Ma première fanfic sur Harry Potter, enfin en l'occurence la nouvelle génération. Je reposte tous les chapitres après avoir effectué quelques légères modifications.
Les personnages et tout l'univers d'Harry Potter appartiennent à la brillante J.K Rowling.
Albus Potter
et le serpent endormi
Chapitre 1: Quand vient la fin de l'été
Dans un quartier d'un petit village d'Angleterre vivait la famille Weasley. A première vue, la clôture blanche, les massifs de fleur et la voiture garée dans l'allée présentaient tous les aspects de la normalité. Pourtant, en regardant de plus près (ce que les voisins ne faisaient jamais, comme repoussés par un étrange sortilège), on aurait put remarquer un exemplaire de la Gazette du Sorcier posé sur le divan, un vieux balai reposant contre un mur ainsi que deux cages de hiboux vides. Une insigne de préfet, et une autre de préfète-en-chef reposaient sur la table basse du salon.
- Mes deux enfants sont préfets ! se lamenta Ron. Au secours !
Cela fit beaucoup rire les deux enfants en question : Rose et Hugo Weasley.
- Tu étais préfet aussi je te signale ! répliqua sa femme.
- C'est vrai… Ca doit être dans vos gènes. Félicitation Hugo, tu feras un bon préfet.
- Tant que tu ne t'approprieras pas les objets que tu confisque, lança Hermione tout en fixant Ron.
- Je ne l'ai jamais fait ! …tu m'en empêchais !
Sa femme leva les yeux au ciel, tandis qu'Hugo jetait un regard désespéré à ses livres de cinquième année tout juste achetés.
- Ne t'en fais pas, lui dit son père. J'ai eu mes BUSE sans vraiment travailler.
- Ron ! s' exclama Hermione en le frappant sur l'épaule avec le programme TV. Ne lui dit pas des choses comme ça !
Puis elle se tourna vers Rose et dit d'un ton plus doux :
- Rosie, tu pourrais détendre le linge, s'il te plaît.
La jeune fille grimaça, elle avait prévu de sortir, pas d'aider au ménage.
- Tu pourrais le faire avec un Accio, ça te prendrais une seconde, tenta-t-elle, sachant pertinemment ce que sa mère allait lui répondre.
La jeune fille aurait bien utilisé la magie elle-même mais elle n'aurait dix-sept ans que dans quelques jours.
- Rose, tu sais que je n'utilise jamais la magie pour les tâches quotidiennes.
- Tu t'es bien fais rétrécir les dents à coups de baguette magique ! lança Ron.
Hermione lui jeta un regard noir mais ne trouva rien à répliquer.
La jeune Weasley profita de la diversion pour s'éclipser. Elle referma la porte d'entrée derrière elle. La chaleur étouffante d'Août lui permettait de ne porter qu'un short et un débardeur rouge. Equipée d'une paire de lunettes et d'un grand chapeau de paille, la jeune sorcière marcha jusqu'au parc qui se trouvait à quelques mètres de chez elle. Il n'y avait personne. Rose s'assit sur le tourniquet et ouvrit son manuel avancé de préparation des potions. Depuis sa première année, Rose Weasley avait prit l'habitude de jeter un œil à tous ses livres de cours il s'avérait que tout paraissait plus simple lorsqu'on l'avait déjà vu chez soi.
Des rires aigus et des voix haut-perchées attirèrent son attention : il s'agissait de Mandy, Juliette et Mary, trois filles de son âge qu'elle n'aimait pas du tout, et qui le lui rendait bien.
- Rose Weasley ! la héla la seconde avec une certaine ironie dans la voix. Ça se passe bien dans ton école de surdoués ?
En effet, ne pouvant dévoiler l'existence de Poudlard, les Weasley avaient dut trouver une excuse à l'absence de Rose et Hugo. Officiellement, ils se trouvaient tous les deux dans une école privée à plusieurs kilomètres de la ville.
- Oui, merci, répondit Rose avec sa diplomatie habituelle.
