Bonsoir !

Et me voici pour une toute nouvelle aventure !

Alors pour commencer j'avais annoncé un titre '' Miss dernière minute" mais suite à une intense réflexions avec moi même et les conseils avisé de Lydie ma toute nouvelle bêta, j'ai décidé de changer le titre.

Merci d'avance à toute celle qui me donne une chance en me lisant.

Merci à excellente Lydie pour la correction, c'est une plaisir de travailler avec toi.

Maintenant croisons les doigts pour que ça marche.

Bonne première lecture tout le monde


POV Bella.

18h et la porte d'entrée s'ouvrit sur l'homme le plus beau du monde. Moi j'étais dans le salon à le regarder s'approcher de moi.

- Bonsoir mon ange.

- Tu rentres tôt, je suis contente.

- Oui, ça a été plus rapide que prévu. Tu vas bien ? Tu m'as manqué mon amour...

Sur ce, il m'embrassa et je ne pus que répondre et lui rendre son baiser. Je caressai sa joue et ses cheveux avec mes mains alors qu'il m'attirait plus contre lui. Nous nous séparâmes à bout de souffle.

- Tu m'as manqué aussi chéri. Dis, tu pourrais user de ton influence pour moi ?

- Mon influence ? C'est-à-dire ?

- Je devais rendre mon dossier d'information aujourd'hui et je m'en suis rendue compte il y a une heure. Il faut encore que je remplisse les infos demandées mais je vais le faire, là maintenant.

- Bella... Miss dernière minute. Je l'apporte demain, ok. Mais tu fais tout ce soir et que ça soit parfait sans rien oublier !

- Promis ! Merci !

- De rien. Et sinon comment va Marius ?

- Oh tu m'agaces avec ça ! Va faire à manger plutôt.

- Mais il va bien ?

- Très, très bien je te promet.

- D'accord. Je vais cuisiner et tu remplis tes papiers.

- Oui chef ! Ne fait rien cramer !

- Remplis tout, n'oublie rien.

- Tu me connais !

- Que trop bien oui, justement.

Il m'embrassa avant de se lever et de partir vers la cuisine, pendant que moi je commençai à remplir mon dossier. Puis, au bout de deux questions, je m' arrêtai et repensai à mon histoire. J'avais le mari le plus fabuleux du monde. Pourtant, notre histoire n'était pas la plus simple au monde, ni la plus compliquée non plus. Elle était juste pas commune.

La vie ne nous avait pas facilité les nous avait joué bien des tours, parfois bons, tellement bons qu'ils restaient gravés en nous, mais aussi des mauvais à m'en faire pleurer en y repensant quand j'avais des moments de faiblesse. Nous avions été mis au défi et vu le résultat, nous avions gagné.

Je m'installai dans mon canapé en entendant les bruits de vaisselle dans la cuisine et laissai mon esprit divaguer dans mon passé d'adolescente, décidée à revivre notre histoire aussi belle et douloureuse soit-elle.

Septembre, trois semaines après la rentrée des classes à Seattle.

Encore un jour de lycée, encore un jour où j'arrive en retard, rouge et essoufflée devant mon prof de maths en lui demandant de bien vouloir encore m'excuser. Il me sourit et j'allais m'asseoir. Hélas, la place que je voulais était prise, comme à chaque fois vu que j'étais incapable d'arriver à l'heure. Je m'installai donc dans le fond de la classe et essayais de comprendre ce fichu cours.

Je n'étais pas une matheuse, mais pas du tout, mon truc c'est l'art, le dessin et la peinture. Je dessinais tout et n'importe quoi, n'importe où et à n'importe quel moment. Il n'y avait que ça qui me plaisait, mais j'étais quand même obligée de supporter les maths et les sciences jusqu'à mon diplôme et suite à ça, j'irai à la fac en section art plastique. Ce que j'avais hâte... mais il me restait encore deux ans de lycée.

Le cours continua et moi au bout de dix minutes, j'abandonnais d'essayer de comprendre ce que le prof racontait et entrepris de débuter un dessin, je ne sais pas trop quoi mais je dessinais. Le cours se termina, je rangeai mes affaires et pris le chemin de la sortie quand le prof m'interpella. Aie...

