Une erreur amène un problème.

Bla bla bla : Bonjour ou bonsoir à tous qui venez lire ce premier chapitre ! Il fait plutôt office de prologue et aussi parce qu'il est important pour la suite ! Et puis c'est une mise en jambe plutôt sympa non ? Bon sur ce, j'aime de moins en moins ces paroles au début des fanfictions que personne ne lit de toute façon ! Sur ce, bonne lecture ! Les personnages ne m'appartiennent pas, tout ça tout ça. J'estime en revanche que mes personnages sont peut être un peu OOC mais du moment qu'on leur invente des romances qu'ils n'ont pas dans le manga, ils le sont forcément. J'esssaie quand même de rester fidèle au manga et surtout à l'animé ( parce que j'avoue que les scans en anglais ... voilà voilà voilà ). Autre chose euh ... Merci de laissez des commentaires ! Ca fait toujours plaisir ! Sauf si c'est pour dire : "J m pa" ... c'est pas la peine ! Mais tous commentaires constructif est accepté, je répond presque tout le temps ... ( si je réponds pas c'est parce que je dors, la plupart du temps. ) BREF j'espère que vous saurez apprécier le fait que ceci est un PROLOGUE et que si certains passages sont passés sous silence, c'est VOULU. Je sais écrire des lémons et si comme la personne qui lit mes manuscrits vous qualifier ce prologue de "non-lemon" ( c'est une vilaine ) ... eh bien vous n'aurez qu'à faire comme elle et attendre la suite. Dernière chose : je vais utiliser les noms de famille parce que le problème de Kuroko no Basket c'est que c'est les noms de famille sont SUPER CLASSES et que à part quelques rares exceptions, ( Daiki, Shun et Atsushi ) les prénoms sont dégueulasses ... si vous doutez encore ... regardez Shintarō Midorima. Le personnage a la méga classe ( je vais faire un OS sur lui quand j'aurai fini de baver ) mais il a un prénom de merde.


Prologue : Il craint

Kise avait baissé le chauffage. Il consulta une nouvelle fois sa montre. Aomine avait dix sept minutes de retard, ce qui pour lui équivalait à être à l'heure. Pourtant il ne l'appela pas pour lui dire de se dépêcher. Il avait l'habitude de ces retards. Cela se produisit systématiquement quand ils devaient se retrouver tout les deux.

Ils n'allaient jamais chez lui. Le blond n'était jamais rentré dans la maison d'Aomine. Il prétextait que la chambre du blond était plus grande, son lit plus confortable, le toucher des draps plus doux. Kise avait fini par arrêter d'insister et s'était fait à l'idée d'avoir constamment des draps propres de rechange.

La sonnerie retentit enfin et un sourire étira les lèvres de Kise alors qu'il se hâtait de descendre ouvrir. Il voyait déjà la forme de son amant derrière la porte vitrée. Depuis qu'ils étaient rentrés au lycée, ils n'avaient pas pu se voir, chacun ayant des entraînements ou des obligations professionnelles ou autre chose. Il ne voulait pas savoir ce qu'Aomine faisait quand lui se faisait photographier en maillot de bain. Il laissa de coté ses pensées et ouvrit enfin la porte pour le voir.

Comme d'habitude, il ne souriait pas. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vu Aomine sourire. Il lui accorda un clin d'oeil.

"Bonjour Aominecchi ! Ca faisait longtemps !

- Yo. Tes parents sont là ?"

Aucun "je suis content de te revoir après deux mois sans nouvelles" ni même un "ça va ?". Aomine ne faisait qu'à peine attention à l'esprit vivant dans le corps qu'il allait baiser. Kise laissa échapper un soupir.

"Non. Ils ne rentreront que c ..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un corps impatient le plaqua contre le mur et se pressa contre le sien pour lui montrer son désir.

"Ah ... Aominecchi, attends ..."

Mais Kise savait qu'Aomine ne l'écouterait pas, parce qu'il n'écoutait jamais ses supplications. Ses mains chaudes vinrent remonter son haut et une langue lécha sa jugulaire, réduisant sa capacité à penser. Il sourit. Il lui avait manqué et il sentait dans ses gestes précipités que c'était réciproque. Etant la seule démonstration d'affection d'Aomine, il le laissa faire. L'autre le souleva par les hanches et il comprit qu'il n'allait même pas prendre le temps de monter dans sa chambre.

Au début, Aomine était prévenant dans le sexe. Il prenait le temps de le préparer pour ne pas lui faire mal, le caressait, lui disait avec sa voix suave de se détendre. Puis au fur et à mesure, il perdait patience et n'écoutait plus les gémissements de douleur du blond. Il ne faisait plus l'amour avec lui, il le prenait pour en tirer du plaisir, oubliant l'amitié qui était censé les lier.

Kise s'accrocha à ses épaules en sentant le sexe du brun s'enfoncer en lui et laissa échapper un cri de douleur. L'autre soupira contre son cou.

"Bordel t'es serré ...

- Ah ... E-Evidemment ... ça fait longtemps ..."

Il vit son partenaire lever un sourcil.

"T'as personne d'autre ?"

Le coeur de Kise manqua un battement. Ils n'avaient jamais précisé que leur relation était exclusive mais le blond n'était jamais allé voir ailleurs. Il se força à sourire, comme il le faisait lors des shootings.

"S-Si ... mais j'étais dessus ..."

Si on comptait l'utilisation de sa main lorsque le manque du corps du bronzé se faisait trop fort. L'autre eut un sourire et reprit ses lèvres en donnant un coup de rein. Il ne remarqua pas la tristesse dans les yeux du blond, qui lui sentait bien son indifférence. Il se laissa porter par les mouvement d'Aomine, gémissant quand il touchait des endroits qu'il avait rendu lui même sensibles.

Le désir de profiter de son corps après du temps séparés, le manque de lui, l'envie de revoir avaient tous disparu pour laisser place à une tristesse infinie, une peine et une violente jalousie. Il planta ses dents dans le haut de son cou pour laisser une marque. Son ancien coéquipier laissa échapper un feulement et donna de plus fort coup de reins. Serrant les cheveux bleus, Kisa couina, se forçant à se concentrer sur le plaisir qu'il lui procurait. Ils s'embrassèrent violemment en laissant leurs corps exprimer leurs désirs. Aomine jouit le premier dans la protection qu'il avait enfilé à la hâte et Kise le suivit, se masturbant entre leurs ventres pour éjaculer.

Il dut se tenir au mur quand il le lâcha, ses jambes tremblantes de l'orgasme récent. Il leva les yeux et vit qu'Aomine avait déjà commencer à se rhabiller.

"Tu pars ? Déjà ?"

Les yeux bleus le fixèrent. Cela se voyait qu'il n'avait aucune envie de rester. Kise dut se retenir de le supplier de passer encore un peu de temps avec lui.

"Tu veux pas qu'on aille dans la chambre ?

- Non. Je dois partir. Et je ne pense pas que je reviendrai."


Bla bla bla : J'attends vos insultes ... si vous n'avez pas tout compris ... attendez le chapitre suivant ! et relisez entre les lignes ... Et commentez !