Voici mon premier OS que j'ai décidé d'écrire à l'occasion du concours ''Comment réussir une bonne rentrée lemoniaque?''
J'espère qu'il vous plaira! ^^ Bonne lecture
en le relisant avant d'écrire une possible suite, j'ai constaté quelques fautes que j'ai donc corrigées ^^
J'avais décidé de m'éloigner de la froide et pluvieuse petite ville de Forks une bonne fois pour toute et de retourner au soleil pour faire mes études. Ainsi je m'étais inscrite à l'université de Californie à Los Angeles, où j'allais commencé un cursus de Sciences. Aujourd'hui, était mon premier jour dans cette nouvelle école.
Je détestais la pluie et le froid, autant dire que la chaleur de la Californie me faisait le plus grand bien. Et puis rien ne me retenait dans l'état de Washington où la plupart de mes camarades du lycée étaient restés.
Grâce à mes super résultat qui m'avait permis de sortir major de ma promotion, j'avais obtenu une belle bourse et j'en avais profité pour m'éloigner de mon père trop protecteur et d'un ex petit-ami trop possessif, macho et jaloux. Je me demandais comment j'avais pu sortir avec Jacob? Peut-être était-ce parce que c'était le seul mec du coin qui paraissait potable après le départ de mon amour d'enfance.
Lorsque j'étais prête à quitter le collège avec ma meilleure amie Alice et son frère jumeau Edward que j'aimais secrètement, ils m'avaient abandonnée pour déménager en Alaska et j'avais cessé d'avoir de leurs nouvelles un an après leur départ. Ils me manquaient terriblement, même encore après 3 ans d'absence.
Alors que j'allais commencer mon premier cours de biologie, assise à ma paillasse bien cachée au milieu de 30 étudiants, je vis le professeur apporter des grenouilles à disséquer. Alors je me demandai pourquoi j'avais bien pu choisir cette branche, parce que rien que l'odeur me rendait la nausée.
Je fis un effort pour me contenir et fus soulagée de ne pas avoir eu le temps de prendre mon petit-déjeuner.
Quand la sonnerie retentit, je me précipitai hors du laboratoire pour m'éloigner des pauvres batraciens morts et courus vers l'auditoire où j'avais ma deuxième période. La salle était déjà bien remplie, je pris donc place entre deux filles dont l'une avait une sucette en bouche qu'elle retira à mon arrivée.
Salut je m'appelle Jessica et toi? Me demanda-t-elle.
Bella, répondis-je.
Tu viens ce soir sur la plage de Venice, il y aura une fête pour les nouveaux étudiants de l'UCLA.
Je ne sais pas, hésitai-je. Si je suis pas trop fatiguée par cette première journée je viendrai!
Ce serait cool! S'exclama Jessica. Y aura un bon feu et des chamallows à faire griller.
Dans ce cas, s'il y a des chamallows, pourquoi pas? Répondis-je avec ironie.
La prof entra enfin avec quelques minutes de retard et je fus délivrée des babillages de ma voisine.
Je vais faire l'appel des étudiants pour mettre un nom sur vos visages, annonça l'enseignante. Lorsque vous entendrez votre nom, levez votre main et dites 'présent' que je voies où vous êtes.
Vraiment le meilleur moyen pour attirer l'attention, ce que je détestais. Elle commença étrangement par la fin de l'alphabet et lorsqu'elle arriva au 'S', je portai attention.
Isabelle Swan? Entendis-je.
Présente! Dis-je en rougissant et en levant la main comme demandé.
Ensuite je baissai à nouveau la tête et repartis dans mes songes jusqu'à ce que j'entende:
Edward Cullen?
Présent! Répondit une voix masculine douce mais virile.
Je me retournai donc vers l'endroit d'où venait le son de ce magnifique ténor, espérant que c'était bien de MON Edward Cullen dont il s'agissait. Je vis donc un regard vert émeraude dirigé vers moi qui souriait.
Je ne pus m'empêcher de sourire à mon tour. C'était bien mon Edward! Certes il avait changé, mais il avait gardé la même beauté qui m'avait fait craquer à l'âge de 12 ans.