- Miss Swan... L'année a commencé depuis trois semaines et vous êtes en retard tous les mâtins. Que se passe-t-il ?

- Euh rien... Je suis juste... En retard.

- Vous avez des soucis ?

- Non. J'ai juste du mal à être à l'heure, je vous jure.

- Essayez d'y remédier, je ne serais pas conciliant toute l'année Bella.

- Je m'excuse, vraiment... Je... Je me lèverai plus tôt.

- C'est un bon début. Bonne journée et apprenez à être ponctuelle, faire les choses au dernier moment n'est pas toujours, voir rarement bon.

- Merci du conseil. Il faut que je vous laisse, j'ai cours d'Anglais et Miss Perkine n'est pas aussi cool que vous.

- Filez !

Il sourit et je me rendis à mon prochain cours. La matinée continua ainsi jusqu'au déjeuner où je retrouvai Alice, ma meilleure amie. Alice était en section aménagée, notre lycée n'était pas grand mais il avait une classe pour les élèves avec un handicap. Alice avait perdu la vue dans un incendie, qui avait ravagé sa maison alors qu'elle n'avait que 3 ans. Hormis ses yeux, aucune victime comme elle disait.

Cette fille était géniale, elle faisait de son handicap une force et elle voyait les choses parfois mieux que moi par exemple. En plus de cela, elle adorait la mode, elle avait un don pour ça. Elle avait des tonnes de vêtements et savait tous les reconnaître et dire la couleur de chacun.

- Bella, tu es en retard... Encore.

- Il y avait du monde qui attendait pour manger.

- Menteuse. C'est quoi cette fois ?

- La prof d'histoire qui voulait me demander pourquoi j'avais toujours l'air de ne pas l'écouter... Bref... Et toi ?

- Rien de nouveau. J'ai acheté des bottes hier ! Elles sont magnifiques tu verrais ! J'en suis tombée amoureuse.

- Tu as combien de paires de bottes?

- Je ne peux pas les compter, je ne vois pas !

Je souris et commençai mon repas quand Alice se mit à sourire bêtement en cherchant ma main, que je lui donnai.

- Quoi ?

- Je le sens. Il arrive Bella, je reconnais son parfum.

- Qui ?

- Le garçon qui te fait rêver ! Ne me dit pas le contraire ! Quand tu parles de lui tu souris, je le sens dans ta voix. Alors, il est là ?

- Oui. Inaccessible, beau comme un dieu, tu le verrais... Par contre, tu ne perds rien en ne voyant pas la bande qui l'accompagne. Surtout Jessica, elle le déshabillerais sur place !

- Tu ne serais pas contre le voir nu !

- Seulement si c'est moi qui le déshabille. Je suis encore arrivée en retard en maths et bien sûr je n'ai pas pu m'asseoir à côté de lui. Pourtant je me suis bien habillée !

- Et parfumée !

- En plus ! Pourquoi je suis toujours en retard Alice ?

- Tu passes ta vie à rêver et à ne pas voir le temps passer, les artistes comme toi passent leur temps à divaguer et à perdre la notion du temps. Si tu veux, je te donne le réveil parlant affreux que ma mère m'a acheté !

- Merci mais non merci, garde-le. Oh, il rit... il est si... beau.

- Arrête de le regarder comme une gourmandise géante !

- Ouais, ouais. Tu verras quand un type te plaira, tu ne le lâcheras pas des yeux.

- C'est ridicule ce que tu dis.

- Vous serez tellement amoureux l'un de l'autre qu'il verra pour toi et tu en oublieras ta cécité. Tu verras la vie à travers lui.

- Tu me le notes quelque part ? C'est beau ce que tu dis.

Je ris et terminai de manger, non sans regarder par moment à la table de celui qui me plaisait. À un moment, nos yeux se croisèrent brièvement, ça arrivait souvent et comme toujours, il me lança un sourire en coin qui me fit rougir, puis il reprit la conversation avec ses amis.

