Bonjour à tous ! Eh bien c'est ma première fic alors c'est peut être pas génial, mais je tenais écrire sur quelque chose que je mijote en tête depuis longtemps, mais avant tout je doit prévenir, que cette fic contient un spoiler sur Watanuki, et sur Tsubasa alors je déconseille cette fic a ceux qui n'ont pas envie de savoir 2 trucs venant d'une fic de débutant ! !

Je répète encore ! SPOILER ! ! ! Sur Watanuki, et sur Tsubasa Reservoir chronicle, le reste est pur invention.

sommaire de ma fic :

- Le spoil est sur Tsubasa en général : le lien avec Shaolan et Watanuki, donc sur Watanuki vis a vis de son passé, mais pas du passé lui même que je ne connais pas.

- Rumeur sur la véritable identité de « Shaolan », l'original, et non le clone.

- Reconstitution du passé de Watanuki et de « Shaolan », que j'invente, à partir des rumeurs.

Les personnages appartiennent aux clamps !

Et on ajoute, bien entendu, un peu de shonen-ai !

Cross avec un tout petit peu de TRC, et cross avec Card Captor Sakura


Chapitre 1

La compensation

Le soleil tapait fort en ce jour de printemps, et dans le lycée Juji le brouhaha des élèves, animés d'enthousiaste contagieu, emplissait chaque recoin du lycée. En effet, les grandes vacances arrivaient, avant d'entamer le troisième semestre, et le festival du lycée battait son plein. Il était 7h du matin, et tout adolescents et professeurs s'affairaient à se préparer pour les activistes de leur classes, qui débuteraient 1h plus tard, et accueillerait les amis, les parents et les habitants du coins à y prendre part et pour passer un bon moment.

Il y avait de tout ; dans le couloir, les élèves se pressaient, costumes à la mains, pour les numéros ou sketch qu'ils organisaient, d'autres portaient des statuettes en papier et fils de fer, de toute formes, faitent mains par les classes d'art, et d'autres accrochaient des banderoles de couleurs gais sur les murs un peu partout. Dômeki animait la fameuse et récurrente maison hantée, et ayant finit son boulot, il sortit de la salle classe méconaisable et parcourut le couloir, sa cape noire de vampire voletant derrière lui. C'était un déguisement tout ce qu'il y a de plus simple, mais le plus simple réussit le plus souvent, et sur son passage, les filles poussaient de profonds soupirs a fendre l'âme, à la vue des canines pointues qui dépassaient de ses lèvres, et par lesquelles elles auraient tant aimées être mordillées…(1)

Dômeki ne se dirigea pas vers la salle de classe de Watanuki, mais plutôt vers la cuisine du lycée, où ceux-ci devaient préparer leur activité. Ouvrant les portes battantes, il jeta un coup d'oeil afin de repérer ses fidèles amis : la belle est gentille Himawari, et la bombe à retardement qu'est Watanuki… et qui par ailleurs, été absent. Leur activité était un "café/pâtisseries/ & mini-mini-restaurant", où les filles portaient des jupes soyeuses blanches et beige clair, muni de jupon et de dentelles, façon « femme de chambre" et "dark lollita », et Himawari la portait à merveille. Cependant, celle-ci accourut vers Doméki passablement inquiète.

- Dômeki-kun, tu es seul, Watanuki-kun n'est pas avec toi alors ?

- Non, répondit Dômeki, je viens de finir ma part de préparation de la maison hantée. Pourquoi, il est partit ?

- Il ne s'est pas montré une seule fois, j'ai pensé appeler chez lui mais je préférais que tu le fasses, si ça se trouve, il lui est peut être déjà arrivé quelque chose en chemin ? Ou bien il est malade ?

Dômeki n'était pas vraiment rassuré non plus, car Himawari lui avait déjà dit que tous leurs camarades de classes misaient le tout sur les épaules de Watanuki, dont les dons de cuisines avaient été vanté par celle-ci auparavant. Ils se dépêchèrent donc de partir de la cuisine, choix judicieux, étant donné que les autres élèves semblaient furax et, pour une raison qui échappait à nos deux amis, fixaient sur Dômeki d'un regard furieu et accusateur (cependant, regard également dû à la jalousie que provoquait chez la plupart des garçons, le costume qu'arborait notre bel étalon préféré).

