Les personnages appartiennent à SM.
L'histoire appartient à lissylouwho, elle est parue sous le titre '' The Path of Providence '', lien sur mon profil.
L'histoire comprend 33 chapitres.
Elle est classée M pour le langage, le sexe et la violence, en clair : interdit au – 18 ans.
Galswinthe est ma ßêta pour cette histoire. Merci pour ton travail remarquable.
Les fautes et les erreurs sont les miennes.
Prologue
Après des années de morts et de destructions au côté de Maria, Jasper s'évade avec Peter. Ils vagabondèrent ensemble à travers le Sud pendant des décennies, errant d'un endroit à l'autre. Une nuit, à Phœnix, Jasper est bouleversé par une expérience qui change la vie, qui change sa vie.
Bella mène une vie stressante, devant se charger de problèmes d'adultes à un jeune âge parce que Renée est incapable de gérer ses affaires. Quand elles reçoivent miraculeusement un héritage d'une source inconnue, Bella est enfin en mesure de se concentrer davantage sur ses centres d'intérêt et ses rêves au lieu de s'inquiéter de la façon dont elles vont vivre au jour le jour. Au fil des ans, l'enfant timide, maladroite et en proie à l'anxiété se développe pour devenir une jeune femme gracieuse et franche.
Lorsque Renée se remarie, Bella décide de déménager et de revenir à Forks pour vivre avec son père. Elle pense qu'elle va s'ennuyer à mourir et que sa vie sera monotone, car rien ne change jamais à Forks. Ce qu'elle ne sait pas c'est que, loin de s'ennuyer, sa vie ne fait que commencer, mais pas de la façon qu'elle attendait.
Chapitre un
POV Jasper
Lorsque Peter revint pour moi, je n'ai pas hésité, nous avons couru. Nous n'avons jamais arrêté de courir depuis lors. Il est impossible que je revienne vers cette salope et, soyons réaliste, personne ne pourra me forcer à le faire. Non, pas si j'ai vraiment envie de me battre pour éviter cela. Ma réputation de ne jamais perdre un combat a été acquise pour une raison, j'ai toujours gagné.
On pourrait croire qu'après des décennies, mes instincts de combat ou de fuite commençaient à disparaître, hé bien non. Certaines des habitudes acquises à l'armée ne me quitteront jamais et je me retrouve constamment en mouvement. Chaque année ou presque, je deviens nerveux, assez pour ramasser mes affaires et partir. Peter et Charlotte me suivent en règle générale. Nous avons accumulés de nombreuses cachettes partout dans le sud, de sorte que nous ne sommes jamais trop loin de la « maison ». Je ne qualifierais pas cela de vie, mais c'est certain comme l'enfer que cela vaut mieux que ce trou de merde dans lequel nous étions.
Peter, Charlotte et moi avons formé ensemble un groupe très uni. Je prends soin d'eux deux et je ferais n'importe quoi pour eux. Notre histoire commune et le venin nous ont liés et ils sont devenus la chose la plus proche d'une famille que je n'aurai jamais, sans compter que je dois la vie à Peter. J'étais sur le point de succomber à ma bête lorsque Peter était revenu me chercher. Cela avait été une longue route pour revenir à un semblant de santé mentale et il était à mes côtés à chaque étape du chemin. Il y a eu des moments difficiles et de nombreuses personnes innocentes ont été blessées au cours de mes crises de rage.
J'ai travaillé dur pour maîtriser mon démon intérieur. Il m'a fallu de nombreuses années de travail, mais j'en suis venu à être en paix avec la prise d'une vie pour me maintenir en vie. Je suis devenu juge, jury et bourreau, le tout en un seul. Je suis la mort venant prendre les damnés. Le Major, comme Peter s'obstine à m'appeler.
Il n'y a pas tellement longtemps, j'ai eu un de ces moments où j'avais envie de passer à autre chose. Quand j'ai parlé de mes intentions à Peter, il a insisté pour que nous restions à Phœnix pendant quelque temps. J'avais accepté rapidement, même si je savais que si Peter insistait, c'est que cela signifiait réellement qu'il y avait quelque chose, mais j'aime notre maison à Phœnix et nous n'étions pas venus là depuis un long moment ce qui était un argument convaincant.
