Comme le veut un certain protocole que je viens de découvrir, je dois vous dire que rien n'est à moi à part cette histoire. La plupart des personnages appartiennent à notre auteure préférée (oui, oui, auteur au féminin, ça prend un « e »), les lieux également.
Pour info, à la demande de certaines, je prépare une suite pour « Harmonie ». Je la mettrais en ligne dès la semaine prochaine !
Voici donc une nouvelle histoire….
Bonne lecture.
Le journal de M
Chapitre 1 : Le bonheur n'est qu'illusion
Hermione posa sa vieille besace de cuir sur le grand bureau de bois massif.
Elle jeta un œil sur l'ensemble de la pièce. Elle serait mieux ici. La chaleur et l'aspect douillet du château la reconfortait.
Un grand lit à baldaquin trônait en face de la fenêtre. Ses lourds rideaux de velours rouge donnaient à la chambre des allures moyennageuses.
On ne trouvait plus ce genre de mobilier du côté moldu. Elle soupira bruyemment avant de s'éffondrer sur l'édredon.
Malgré elle, des larmes roulèrent sur ses joues, rosies peu avant par le vent glacial de ce début d'automne.
Par Merlin, qu'avaient-ils donc tous fait pour mériter cette peine ?
Cet été là avait été la période la plus sombre qu'ait jamais connu le monde des sorciers.
Dumbledore avait péri quelques mois plus tôt et le boulversement qui en avait découlé était trop pesant pour qu'Hermione ose y repenser.
Suite à cela, Harry Potter avait tout plaqué. L'école, sa fiancée, ses amis, ses principes.
En y repensant bien, Harry Potter n'avait jamais eu ne serait-ce que l'ombre d'un principe.
Cette attitude avait conduit le jeune impertinent à sa perte. Voldemort n'en avait fait qu'une bouchée.
Hermione avait eu le cœur brisé et Ginny demeurait inconsolable. Voilà plus d'un an que tout cela s'était produit, mais la douleur restait la même. Lancinante, cuisante même.
Mais le plus atteint dans cette histoire, c'était Ron Weasley. Celui qu'il avait toujours considéré comme invincible, depuis sa tendre enfance, n'avait pas survécu.
Le survivant était mort… Quelle douce ironie…
Le jeune rouquin avait donc migré vers la Roumanie, à la fin de sa septième année, dans l'espoir d'y retrouver un semblant de vie auprès de ses frères.
Molly Weasley n'avait pas supporté ce départ et le reste de la famille avait décidé de le rejoindre quelques mois plus tard. Excepté Ginny.
Hermione avait été soulagée, avec un peu de culpabilité, que sa meilleure amie décide de rester vivre près d'elle.
La plus jeune des têtes rousses s'était vu confier un peu précocement le poste de Madame Bibine, partie en retraite anticipée, le plus loin possible d'un monde aujourd'hui gouverné par le seigneur des tenèbres. Elle avait accepté. À quoi bon finir ses études alors que sa famille entière vivait loin d'elle, et qu'elle avait perdu l'être qu'elle chérissait le plus au monde. Plus d'un an que sa soif de vengance l'avait tué. Mais elle n'oubliait pas. Jamais.
Quant à Hermione, Minerva Mc Gonagall l'avait un soir convoquée dans son bureau, au cours de l'été de l'obtention de ses ASPICS, pour lui soumettre la direction de la maison Gryffondor.
Étant obligée d'assumer les fonctions de leur défunt directeur, la vieille femme avait jugé bon de confier ses anciennes responsabilités à la meilleure élève de la promotion de 7ème année. Elle assurerait donc également l'enseignement de la métamorphose. Elle avait passé tout l'été en formation spéciale.
Demain, sa première journée de cours commencerait. Tout en se déshabillant, elle repensa à la répartition des première année. Elle avait reconnu beaucoup de visages, étant donné qu'elle sortait à peine de son cycle scolaire. Elle avait aussi reconnu dans les yeux des nouveaux arrivants, cette même lueur d'inquiétude que Ron, Harry et elle-même avaient eu en attendant que le choipeaux magique les appellent.