Ils arrivèrent enfin dans la cour, où d'autres personnes accouraient pour préparer les stands de jeux et de sucreries, et ils s'isolèrent auprès de la cabine téléphonique. Dômeki appela Watanuki, qui après de nombreuses intonations, ne répondait toujours pas.

- Il ne répond pas ? Demanda Himawari.

- Non, répondit Dômeki en racrochant après que le répondeur se soit mit en marche. Mais peut être qu'il est chez Yuko-san. De temps en temps, il dort à son magasin pour lui préparer le déjeuner.

Himawari acquiesça, et Doméki composa le numéro. Après quelques intonations, quelqu'un décrocha la combiné, et la voix mélodieuse de Yuko se fit entendre…

- A l'huile ? hihi... em: Allô, qui est à l'appareil ? (2)

- …

- … ?

- C'est Dômeki et Himawari à l'appareil, nous appelons du lycée.

- Oooh mais oui bien sûr, Watanuki m'a dit que vous y participez tous ! Je passerais sûrement d'ailleurs !

Un NAN ! sec et étouffé parvint aux oreilles de Dômeki, et la voix de Yuko, s'éloignant un peu du combiné, pleurnicha :

- Maiiis Watanukii, comment je fait pour manger, moi, si tu refuses de le préparer pour moi aujourd'hui ?

BEN VAS AU RESTAU ! Ou fais un régime !

- Ooh, méchant ! ... Dômeki, Himawari ? Vous êtes toujours là?

- Oui, répondit Dômeki, au côté d'une Himawari qui ricanait, on cherchait justement à joindre Watanuki, tout le monde l'attend dans la caféteria des professeurs, un mini-resto sans nourriture n'est pas un mini-resto.

Yuko répéta l'information à son homme à tout faire, ce qui eu pour effet (désiré par ailleurs) de le faire râler.

NAN MAIS JE SAIS ! MAIS J'AI QUE DEUX MAINS MOI grrrkjqlsjdkzd !

Yuko ricana gentiment et s'adressa à Doméki :

- Bien, Watanuki a donné rendez-vous à quatre de ses camarades qui l'aideront en cuisine. Ils viendront l'aider à transporter les préparations, vous pouvez venir vous aussi si vous le voulez, aux parc près de ton temple, Doméki. Watanuki avait juste une petite chose en plus à faire ce matin, mais il serra là à temps… A tout à l'heure au lycée!

NAN, TU VIENS P… tuut tuut tuut tuut

C'est ainsi que Dômeki et Himawari partirent avec d'autres camarades au point de rendez-vous, afin d'aider Watanuki.


De son côté, Watanuki n'avait jamais autant cuisiné de toute sa vie, et il n'avait jamais fais aussi peur. Peu après le coup de fil de ses amis, Yuko, qui était d'une humeur un peu taquine, et Mokona, avaient tenté de tremper un doigt dans la crème au chocolat et aux écorces de citron pour les nappages de gâteaux que Watanuki venait de finir, mais ils furent arrêtés par un gros coup de rouleau à pâte sur la tête. Désormais, ils faisaient tous les deux la tête dans un coin du salon, torturés par les douces odeurs qui émanaient de la cuisine, mais aussi par les bosses phénoménales qui étaient apparus sur le sommet de leur crâne.

Watanuki avait préparé beaucoup de bentôs, en plus d'avoir préparé tout les mélanges de base qui serviraient à cuisiner le menu une fois au lycée. Ceux-ci étaient d'ailleurs quasiment terminés, mais il lui restait beaucoup à faire. Une demi heure plus tard, tous les bentôs étaient terminés, et furent amenés dans le salon. Yuko, qui avait cessé de jouer au bourreau et à la misérable, l'attendait à genoux, près de la porte fenêtre grande ouverte qui donnait sur le jardin. Mokona se tenait dos à celle-ci, et regardait Watanuki s'asseoir en face de lui avec un petit sourire.

- Tu es prêt ? Demanda Yuko.

