis sa tête dans ses mains alors que ces coudes s'effondrèrent avec force sur le clavier.
- J'y arriverais jamais, gémit-elle désespérée.
- Si tu changé ton sol en dièse ce serait mieux, commenta le fils du directeur avec une pointe de moquerie dans sa voix.
- Je ne t'ai rien demandé ! Cria t-elle en se levant précipitamment pour ranger ses affaires en vrac dans son sac.
Impossible de travaille en paix avec lui à côté ! Songea t-elle en se levant.
Elle voudrait vraiment travailler sur cette composition mais visiblement l'air commencé à ce polluer d'un coup depuis qu'il était arrivé ! Elle lui passé par dessus les oreilles celui-là, même si elle ne le connaissait pas ! Et son avis était donc bon ! Quand elle passa juste à côté de lui pour sortir de la classe, il l'attrapa par la taille, la coinça aussitôt contre le murs, les deux mains de par ses autres de sa tête avec un léger sourire espiègle et incroyablement pervers.
- Mais qu'est ce que...
Sous le choc, il en profita pour fourrer ses mains dans le chemisier de la jeune fille qui se mit à rougir si violemment qu'elle déglutit avec difficulté quand elle sentit ses mains sur sa poitrine. Il avait raison, un peu trop plate mais une peau étonnamment douce. Elle poussa un hurlement strident en lui donnant une gifle monumentale sur la joue.
- Non mais ça va pas ! Sale Pervers ! Ne me touche pas ! Hurla t-elle en courant hors de la pièce en remettant rapidement son chemisier en place aussi rouge qu'une écrevisse.
Qui aurait pus croire qu'une rencontre aussi étonnante soit-elle dans cette salle de musique aurait pu changer à jamais les sentiments de Yuya envers le fils du directeur ? Aussitôt en pendant à lui, elle fit glisser ses doigts sur sa cicatrice au dessus de sa veste. Elle n'avait pas vraiment mal, certes les médicaments que le médecin avait prescrit avait fait leurs effet mais s'était bien son coeur qui était meurtrie à cet instant ! Elle soupira avant de se lever, elle n'avait pas faim, était vraiment nul en musique c'est temps-ci et elle préférait par dessus tous rentrer chez elle et se vautrer dans son lit pour y rester tout sa vie !
Bon sang ! Un chagrin d'amour pouvait-il durer toute une vie ?
Sans s'en rendre compte Yuya passa devant la grande porte du bureau du doyen et elle frissonna une nouvelle fois. Deuxième rencontre entre les deux personnes.
Yuya souffla avant de frapper doucement à la porte du bureau.
- Entrez, fit une voix amicale alors qu'elle ouvrait rapidement la porte. Ah mlle Shiina je vous attendez !
Elle fut étonnée de voir qu'ils n'étaient pas seuls dans la pièce. Son fils mais aussi l'autre élève boursier y était. L'un adossé contre le mus, les bras croisés non loin de là et l'autre assit sue l'un des fauteuil prévus à cette effet en face du bureau, aussi raide qu'un piqué et transpirant de grosse gouttes.
- Vous vouliez me voir Monsieur le proviseur ? Demanda t-elle en s'asseyant sur le dernier siège libre.
- En effet ! Vous êtes les deux boursiers de cette école, mais il y a un problème, cette année, il n'y aura qu'un seul boursier et vous êtes les meilleurs élèves...je ne peux que vous choisir avec vos notes de ce trimestres.
- Comment ça, il n'y aura qu'un seul boursier ? S'étonna la blonde stupéfaite. Mais je croyais...
- Je sais Mlle Shiina, la coupa le proviseur amusé. Mais le budget cette année à augmenté et nous pouvons avoir qu'un seul boursier. Alors faite de votre mieux ! À la fin de se trimestre je regarderais qui mérite le plus d'avoir cette bourse. Je n'ai plus rien à dire. »
Yuya Stupéfaite, avait quitté le bureau avec le petit binoclard, légèrement énervée, et fila directement dans le parc de la fac pour ce calmer les nerfs ! S'il elle n'avait pas cette bourse, elle pouvait dire adieux à ses études !
