Note de l'auteur : Bonjour à tous ! Me voilà avec quelques petits one shot … Ca faisait longtemps que j'en avais pas publié, ni même écrit alors me revoilà C'est une idée qui m'est venu suite à ma publication du Recueil des sens. Un recueil où j'ai rassemblé mes poèmes (faisons de la pub tant qu'on passe par là lol) et je me suis dit qu'il serait intéressant d'écrire des one shot basés sur les 5 sens. Voilà donc le premier qui s'appelle Regarde moi. C'est un Harry/Drago, soyez indulgent, c'est la première fois (enfin, que je publie) que je m'essaye vraiment au slash et mon premier lemon par la même occasion. Cette histoire m'est tombée dessus sans que je le demande, et a donc un peu retardé mes autres publications … Je pense aussi que les autres one shot (qui seront : Touche moi ; Ecoute moi ; Goûte moi …) n'arriveront pas dans longtemps. J'ignore encore si ce seront tous des HPDM ou si je varierais les couples … Voilà pour la note d'auteur, j'espère sincèrement que ça vous plaira, gros bisous et bonne lecture ! Lila Flow
Note (2) : La première partie: POV Drago, la seconde en italique : POV Harry, et enfin POV extérieur.
Résumé : Regarde moi avec tes yeux glacés. Touche moi avec tes mains parfaites. Goûte moi avec ta langue charmeuse. Ecoute moi, écoute mes paroles sucrées. Sens moi, sens mon désir pour toi. Partie I : Regarde moi HPDM.
Rating : M
Warning : C'est un slash, et donc une relation homme/homme. Les homophobes sont donc priés d'aller voir ailleurs. C'est par la même occasion une histoire assez citronnée diront nous, alors hop, petits gens aux yeux chastes, ce n'est pas pour vous non plus ! ;)
Dislaimer : Rien n'est à moi (pauvre de moi) ; tout est à JK Rowling, je ne tire aucun bénéfice, aucun argent de cette histoire.
Sens : Phys 1.Au pr : vue, goût, odorat, toucher, ouïe, faculté.
2. Par ext : Amour, ardeur, chaleur, chair, concupiscence, instinct, jouissance, lasciveté, libido, plaisir, sensualité, sybaritisme, volupté.
Dictionnaire des Synonymes, Le Robert.
I. Regarde moi
Je regarde, j'ouvre grands les yeux et je vois enfin le monde. Toutes les beautés, les miracles, les paysages, les montagnes, le château, tout est beau.
Mes yeux se posent sur tout, c'est comme si je redécouvrais Poudlard ; les tableaux semblent milles et une merveille, les escaliers semblent être fait dans un marbre majestueux, Rogue semble être beau, Dumbledore avoir 20 ans, Rusard a l'air sympathique, Nick-Quasi-Sans-Tête semble en avoir une, bref, tout est magnifique.
Les bougies flottent dans les airs, mes yeux s'émerveillent et tout a un goût de paradis.
Et là, mes yeux s'arrêtent sur une couleur, verte, magnifique ; et là mes yeux voient la lueur, la lumière. J'ai l'impression d'avoir attendu toute ma vie pour voir ces yeux là …
Une couleur indéfinissable, émeraude aux reflets dorés, aux couleurs changeantes, multicolores, j'ai envi de les embrasser du regard, de me plonger dans cet océan.
Et j'aperçois que mes jambes avancent toutes seules, et je me retrouve devant eux. Devant ces deux grands yeux innocents. Qu'ils semblent vulnérables quand il me regarde. Qu'ils semblent fragiles et doux …
Ma main s'approche de sa joue, elle la caresse, comme dans un rêve, et mes yeux ne peuvent se détacher des siens.
J'entends sans entendre les insultes qu'il me jette. D'ailleurs, il semble les dire sans ouvrir la bouche, il me maudit par la voix, mais ses yeux pensent autre chose. Ma main est toujours sur sa joue, et je ne remarque qu'une chose, c'est qu'il ne l'a pas retiré …
Au contraire, je la caresse du bout des doigts, et ses yeux se ferment doucement …
« Non, non, ne ferme pas tes yeux petit ange … Je veux les voir frémir …»
Et il les rouvre, Par Merlin, qu'ils sont magiques, ils scintillent de mille feux !