Les trois adolescentes s'éloignèrent en riant. Rose referma violement le manuel qu'elle venait de finir, enrageant de ne pas pouvoir leur prouver à quel point elle était spéciale. La baguette dans sa poche lui sembla bien lourde. Elle se leva et regagna la maison afin d'écrire une lettre à son amie de Serdaigle, Sarah.
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Au 12 Square Grimmaud, Albus Potter refermait le robinet de la salle de bain, qui représentait un serpent noir à la gueule ouverte. Puis il regagna sa chambre où son meilleur ami Scorpius repliait le matelas posé sur le sol.
- Laisse vieux, je le ferais plus tard, lui dit Albus.
Mais le jeune Malfoy insista pour ranger un peu. En effet, la moitié des affaires étaient à lui. Comme chaque été depuis plusieurs années, Albus invitait son meilleur ami à passer quelques jours chez lui.
Les deux adolescents s'étaient connus à Poudlard, où ils partageaient le même dortoir. Tous les deux appartenaient à la maison Serpentard. Cela se remarquait d'ailleurs, au milieu d'affiches de toute sorte, une écharpe vert et argent était accroché au mur, ainsi qu'une photo des deux amis lorsque leur maison avait remporté la coupe de Quidditch l'année passée.
On sonna à la porte. Lily, qui avait maintenant quinze ans, alla ouvrir à son cousin Hugo. Après de chaleureuses salutations de la part de toute la famille, Albus, Scorpius, Lily et Hugo s'emparèrent de leur balai pour aller disputer un match de Quidditch sans merci dans le petit jardin derrière la maison.
- C'est aujourd'hui que Scorpius rentre chez lui ? s'enquit Harry, tout en aidant au rangement de la maison.
Ginny lui répondit par l'affirmative. Elle regarda ses enfants jouer au Quidditch, en se rappelant l'époque où elle-même pratiquait ce sport avec ses frères et Harry. Si on lui avait dit qu'un jour elle serait marié avec celui qu'elle aimait depuis toujours, elle ne l'aurait pas cru. Ginny était comblée par le dénouement heureux qu'avait connu son histoire. Il y avait des années que Voldemort avait été vaincu, tout allait bien pour eux.
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Ginny arriva de la cuisine, une poêle flottant derrière elle, tandis qu'Albus allumait la télé.
- Steaks hachés ? proposa-t-elle.
Scorpius se servit en Ketchup, profitant de ce moment banal pourtant si exceptionnel pour lui. Avec son père, on ne mangeaient pas de hamburger devant la télé !
- Astoria m'a dit qu'elle voulait acheter une télé, dit Mme Potter.
- C'est vrai, il était temps ! rit le jeune Malfoy.
- Voyons Scorpius, sans télé tu as bien plus de temps pour travailler ! plaisanta Harry.
Tous éclatèrent de rire.
Après ce repas en famille, Scorpius et Albus allèrent se promener dans le quartier, où de jeunes enfants jouaient au ballon prisonnier. Les deux adolescents s'assirent sur un banc au soleil, profitant des derniers jours de vacances.
L'après-midi passa très vite. Vers dix-huit heures, quelqu'un sonna à la porte d'entrée. C'était Astoria et Drago Malfoy qui venaient chercher leur fils. Les deux femmes se saluèrent chaleureusement. Elles étaient devenues amies en travaillant ensemble à la Gazette du Sorcier, et il s'avérait que Mme Malfoy était une femme tout à fait charmante.
Ils burent un thé, tandis que Scorpius finissait de rassembler ses affaires.
- A bientôt Scorpius, lui dirent les Potter. Reviens quand tu veux.
Il les remercia en souriant, heureux des quelques jours qu'il avait passé chez son ami.
