Titre : Une percée dans la barrière de la langue
Auteur : DiBee
Résumé : Tony et sa cuisine, plus Ziva et ses 'Zivaismes', ça ne donne pas forcément le résultat escompté. One Shot humour culinaire.
Fandom : Ncis
Spoiler : Entre Kill Ari et le présent (présence de Ziva dans l'équipe, ce qui ne constitue pas un spoiler en soi^^)
Disclaimer : Pas à moi pas de sous (sauf les pâtes mangées à midi sans sel.)
Rating : K
Notes de l'auteur : je cherchais un moyen de 'torture psychologique' pour forcer Call à écrire sa fic et j'ai pas trouvé mieux que lui dire : j'ai une fic Tiva en cours... En fait, je venais juste d'ouvrir open office et avait aucune idée de ce que j'allais pouvoir pondre, mais voilà ce qu'une journée éreintante de cours universitaires m'a fait écrire. Sur ce babillage débile et inutile, je vous laisse lire (promis, l'histoire est plus prometteuse que la note!^^)
Domicile de Tony DiNozzo, 8h30 du soir, à une vingtaine de minutes de l'heure prévu pour le rassemblement de l'équipe;
« Tony, où as-tu rangé l'essoreuse à pâte ?
-Tu veux dire l'essoreuse à salade ? Ou la passoire ?
-Y'a une différence ?
-Si tu passes les pâtes à l'essoreuse, je suis pas sûr du résultat.
-Je ne comprend pas.
-Laisses tomber. Mais pas les pâtes ! Par contre sort les de l'eau si tu veux pas finir par manger de la purée au lieu de l'al dente.
-Mais je sais toujours pas où est l'essoreuse!
-La passoire est dans le premier placard en haut sur ta droite.
-...
-Ziva, l'autre droite !
-...
-Ziva ?
-Oui, Tony ?
-La prochaine fois, on pourrait échanger, tu fais la sauce, je fais les pâtes...
-Y'aura pas de prochaine fois. Et je ne sais pas où tu ranges tes arômes.
-Les aromates ?
-Les épices, quoi...
-Oui, bon, en fait, tu as raison. La prochaine fois, on va directement manger au restaurant italien. »
La barrière de la langue n'était pas du tout comme une passoire, avec de faibles espoirs d'échappatoire, c'était une grande muraille, genre muraille de Chine, Barrière de corail, ou murs des Lamentations, ce genre là. Le genre sacré, et insurmontable. Tout comme l'épreuve que les attendait : Une sauce à point sur des pâtes pas salées. Mais Tony persistait à voir le bon côté des choses : au moins plus personne ne lui redemanderait jamais de préparer un repas pour toute l'équipe.