Serpentard soit loué que jamais ce regard ne soit brisé … Je penche doucement la tête vers lui, mes lèvres effleurent les siennes, toujours en regardant ces magnifiques perles. Une lueur de plus semble s'être allumée, ils sont encore plus beaux.
Sa bouche, légèrement entrouverte est un appel à la débauche, à la luxure, au plus merveilleux des péchés … Il serait tellement facile, tellement plaisant d'y céder … Je ne pourrais plus les voir, je tremble déjà de ce manque. Que ferais-je sans son regard sur moi, sans ses yeux dans les miens ?
Tanpis, ses lèvres sont trop tentantes, elles ont l'air si douces, si charnues, si goûteuses … Et elles touchent enfin les miennes. Je me perds dans un océan de couleur, je vois plus que ses yeux verts, je vois un tableau aux mille couleurs, je vois un arc en ciel, une mer tumultueuse, une falaise, une pyramide de sable, une neige foudroyante, une nuit brillante.
Je murmure, je chuchote, mes yeux ne sont plus, ils sont perdus dans la magie du bonheur.
Il arrête le baiser et soudain, j'ai peur, peur de ne plus pouvoir le regarder, peur de ne plus plonger mon regard dans ses yeux. Il me sourit, oh, doux sourire qui m'enivre.
Il attrape ma main, Dieu que sa main est belle. Je la regarde, si grande, si douce, une main masculinement féminine …
On court, on traverse plusieurs couloirs, on monte des escaliers, mes yeux se savent plus où se poser. Il s'arrête, il est essoufflé. Je regarde son torse se soulever sous son tee-shirt noir. Tentation exquise, je me vois déjà en train de lui enlever pour pouvoir admirer les secrets qu'il cache.
Une porte s'ouvre devant nous, sans me demander plus longtemps comment elle est arrivée ici, il m'entraîne dedans.
Et tout s'enchaîne, et tout est plus beau que le reste. Je ne saurais dire ce que mes yeux ont préféré, mais tout a été parfait.
Alors que je regardais avec ébahissement la magnifique salle, un soupir frustré à échappé les lèvres du Survivant, il s'est approché de moi, sa main s'est posée sur ma nuque, ses lèvres ont rencontré les miennes en un baiser exigeant. Sa langue a caressé la mienne, attendant que je daigne ouvrir mes lèvres. Mon adorable Gryffondor, ne soit pas impatient … J'ai entrouvert mes lèvres, sa langue passant entre a caressé la mienne, doucement, puis passionnément … Le baiser est devenu plus violent mais en même temps tellement doux, il m'a doucement mordu les lèvres … Plaisir ardant … Nos mains ont cherché nos corps. J'ai passé une main fébrile sous son haut, caressant son torse tandis que ses mains caressaient mon dos, avec une lenteur calculée …
Je l'ai poussé sur le lit, couché sur le dos, les jambes légèrement remonté, les cheveux en bataille, son torse se levant rapidement, il haletait.
Je suis monté sur lui, me trouvant à califourchon sur ses hanches, qui semblent si étroites, si tentantes … Je me suis penché sur ses lèvres, pour goûter encore ses lèvres exquises. Ca y'est je meurs, ses yeux me regardent, remplis de désir, remplis de plaisir. La lueur est toujours là, et ils ne vivent que pour moi.
'oOo'
Depuis la mort de Sirius, je ne vis plus, je vois la vie en noir. Il n'y a rien, pas de demi-teinte, pas de gris, et surtout pas de blanc. Mes yeux doivent être voilés car je ne vois plus que la tristesse, la misère et la haine autour de moi. Mes amis sont toujours là, mais eux aussi, je ne les vois plus de la même façon, ils sont pâles, ternes presque triste, ils ne voient pas la vie comme moi.