L'appel des étudiants terminé, je me concentrai sur le cours jusqu'à la fin avec difficultés.
Bella Swan! Cria une voix stridente que je reconnus entre mille pour être celle d'Alice Cullen.
Je vis alors une petite jeune femme gracieuse aux cheveux noirs en piques qui dansait vers moi.
Alice? M'extasiai-je devant mon ancienne meilleure amie perdue.
Oh Bella! Edward vient de me dire qu'il t'avait vue en cours. Je suis heureuse de te revoir!
Moi aussi, dis-je alors qu'elle me serrait étroitement entre ses petits bras. Je vous croyais en Alaska!
On avait envie de revoir le soleil et quelque chose me disait qu'il fallait qu'on vienne à LA!
J'avais oublié que ce petit lutin joyeux avait le don de sentir les choses avant qu'elles se passent.
J'ai entendu qu'il y avait une fête sur la plage ce soir, tu viens? Me demanda mon amie.
Si vous y allez, bien sûr que je viens! Promis-je.
Viens, on va déjeuner. Edward nous aura surement gardé des places.
J'étais si heureuse de les revoir. C'était la meilleure rentrée que j'avais eu en 4 ans!
Lorsque nous pénétrâmes dans la cafétéria, je jetai un coup d'œil furtif autour de moi pour retrouver le garçon de mes rêves. Je perçus alors les battements de mon cœur qui accéléraient tandis que je le cherchais.
Le voilà! Me dit Alice en me montrant une chevelure rousse du doigt.
Les palpitations dans ma poitrine augmentèrent au fur et à mesure que j'approchais de notre table.
Ma Bella! Je suis heureux de te revoir enfin! Me murmura Edward alors qu'il me prenait dans ses bras aussi fort que sa sœur l'avait fait, si pas plus.
Moi aussi Edward je suis heureuse de te retrouver! Vous m'avez tellement manqué!
Je me mis à pleurer et je sentis mon ami m'étreindre encore plus près de son corps. Il essuya mes larmes et m'embrassa sur le front, puis à la commissure des lèvres. Étais-je en train de rêver?
Tu es encore plus belle que dans mes souvenirs! Me dit-il tout bas.
Tu as changé toi aussi, mais tu es toujours aussi charmeur. Lui chuchotai-je.
Edward était si malheureux lorsque Papa nous a annoncé qu'il était muté à Fairbanks, me confia Alice. Il a déprimé pendant des semaines après notre arrivée et je l'entendais même marmonner ton prénom dans son sommeil.
C'est vrai? Demandai-je à l'intéressé que je vis baisser les yeux en rougissant.
Heu ... Elle exagère un peu, répondit Edward.
Au fait, vous comptez participer au bizutage de L'université? Nous demanda le lutin.
Ça ne me tente pas vraiment, avouai-je. Et toi Edward?
Non plus, dit-il catégorique. Sauf si c'est toi qui me le fait! Me murmura-t-il ensuite à l'oreille.
Je sentis mes joues s'enflammer surement autant que les siennes quelques minutes plus tôt.
Après le déjeuner, Edward et moi avions un cours commun d'anatomie. Nous nous dirigeâmes donc ensemble vers la classe et nous installâmes l'un à côté de l'autre. Le professeur rentra peu de temps après et commença à expliquer son programme. Le premier travail à présenter serait à faire par deux, un garçon et une fille, sur l'appareil reproducteur mâle et femelle de l'espèce humaine. Comme mon voisin était un garçon, bien évidemment l'enseignant nous proposa de nous mettre ensemble et je vis donc un énorme sourire s'étendre sur les lèvres du beau jeune homme qui était à présent mon partenaire.
Ça te dit de commencer ce soir avant d'aller à la fête? M'interrogea celui-ci.
Heu ... ouais. On ira où?
Alice et moi louons une petite maison pas très loin de la plage. Elle sera surement avec son petit-ami Jasper qui l'a suivie. On sera seuls, tous les deux. Qu'en dis-tu?
