Ma première songfic en français. Inspiré par la chanson de Vanessa Paradis Dès que je te voie. Bien sur rien ne m'appartiens ni les personnages, ni la chanson (apart peut être l'idée...) Donc voila ma nouvelle fic Bellamort

Est-ce que si on l'avait fait
On se ferait l'effet
Que l'on se fait chaque fois
Si on l'avait fait
On se ferait l'effet que l'on se fait

Dès que je vous vois, je sais que c'est vous. Je n'ai pas besoin de me retourner pour savoir que c'est vous qui êtes entré dans la pièce. Dès que j'entre dans la pièce où vous vous trouvez, même si des dizaines de personnes sont déjà là, je sais que vous savez que c'est moi. Vous me plaisez, c'est indéniable.

J'avoue ce jeu me tue
Si tu me dis adieu

Si un jour vous disparaissiez, ce qui est impossible, je ne m'en remettrais jamais. Si un jour vous me chassiez, je ne m'en remettrais pas non plus, je me tuerais même, sûrement. Mais honnêtement, pensez-vous pouvoir me chasser? L'effet que l'on se fait... pardon, l'effet que vous me faites est insurmontable.

Ce vous ce je ce tu
Qui joue avec le feu

J'ai de plus en plus de mal à me contrôler en votre présence. Ce jeu que vous jouez, et que je subis tout en étant pleinement consentante. Vous adorez vous jouer de moi. Vos regards sur moi que je surprends, détourner immédiatement la tête et vous montrer très distant, froid juste après. Les cours particuliers, qui, disons-le franchement, ne sont pas tellement utiles, où vous vous postez juste derrière moi, à quelques centimètres, me montrer les gestes en tenant votre visage juste à côté du mien. Où vous passez un bras autour de ma taille, l'autre le long de mon bras. Je suis paralysée, je ne peux plus bouger de peur de la moindre erreur, du moindre acte regrettable qui vous éloignerait.

Je ne résiste plus
J'ai vu dans ton regard
Des remords disparus
Je rentre, il est trop tard

Nous sommes dans votre bureau, en train de parler du prochain plan d'attaque. Nous nous disputons presque, je maintiens qu'il faut attaquer par le nord et lui, devinez? Par le sud. A voir sa réaction on pourrait presque croire qu'il le fait exprès. Il se lève, contourne son bureau lentement. Oh mon dieu, je suis allée trop loin. Il se colle presque à moi et me demande si je suis bien sûre de vouloir maintenir ma position. Je ne sais plus quoi penser, mais il se rapproche, encore et encore, il s'arrête. Je vois dans son regard quelque chose qui ressemble à du désir. Et la seule chose que je trouve à dire, c'est qu'il est trop tard, et que je cède même si je pense que c'est suicidaire de faire ça. Je pars et quand je me retourne, je sens son regard brûlant couler le long de moi.

A suivre... review? please!!