Yo ! Ceci est un OS … euh, bah, écrit pour la Nuit du FoF sur le thème Corps, et, euh … Bon, c'est un texte de nuit, quoi, ça se barre en couilles. Enfin, non, c'est en couilles depuis le début. Mais voilà. C'est Demyx qui parle à Larxène. Hm. Je vais me cacher.
À mon corps défendant
— À mon corps défendant,
À mon cœur éperdu,
À mon cœur défendu,
Et mon corps est perdant –
J'ai rêvé de toi.
Qui aurait cru au miracle – morbide
J'ai défié les oracles – impies
J'ai déchiré les orages – la pluie
J'y ai gagné la rage – la furie.
La furieuse, c'est toi, l'amoureuse, c'est toi, et j'ai peur, de toi.
À mon corps défendant,
Contemplant tes amants,
À ton sourire brûlant,
Défaisant des armées,
Défaisant les alliance et à lier je suis folle,
J'ai perdu mes amies, et ma mélancolie, pour les yeux d'une hippie au cœur plus gros que gris.
À la chanson monotone de ta voix j'ai volé son urgence, c'est dur j'en sais quelque chose, cet uranium qui se fissure, qui se fit sûrement sauter, l'énergie déferlée, et le corps dédoublé c'est bien ça ton secret – le corps, cortisone sur une plaie, inutile c'est bien vrai, placebo ou réel ?
À mon corps défendant,
J'ai ployé le genou,
Je suis devenu fou,
Et tu étais ma reine.
À l'ardeur de tes hanches et l'horreur des souffrances,
Que tu infliges,
À la peine impossible, à la rivière tarie,
Et par la main d'un flic.
Si possible j'aimerais te parler en secret, se créerait un soupir peut-être de désir, entre mes lèvres violettes de trop encore souffrir. Mais je serai heureux, vivre parmi tes cheveux, et compter tes plaisirs.
À mon corps défendant,
Je te supplie,
Si mon cœur défendu,
N'aura plus de répit.
Le repli – stratégique
L'ecstasy – synthétique
L'héroïne – énergique
Plus à rien, ne servent plus à rien.
À mon corps défendant je chante cette chanson, tout en craignant ta moindre réaction. Si j'avais le courage je te regarderais, tes antennes de cafard me mépriseraient, je flipperais.
— Mais arrête, putain, c'est super gênant ! Deux mois qu'on est ensemble t'es toujours aussi –
— Chiant ?
— J'aurais préféré un truc qui rime pas.
— Pas de chance, mon aimée, j'ai fini pour toi.
— Je te hais.
— Que tu crois.
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Voilà. C'était court et … Court. J'espère que vous avez quand même passé un bon moment à lire ! Dites-moi !