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Lucius et Narcissa avaient décidé de voyager, profitant de leur liberté retrouvée. Ils avaient donc laissé le manoir ancestral des Malfoy à son fils. Que se soit les pans albinos ou les fontaines, la demeure n'avait rien perdu de sa splendeur d'autrefois. Cependant, Drago ne pouvait s'empêcher de frissonner d'effroi lorsqu'il repensait à Voldemort assis là où se trouvait avant la table, et le visage torturé de Charity Burbage venait parfois le hanter dans ses cauchemars.
Scorpius fut enchanté de retrouver sa chambre. On pouvait difficilement deviner à quelle maison le jeune homme appartenait, si ce n'était grâce à son uniforme reposant sur une chaise. Sa valise pour repartir à Poudlard était déjà prête, il était impatient d'entamer cette nouvelle (et dernière) année.
Le jour qu'il attendait arriva enfin. Descendant les escaliers, sa valise à la main, il jeta un œil au grand manoir qu'il ne retrouverait pas avant les vacances de Noël.
Ce fut Astoria qui le mena à la gare, son père avait trop de travail au Ministère, au service de répression des usages abusifs de la magie. Sur le quai, elle le serra longuement dans ses bras.
- Je t'écrirais, promit-elle.
Elle tenait toujours parole. Scorpius se lança ensuite à la recherche d'Albus.
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- Rose ! appela Hermione.
- J'arrive !
La jeune fille, qui avait la même chevelure de feu que son père mais le regard marron pétillant d'intelligence de sa mère, dévala les escaliers avec fracas en trainant une grosse valise à l'effigie de Poudlard derrière elle.
- Tu pourrais faire moins de bruit ? questionna Hermione.
Rose lui adressa un sourire ironique avant de lever sa baguette en frêne et de prononcer distinctement :
- Wingardium Leviosa !
La grosse valise s'envola gracieusement pour aller se poser avec douceur dans le hall d'entrée.
- J'adore avoir dix-sept ans !
- Rosie chérie, ce n'est pas…
- Ce n'est pas parce qu'on est des sorciers qu'on doit utiliser nos dons à tout bout de champ, surtout pour des tâches quotidiennes, compléta la jeune Weasley d'un ton las.
Sa mère lui sourit.
- N'oublis pas ton balai, ajouta-t-elle.
- Alors ! s'exclama Ron depuis la voiture. Si ça continu on va rater le Poud… le train !
Elles sortirent, et Hermione verrouilla la porte à l'aide d'un sort, profitant que sa fille ait le dos tourné.
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Il était précisément onze heure moins dix. Après avoir traversé le mur entre les voies neuf et dix, la famille Potter se dirigea vers le train, marchant sur le quai enfumé.
- Ils sont en retard… fit remarquer Lily en scrutant les alentours de ses yeux marrons perçants.
Une voix féminine qui leur était familière leur parvint :
- Tu as faillit l'écraser ! s'exclama Hermione Weasley.
- Mais je ne l'ai pas fait ! répliqua Ron en sortant de la brume.
En voyant les Potter, Rose leur adressa de grands signes de la main, un sourire éclatant illuminait son visage. Albus savait pertinemment que sa cousine avait hâte de retourner étudier à Poudlard.
- Tu ne me fais pas confiance, ajouta Ron d'un air blessé.
- Bien sûr que si ! s'insurgea sa femme avec cet air que tous connaissait bien.
Albus sourit de les voir encore se chamailler. Depuis le temps, les enfants avaient compris que c'était leur façon de se dire qu'ils s'aimaient.
- Salut ! leur lança Ginny en enlaçant sa belle-sœur et meilleure amie.
Ron et Harry échangèrent une poignée de main chaleureuse. Le train siffla.
- Vous feriez mieux d'y aller, leur dit Hermione. On se revoit à Noël.
Elle sera les quatre adolescents dans ses bras. Après de rapides au revoir, Hugo, Rose, Albus et Lily se dirigèrent vers le train.
- He ! Scorp !
Le jeune Potter se précipita vers son meilleur ami et ils montèrent tous les deux dans le train. Rose se dirigea vers le wagon des préfets, tandis que les deux Serpentards se lançaient à la recherche d'une place libre, croisant leurs camarades de classe au détour des couloirs.