Nous sommes là depuis quelques semaines à présent et j'ai décidé de rester à long terme. Cela faisait du bien d'avoir un changement de décors. De bonnes chasses également. J'ai inhalé, savourant l'air du désert, l'odeur de la créosote et des cactus, l'herbe brûlée par le soleil et la poussière. Le désert est sûr, il sent comme si j'étais à la maison. Je suis certain que je vais toujours trouver le chemin du retour avec lui. me disais-je. J'ai écouté le crissement satisfaisant de mes bottes sur la terre desséchée du désert. Oui, aucun doute, c'est la maison.
Brusquement, mes pensées furent interrompues quand j'ai réalisé que j'étais seul avec mes émotions. En regardant l'homme dans mes bras, j'ai vu que la lumière s'était éteinte de ses yeux. J'ai laissé tomber le corps sans vie, ignorant le bruit sourd de sa tête claquant sur le trottoir. Ce n'était rien de plus que ce qu'il aurait fait subir à sa prochaine victime, je venais simplement de lui montrer la même courtoisie.
Je me suis essuyé la bouche du revers de ma manche et j'ai sorti un paquet de cigarettes de ma poche. Je l'ai allumé, tiré une bouffée et j'ai contemplé la scène devant moi.
La ruelle sombre était entourée sur trois côtés par des entrepôts abandonnés avec au-dessus, une fenêtre de ciel bleu marine parsemé d'étoiles et une route silencieuse derrière. Une couche de débris recouvrait le sol, des ordures et des boîtes étaient entassées contre les murs croulants de chaque côté.
Un peu de sang formait une petite flaque autour de la tête de l'homme, suintant de l'endroit ou je l'avais mordu. Il brillait comme de l'encre sous le clair de lune. J'ai suivi les motifs qu'il avait dessinés quand il avait couru à travers les buissons et le béton poussiéreux, minuscules ruisseaux de vie s'infiltrant toujours plus proche de mes bottes en peau de serpent, comme s'ils savaient qu'ils m'appartenaient désormais. C'était le mien, il courait dans mes veines à présent.
J'ai laissé tomber ma tête en arrière et j'ai exhalé. La fumée tourbillonnait dans la brise aride, entraînant le scintillement des étoiles dans le brouillard. La nicotine ne me faisait rien, mais les odeurs et les mouvements étaient une habitude apaisante qui ne m'avait jamais quitté. Maria avait toujours pensé que c'était très drôle car, même après avoir semé la destruction et la mort dans des villes entières et détruits tous leurs habitants, je m'arrêtais pour fumer une cigarette. J'ai toujours fumé après un repas.
J'ai pris une dernière bouffée et avec une chiquenaude négligente, la cigarette s'est envolé dans un tas de papiers secs et de cartons pourrissants. Les flammes ont instantanément bondi et se sont propagées d'un tas d'ordures à un autre. J'ai tourné les talons et je me suis avancé de nouveau dans la rue obscure, la lueur du brasier croissant dessinant ma silhouette et moulant mon ombre devant moi. C'est approprié.
En vérifiant l'heure à ma montre, j'ai vu que je ne devais pas rencontrer Peter et Charlotte avant encore plusieurs heures, alors j'ai saisi l'occasion d'errer sans but. Mes pieds m'ont portés du quartier industriel vers une partie plus résidentielle de la ville. Alors que les entrepôts vides et les immeubles de bureaux ont fait place à des résidences, le faible scintillement des émotions a commencé à chatouiller mon esprit. Il y avait des humains à proximité mais, même malgré ce fait, la plupart d'entre eux ne ressentaient pas quoi que ce soit. Cela m'était facile de dire que ces derniers dormaient.
La lumière jaune des réverbères jetait une aura maladive aux résidences éculées et aux pelouses bien rangées, mais desséchées. À l'intérieur de leurs maisons, les humains dormaient sans savoir que leurs vies pouvaient être confisquées pour mon plaisir. Heureusement pour eux, j'étais plein pour le moment. J'ai tourné le coin de la rue et j'ai tourné au carrefour quelques pâtés de maisons plus loin, avant de m'arrêter brusquement.