- Eh planche à pain ! Tu m'as frapper l'autre jour. Je dois me venger...
Elle leva directement la tête en lançant un regard mauvais au fils du proviseur, en bleu de travail ou le haut était rattaché à sa taille montrant une impressionnante musculature qui la fit frissonner d'envie d'avoir ses bras autour d'elle.
- Ne m'appelle pas comme ça ! Dit-elle en croisant les bras contre sa poitrine. Tu as parfaitement mérité cette gifle de toute manière ! Laisse-moi tranquille !
- Oh non ! T'es plutôt marrante ! Mais t'as surtout un putain de caractère qui donne envie de te prendre sur le champ !
Elle rougit furieusement, entre colère et plaisir. Bon dieu cet homme la rendait complètement folle ! Elle recula de quelques pas alors qu'il s'approchait, souriant en montrant ses canines parfaitement blanches et un sourire pervers. Elle se retrouva une nouvelle fois coincée en face de lui. Elle trembla légèrement.
- Qu'est ce que tu veux ? Demanda t-elle en refusant de montrer à quel point il la troublé.
- M'amuser.
- Eh bien vas voir ailleurs ! Je ne suis pas un jouet, espèce de Crétin !
- Tait-toi un peu, soupira t-il en approchant son visage vers le sien.
Elle soupira elle aussi avant de se laisser glisser contre l'arbre pour se faufiler des deux bras qui l'empêchait de partir. Elle cria presque quand un bras entourer sa taille !
- Lâche-moi bougre d'idiot ! Hurla t-elle énervée ! Non mais faut te faire soigner !
- Je m'appelle Kyo, pas Idiot, souffla t-il exaspéré avant de recevoir un coup de coude dans le ventre de la pars de la blonde, il siffla de douleur. Bon sang !
Pour un baraquer comme lui, étonnant qu'il souffre d'un petit coup de coude comme ça, Yuya arrêta de se débattre et se retourna vers ce démon au yeux rouge !
- Est ce que ça va ? Demanda t-elle légèrement inquiète en le voyant légèrement recourber. Elle s'approcha aussitôt de lui et remonta son T-shirt noir, avant d'écarquiller des yeux devant l'énorme bleu qu'il trônait sur ses abdo. Non de dieu, murmura t-elle. Mais comment t'es-tu fait ça ! Il faut soigner ça ! Viens !
Avant même qu'il puisse répliquer quelque chose, elle attrapa la main du fils du doyen et fila à l'infirmerie.
Personne.
Elle s'occupa personnellement du garçon, passant doucement de la crème sur cet impressionnant bleu. Lui les bras sous se nuque, torse nu, se laissa faire sans le moindre problème, il avait même le sourire aux lèvres.
- Sans être indiscrète, comment t'es-tu fait ça ? Je suis sur que tes côtes ont pris un sacré coup !
- ça ne te regarde pas !
- Comme tu veux ! Répliqua plus méchamment qu'elle le voulait. C'est surtout étonnant.
- Étonnant ?
- Ouais, dit-elle en haussant des épaules toujours en massant. Le fait que le fils du directeur se retrouve couvert de blessures !
- Le fils du directeur s'appelle Kyo ! Répéta t-il.
Kyo...
- C'est un beau Prénom, chuchota t-elle en rougissant quelque peu. Merci pour la dernière fois au fait.
Il eut un rire sadique.
- Je savais que tu avais aimé !
- Pas ça crétin ! Ton conseil sur le sol en dièse. Ça m'a débloqué, alors merci.
Les rencontres avec Kyo étaient toujours assez étrange dans un sens, il était véritablement vicieux dans tous les sens du terme mais il était aussi incroyable selon Yuya. Même s'il l'appelait toujours par ce surnom stupide qu'elle détestait temps, il l'avait toujours respecté dans un sens, la laissant travailler pour ses partie; l'aidant même souvent, se trouvant être un véritable virtuose de la musique, si bien qu'elle se demandait vraiment pourquoi il n'était que dans cette école comme gardien.
Dans un soupire, elle enfouit sa tête sous son coussin, serrant des poings au point d'enfoncer ses ongles dans sa peau laissant un long sanglots la secouer rapidement et pleurer tous son soule. Jamais elle ne s'était jamais sentie aussi seule que maintenant.