Après un temps, Watanuki répondit qu'il l'était, et alors, Mokona fit demi tour et, du bijoux en verre bleu posé sur son front, jaillit une lumière qui s'étala dans le vide de la porte fenêtre, en un cercle, rappelant plus ou moins fidèlement une simple fenêtre, ou un écran de télévision. Aucunes images ne s'y affichaient cependant. A la place, on apercevait ce qui ressemblait à un trou noir, dans lequel voletait des volutes de fumées violettes et scintillantes, et un bruit sourd, comme celui d'un courant d'air, emplissait légèrement la pièce.

- Tu peux y aller, dit Yuko.

Watanuki s'éclaircit la voix.

- Eum, Bonjour, Fye-kun, Kurogané-kun, Shaolan-kun et Sakura-hime. Je suis Kimihiro Watanuki, et je travaille pour Yuko-san. Vous ne devez probablement pas vous souvenir de moi, mais je tient quand même à vous envoyer quelque chose, en compensation pour un service que vous nous avez rendus récemment.

Yuko n'était pas intervenu à aucuns moments du discours de son homme à tout faire, au mentionnement des souvenirs que ses autres clients avaient de lui. Mais, en imaginant l'expression de tristesse et de reconnaissance qu'ils arboreraient lorsqu'ils entendraient ce message, elle ne put s'empêcher de sourire… d'un sourire un peu triste peut-être…

- Vous avez fais de nombreux choix au court de votre voyage, tout comme l'homme que vous combattez, Fei wan Read, et les choix de celui-ci ont eu des répercutions sur les règles avec lesquelles notre monde fonctionne. Cependant, certains de vos choix très récents les ont annulés, et j'en suis très rassuré. Yuko-san m'a dit qu'en ce moment, vous ne fréquentez pas des endroits où la nourriture est facile d'accès, alors, je voulais donc vous remercier, en vous envoyant des bentôs que j'ai préparé. Dès que l'enregistrement sera finit, Mokona et M… Mokona… vous feront la transition. J'espère que ça vous ira, et j'en profite aussi pour vous dire, que je suis certain que vous réussirez dans votre quête ! Je le ressens ! ... Et bien… Au revoir !

Watanuki acheva avec un sourire, et l'écran disparut. Mokona ouvrit alors grand la bouche et avala les trois gros bentôs, la bouteille de saké, les trois carafes d'eau, et le paquet contenant la vaisselle.

- Bien, souffla Yuko après un légers silence, je suis sûre que cette compensation leur fera le plus grand bien Watanuki. Tu l'a réussit dans les délais pour qu'ils puissent l'avoir à leur réveil, et tu l'a préparer avec tout ton cœur.

Watanuki soupira, l'esprit un peu plus tranquille, et ajouta :

- Il faut bien que j'aide un peu plus après tout, je ne sais pas exactement s'il vont bien, ni si ils sont toujours ensemble, et non plus comment ils le prendront mais, je voulais surtout leur faire comprendre que là où ils passent, ils marquent les gens, et ils ne sont pas seuls.

Sur ce, il se leva en direction de la cuisine, gémissant de fatigue et marmonnant que heureusement, il avait presque finit le reste. Yuko ne le quitta des yeux que lorsqu'elle n'eut plus le choix, c'est à dire, lorsque Watanuki disparut dans le couloir, puis elle se tourna vers Mokona, qui lui dit :

- Il est vraiment gentil, Watanuki !

Yuko afficha de nouveau un sourire et ajouta :

- Je suis sûre que nos voyageurs apprécieront le message, les gestes, et ils lui seront encore plus reconnaissant qu'ils ne le sont déjà, depuis qu'ils ont appris le sacrifice que Watanuki à fait pour leur permettre de continuer d'avancer... Donc, seul Watanuki, modeste, reste dans l'ignorance.


Fin du premier chapitre

Voila pour le premier chapitre, j'èspère qu'il vous à plut! Review ou pas review! c'est vous qui voyez! Kixx à tous et, pas de souci, le shonen-ai arrive! YAAAY!!

(1) ... Miam!

(2) Pour le "à l'huile" C'est pas de moi je préfère prévenir! Je l'ais entendus dans le destin de lisa (que je ne regarde absolument pas...) et par un grand hasard, je l'avais déjà entendu de la bouche d'une de mes amies qui s'apelle lisa, qui deteste cette série tout comme moi, mais qui répond toujours de cette manière au téléphone!