J'ai été agressé par une pression écrasante de doute et de désespoir et pendant un instant, j'ai pensé que j'avais peut-être une crise d'angoisse. Les mâchoires serrées, je me suis redressé en regardant autour de moi pour trouver la source de ces sentiments. Dans la maison directement sur ma gauche, j'ai vu une lueur et dans l'encadrement d'une fenêtre, une frêle jeune fille. Elle ne devait pas avoir plus de 10 ou 11 ans. Elle avait une remarquable peau crémeuse et de longs cheveux acajou qui frisaient légèrement aux extrémités.
Elle était assise, penchée sur une petite table, ses jambes se balançant à quelques centimètres du sol. De temps en temps, elle passait ses mains dans ses cheveux et mes mains me démangeaient de faire la même chose. La tête penchée sur le côté, je l'ai regardé pendant près d'une demi-heure.
Il était clair qu'elle était responsable de ce que j'avais ressenti. La profondeur des sentiments de cette enfant était un océan à côté de la flaque d'eau qui était la spécificité des émotions humaines. Son état d'esprit était décidément mauvais, mais en dessous de ses préoccupations se précipitait un fleuve de quelque chose de beaucoup plus merveilleux. Je l'ai bu, me baignant dans la force et la pureté de son stupéfiant amour inconditionnel.
Ce n'est que lorsqu'elle a levé la tête et que j'ai vu ses yeux que j'ai su, consciemment et entièrement, que cette fillette était, sincèrement, au-delà d'incomparable, que mon univers avait irrévocablement changé . Alors qu'elle ne pouvait pas me voir, moi je le pouvais et je me suis perdu dans son profond regard mélancolique. Manifestement, elle en avait bavé pendant sa courte vie, elle en avait vu de dur et avait dû traiter avec beaucoup de choses. Il y avait une force indéniable derrière la gravité visible dans ses yeux.
'' - Hum. '' Elle poussa un long soupir et le charme fut rompu. '' Hé bien au moins, nous ne serons pas mis à la porte de notre maison ou avoir le courant coupé ce mois-ci… comment a-t-elle pu oublier de payer ! Et pendant cinq mois d'affilés ! '' Elle passa la main dans ses cheveux, sauta du tabouret et se mit à faire les cent pas.
J'ai rapidement cligné des yeux, mon esprit étant en surcharge. J'avais envie de voir plus d'elle, envie de savoir pourquoi cette enfant était tellement préoccupée par un problème d'adulte, envie de passer mes doigts dans ses cheveux. Une vague de confusion a déferlé sur moi. À quoi diable est-ce que je pensais ? C'était une fillette. Une enfant. Une enfant humaine ! Reprends-toi, Whitlock.
Noyé dans mes sens, j'ai essayé d'obtenir une emprise sur ce qui m'arrivait. Mon esprit a commencé à trier les faits de son propre chef, s'efforçant de trouver une réponse.
1 . Je suis un vampire, comme si j'avais besoin de me le rappeler.
2 . Je suis un empathe.
3 . Cette enfant ressent les choses plus profondément que n'importe quel autre humain que j'ai rencontré.
4 . Je suis inexplicablement attiré par un enfant humain.
La porte s'est ouverte et je me suis figé, accablé par le plus puissant et le plus beau parfum que je n'avais jamais rencontré. Il était fleuri et pur, mais au lieu de me mettre l'eau à la bouche, il a fait s'envoler mon cœur mort depuis longtemps. Pendant que j'essayais de me dire que 2 + 2 n'étaient pas égal à 4, je savais pertinemment qu'il ne pouvait y avoir qu'une seule raison pour que je me sente de cette façon. Je me suis dit : Ce n'est pas simplement une réponse empathique.
La jeune fille sortie et mit quelques lettres dans la boîte aux lettres qui était installée près de la porte d'entrée. Elle se tenait sur le porche avec les bras enroulés autour de sa taille comme si elle essayait de se maintenir ensemble. Sa poitrine frémit et elle s'effondra sur le sol, le dos contre la porte.
