Salut les gens !!
Ma première fic, j'espère qu'elle va vous plaire beaucoup !!
Alors sa parle de Zoro et Sandy, mes deux persos préférés de tous les mangas !!
(Conscience : tu connais qu'un seul manga !!)
Heu...ils sont en Amazonie !! Donc dans le monde réel !!
(Conscience : Vive les esprits perspicaces...)
Aloooooors ! Je vais imiter les autres auteurs :
(Conscience : si vous saviez comment elle s'éclate en ce moment...)
Disclamer : Ben naon, ils sont pas a moi Zoro et Sandy ! Oh...j'aimerais bien avoir un petit Zoro rien qu'a moi pour pouvoir jouer avec !! (Œil brillant de perversité)
Rating : Heu...j'ai longuement hésité entre T et M...
(Conscience : cherchez pas, y'auras même pas de yaoi)
...vu que certaines scènes sont plutôt violentes. Ben j'ai classé T, faudra me dire si sa convient.
Alors voila ! Bonne lecture !!
oOo
Freedom Fighters
Introduction: Deux hommes recherchés...
Un jeune homme plaqua violement son compagnon contre le mur de béton, qui ne put retenir un hurlement de douleur, étouffé par les mains du premier, quand les larges plaies qui lacéraient son dos entrèrent en contact avec les parois suintantes du couloir.
Blessé au dos, afin de ne plus hurler de douleur, il se mordit la langue si fort qu'un liquide salé envahit sa bouche, puis s'en échappa en mines filets écarlates.
Le premier n'y prêta aucune attention mais se plaqua un peu plus contre son compagnon, dans l'espoir de se fondre dans l'obscurité du couloir faiblement éclairé, dans l'espoir de disparaître.
Il était temps.
Une armada de mercenaires armés jusqu'aux dents passa dans le couloir, sans les voir, justement à la recherche de ces deux individus :
Nom : Roronoa.
Prénom : Zorro.
Nom de code : Oméga 19.
Age : 19 ans.
Taille : 1m78.
Signe particulier : Cheveux anormalement verts.
Points forts : Force physique, force morale.
Points faibles : Inconnus.
Technique de combat : toujours avec trois armes.
Prime offerte pour sa capture : 1 milliard de dollars
Nom : Inconnu.
Prénom : Sandy.
Nom de code : Alpha 13.
Age : 19 ans.
Taille : 1m77.
Signe particulier : Un seul œil visible.
Points forts : Force physique, force morale.
Points faibles : Inconnu.
Technique de combat : ne se bat qu'avec les jambes.
Prime offerte pour sa capture : 1 milliard de dollars
Tandis que l'armada de mercenaires marchait rapidement dans le couloir humide, une vive lumière écarlate se mit à clignoter, puis un haut-parleur retentit dans le bâtiment, sûrement un bunker désaffecté.
« Attention ! Restez sur vos gardes ! Ces individus sont extrêmement dangereux et nous ignorons si ils sont armés ou non ! Nous rappelons qu'ils se sont évadés de la prison d'Alcatraz sans aucune difficulté ! Je répète, Restez vigilants ! Aucune importance sur leurs états finals, nous les voulons morts ou vif ! »
Les mercenaires passèrent dans le couloir humide sans apercevoir les deux hommes dissimulés par l'obscurité, leurs foulées parfaitement coordonnées résonnant fortement dans le couloir sombre et extrêmement étroit.
Une fois tous les mercenaires hors de vue, ce qui prit au minimum cinq minutes, Sandy relâcha son étreinte de Zoro, qui glissa, sans force, le long du mur rugueux, en y laissant une large trace de sang.
Sandy cessa de scruter les prolongements du couloir qui se perdaient dans l'obscurité, afin de vérifier qu'il n'y avait plus de militaires, et examina rapidement son compagnon :
Sa chemise en lambeaux, autrefois d'une blancheur éclatante, était couverte de poussière et immaculée de sang ; son bras gauche formait un angle inquiétant avec le reste de son corps ; ses cuisses aussi étaient en sale état, comme arrachées à des fils barbelés et tout son corps était constellé de bleu et de plaies.