- Hey Helga !
Albus se dirigea vers une jeune fille de Poufsouffle aux longs cheveux d'un noir de jet et aux yeux marron. Ils se saluèrent et échangèrent quelques banalités, Helga ne semblait pas très à l'aise et les gloussements de ses amis n'arrangeaient pas la situation.
Quand ils furent seuls et installés, Scorpius lança avec malice :
- Alors ? Helga…
- On s'est écrit pendant les vacances, mais je sais pas trop.
Le jeune sorcier n'avait pas envie de s'étendre sur le sujet, cette conversation s'arrêta là.
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Rose se précipita dans le compartiment des préfets lorsqu'elle aperçut Oliver se déplaçant dans le couloir. Les deux adolescents avaient rompus à la fin de l'année passée et désormais sa présence mettait la jeune fille mal à l'aise. Elle sortie un livre de son sac en attendant que les autres préfets n'arrivent. Rose avait toujours un livre avec elle, car elle adorait la lecture une passion que la jeune Weasley avait sans aucun doute hérité de sa mère. Chez eux, il y avait une grande bibliothèque contenant des romans moldus, des manuels de potions ou d'enchantement ainsi que tous les livres appartenant à Hermione lors de ses études à Poudlard (ceux de Ron étaient en trop mauvais état pour être conservés).
Puis ses deux amis Sarah et Meredith, respectivement préfètes de Serdaigle et Poufsouffle la rejoignirent.
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Avant le commencement de la cérémonie de la répartition, tous les élèves firent silence, attendant que le Choixpeau ne leur parle. Enfin, il déclama :
« Comme chacun le sait,
Il y a de cela quelques années,
Poudlard fut le théâtre d'une épique bataille
Où se rependirent sang et entrailles. »
Quelques jeunes filles grimacèrent à l'évocation de cette violence.
« Malgré les pouvoirs du Seigneur des ténèbres
Les valeureux luttaient contre une promesse funèbre.
L'élu, Harry Potter se sacrifia pour eux,
Les sauvant tous d'un destin malheureux. »
Albus et Lily se sourirent. Bien qu'habitués aux éloges faits à leur père, cela continuait de les embarrasser.
« Pendant le combat opposant les défenseurs de la liberté et les Mangemorts,
Un courageux élève fit fasse à la mort.
Brandissant l'épée du vertueux Gryffondor,
Neville Londubat trancha la tête
De l'affreux serpent sorti de sa cachette.
Le dernier Horcruxe n'était plus. »
Luna prit la main du professeur de botanique rougissant, apparemment fière de lui.
« Harry Potter affronta le Seigneur Noir,
Animé par un sentiment que Voldemort ne pouvait pas percevoir.
Cette nuit là, comme celle où ses parents furent tués,
L'amour eut raison de l'intérêt froid et calculé
Animant les actes du Seigneur des ténèbres. »
Un concert d'applaudissement vint clôturer cette prestation. Les nouveaux élèves furent ensuite répartis dans les différentes maisons. Un grand festin s'ensuivit, dans la joie et la bonne humeur les premières années étaient surexcités.
Lorsque les dernières assiettes eurent disparus, le professeur McGonagall se leva et le silence se fit immédiatement. Elle leur sourit et dit :
- Je vais vous énoncer quelques éléments du règlement intérieur : il est interdit aux élèves de se balader dans l'école après le couvre-feu, d'utiliser la magie dans les couloirs et de se rendre dans la forêt. Certains objets, dont vous trouverez la liste complètes chez Mr Rusard ne sont pas autorisés. Nous comptons sur les préfets pour faire respecter ses quelques principes de base mais ils sont également à votre écoute, n'hésitez pas à faire appel à eux.
- On est quand même pas des hommes à tout faire, marmonna Hugo.
- Comme vous le savez surement, un bal sera organisé à Noël pour fêter les vingt-cinq ans de la victoire contre Voldemort. Exceptionnellement tous les élèves sont invités, de la première à la septième année.