Elle n'avait jamais eu vraiment de famille, elle allait de maison d'accueil en maison d'accueil depuis la mort accidentelles de ses parents et de son frère. Et puis à 16 ans, elle avait quittée pendant la nuit la famille qui l'avait accueilli en leurs laissant un mot pour les remercier de leurs hospitalité et avait intégré l'internat de son lycée puis l'université où elle travaillait dure maintenant pour devenir pianiste reconnue.
- Mon père avait toujours voulu que je face le même travaille que lui, la chirurgie, dit-elle en levant ses deux mains sous le ciel étoilée de la ville.
tout les deux allongés dans l'herbe moelleuse de la fac, ils s'étaient retrouvés sans le savoir au même endroit. Il tourna la tête pour la regarder, les deux mains lever les regardant avec une étrange nostalgie, une léger sur ses lèvres rosés.
- S'était une sorte d'artiste, continua t-elle. Il protégeait tous le temps ces mains pour ses opérations, et s'était du grand art. Je ne comptais même pas le nombres de personne qu'il a sauvé de la mort avec ces mains là. Si il n'avait pas eu cet accident, je serais sans doute partie dans une fac scientifique. C'est en maison d'accueil que j'ai appris la musique, j'ai tellement aimé jouer que j'ai décidé dans faire mon métier. Moi aussi je veux être une artiste comme lui, mais d'une manière différente.
Elle tourna la tête pour agrandir son sourire, même s'il aimait beaucoup l'embêtée, le plus souvent il l'écoutait sans rechigner. Elle n'était pas du genre à parler pour un rien et s'était plaisant. Elle baissa ses mains pour attraper celle de Kyo et releva les deux mains entrelacés.
- Toi aussi tu as des mains d'artiste, commenta t-elle en regardant émerveillée sa main pratiquement deux fois plus grande que la sienne. Dommage que tu les abimes comme ça...Montre-moi encore les étoiles ! J'ignorais que tu connaissait aussi bien les constellations !
Il sourit brièvement avant de lui montrer une nouvelle fois les constellations et comme une fille de 5 ans, Yuya était émerveillée , et buvait ses paroles sans pour autant oublier les détails, sa mains toujours dans la sienne. Sans s'en rendre compte elle s'était rapprochée. Elle était tellement concentrée sur ses étoiles qu'elle ne vit pas Kyo s'arrêter de parler. C'est une main sur sa joue qu'il la remit sur terre, tournant la tête vers lui interloquée avant des transpercé de douceur par ses pupilles rouges éclatante dans la nuit d'une infinies douceurs. Pouvait-il avoir d'aussi beaux autre pars que sur terre ?
Elle fut encore plus choquée lorsqu'il s'approcha d'elle pour déposer un baiser sur ces lèvres, elle était sous le choc...Kyo n'était pas comme ça d'habitude, il aimait ce battre, ce moquer des autres et jamais il n'avait été aussi doux que cette nuit là...
Yuya se réveilla les larmes aux yeux avec un gros mal de tête. Il faisait déjà nuit et le réveil matin indiqué bien qu'il était pratiquement 10 heures du soir. Elle n'avait pas faim, trop barbouillée de toute manière et le fait de repenser à leurs premiers baiser avait aussitôt embrassée la jeune fille avant de sentir son coeur se serrer brusquement...plus jamais...
Elle gronda en s'essuyant les yeux rapidement quand quelqu'un tambourina à la porte de son petit appartement. Elle reconnue immédiatement la voix de Kyoshiro.
- Yuya ! Ouvre-moi ! C'est urgent ! C'est à propos de Kyo !
Elle couru aussitôt vers la porte pour la déverrouiller, tellement paniquée qu'elle du si prendre deux ou trois fois avant d'y arriver. Le coeur battant à cent à l'heure les deux mains de Kyoshiro se posèrent brutalement sur les épaules de la blonde. Elle compris aussitôt ce qui se passé devant le visage grave de son ami.
- Oh, non...
- Allons-y, dit-il déterminé.
Une petite review pour me dire ce que vous en pensez ?