Je hochai la tête pour marquer mon accord, n'osant pas sortir un son de peur de gémir. J'avais soudainement très chaud et je pouvais être sûre que mon string était déjà trempé rien qu'à ses sous-entendus.
Ce soir, Edward et moi en tête-à-tête chez lui, le rêve! Nous convînmes de nous retrouver à 17 heures 30 devant la bibliothèque, pour ensuite partir chez lui, ce qui me donnait à peine une heure pour me préparer.
Je pris une douche, m'épilai les jambes, me parfumai et enfilai un mini short noir au-dessus d'un string propre. Je mis le dessus assorti et un top moulant qui laissait entrevoir mon décolleté sans trop en montrer. Je me mis une petite touche de maquillage, juste un minimum pour embellir ma pâleur.
J'étais habillée simple mais sexy, je voulais rendre Edward fou et avais une terrible envie qu'il me saute dessus. Je pris donc une petite réserve de préservatifs dans mon sac, au cas où il n'y aurait pas pensé, embarquai les quelques livres nécessaires au travail, bien que je n'envisageai pas de les ouvrir ce soir.
À 17 heures 20, je quittai ma chambre pour me rendre à notre lieu de rendez-vous. J'attendis cinq bonnes minutes puis je sentis des mains se poser sur mes yeux et des lèvres dans mon coup. Je savais que c'était lui puisque je reconnaissait son odeur qui sentait bon le lilas.
Je me retournai vers lui et vis ses yeux assombris par le désir. Alors je fus prise d'un élan de folie et me ruai sur ses lèvres pleines et douces. Il resta scotché un moment mais finit par enfin répondre à mes baisers. Ses lèvres remuèrent avec les miennes et sa langue força le barrage pour pénétrer à l'intérieur de ma bouche et venir caresser la mienne dans un ballet endiablé. Il me faisait tellement d'effet que ma culotte était déjà à nouveau toute mouillée. Il quitta à regret mes lèvres pour retrouver son souffle et posa son front contre le mien. La couleur de ses yeux avait légèrement éclairci pour revenir à l'émeraude habituelle que j'aimais.
Si tu savais combien de fois j'ai rêvé de ce moment! M'avoua Edward en m'embrassant encore.
Et moi donc! Lui confessai-je. J'ai été aussi malheureuse que toi durant ces 3 années.
Je regrette tellement de ne pas t'avoir avoué mes véritables sentiments avant de partir.
Si j'avais su que tu éprouvais la même chose que moi je me serais lancée! Gémis-je.
Mais tu es là maintenant et on ne se sépara plus!
Plus jamais mon amour!
Viens, on va chez moi, puis on ira sur la plage rejoindre Alice comme convenu.
OK, répondis-je en le suivant.
Nous marchâmes en vitesse jusqu'à sa voiture, main dans la main. Il m'ouvrit la portière passager et courut de l'autre côté dès que je fus assise, puis il démarra en trombe, pressé d'arriver chez lui.
Il roula aussi rapidement qu'il était possible sur Sunset Boulevard et nous arrivâmes rapidement devant une petite villa en bord de plage. Je savais que les Cullen avaient largement les moyens, mais là c'était supérieur à ce que j'imaginais. La maison était magnifiquement décorée, probablement par les bons soins d'Esmé, leur mère qui était architecte-décoratrice. Je posai mon sac sur le divan et regardai vers mon homme.
Bella, souffla-t-il. J'ai tellement envie de toi, depuis l'instant où je t'ai vu entrer dans la classe de biologie, sans savoir que c'était toi. J'ai attendu ce moment depuis tellement d'année!
Fais-moi l'amour Edward! Le suppliai-je. J'avais tellement envie de le sentir contre moi, en moi.