Elle en fut un moment amusée, mais la dure réalité la rappella aussitôt à l'ordre, comme toujours.
La moindre et fragile parcelle de bonheur qui envahissait son esprit, le moindre sourire qu'elle osait esquisser, étaient aussitôt chassés par cette réalité culpabilisante.
Comme si elle n'en avait pas eu le droit. Plus le droit au bonheur. Personne n'était plus heureux en ce bas monde. Pourquoi l'aurait-elle été ?
Elle s'allongea, et s'endormit aussitôt.
………………….
Hermione fut réveillée de bonne heure par un bruit léger mais distinct, qui pronvenait de la fenêtre. Le soleil, qui commençait à poindre, provoquait au sein de l'immensité du ciel, une douce lumière orangée. Une petite silhouette gracieuse se découpa au bord de la fenêtre. Elle mis quelques secondes à comprendre qu'il s'agissait en fait d'une chouette effraie qui s'obstinait à taper sur les vitres embuées.
Hermione se leva doucement, et ouvrit enfin à l'oiseau qui lui lança un regard lourd de reproches.
Elle reconnue l'écriture élégante de sa mère et ouvrit l'enveloppe avec empressement.
« Ma chérie,
Je m'inquiète de ne pas avoir de tes nouvelles depuis ton départ en formation.
Ton père et moi ne sommes pas dupes. Nous en savons plus que tu ne crois sur ton monde.
Saches donc que nous avons enfin appris l'origine de ta profonde tristesse de cette dernière année.
Ton ami, Harry Potter, apparement célèbre dans ton monde à péri à cause d'un certain : « celui dont on ne doit pas pronocer le nom ». Il serait bien que tu nous explique un peu tous ces mystères. Nous sommes très inquiets pour toi.
Je t'embrasse
Maman. »
Hermione lu et relu cette missive dont elle comprenait à peine le sens. Elle ignorait qui était à l'origine de leur découverte et elle s'en moquait.
Exaspérée, elle tira une plume de son sac ainsi qu'un morceau de parchemin vierge. Elle rédiga alors ce mot à la hâte.
« Maman,
Tout se passe bien ici. Pardonnes-moi de ne pas avoir donné de nouvelles, mais j'ai eu très peu de temps pour moi ces dernières semaines.
En ce qui concerne la perte de mon ami, moins tu en sauras, mieux tu te porteras, je t'assure…
Ne vous inquiétez pas, Poudlard est un endroit sûr. J'attaque aujourd'hui ma première journée de cours et je suis un peu angoissée.
Je vous écrirais de nouveau un peu plus tard.
Je vous embrasse tous les deux,
Hermione. »
Pleinement réveillée, elle décida de prendre une douche rapide et de descendre à la table des professeurs pour y petit-déjeuner.
Elle rencontra Ginny au détour d'un couloir. Sa chambre étant plutôt éloignée de la population écolière, puisque située dans la tour Est du château, elle fut ravie de ne pas avoir à parcourir le reste du chemin toute seule.
Comment te sens-tu ? demanda Ginny
Plutôt fébrile à vrai dire…Je me sens nauséeuse…
Mmmm…Tui angoisses à cause de ton premier cours ?
Oui…J'ai les premières années ce matin. Serpentard et Gryffondor.
Ne m'en parle pas ! J'ai les mêmes en cours de vol cet après midi.
Petit-déjeuner ?
Petit-déjeuner…
……………….
En sortant de la grande salle, les deux amies se promirent de se retrouver pour le déjeuner.
Elles se séparèrent au coin d'un couloir, et Hermione se rendit prestemment dans ce qui allait être sa salle de classe pour le reste de l'année.
Bonjour, professeur Granger ! scandèrent d'une même voix les élèves de première année.
Bonjour, les enfants, fit timidement la nouvelle enseignante.
Elle ne se rappellait pas avoir été aussi minuscule lorsqu'elle avait leur âge.
Elle vit immédiatemment le frappant contraste entre les élèves de Gryffondor, installés le dos bien droit et qui l'observaient d'un œil attentif et plein de bonne volonté, et ceux de Serpentard, qui sachant de quelle maison elle provenait, la toisaient tant avec mépris qu'avec méfiance.