Je suis dans la Grande Salle, tout est si banal, des bougies flottent. La magie n'a donc que ça à offrir, des bougies volantes, des tableaux qui parlent et des escaliers qui bougent ? C'est si désopilant.
Mon regard traverse la pièce, je regarde les élèves rire. Dumbledore semble si vieux, Rogue a le teint blafard, Dieu qu'il est laid ! Rusard semble encore plus hargneux que d'habitude, faut dire que son rayon de soleil s'appelle Miss Teigne … Ca laisse à réfléchir. Notre bon vieux (et loyal) fantôme tergiverse encore sur sa non acceptation au club des fantôme sans tête.
Mon regard erre encore un peu et là je croise un nuage de glace, un océan bleuté. J'ai le souffle coupé, c'est si magnifique ! Je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi beau, d'aussi pur !
De pur ? Je cracherais presque sur ce mot ! C'est de Malefoy dont je parle, il n'y a rien de pur chez lui.
Mais que fait-il ? Il me … regarde ? Mon cœur bat plus vite, mes sens s'affolent. Qu'est ce qui se passe ? Il se lève, Merlin, il se dirige vers moi. Je perds mes moyens.
Ca y'est, il est devant moi. Il s'est arrêté, il me fixe, ou plutôt il regarde mes yeux. Que son regard est beau, si fort, si puissant. Un regard impérieux, un regard de seigneur.
Et je me perds dans cette immensité. Son visage est si concentré. Il tend une main vers moi. Que va-t-il faire ? Me frapper ?
Non, il me touche, doucement, délicatement.
Alors pour le punir de me faire aimer ça, je l'insulte. Mes mots dépassent ma pensée, je veux juste que sa main me touche plus. Mais je continue. Il ne semble pas s'en formaliser, au contraire, il caresse ma joue du bout des doigts.
Merlin, que c'est bon, si doux, mais si intense à la fois. Je dois avoir fermé les yeux car je ne vois plus rien. Rien sauf une lueur, faible mais vive, douce mais forte, et cette lueur me rappelle le Paradis.
« Non, non, ne ferme pas tes yeux petit ange … Je veux les voir frémir … »
J'ai rêvé, cette phrase a un effet dévastateur sur moi …
Et alors, il fait ce que je n'aurais espéré en songe, il penche sa tête, effleure mes lèvres. J'aimerais tant les regarder, les toucher du regard car mes doigts sont trop peureux.
Et c'est lui qui observe maintenant mes lèvres, avant d'y replonger avec ferveur. Sentiment magnifique, mon ventre se tord, il m'offre le bonheur en perfusion.
Il murmure, il marmonne, je ne comprends pas ses mots, j'espère juste que ce sont des mots d'amour, des promesses alléchantes, voluptueuses, sensuelles …
A ces mots, mon esprit ne fait qu'un tour, et je romps notre baiser. Je vois ses yeux s'agiter. As-tu peur petit Serpentard ? Je lui souris et ses yeux revivent. C'est comme si un vent s'emparait de moi, un brasier s'est allumé, que jamais il ne s'éteigne !
Je prends sa main et je l'entraîne derrière moi, je n'ai pas hésité une seconde, maintenant nous voilà devant la Salle sur Demande.
Nous sommes entrés, et il ne fait rien, qu'attends t-il ? C'est lui qui s'est jeté sur moi, et maintenant, il reste debout, à regarder fixement la salle. Je soupire, frustré. Tanpis pour lui, je ne veux pas attendre plus, en deux enjambées, je me retrouve devant lui. Une de mes mains attrape sa nuque, je le rapproche de moi. Viens par ici mon cœur, tu es bien mieux près de moi … Mes lèvres s'accrochent aux siennes, il entrouvre les siennes, Merlin que c'est bon ! Comme dans un ballet ardent, nos langues jouent, dansent, font l'amour, elles s'aiment, elles fusionnent. Je mords ses lèvres, sans le faire vraiment exprès.
Un gémissement s'échappe de ma bouche tandis qu'il passe une main sous mon haut, caressant mon torse.
