Les
mots se placent,
Petit
préface :
Les deux êtres se font face.
Les
suit la force
Les propulsant
Des verbes de mouvement.
En
leur milieu,
Phases
immortelles,
Le
classique se révèle
Aéris
mène :
Danse
forgée
D'un
sacrifice élevé
Les
signes
Comme
des cloches
Marquent
le pas de l'ébauche
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Danse macabre et enivrante...
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Dans
son sillage
L'enfant
des sages
De la
mort, garde amère image
Ressuscitée
Ou
enterrée
Ne lui
reste qu'à accepter
Force
et courage
Sollicités
Perso
et plume doivent tout donner
Sa
danse à elle
Est
enivrante
Car son
dessein est bien fixé
Mais
le temps passe
L'idée
s'efface
Et
seul reste la lisse face
Aigue-marine:
Troublant
adage!
Submergée,
la cetra nage...
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Aéris
§
§
§
Gémissement
né aussitôt apaisé
. .
. Et tournent, tournent les histoires
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Un
historique
Plutôt
tragique
Donne
le la de la métrique
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§
§
Pleur
déchirant ; colère pleine de vie
. .
. Et pleure et coule l'encre noire
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La
construction
Devra saigner
Pour un
confiance en vérités
Requièrent
En
attendant
L'épuration
des abcès
Alors,
enfin,
S'arrête
ici
Estuans
ira vehementi
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§
§
Petit
pas devant, retraite soudaine, vaine partie de cache ;
Destin
!
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Point
de limites ;
Lui,
il s'avance
Ni
trop vite ni trop sur,
Car il
s'agit
De
préserver
Le sel
de la danse engagée.
Appréhension
Fuite
et violence
Désir
après l'hésitation
S'avèrent
d'ailleurs
Incontournables
Face à
l'altruisme de l'aubade.
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§
§
. . .
Longue, route sans espoir
Certain
!
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Sans
se presser
L'histoire
s'enroule
Autour
d'un plan et dans son moule
Dans
le registre
Solennel,
La
fleur redoute un peu ce miel
Et point
ne manquent
Cependant
Les quiproquos
dans notre chant
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§
§
Triste(esse et) joie, toutes les alternatives ; forme de justice, essai d'armistice...
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Mais
quelles raisons
Pour
cette danse
Où les
acteurs s'avèrent si denses ?
Une
frustration
Au
grand final
Du
thème du titre original,
Ou
bien la fine
Adrénaline
Que
nous font goûter les défis.
Pourquoi
la fleur ;
Parce
que ses sons
Cachent
pourtant l'isolation.
Ce caractère
Bien
peu austère
Est
trop criant de ressemblances.
Et
puis n'est-elle,
Même
dans l'absence,
Guère
généreuse en tolérance ?
Leur
jeune aînée,
L'esprit
hanté,
Ne fut
jamais désarçonnée !
C'est
le modèle
De la
danse
Qui
vous présente et plume, et chance.
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§
§
Mais surtout
le rêve
Sans
Fin.
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Quel
plus beau cri
Peut
surpasser
Celui
du triomphe d'aimer
Posant
un baume
Incomparable
Il
monte au cœur, il conseille l'âme
Et pour l'esprit
De
l'épéiste,
Aussi
sensible et aussi mixte,
Comment
ne pas
S'abandonner
À ce grand désir d'essayer ?
C'ést
une histoire
De
patience
Qui
nous parle de tolérance
Et il
faut certes,
Belle
dimension
D'esprit
pour offrir pardon
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§
§
Parfois
suggérées, autrement forcées, la plume court sur les couleurs d'un
Demain...
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Dans
cette danse,
Tout
est à faire
Guère
d'ennui, rien d'austère
Leur
long voyage
Doit
s'équiper
D'idées,
innocence, acuité.
Enfin
si l'astre
Du
jour levant
Laisse
voir tel rapprochement
Alors,
amis
C'est
que nos plumes
Jamais
ne verront la brume…
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§
§
§
Sephiroth
Entraînante et sombre romance!
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Retour
final
Valse
magique
Qui
Justifie peine et musique
Ces
mots miroitent
Etroitement
Les
verbes de la belle enfant
Et
qu'il s'agisse
De
note couple
Ou d'une
autre histoire en boucle
L'épéiste,
Ne
change pas ;
Garde
un orgueil fidèle à soi.
N'est-ce
pas un homme
Dont
les années
Demandent
un peu maturité ?
Et
l'être apprend,
Nouvel
été,
À mener
l'ode désormais.
Cela
bien sûr
N'empêchera
Peut-être
pas quelques faux pas
Et la
fleur
Capturée
Voudra
peut-être protester
Car
après tout,
Les
partenaires
Ont
bien des idées similaires
Donc,
point d'excès,
C'est
en douceur,
Qu'il
faudra leur vie projeter
Car là
se casse
Trop
souvent
Les
caractères et l'engouement.
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