Très bien, commença-t'elle en reprenant contenance. Après tout, ces petits êtres ne pouvaient pas être bien féroces. Aujourd'hui, repris-t'elle, nous allons d'abord étudier les bases de la métamorphose de façon théorique. Je sais que c'est une façon bien peu motivante de démarrer une année scolaire, ajouta-t'elle devant les soupirs déçus de ses élèves, mais je vous promet qu'au prochain cours, nous començerons la pratique ! Je vais donc demander à ceux qui ont sortis leur baguettes, de les ranger dans leur sac.
Pfff, pour qui se prend-elle, cette fille ?
Hermione eut l'impression de recevoir un verre d'eau glaçé à la figure.
Je vous demande pardon ?
Pardon ? demanda le jeune impertinent d'un air innocent
Je vous demande de répéter ce que vous avez dit Monsieur…Monsieur ? demanda-t'elle en consultant sa liste d'élèves.
Ne vous donnez pas cette peine, professeur Granger, répondit le garçon en la voyant faire, je m'appelles Hermès Lestrange.
Le…Lestrange ? Bredouilla Hermione
Non, juste Lestrange, insista-t'il avec insolence.
C'en était trop. Le fils de Bellatrix Lestrange dans son cours…Et l'année démarrait à peine. Il fallait absolument qu'elle se fasse respecter.
Très bien, Monsieur « juste Lestrange », ironisa Hermione, sachez que malgré votre vocabulaire -que je trouve très élaboré pour votre âge soit dit en passant- ne masque pas complètement votre puérilité. Et le vide sidéral de votre cerveau étant pour l'instant à son comble, je vous demanderais de ne plus m'interrompre pendant mon cours, surtout dans le but de m'insulter ! Est-ce que c'est clair ?
O…oui, Professeur, balbutia le garçon, visiblement déstabilisé.
Le reste du cours se passa sans dommages. À la sortie de la classe, Hermione repensa à ce premier essai avec satisfaction. Malgré sa courte altercation avec ce petit monstre, elle pensait que le message était passé, et que malgré sa gentillesse, il ne fallait pas non plus la pousser à bout.
………………………
Le soir même, dans la grande salle, Hermione et Ginny prenaient leur dîner en compagnie du reste des professeurs. Hermione prit beaucoup de plaisir à discuter avec Hagrid, moment dont elle n'avait pas pu profiter la veille, à cause des répartitions. Elle lui raconta sa première journée de cours, et fut allègrement félicitée par le demi-géant.
Ce premier instant de détende fut vite interrompu par une question qui tarraudait Ginny depuis le soir précédent.
Professeur Mc Gonagall ? interrogea-t'elle, qui donc assurera l'enseignement de défense contre les forces du mal cette année ?
Oh…La vieille femme tourna son visage ridé vers elle, c'est vrai…il doit arriver d'un instant à l'autre. Il ne pouvait pas venir plus tôt…Beaucoup de jeunes professeurs cette année…murmura-t'elle pour elle même.
Hermione et Ginny échangèrent un regard éloquent, quand la lourde porte de bois s'ouvrit dans un grincement sonore.
Toutes les têtes se tournèrent vers l'homme qui venait d'entrer.
Blond, grand, la démarche féline, une beauté exceptionnelle qui selon Hermione cachait les pires démons.
Bonjour, professeurs…lança-t'il à l'assemblée Ginny en fit tomber sa fourchette et Hermione fit comme si de rien était.
Bonjour Professeur Malfoy…répondit courtoisement Mc Gonagall, je vous présente notre nouveau professeur de Défense contre les forces du mal !
Le reste du repas fut plutôt silencieux.
Quand Mc Gonagall se leva, Hermione posa sa fourchette encore pleine de gâteau pour courir à sa suite.
Pour son âge, la nouvelle directrice avançait drôlement vite.
Quand Hermione arriva enfin à sa hauteur, dans le couloir qui menait à son bureau, le souffle court, Mc Gonagall lui jeta un regard de biais.