Tout d'un coup, il me pousse sur le lit. Je n'ai pas le temps de me demander comment on a fait pour se retrouver ici qu'il s'assoit sur mes hanches. J'halète, je sens ce merveilleux poids sur moi, il se penche et m'embrasse, doucement. Il me regarde, et j'ai l'impression qu'il voit tout de moi.
'oOo'
Deux hommes se sont cherchés, deux hommes se sont trouvés. La danse commence, sensuelle, enivrante. Un Serpentard cherche les yeux d'un Gryffondor, un Malefoy cherche les lèvres d'un Potter. Ce qui ne devait pas arriver arriva. Magie magique, les voilà liés.
Drago, assis sur Harry lui enleva lentement son tee shirt. Son regard toujours encré dans celui de Harry. Un regard si chaud, si brûlant que la tension du Gryffondor monta encore d'un cran.
Le jeune homme envoya valser le bout de tissus alors qu'il reprenait la bouche de Harry avec une douceur dévorante. Sa bouche dévia, descendant vers le cou, qu'il mordilla légèrement, laissant de petites marques rouges qui semblaient lui ravir. Les mains du Serpentard, agiles, connaisseuses, caressaient avec une lenteur affolante le torse nu du Survivant, s'attardant sur ses tétons, les pinçant, arrachant des gémissements de plaisir, d'envie à Harry.
Celui-ci ne savait plus où il était, il ne savait plus qui il était, il savait juste que Drago était sur lui, que Drago le regardait avec tendresse et que son cœur s'embrasait. Drago descendit doucement, embrassant la poitrine du Gryffondor, léchant et mordant consciencieusement les tétons de Harry qui gesticulait, incapable de rester de marbre. Alors que les mains de Drago s'attaquaient à la fermeture du jean de Harry, la langue du blond s'acharnait sur le nombril, léchant, mordant, embrassant.
Lorsque enfin le pantalon fut enlevé, et qu'il ne restait qu'une seule barrière au désir de Harry, Drago se lécha les lèvres lentement, attisant un peu plus la folie du Gryffondor. Les hanches de celui-ci ne lui appartenaient plus et elles bougeaient, lentement, ne désirant que sentir les mains de Drago sur le sexe tendu de Harry. Enfin, la dernière barrière tomba, Drago retint son souffle en voyant ce qu'il attendait tant. Il souffla légèrement sur le gland rougi tandis que ces doigts effleuraient lentement la verge de Harry.
« Dragooooo, s'il te plait … ».
Celui-ci ricana intérieurement tandis qu'un sourire pervers s'affichait sur ses lèvres … Il remonta aux lèvres de son amant, les lécha et glissa sa langue dans la bouche tremblante de Harry. En même temps, les doigts de Drago se refermèrent sur le désir brûlant du Survivant, lui arrachant un gémissement de plaisir étouffé par le baiser de Drago.
Les doigts du Serpentard caressaient lentement, trop lentement la verge tendue tandis que son visage redescendait encore …
Le corps de Harry réagit rapidement alors qu'une chose qui lui semblait improbable arriva, lui donnant mille sensations plus charmantes, plus agréables les unes que les autres.
Drago soufflait légèrement sur l'anneau de chair alors qu'une langue mutine caressa, effleura l'anus du Survivant. Celui-ci n'entendait plus rien, ne comprenait plus rien. Il ne sentait plus que la main de Drago sur son sexe et sa langue, oh oui, sa langue si douce, si perverse alors que celle-ci s'échappait de son intimité.
Le sexe de Drago, à l'étroit depuis un bon moment, ne demandait qu'à être soulagé, mais la vue d'un Harry, couché, ses yeux à moitié fermés, les joues rouges, gémissant, était tellement parfaite, tellement grisante, tellement bandante qu'il pouvait bien attendre encore un peu …
Les doigts de Drago quittèrent le sexe de Harry, et alors qu'un son plaintif et frustré s'échappait des lèvres de Harry, la langue du Serpentard glissa sur la verge tendue. Le souffle coupé, Harry ouvra les yeux de surprise et de ravissement tandis que les doigts de Drago remontaient vers la bouche du Survivant qu'il s'empressa de lécher avidement. Le Serpentard engloutit entièrement le fruit qu'il léchait, les hanches de Harry ondulaient, réclamant encore plus. La bouche de Drago montait et descendait lentement, il accéléra le mouvement.