Sandy, lui, portait les mêmes vêtement que Zoro, en plus mauvais état si c'était possible, mais ne semblait pas souffrir de blessures graves, seule une entaille barrait son flanc droit, tachetant sa chemise de sang.
Après sa rapide analyse de l'état de Zoro, il admit que son compagnon était vraiment en sale état. Mais il fallait changer d'endroit, ne surtout pas rester là !
- Tu peux marcher, Oméga 19 ? Murmura Sandy en s'accroupissant sur les dalles de béton glacées, près de Zoro, tout en scrutant le couloir sombre.
En guise de réponse, Zoro réprima un sursaut, avant de se mettre à grelotter violement. Une sueur froide coulait le long de son front et à chaque respiration, du sang giclait de sa bouche.
Sandy se prit un instant de compassion pour l'homme qui lui faisait face : Il luttait, chaque seconde, contre la mort.
Sandy s'apprêtait lui aussi à se laisser glisser contre le mur quand soudain une alarme retentit dans le couloir étroit et rugueux, accompagnée d'une lueur rouge qui clignotait. Le haut-parleur se remit en marche :
« Alerte, Alerte ! Nous les avons retrouvés ! Ils se cachent dans le secteur Sud, porte B. Ils ne peuvent pas nous échapper ! »
Sandy, toujours accroupit auprès de Zoro, avait écouté le message qui venait de dévoiler leur position sans broncher. Sans plus de ménagement, il releva Zoro et le prit par son bras valide. Il le chargea sur ses épaules avant de se mettre à courir dans le couloir.
Zoro avait tellement mal qu'il ne pouvait même plus ressentir la souffrance. A moitié inconscient, aux portes de la mort, il se laissait ballotter par son ancien compagnon de cellule, ses derniers jours passants dans sa tête sous forme de flash.
Ils parcoururent ainsi de nombreux couloirs, embranchements, escaliers, Sandy s'arrêtant régulièrement afin de ne pas se faire repérer, portant sans broncher son compagnon comme si il n'avait rien pesé, en essayant de faire le vide dans sa tête.
Ils passèrent dans un couloir légèrement plus éclairé, peut-être car la peinture semblait moins grise et hostile et que plusieurs néons l'éclairaient, même faiblement, en grésillant. Ce long couloir comportait une large vitre, encastrée dans le mur, qui donnait vue sur un escalier raide qui donnait, d'après la vive lumière qui se dégageait de l'étage supérieur, sur l'extérieur !
Mais près de cet escalier, se tenait une vingtaine de soldats, qui guettaient le moindre bruit suspect, armés jusqu'au dents et patrouillant avec leurs talkie-walkie crochetés sur leurs ceintures, aux côtés des grenades.
Sandy, jugeant de leur nombre, ne se sentait plus la force de les affronter et préféra emprunter la voix de la discrétion.
La vitre s'arrêtant au niveau de la taille, Sandy s'accroupit en posant une main sur le sol glacé, les pieds de Zorro raclant les dalles de béton avec un léger bruit à peine audible. Grâce à son formidable entraînement militaire, Sandy n'eut aucun mal à avancer dans le couloir, en position accroupie, 80 kilos sur son dos, et sans un bruit.
Une fois la fenêtre passée, il se releva souplement et un peu de sang jaillit de son flan droit, sans même qu'il s'en aperçoive, faisant perler quelques gouttes du liquide sur le sol.
Il parcourut encore une bonne centaine de mètre dans cette atmosphère tendue et dangereuse, où à chaque pas le stress de se faire repérer grandissait, dans ce milieu nauséabond où se mêlait l'odeur de moisissure et celle, âcre, du musc et de la forte condensation des pièces. Il tomba, par chance, sur ce qui semblait être l'infirmerie, à en juger par le contenu de la piece dont la porte se trouvait être entrebâillée.
Sandy posa sa main sur la poignée lisse et glacée de la porte, et guetta si il y avait le moindre bruit à l'intérieur avant de rentrer. La piece était vide, mais contenait tout le matériel nécessaire pour soigner un blessé.