La journée se termina et j'accompagnai, comme tous les soirs, Alice jusqu'au café de ses parents. Elle me montra sa nouvelle paire de bottes, effectivement elles étaient super belles, je l'enviais presque de les avoir. Alice avait ensuite rendez-vous chez un médecin avec son père, et sa mère me proposa de rester prendre un chocolat chaud. Personne ne m'attendait chez moi, il était trop tôt, et mon père ne serait pas là. J'acceptai et allais me mettre dans un coin avec ma tasse, bien décidée à comprendre les maths de ce matin. Le temps passa et je ne me rendis compte de rien, je m'étais mise à gribouiller sur mon cahier et j'y serais encore si personne ne m'avait appelée.

- Euh Bella ?

- Hein... ? Oh... Euh salut.

Il était là, devant moi et il connaissait mon prénom. Il me sourit, timide. Wouah je ne le pensais pas timide. Je le regardai surprise et un peu perdue. Je finis par prendre la parole.

- Tu... Enfin toi et tes amis, vous voulez le coin ? Je vous le laisse, il faut que j'y aille. Vous avez raison, c'est le meilleur endroit on est tranquille ici, on en oublie le temps qui passe !

- Non. Je suis tout seul. Je t'ai vu et comme tu étais toute seule... Enfin... Je... Oh, je ne me suis pas présenté... je suis... Enfin tu dois le savoir. Je... Pardon de t'avoir dérangée, je suis un idiot. Excuse-moi Bella, je me sens ridicule là.

Et il se retourna pour partir. Si Alice était là, elle me dirait de ne pas laisser passer ma chance. Et elle aurait raison. Alors, je pris mon courage à deux mains et repris encore la parole.

- Tu es Edward Cullen, on a cours de maths ensemble. Et si tu veux t'asseoir vas-y, être seul c'est pas toujours drôle.

- Tu ne dois pas rentrer chez toi ?

- C'était un prétexte parce que je pensais que ça te dérangeait de vouloir me virer de mon coin pour que tu t'y installes avec tes amis.

- Je suis seul. J'attends mon père mais il aura du retard. Tu... ça ne te gêne pas ?

- Non, pas du tout.

- Tu veux boire un truc ? Ou manger ?

- Euh non. J'ai pas touché à mon chocolat chaud, qui doit être froid maintenant. Je l'avais oublié d'ailleurs...

- D'accord. Tu faisais quoi ?

Il s'assit en face de moi et nos yeux s'accrochèrent, j'en rougis. Ses yeux verts émeraude, ses sourcils épais mais bien dessinés, son nez aquilin parfait et ses lèvres rosées, bien tracées et pulpeuses me donnaient le tournis tant c'était beau. Un jour, je voudrais le dessiner, mais je n'étais pas encore assez douée pour lui rendre justice encore.

- Bella ?

- Des maths. Enfin, j'essaye mais je n'y arrive tellement pas que j'ai fini par faire ça.

- La vache ! Tu as dessiné la salle du café ?

- Ah oui ? Je n'ai même pas fait attention à ce que je dessinais.

Je regardai mon cahier et effectivement je venais de reproduire la salle du café de mon point de vue. Je relevai la tête vers lui et souris, un peu gênée.

- Tu es douée Bella !

- C'est rien.

- Je t'assure, moi ça m'épate ! Je suis nul en dessin, pourtant ma mère est architecte ! Donne-moi un crayon et un papier et je te montre mon talent.

- T'es sûr de toi ? Je pourrais rire.

- J'ai conscience de mon manque de talent.

- Ok, alors tiens.

Je l'observai curieuse de voir s'il disait vrai. Il sourit et dessina un bonhomme aussi bien qu'un enfant de trois ans. Je ris et me demandai s'il l'avait fait exprès.

- Je suis sûre que tu l'as fait exprès.

- Je te jure que non. Mais je suis bon en maths, plutôt bon d'ailleurs, si tu veux...

- Tu... me proposes de m'aider ?

- Oui. En sciences, c'est quoi ton niveau ?

- Aussi nul que ton dessin !

