VERSION CORRIGÉE

Titre : -Recherche en cours- (Vous avez le droit de laisser des propositions!)

Pairing : sûrement Stony

Résumé : Et si Steve avait réussi à s'enfuir du SHIELD une fois réveille et qu'il avait été recueilli par Tony ?

NDA : Petit aperçu de ce que je suis en train d'écrire en ce moment. Je crée doucement mais sûrement ! Enjoy !


Depuis le temps qu'il disait qu'il allait il faire, c'était enfin le grand jour. Le soleil était au rendez-vous, les gens dans la rue avaient le sourire bien qu'ils marchaient à la même allure effrénée que tous les jours. Seul, les mains dans les poches, une sucette à la cerise dans la bouche, le Grand Tony Stark était en vacances. De toute façon, qui les lui aurait refusées ? Il avait viré la vermine de son entreprise, il avait un cœur tout neuf, il avait donné (s'était fait voler) une armure à l'armée, que ces mous-du-bulbe avaient nommé War Machine, il avait anéanti la menace Vanko et réparé et organisé une Stark Expo du tonnerre. Maintenant Pepper, sa douce Pepper, tenait les rennes de Stark Industry et lui, il profitait de sa nouvelle liberté pour créer et bouffer du sucre. Plus d'alcool. Il l'avait promis à sa chère et tendre. Il avait redemandé à faire cette fameuse virée à Venise dont ils avaient parlé (surtout lui) à leur retour de Monaco, mais elle avait de nouveau refusé à cause de réunions, briefings, conférences et autres blablas barbants dont il n'aurait plus à s'occuper désormais.

Il déambulait donc dans les rues de Manhattan, tshirt Black Sabbath sur le dos, jeans tâchés de cambouis super sexy sur les hanches et lunettes de soleil sur le nez quand des cris retentirent de l'autre côté de la rue. Il leva les yeux au ciel et regarda dans la première vitrine qui se présenta à lui, dans l'optique de fuir une potentielle foule en délire. Victoria's secret. Aha, pas mal pour Pepper tout ça. Le bleu-roi lui allait à merveille.

Les cris redoublèrent et il grogna légèrement. Il se refit une expression souriante et se tourna de nouveau, face aux cris, mais une masse projetée à toute vitesse le fit passer à travers la vitrine de la boutique de lingerie dans un fracas abominable. Un poids assez conséquent reposait sur son torse et une respiration haletante sifflait à son oreille.

-Peux... plus... respirer...

-Oh ! Pardon !

Un mouvement, un froissement de tissus, du crissement de verre et ses poumons étaient libérés. Tony poussa un soupir de soulagement avant d'ouvrir un œil après l'autre. Il se figea.