Il allongea un Zoro extrêmement pâle sur un lit d'infirmerie aux draps légèrement moisis et brunis par le temps et se releva pour fermer la porte en silence. Il revint ensuite vers son compagnon pâle et en sueur, ses mains crochetant fortement dans les draps.
Sandy releva les manches de sa chemise en lambeaux au dessus des coudes et s'assis sur le bord du lit, en posant sa main sur le front du blessé. Puis il examina rapidement le bras gauche de son compagnon, qui formait décidément un angle inquiétant avec le reste de son corps, ce qui devait faire souffrir Zoro, mais qui laissait indifférent Sandy, qui se contenta d'hausser un sourcil, puis de lancer :
- Il est cassé, je vais devoir le remettre en place.
Zoro ne répondit pas, serrant les dents et soufflant comme un buffle afin d'évacuer un tant soit peu sa douleur.
- Hum, ajouta Sandy après un instant, sa va peut-être piquer un peu…
- 'Me prend pas...pour un con ! Siffla Zoro en crachant du sang.
- Comme tu veux…
Puis Zoro ferma les yeux, attendant le choc qu'il n'allait pas tarder à venir, en essayant de faire le vide dans se tête. Sandy saisit sans plus de ménagement le bras gauche de Zorro, et le tira d'un coup sec vers le haut. Un craquement sinistre se fit entendre, mais Zoro ne daigna même pas ciller, il se contentait d'attendre en silence.
Il préférait mourir que de se mettre à hurler comme une fillette et d'avouer sa douleur.
Sandy se releva et fouilla rapidement la pièce à la recherche de bandages et de désinfectant, il trouva aussi du fil et une aiguille, qu'il chauffa à blanc avec un briquet.
Il posa le tout sur la table de chevet et se pencha sur Zoro, pour lui enlever les restes de sa chemise. Ceci fait, il le saisit fermement et l'aida à se retourner sur le ventre. Il poussa un sifflement admiratif lorsqu'il vit les larges plaies qui tailladaient son dos.
- Comment tu t'es fais ça, déjà ?
Zoro avait croisé les bras sous son menton, ignorant superbement la douleur au niveau de son coude gauche, et tourna légèrement la tête pour répondre à son compagnon.
- Te fous pas de ma gueule…
Sandy ne répondit pas, il saisit d'abord le désinfectant et versa le liquide fumant sur les plaies de Zoro, qui réprima un sursaut lorsqu'il eut l'impression de son dos se mettait à cramer.
Sandy saisit ensuite le fil et l'aiguille et commença à suturer les plaies de son compagnon, en faisant bien attention à ne pas causer plus de dommage que nécessaire.
- Alors, pourquoi t'avais été enfermé à Alcatraz, Oméga 19 ? Questionna Sandy, plus pour passer le temps qu'autre chose, tout en replantant l'aiguille dans la chair rougie de Zoro.
- J'en sais rien, ils sont venus chez moi pendant que je dormais, j'ai pas pu me défendre.
- Peuh, l'excuse…
- Et toi, Alpha 13 ? rétorqua Zoro, sur la défensive.
- Pareil que toi mais moi, j'ai réussi à en buter dix avant.
- Hum..., répondit Zoro, piqué au vif.
Les deux ex-combattants s'étaient échappés de la prison d'Alcatraz à la frontale : en butant tout et tout le monde.
Leur nouvel objectif : échapper à l'armée Américaine et infiltrer le Pentagone, afin de prouver leur innocence…
oOo
Kmi : Voila pour l'introduction !!
Zoro et Sandy : JE VAIS ME TAPER CET ABRUTI TOUTE L'HISTOIRE ?!
Kmi, une poêle à la main : Si vous êtes pas sages, je vous fait mourir !!
Zoro et Sandy : Tu n'oseras pas !!
Kmi: ...et dans d'atroces souffrances !! nyark nyark !!
Zoro et Sandy, cheveux dressés : ...