Je n'eus pas besoin de supplier longtemps. Aussitôt il m'attrapa et me colla contre le mur le plus proche et se colla à moi. Je pouvais sentir son érection qui frôlait mon bas ventre à travers les vêtements que jugeais d'ailleurs de trop. Je déboutonnai sa chemise pendant qu'il déposait des petits baisers dans mon cou et sur ma mâchoire et je la jetai sur le sol. Ensuite, il me souleva mon top et dégrafa mon soutien-gorge d'une main, tandis que l'autre pelotait déjà mon sein droit. Il descendit ensuite ses lèvres pour titiller mes mamelons tout en déboutonnant mon short qui glissa le long de mes jambes. Je soulevai celles-ci pour le retirer complètement et sentis la main de mon compagnon venir cajoler mon sexe sous le string qui valsa ensuite pour rejoindre le reste de mes vêtements. J'étais à présent nue devant lui qui portait encore son bermuda.
Tu as encore trop de vêtements à mon goût! Lui dis-je.
Il s'empressa d'enlever le reste puis m'emmena vers sa chambre pour me poser sur son grand lit blanc.
Tu es si belle ma Bella! Murmura-t-il.
Il introduit un doigt dans mon vagin pour venir effleurer mon clitoris, puis un deuxième doigt suivit ainsi que sa langue qui lécha mes lèvres intimes.
Tu est trempée mon amour et tellement bonne! M'avoua Edward, ce qui me fit jouir instantanément.
Edward t'arrêtes pas! Criai-je alors qu'il s'éloignait.
Je reviens tout de suite mon cœur.
Je le vis sortir de la chambre pour y rentrer aussi vite avec un bout de plastique entre ses doigts.
Dépêche-toi ou je vais exploser! Lui dis-je alors qu'il enfilait le préservatif.
J'arrive ma belle!
Je n'eus pas le temps de répondre qu'il me pénétra d'un coup de rein brusque pour s'enfoncer au fond de mon ventre tout en me regardant dans les yeux. Je l'entourai alors de mes jambes pour faciliter la pénétration. Ses va-et-vient, au début doux et lent devinrent de plus en plus rapide et bestial pour venir cogner mon point G. Le plaisir montait et j'allais bientôt atteindre le paroxysme de la jouissance tant ses mouvements frottaient dans mon intimité enflammée.
Bella je vais bientôt venir, m'annonça mon amant. Jouit pour moi ma chérie!
J'y suis presque! L'avertis-je. Plus vite Edward!
Des papillons me picotèrent le bas-ventre et le brasier me consuma jusqu'à ce que l'orgasme m'envahit et je criai ma jouissance en hurlant son prénom. Il vint me rejoindre après seulement deux ou trois va-et-vient et lâcha mon prénom également dans un râle de plaisir. Je vis des étoiles devant les yeux puis le sentis sortir et s'effondrer à côté de moi pour retrouver son souffle.
C'était la meilleure partie de jambe en l'air de toute ma vie! Même Jacob ne m'avait jamais procuré autant de plaisir qu'Edward venait de faire. Je savais que c'était lui qu'il me fallait. Nos corps s'étaient emboités comme s'ils étaient faits l'un pour l'autre et pendant nos ébats j'avais sentis une telle intensité que ça ne pouvait signifier qu'une chose: j'étais totalement et irrévocablement amoureuse d'Edward et c'était réciproque.
Nous prîmes ensuite une douche ensemble, nous lavant et caressant mutuellement. Je piquai un string neuf à mon amie, espérant qu'elle ne le remarquerait pas, je lui en achèterai un nouveau. Nous nous rhabillâmes et nous embrassâmes encore et encore jusqu'à ce que je remarquai l'heure.
Merde il est déjà passé 20 heures! Me plaignis-je. Alice va voir rouge.
Le temps passe si vite en ta compagnie mon ange! Me dit Edward. Je t'aime.
Moi aussi je t'aime tant mon amour! Répondis-je.
Il posa ses lèvres une dernière fois contre les miennes et m'entraîna dehors. Nous marchâmes côte à côte en nous donnant la main, jusqu'à ce que nous vîmes un groupe de jeunes qui devaient être les étudiants de l'UCLA. Alice s'écarta de la foule pour nous accueillir avec un regard noir qui s'effaça aussitôt qu'il se posa sur nos mains jointes. C'était la plus belle de toutes mes rentrées!