Des vivats et des exclamations de joie accompagnèrent cette déclaration. Lorsque les applaudissements se turent, la directrice reprit, plus gravement :
- Ce bal est une commémoration de la victoire du bien sur le mal. Mais n'oubliez jamais qu'il s'agit d'un combat au quotidien. Les amitiés que vous nouez ici, les liens familiaux, la solidarité sont les gardiens de la paix et ce sera à vous, jeunes générations, d'assurer sa pérennité. Sur ce, je vous souhaite une bonne année !
Les élèves se levèrent, raclant les bancs sur le sol de la Grande Salle. En sortant, Rose dit à son cousin Albus :
- Je me demande ce que McGonagall voulait dire… Elle semblait soucieuse.
- Ne te tracasse pas, lui répondit le Serpentard le plus aimable de sa connaissance. Elle répète toujours la même chose depuis des années : l'Amour, la plus grande de toutes les magies…
- C'est que ça doit être vrai !
- Je sais tout ça, je le sais… Les premières années t'attendent, ajouta-t-il en désignant un groupe d'élèves qui affichaient tous un air un peu perdu.
- A demain Al !
- A demain.
Albus se dirigea vers les cachots en compagnie de Scorpius tandis que Rose s'écriait :
- Les premières années, par ici s'il vous plait !
En montant les marches toujours en mouvement du grand escalier, Rose se laissa submerger par les souvenirs de son arrivée à Poudlard. Elle avait été ébahie par l'immensité du château, les tableaux parlant, l'atmosphère de mystère de chaque couloir. Maintenant, alors qu'elle escortait ces nouveaux arrivants qui ne se doutaient pas qu'ils s'agissaient des années les plus exaltantes de leur vie, Rose se dit que la fin de cette année marquerait la fin d'une époque, la fin de l'innocence et de l'insouciance. Ils passèrent la porte de la salle commune.
- Le dortoir des garçons est en haut à gauche, celui des filles au fond à droite. Vous y trouveraient toutes vos affaires, on vous les a déjà monté.
Tandis que les premières années s'empressaient de monter les escaliers, Rose s'assit à côté de sa cousine et meilleure amie, Lily, moins âgée qu'elle de deux ans. Elles laissèrent filer la soirée en échangeant quelques banalités, bien trop excitées par l'année qui s'annonçait pour aller dormir.
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Albus donna le mot de passe faisant pivoter un pan du mur. Lui et Scorpius s'engouffrèrent dans la salle commune. Le soleil se couchait sur le lac, ses derniers rayons traversaient l'eau et se reflétaient dans toute la pièce. C'était une vue enchanteresse qui avait manqué aux deux adolescents pendant ces vacances.
Le jeune Malfoy s'avachit sur la banquette en cuir vert, alors que son acolyte allait se placer devant la vitre, admirant le lac.
- Helga était vraiment jolie aujourd'hui, lança Scorpius.
- C'est vrai… soupira Potter, avant de se tourner vers son ami, l'air effaré.
- Je t'ai encore eu ! Mais sérieusement, combien de fois je t'ai conseillé de tenter le coup avec elle ?
- Et si elle disait non ? objecta Albus. Je ne pourrais plus la regarder en face.
Le jeune homme aux cheveux châtains sembla réfléchir à la question.
- Qui n'essaye rien n'obtient rien, déclara-t-il finalement.
- L'expression c'est « qui ne tente rien n'a rien » Monsieur l'expert des proverbes moldus !
- Oh ! Tu m'as compris. Penses-y, c'est notre dernière année ici, notre dernière chance d'agir sans nous soucier des conséquences.
Albus marmonna quelque chose ressemblant à : « c'est pas toi qui va les subir les conséquences ! »
Scorpius se leva d'un bond en souriant.
- On ferait mieux d'aller se coucher, Slug va nous remonter les bretelles si on arrive en retard le premier jour.
- Je paris qu'on va avoir droit au discours sur l'importance des ASPIC.