Je sais pertinnement quel sujet vous désirez aborder Professeur Granger, mais je vous répondrais deux choses : Tout d'abord, sachez que Albus Dumbledore approuve totalement ma décision depuis son tableau qui repose dans mon bureau. Ensuite, je n'aurais ni le temps, ni la patience de vous expliquer les raisons qui m'ont poussée à l'embaucher. Pas ce soir.
Mais ? Professeur…
Pas ce soir, Miss Granger.
Le ton sans réplique de la directrice n'inspira rien qui vaille à Hermione et elle préféra ne pas poursuivre cette conversation qui, de toute façon, n'irait que dans un sens.
Elle préféra donc s'en retourner dans sa chambre, pour préparer les cours du lendemain.
Elle croisa de nouveau Ginny, et elles décidèrent malgré le programme prévu d'Hermione, de prendre un café dans la salle des professeurs. Celle-ci étant vide, elle s'installèrent sur la longue table de bois, et Ginny entreprit de faire fonctionner la cafetière magique.
Toujours aussi prétentieuse, cette petite fouine de Malfoy ! Tu te rends compte ? Il n'a aucun remord à revenir ici ! Après ce qu'il a faillit faire ! s'écria-t'elle en s'obstinant sur la cafetière.
Oui…Je ne comprends pas la décision de Mc Gonagall…
Non mais vraiment ! C'est…gngnn…un…Monstre…gnnnn…cet homme….fit la rouquine en s'acharnant toujours sur l'appareil qui refusait de fonctionner.
Appuie donc sur le bouton, petite idiote ! lança une voix glaciale
Les deux femmes sursautèrent. Hermione resta le regard figé sur le fauteuil tourné vers la cheminée. Malgré le fait qu'elle s'y attendait, elle sursauta de nouveau quand elle vit une silhouette s'en lever.
L'homme en robe noire ajouta un sourire narquoit à son visage sublime.
Heureux de constater que vous avez toujours cette même haute opinion de moi-même, medemoiselles.
Avons-nous tort de penser ainsi ?
Pas le moins du monde. Bonne nuit mes chères, je me retire dans mes appartements.
Dans ta chambre, petit prétentieux. C'est une chambre.
Ginny, encore rougissante, lança un regard amusé à son amie, pendant que Draco Malfoy sortait d'un pas élégant de la salle.
…………………..
Hermione songeait encore aux événements de ces dernières minutes, quand elle prononça le mot de passe qui ouvrait sa chambre.
Elle regarda autour d'elle et posa les yeux sur son pyjama, qu'elle enfila rapidement.
Avant de s'endormir, elle voulu goûter à la brise fraiche de l'exterieur. Elle s'installa sur le petit banc de bois qui reposait au pied de sa fenêtre, puis exposa son visage à la clarté de la lune.
Elle resta là, plusieurs minutes, réfléchissant aux dernières paroles de l'ex-Serpentard.
Lui-même avouait être vil. Elle en parlerait à Mc Gonagall dès demain. Il le fallait.
Elle attrapa un épais volume de cuir sur son bureau et entrepris de le feuilleter. Elle préparerait son cours le lendemain matin.
Par maladresse, le livre lui échapa et tomba dans un bruit creux sur le petit banc.
Elle rouvrit le bouquin, puis s'arrêta net. Le banc sonnait creux… Pourquoi ?
Elle frappa quelques coups de son petit poing sur la surface de bois, et son impression se révéla exacte.
Je suis folle pensa-t'elle en se dirigeant vers l'âtre de la cheminée. Elle y prit un tisonnier et revint vers son banc avec détermination.
Elle entrepris alors de l'ouvrir, en plaçant la fine barre de métal sous le petit rebord qui semblait scéllé au reste du meuble.
Dans un effort colossal, elle finit par faire céder la partie supérieure.
Elle approcha son visage, curieuse, et regarda au fond du meuble, les sourcils froncés.
Elle en retira un petit carnet recouvert de cuir brunit aux pages parcheminées.
Décue, elle se rendit vite compte que seulement trois pages étaient remplies d'une écriture élégante, fine et légèrement penchée.