Quelques secondes plus tard, des sanglots étouffés arrivaient à mes oreilles sensibles. C'était le plus poignant et le plus déchirant bruit que je n'avais jamais entendu. Une partie de moi dont j'ignorais l'existence rugit à la vie. Jamais, que ce soit avec Maria ou même avec Peter et Charlotte, je n'avais ressenti cela. J'ai frotté ma poitrine, à l'endroit où je ressentais une douleur et j'ai baissé les yeux, légèrement surpris par le geste.
J'étais à mi-chemin pour traverser la route quand j'ai réalisé ce que je faisais. Je me suis châtié, Imprudent idiot. Il t'est impossible d'aller la réconforter ! Elle est humaine et je suis la chose la plus éloignée de cela.
Renfrogné, j'ai attendu dans l'ombre en faisant la seule chose que je pouvais faire pour elle, lui envoyer toute la paix et l'amour dont j'étais capable. Après quelques minutes, la jeune fille s'est calmé. Elle s'essuya les yeux et le nez et a pris quelques respirations profondes avant de retourner à l'intérieur.
J'ai écouté attentivement les bruits qu'elle faisait en se préparant pour aller au lit. J'ai seulement émergé de ma cachette quand j'ai entendu sa respiration. Je l'entendais même dans son sommeil.
Je suis rapidement arrivée à la porte d'entrée et j'ai exulté en trouvant la porte ouverte. L'ouvrant facilement, je suis entré comme une ombre à l'intérieur pour rechercher des indices sur l'identité de la jeune beauté. Ma beauté ! Unepartie de moi cria de reconnaissance.
La maison était très propre et bien rangée, mais petite et peu meublée. Chaque surface disponible était couverte de photos de la magnifique petite beauté construisant un château de sable sur la plage, marchant dans le désert, jouant une pièce à l'école, distribuant des cadeaux à Noël… j'ai tout mémorisé dans les moindres détails. En examinant de près une photo de classe, une partie de moi a grondé quand j'ai vu quel était son nom : Isabella Swan. Sincèrement, elle est belle.
J'ai suivi son parfum jusqu'à une petite chambre sur l'arrière. J'ai regardé à l'intérieur et vu sa forme paisiblement couchée, tous les soucis et le stress qu'elle avait ressenti avaient disparu et elle dormait confortablement. À cet instant, j'ai su, sans l'ombre d'un doute, que je ferais n'importe quoi pour rendre heureuse cette fillette et lui enlever ses inquiétudes. Je te le jure, Isabella, je vais m'assurer que ton avenir soit meilleur. Quoi que ce soit, cela ne t'importunera plus. Je vais m'en assurer.
Je lui ai envoyé une forte dose d'amour et je l'ai quitté aussi silencieusement que j'étais venu. J'ai marché rapidement à la rencontre de Peter et Charlotte. Nous allions devoir faire des recherches et planifier la façon dont j'allais pouvoir l'aider.
Je croyais que Peter serait sceptique ou même cynique avec mon plan pour venir en aide à Isabella et sa mère, après tout, elles n'étaient que de la simple nourriture. La plupart des gens ne s'inquiètent généralement pas de leur hamburger et je pensais que Peter ferait probablement la même chose. Enfer, jusqu'à présent, cela ne m'aurait pas non plus dérangé. J'ai donc été plutôt agréablement surpris quand Peter s'est joint à mon projet.
'' - Oui Major. '' dit-il avec un clin d'œil. '' - Nous devons faire quelque chose pour la petite demoiselle. Elle ne peut pas grandir de cette façon. '' J'ai levé les sourcils en entendant sa réponse, exigeant silencieusement de plus amples explications, mais Peter ne m'était pas vraiment utile, comme d'habitude. '' - Tu sais que je sais que dalle, Major. Tu dois seulement me faire confiance, tu fais une bonne chose. ''
'' - Trouve des renseignements ! '' Ai-je aboyé et ce n'était pas une requête.