Il rit franchement et me fis sourire. Il passa une main dans ses cheveux cuivrés en bataille, jamais il n'était coiffé, et planta son regard encore une fois dans le mien.

- Ok, je te propose alors également mon aide pour les sciences.

- Pourquoi ?

- Pourquoi pas ?

- C'est bizarre, on ne se connaît pas et tu me proposes ton aide.

- On apprendra à se connaître comme ça. Cela dit, je comprend que tu ne veuilles pas.

- Tu veux quoi en retour ?

- Rien, je te le promet.

- Bella ?

Edward et moi relevâmes la tête pour voir Alice qui arrivait vers nous en se déplaçant gracieusement entre les tables dont elle connaissait la disposition par cœur.

- Oh Alice, je ne t'avais pas vu !

- Moi non plus figure-toi ! Tu n'es pas toute seule on dirait ?

- Je... ouais... Je te présente Edward Cullen. Il est au lycée avec nous. Edward, voici Alice Brandon, ma meilleure amie.

- Salut Edward ! J'ai entendu parler de toi !

Elle tendit sa main à Edward qui la lui serra mais Alice décida de l'examiner. Je m'excusai.

- Pardon, elle... comme elle ne te voit pas, c'est sa façon de se faire une idée de ce à quoi tu ressembles. Elle ne demande jamais...

- Oh, ça ne fait rien. Et tu vois quoi Alice ?

- Tu as les douces, fermes et souples. De longs doigts avec de la corne au bout... Tu joues du piano, ce qui explique la souplesse de tes mains et de tes doigts, tu joues également de la guitare, la corde de l'instrument abîme le bout de tes doigts, ce qui provoque cette fine corne que tu as. Je me trompe ?

- C'est... incroyable. Tu as raison.

- Tu joues de ces instruments depuis longtemps.

- Oui.

- Ce n'était pas une question, pardon. Je peux toucher ton visage ?

- Alice, ça va pas !?

- Non Bella, c'est bon. Vas-y Alice.

- Ok...

J'étais morte de honte. Alice s'approcha encore plus de lui, elle touchait son visage, ses yeux, ses sourcils, son nez, ses lèves, son menton, ses cheveux... tout ! Elle touchait tout ce que moi je voulais toucher aussi ! Et, alors que je croyais avoir atteint le sommet de la honte, elle parla.

- Tu m'as l'air vraiment très beau, ta peau est douce, tu prends soin de toi. Tu as l'air grand aussi vu le niveau où tu m'arrives même assis... Bella tu devrais toucher ses cheveux, une pure merveille ! Je comprends pourquoi il te fait tant craquer !

- Alice stop !

- Quoi, tu as un faible pour lui, c'est bon ! Je peux facilement comprendre, vu ce que je vois !

- Vous savez quoi ? Je vous laisse vous tripoter en paix, moi je rentre me mortifier dans ma honte !

- Bella non, reste...

J'ignorai Edward qui avait parlé. Alice s'était reculée et prenait conscience, seulement maintenant, de ses paroles. J'avais envie de me cacher dans un trou et ne plus en sortir. J'aurais pu avoir une chance avec Edward, une seule et Alice venait de tout gâcher. Jamais plus je n'oserai le regarder sans avoir honte et il ne voudrait certainement plus me voir non plus.

Je sortis du café et par chance, enfin de la chance, le bus pour aller chez moi arriva et je montai dedans, sans rien attendre. Il repartit et j'eus juste le temps de voir Alice et Edward sortir du café, Alice au bras d'Edward. Celui-ci me vit dans le bus et dit quelque chose que je ne compris pas et que je ne voulus pas comprendre. Je lui tournai le dos, toujours aussi rouge de honte et m'assis alors que le bus démarrait.

De retour chez moi, je me fis couler un bon bain, bien chaud, je devais oublier cette humiliation. Une heure après, je me sentais déjà mieux et allais préparer le dîner pour moi et mon père quand Alice m'appela. Une fois, puis deux... à la troisième, je décrochai. Dans le fond, je ne lui en voulais pas, je l'aimais trop pour ça, elle était comme ça, elle l'avait toujours été et le serai toujours, elle ne contrôlait pas ses pensées.