« Imaginez un instant que quoi que vous fassiez, votre destin soit scéllé.
Vous n'avez pas le choix. Jamais.
Moi, ça ne me change pas beaucoup. Mon père imposait déjà ce régime dans mon enfance.
C'était lui qui maitrisait mes pensées. Aujourd'hui, il n'est plus.
Je démarre alors une nouvelle vie
C'est pourquoi je décide de commencer ce journal, récit d'une vie lugubre, dans un monde lugubre, avec des gens qui ne veulent surtout pas l'être. »
Elle tourna cette première page qui apparement faisait office d'introduction. La seconde page était pleine, de cette même écriture régulière.
« Cette première journée fut une satisfaction pour moi. Comment aurait-il pu en être autrement ? J'enseigne la métamorphose, ici, à Poudlard. J'y ai fait tout mon parcours scolaire.
Dumbledore est un homme exceptionnel.
Le reste du corps enseignant semble ne pas se soucier de moi, et je les en remercie. J'aime ma solitude. Je veux la garder. Si seulement cette fille arrêtait ses sarcasmes. C'est la seule personne ici qui me dérange vraiment. C'est elle qui cause tous ces marasmes interieurs.
Je la hais par-dessus tout.
Heureusement, mon meilleur ami enseigne ici également. Il est un vrai soutient pour moi. Depuis toujours. Le seul homme que je respecte sur cette terre. Lui, et Dumbledore évidemment.
Bien, je cesse toute pleurnicherie, après tout, ce n'est pas digne de mon sang pur.
Voici donc le récit de ma première journée d'enseignement.
J'ai débuté cette matinée par un double cours aux premières années.
Il s'est plutôt bien déroulé, malgré l'interruption suicidaire d'une jeune garçon, assez impertinent pour s'en prendre à moi.
Je deteste qu'on me manque de respect. S'il y a une chose que j'ai gardée de l'enseignement de mon père, c'est bien celle-ci.
Mais ce jeune garçon ne savait pas à qui il s'en prenait je pense. Pauvre enfant… Une semaine de retenue, et une petite démonstration de métamorphose humaine. Je crois d'ailleur avoir oublié de lui ôter cette petite queue de rat qui lui allait si bien.
J'ai un petit côté sadique tapi au fond de moi.
J'ignore d'où ça vient. Mais je me complais dans cet état.
Une autre qui devrait amoindrir sa prétention, c'est bien cette stupide fille. Ce que je peux la détester.
Son éternel sourire narquoit sur le visage, elle me provoque sans cesse.
Arrêtons de parler d'elle.
J'ai discuté avec Rubéus au dîner. Il m'est sympathique, cet homme.
À l'instant, ma journée s'achève, et je couche mes pensées sur tes pages. C'est tout de même bon de vivre dans un monde où le mal est vaincu…
Une petite tache noire est venu assombrir ma journée cependant, alors que je buvais tranquillement un dernier café avec mon ami, ELLE est entrée dans la salle des professeurs. Elle y est chez elle aussi, je ne peux rien y faire. Mais je vais perdre patience…
M. »
Hermione referma le journal.
Ainsi donc, elle était tombée sur une partie de la vie d'un homme qui avait enseigné ici…
Elle aurait aimé qu'il signe plus précisemment.Où qu'il date ses écrits. Peut-être Mc Gonagall aurait pu la renseigner ?
Il avait parlé à Hagrid…Elle lui poserait la question demain.
Le mal était vaincu avait-il dit ? Peut-être était-ce juste après la sois-disant chute de Voldemort ? Quand Harry l'avait vaincu ? Harry…
Un détail la troublait pourtant. Cet homme qui autrefois avait enseigné ici, la même matière qu'elle, qui plus est, semblait avoir vécu exactement la même journée que celle qui venait de s'écouler.
Elle s'endormit sur ces pensées.
……………………..
Voici donc la fin de ce premier chapitre.
Pas trop d'action puisqu'il situe le contexte. Le prochain d'ici une semaine.
Heu…j'apprécie les reviews, ça me motive. Alors cliquez sur la petite case juste à côté…
Merci !