Après quelques efforts, nous avons pu découvrir qu'Isabella Swan était la seule enfant de Renée Swan, une enseignante de maternelle qui avait la réputation d'être excentrique et irresponsable. Il s'est avéré qu'elle avait souvent dépensé plus qu'elle ne gagnait et oubliait souvent de payer ses factures, laissant Isabella faire face aux conséquences. À plusieurs reprises, elles avaient eu le courant ou l'eau coupée.
Cela du moins, c'était un problème facile à résoudre. Je me suis arrangé pour lui allouer un fond en fiducie pour payer l'hypothèque de la maison et les factures des services publics sous le couvert que celui-ci était l'héritage d'un parent éloigné, perdu de vue depuis longtemps, qui était récemment décédé. Isabella n'aurait jamais à quitter son domicile faute d'argent. J'ai aussi fait appel à un cabinet d'experts comptables pour s'occuper des finances de sa mère afin qu'Isabella ne porte pas ce fardeau aussi jeune.
Le problème le plus délicat était la kyrielle d'hommes qui défilaient dans la maison de Renée Swan. Certains d'entre eux n'étaient rien que des indésirables et d'autres carrément des ordures. De la nourriture. Isabella n'aurait pas dû être exposé à ces êtres visqueux, mais il n'y avait pas grand-chose que je puisse faire au sujet des décisions de sa mère, sauf si jamais l'un d'eux envisageait de poser les doigts sur Isabella. Il serait exterminé. Douloureusement. J'observais pour m'assurer qu'elle était en sécurité.
Au cours des sept années suivantes, j'ai surveillé Isabella pour voir si elle allait bien au moins plusieurs fois par an. J'en suis arrivé au point où je ne pouvais pas rester à l'écart très longtemps et j'allais à Phœnix simplement pour être près d'elle. Peter pensait que c'était désopilant. Il venait avec moi, me parlant pendant tout le trajet de la façon dont une petite fille humaine tenait en laisse le Major.
Quand je ne le supportais plus, je lui bottais le cul, ce qui finalement le faisait taire pendant un certain temps. J'avais vu Isabella pour la dernière fois il y avait trois mois et j'avais l'impression que cela faisait une éternité. Je serais bien retourné plus tôt, mais à chaque fois que je parlais d'y aller à Peter, celui-ci m'affirmait que ce n'était pas le moment d'y retourner, mais je ne marchais plus.
La grande ferme que Peter, Charlotte et moi partagions devenait de plus en plus exigu. Une cage qui ressemblait à ma maison, mais qui n'en donnait plus l'impression. Il y manquait quelque chose et je savais vraiment, sans l'ombre d'un doute, que ce quelque chose était une personne et qu'elle se trouvait actuellement loin, à Phœnix.
Après avoir fait les cent pas dans le salon pendant des heures, j'ai pris une décision. J'en avais assez d'attendre. J'allais retourner vérifier qu'Isabella allait bien et aucunes des excuses boiteuses à la con de Peter pour me forcer à rester ne m'arrêteraient. Je me suis dirigé vers les escaliers et j'ai fait irruption dans la chambre de Peter et Charlotte en claquant la porte tellement fort contre le mur que la poignée s'est encastrée dans le mur en placo.
'' - Putain , Major, qu'est-ce qui se passe ? Tu as gâché un mur en parfait état. '' Peter m'a crié dessus, mais je n'ai pas trouvé cela amusant. Je ne donnait pas une merde de son foutu mur. Raide comme un piquet et les mains derrière le dos, j'ai soulevé mon menton pour lancer un regard noir à mon capitaine, mon ami, le vampire que j'avais créé. Au début, il me fusilla du regard en retour, mais détourna rapidement le regard quand il s'est rendu compte que je n'étais pas venu pour jouer à un jeu. J'ai laissé le silence se prolonger, attendant que Peter fasse le premier pas. Il a fini par comprendre le message et dit : '' - Je suis désolé, Major. ''
'' - Tu es pardonné. '' a été ma brève réponse. '' - Je vais à Phœnix. Tu viens où pas ? ''
Bonne semaine à tous
