vérité, guerre et amour

Moi c'est Kiria, j'ai 18 ans aujourd'hui j'ai les cheveux brun cendré et les yeux bleus un corps fin mes tonic du au sport que je fais, je fais de la gym de l'escrime du tir à l'arc et du yoga, je me suis toujours demandé qui j'étais et qui était mes parents car oui j'ai été trouvé dans une rue près de l'orphelinat ou j'ai grandi a seulement quelque mois. Fini de parler de moi je dois aller rejoindre m'acheter de nouvelles chaussures en espèrent trouver mon bonheur.

Après toute une après-midi de shopping, je n'ai rien acheté, rien ne me plaisé alors je pars au parc le seul endroit dans cette ville où je me sens bien, ou je me sens moi, je me suis allongé sous le saule pleureur et m'endormis.

j'entendis du bruit autour de moi et me réveille en sursaut? Me levant rapidement je regardais autour de moi pour voir une femme devant moi, mais ce qui me préoccupait ces que je n'étais plus sous le saule, je ne peux même pas décrire ou j'étais car si je devais le décrire je dirai que j'étais dans le ciel pendant une nuit étoilée, la femme avais de longs cheveux d'argent comme des rayons de lune des yeux d'or pur une blanche comme de la porcellène, elle était magnifique.

Elle me regarde et ce mi à me parler

-Bonjour enfant. Me dit elle d'une voix douce

-Eux bonjour madame, désolé mais qui êtes vous ?

-Je suis Varda

-Kiria, ou sommes-nous ?

-nous sommes au-dessus de tout, au-dessus de ton monde et du mien en quelque sorte

-Pourquoi que me voulais vous ?

-Voilà longtemps que nous te cherchions enfant, il est temps pour toi de rentrée chez toi de retourné de là où tu viens, mais nous avons plus de temps pour discuté il est temps pour toi d'aller tu trouveras tes réponses et tes souvenirs sur le chemin de ta vie mes avant tu auras besoin de l'arme pour te protéger.

Après que Varda mes dits sa plusieur arme apparurent des epée comme au Moyen Âge des arcs des poignards et autres. Je choisis un arc en bois, un carquois rempli de flèches le tout était en bois blanc et les flèches avaient des plumes tout aussi blanches avec sa je pris des couteaux jumeaux et des couteaux de lancé j'allais dire que c'était bon quand je le vis un magnifique katana japonais noir que je pris s'en réfléchir après sa ma vision se brouilla et avant de perdre totalement conscience j'entendis Varda.

-Voilà le temps pour toi de retrouver les tiens mes tu trouveras les réponses à tes origines dans l'adversité ainsi que ton souvenir. Je te fais un dernier cadeau car personne ne devrait être seule au revoir enfant.

Après ça je perdis totalement conaissence