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Titre : Sang et Noirceur d'Homme.

Base : Harry Potter. I, II, III, IV, V.

Disclaimer : Rien à moi mis à part la petite puce, la rédaction, l'histoire.

Couple : C'est quoi mon couple fétiche ? Héhé

Rating : R (A bas le M ! ;-p) Pour sexe (beaucoup et violence, sang…)

Résumé : Le mal règne. C'est un monde brisé, ensanglanté ou violence, crime, sang, sexe font leurs lois. Seulement qui le dirige réellement ? Slash

Attention ! Ceci est un slash avec grand présence de Mpreg ! Si cela vous dégoûte passez votre chemin. Autre chose. Cette histoire parlera de viole, prostitution, sang… Ne lisez pas si cela vous choque.

Ceci est l'histoire d'une guerre qui est loin d'être terminée. (la guerre pas l'histoire!)

Note de moi :

Je sais ce n'est pas sérieux mais voilà quoi ! De toute façon cette histoire ne sera pas dans mes priorités ! Et comme « Tu sais ce qu'il te dis le sang pur » est presque fini ! (Il ne me reste que 3 chapitres à faire plus un dérivé de la scène lemon !) je me suis dis que… Le premier chapitre de cette histoire est fini et le deuxième en route.

Pour la fin je ne me prononce pas encore. J'hésite entre fin triste/ambigu ou une autre avec une marge d'espoir. Je verrais.

Sinon, comme vous l'avez vu dans le « attention ! » ce ne sera pas une fic à l'eau de rose ! loin de là ! j'avais juste envi de changer de registre et de regarder certaine chose en face !

J'espère qu'elle vous plaira ! Moi je l'aime !

Un gros merci à Crazy Snape pour son avis et sa correction.

Bonne lecture !

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Prologue :

Les mines s'étalaient sur des kilomètres. Des kilomètres de boyaux creusés à même le sol. Les ouvriers qui y travaillaient n'étaient que les rebelles qui luttaient encore pour la démocratie. Une chose que les sangs purs au pouvoir ne comprenaient pas.

Ils étaient là à creuser sans savoir pourquoi. Creuser toujours plus. Les sangs purs ne savaient pas non plus pourquoi ils les faisaient creusés ou plutôt, si mais ce n'était pas une raison matérielle. Ils espéraient juste qu'un des longs couloirs s'écroulerait sur les mineurs, les tuants ou du moins les bloquant.

Alors les pauvres suaient pour provoquer leur propre mort. Ils étaient sales. Ils souffraient mais les gardes s'en moquaient. Ils frappaient toujours plus forts à l'aide de leurs fouets. Leurs vies étaient basées la dessus : Le bruit des pioches qui cognent contre la terre dure ou humide, les claquements des lanières des fouets, les cris des gardes, les cris de souffrances, la sueur toujours. Et leur collier aussi. De vrais colliers de chiens qui les privaient de leurs pouvoirs. Des colliers dont le métal froid frottait contre la peau fragile de leurs cous.

Leurs vêtements collaient sur leur peau. Ce n'étaient plus que des guenilles trouées, rapiécées, tachées de la terre qu'ils travaillaient ou de leur propre sang.

Le pire était que tous ignoraient si Voldemort avait succombé.

Les sangs purs avaient pris le pouvoir à la fin de l'année 1998, Lucius à leur tête. Celui-ci était à présent mort et s'était son fils Draco qui dirigeait le pays. Cela faisait maintenant 7 ans que cela durait. Beaucoup de résistants étaient morts.

Pour en cités quelques uns : Luna Lovegood, Denis Crivey, Blaise Zabini, Hermione Granger, Artur et Molly Weasley, Ginny Zabini, Seamus Finnigan, Charlie Weasley, Percy Weasley, Fleur Weasley, Tonk, Dumbeldore, Remus, MacGonagal, Severus Snape, Pansy Londubat, Fred Weasley, Angelina Weasley, Olivier Dubois… Et la liste se prolongeait encore, comme interminable. Ils n'étaient plus que des noms dans un registre qui les nommaient : Morts de la rébellion.

Comme au temps du moyen-âge chaque seigneur possédait ses terres, ses esclaves et les faisaient travailler comme des bêtes.

Ils vivaient des vies royales. Ils violaient, volaient, tuaient sans craindre la justice. Justice inexistante pour ce genres de crimes qu'elle jugeait normal. Certains réquisitionnaient les enfants de leurs gens et les vendaient ou les gardaient pour en faire leurs animaux sexuels.

Tout n'étais plus que sang, sexe.

Pourtant ce jour là dans la mine il y avait comme un rayon de soleil. Une fleur de lys parmi les orties.

Une petite fille toute rousse à la peau d'ivoire, salie par la terre noir et rouge, qui courait pieds nus dans les entrailles des couloirs, son rire clair s'élevant tel un chant d'oiseaux au matin du monde. Ses longues mèches de braises dansaient dans son dos, suivant le rythme de sa course. Ses yeux étaient d'un beau bleu et faisaient rêver les mineurs. C'était un bleu qui leurs faisaient pensé au ciel limpide et clair des journées d'été. Mais pour eux ces journées n'étaient plus que de vague souvenir. Le ciel, quand ils sortaient de la mine, était pour eux rouges du sang qui avait coulé et qui coulait encore.

Elle ne devait pas avoir plus de 9 ans.

Toute innocente et toute frêle.

Ce que tout le monde ignorait était la présence du maître des lieux. Il se cachait derrière un large capuchon noir et suivait les mouvements de la fillette avec un étonnement non feint, se demandant le pourquoi de la présence d'une si jeune enfant dans un tel endroit.

De plus il n'avait pas été prévenu de l'existence d'une enfant de cet âge sur ces terres.

L'homme fronça les sourcils.

C'est alors qu'un garde énorme, caricature parfaite d'un tonneau de vin, l'air vicieux, la figure rouge, et les yeux fixés sur l'enfant tel une limace qui glisse lentement le long d'une fleur, laissant sa bave derrière lui, la stoppa dans sa course. Il la pris dans ses bras, caricature parfaite d'un tonneau de vin, et commença à l'embrasser de force sur la joue.

« Alors ma toute belle, tu viens avec tonton Callum. Tu vas voir je vais te faire connaître un monde que tu n'imaginais même pas. »

La gosse se mit à se débattre comme une furie, criant, mordant, hurlant. Les ouvriers bouillaient de colères mais n'osaient pas agir sachant qu'un tel geste –irraisonnable- serait aussi fatal à leur vie qu'à celle de la fillette. Un homme en retenait même un autre à la chevelure rousse et au visage crispé de colère.

Le garde commença à s'énerver. Il allait resserrer la pression de ses bras sur le corps maigre de l'enfant lorsqu'elle lui donna un coup de pied bien placé. Il la lâcha de douleur.

La petit fille roula à terre. Un autre garde s'apprêtait à la frappée à l'aide de son fouet pour venger son collègue quand un homme saisit la lanière de cuir en pleins milieu de sa course.

« On ne touche pas à ma fille. »

Le maître des lieux se raidi en reconnaissant l'homme.

À Suivre…

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Sadique moi ? Nan ! héhé ! La suite pas avant deux semaine vu que je n'aurais pas le net durant ce lapse de temps ! VIVE LA BRETAGNE ! Et les vacances accessoirement ! héhé !

J'espère que cela vous a plus quand même ! Je sais c'est court !

Un petit commentaire ?

Zoo.