« Drago, regarde moi … Regarde moi s'il te plait … »
Le regard tremblant, fiévreux, Drago regarda les grands yeux de Harry, alors qu'il léchait toujours son sexe.
Pour Harry, c'était un appel à la luxure, et alors qu'il se perdait dans le regard glacé ; l'extase finale arriva. Le Serpentard avala lentement la semence du jeune homme, remontant sur celui-ci, il embrassa Harry avec passion, ses doigts se perdant dans ses cheveux.
Il chercha à tâtons sa baguette ; murmura deux sorts. Il se retrouva nu, ses doigts et son sexe lubrifiés.
Harry était encore perdu, les limbes du plaisir s'envolant lentement alors que Drago immisçait un doigt dans son intimité, regardant Harry dans les yeux.
« Tu sais que tes yeux sont magnifiques Potter … »
Son doigt entré dans l'anus du Gryffondor, il le sortit et l'enfonça plus profondément. Le brun ne put que gémir.
« Tu sais qu'ils sont si beaux qu'on se croirait perdu dans un océan vert ? »
Il entra un second doigt, et les bougea lentement d'abord, puis plus fort.
« Tu sais que tes yeux sont innocents, qu'ils appellent à l'aide ? »
Il retira ses doigts, Harry regarda Drago, souriant étrangement. Drago plaça son sexe, le gland pressé sur l'anneau de chair. Il poussa lentement, son sexe entrant dans le fourreau de chair si étroit, si chaud. Il embrassa brièvement Harry.
« Tu sais que tes yeux parlent pour toi Harry ? »
Il retira son sexe, et l'enfonça brusquement, presque violemment, arrachant un gémissement de plaisir, peut être de douleur au brun. Ses hanches se soulevèrent alors, accompagnant le sexe du Serpentard, qui entraient et sortaient avec une violence douce.
Harry ne pouvait que gémir, alors que les vas et viens de Drago étaient plus puissants, plus bons. Il marmonnait d'inlassable « Plus forts Malefoy … ».
Drago ne se retenait plus, sa main caressa alors la verge, fièrement dressée du Survivant, adoptant la même cadence que son bassin.
« Tu sais que je les aime Potter ? »
Et, alors que Drago savourait la lueur dans les yeux de Harry, celui-ci cria de plaisir, tandis qu'un long jet nacré jaillissaient sur les mains de Drago et sur son ventre. Le Serpentard, grisé de voir tant de jouissance dans ses si beaux yeux, le rejoint. Et c'est avec une parfaite symbiose qu'ils regardèrent leur jouissance mutuelle ; le regard l'un dans l'autre, au plus profond de leur corps, au plus profond de leur âme.
La lueur passée, Drago se retira, se couchant sur le dos à côté du brun.
Il soupira lentement et somnola bien vite.
Harry se cola à lui, caressant son torse doucement …
« Et toi Drago, tu sais que tes yeux reflètent toute la peine du monde ? ».
Il se rapprocha encore plus du Serpentard.
« Je les aime aussi, tes yeux … ».
Harry s'endormit, tandis que le blond souriait un peu plus, rêvant de deux grands yeux verts.
Finalement, peut être valait-il mieux voir la vie à deux …
Voilà, j'ai enfin fini ce petit one shot. Je me sens toute contente parce que c'est en quelque sorte mon premier slash, et mon premier lemon. J'aurais jamais pensé que le premier lemon que j'écrirais seraient pour ce couple là, comme quoi tout arrive. J'espère que vous avez aimez, parce que j'ai vraiment aimé écrire cette petite histoire ... Si l'envie vous prend, laissez moi une ptite review, ça m'encouragera pour la prochaîne partie ...
Bisous à tous !
Lila Flow
