Voici une nouvelle histoire. Elle portera principalement sur la vie de Van après l'implosion de Gaiea : il est désormais sur Terre. Il n'y aura pas de Van/Hitomi, ou alors très peu. Je ne suivrais pas le manga. Le monde crée dans cette fic est un monde folklorique, où les créatures de toutes sortes existent.

Bonne lecture, et merci de me laisser vos impressions !

PS : rien ne m'appartient, et surtout pas Van (snif… lol)

L'Ange Déchu

Le soleil frappait les volets fermés. Dans la pénombre de la pièce, se tenait un lit : à ses côtés, un tabouret faisait office de table de chevet. Une forme était allongée sur le matelas sans sommier.

Suite à un grognement et à un léger mouvement de main, une lumière apparue.

Après quelques battements de paupières, l'homme se redressa en prenant appui sur son avant-bras gauche. Il regarda l'heure, qui était apparue comme un hologramme sur le mur qui lui faisait face.

Il se leva, puis s'étira, faisant ainsi craquer les parties de son corps concernées. Couvert d'un tee-shirt et d'un short, il se dirigea vers l'unique autre pièce de son studio ; peu de temps après, le bruit d'un liquide se faisait entendre.

L'eau coulait sur son corps musclé.

De larges épaules, dont les muscles saillaient nerveusement, surplombaient un torse ferme et bien dessiné. Ses bras avaient une forte allure ; il n'aurait suffi que d'une simple contraction pour en faire sortir les biceps. Ses mains, quant à elles, étaient fines sans toutefois être faibles. Son dos avait une étrange particularité : une multitude de plumes blanches y étaient dessinées. Deux petits ronds blancs, rendus invisibles par la pâleur de sa peau, ornaient son cou.

La douche achevée, il s'habilla dans sa pièce d'eau d'un jean noir et d'un tee-shirt blanc aux symboles tribaux noir qui semblaient être en relief.

Avant de quitter l'endroit où il était, il se regarda rapidement dans le miroir fêlé qu'il avait ramassé un soir proche des poubelles.

Quittant la pièce d'un pas rapide (après avoir juré : « eh merde je vais être en retard »), il se dirigea vers son lit, ramassa ses chaussures qui étaient aux pieds de celui-ci, les enfila puis bondit vers son sac à dos, ses clés et il partit.

Une nouvelle journée démarrait…