- Allô ?

- Oh Bella ! Je suis désolée ! Ne raccroche pas, je t'en pris ! Je m'en veux tellement...

- Alice, ne pleure pas c'est bon. Je ne t'en veux pas, je te connais, j'aurais dû le prévoir. C'est vis-à-vis de lui que j'ai honte. Jamais plus je ne veux le croiser !

- Je... il n'avait pas l'air contrarié, gêné ou vexé... il l'a bien pris. Je crois qu'il t'apprécie.

- Mouais... bah, je ne veux quand même pas lui reparler de sitôt , je ne pourrais pas le faire sans être rouge comme une tomate.

- Je m'en veux tellement Bella. Je t'aime si fort, je ne veux pas gâcher notre amitié.

- Ce n'est qu'un garçon Alice, on a 17 ans, il y en aura d'autres et je ne veux pas te perdre non plus. Tu es ma sœur Alice, enfin tu es comme ma sœur. Je t'aime aussi.

- Merci Bella.

- De rien. Allez, ne panique pas. On se voit demain au lycée, comme d'habitude. Il faut que je te laisse, je cuisine et Charlie ne va pas tarder.

- Oui. À demain Bella. Pardon encore mais... Il est sacrément beau.

- Je sais... Enfin bon. Allez à demain.

- À demain.

Je raccrochai et terminai ma cuisine, pile quand mon père arriva. Charlie était policier gradé, il aimait son boulot mais il arrivait à un âge où courir après les jeunes délinquants le fatiguait, dans le sens où courir l'épuisait.

- Bonsoir papa !

- Bonsoir ma chérie. Comment tu vas ?

- Super bien. Et toi ?

- Je vais bien, je vais bien. Ça sent bon.

- J'ai fait un gratin, c'est prêt justement.

- Je t'ai déjà dit que tu étais parfaite ?

- On ne va pas exagérer.

- Bella...

- Hum ?

- Il faut que je te demande un truc...

- Oh. Vas-y.

Il s'assit, j'en fis autant. J'appréhendais sa demande, il avait vraiment l'air gêné. J'attendais qu'il se lance en l'encourageant du regard.

- Bon voilà. La semaine prochaine, samedi, il y a un gala de charité concernant le commissariat et je doit y aller.

- Genre, costume et tout ?

- Oui en pingouin...

- Et mon rôle dans tout ça ?

- Accompagne-moi, s'il te plaît. Je ne veux pas y aller tout seul. Je sais que ça ne va pas t'intéresser mais...

- Tu ne seras pas tout seul.

- Ne m'en veux pas de te demander ça Bella.

- Je comprends. Je viendrai, Alice se fera un plaisir de m'aider à choisir une robe. D'ailleurs, je n'en ai pas.

- Je t'en payerai une ! Et tout ce que tu veux. Merci Bella. Tu es vraiment la meilleure des filles qu'on puisse avoir.

- Attend de voir le jour, où je te dirai que je suis enceinte du voyou du coin et que je pars avec lui avant mes vingts ans arrivés !

Il rit gentiment et m'aida à mettre la table. Cette soirée ne devrait pas être si affreuse que ça quand même. J'en parlerai à Alice dès demain. Je mangeai alors avec mon père, nous ne parlâmes pas de grand chose et je finis par monter me coucher. J'étais bien au chaud, dans mon lit quand je me rendis compte d'un truc. Je n'avais fait aucun de mes devoirs pour le lendemain ! Je regardai l'heure, il était dix heures du soir, l'horreur. Je me relevai donc et me mis à travailler, l'anglais, la géo et le français. Je me couchai à plus de minuit, j'avais un peu rêvassé pendant mes devoirs...


Et voilà voilà...

Alors la fic sera comme toujours poster tous les mercredis

Point de vu de Bella tout le long.

30 chapitres environs.

maintenant la question est... Qu'en avez vous pensé ?

DITE MOI TOUT ^^ =)

Merci d'avance pour les reviews

A la semaine prochaine donc pour la suite

biz

Lexi