For a want of a nail

Disclaimer : Je ne possède aucun droit sur ce manga, tout appartient à son auteur, Horikoshi. De la même manière, il existe sans doute des fics qui ont été écrites en suivant la même idée, donc je n'ai aucune exclusivité là-dessus non plus.

Notes de l'auteur : Tout d'abord, merci d'être présent pour lire cette fic. Ensuite, si vous avez des questions par rapport à certains éléments ou des théories à partager, n'hésitez pas ! Je me ferais un plaisir d'y répondre. Enfin, dernière petite note, ce sont les vacances scolaires, ce qui veut dire que je n'aurais sans doute pas un rythme de publication très stable (je vais essayer mais je ne promets rien). Vous pouvez également me retrouver sur A3O sous le même nom (lulue79).

Warning : Dans les futurs (et lointains) chapitres, il y aura du shonen-ai.

Bonne lecture !

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Midoriya Izuku avait trois ans lorsqu'il décida qu'il voulait devenir un héros. Il venait de regarder une vidéo de All Might. C'était la première fois qu'il voyait un héros en action. Un vilain venait d'attaquer une bijouterie et s'était enfui en utilisant son individualité. En conséquence, un feu s'était déclaré dans la bijouterie et menaçait les appartements situés au-dessus. Alors que les héros hésitaient sur la marche à suivre, All Might était apparu. En un instant, il avait récupéré les civils et les avait mis en lieu sûr. Ce n'est qu'une fois assuré que le bâtiment avait été vidé qu'il avait pris en chasse le vilain. Il avait fait passer la sécurité des individus au-dessus de la gloire qu'apportait l'arrestation du vilain, laissant les autres héros, ceux déjà sur place, s'en occuper. C'est à ce moment que le petit Izuku avait pensé 'moi aussi, je veux devenir un héros comme lui !'

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Midoriya Izuku avait quatre ans lorsque ses rêves furent brisés une première fois. Sa maman, inquiète qu'il n'ait pas encore développé d'individualité, l'avait emmené chez le médecin. Il avait dû passer plein de tests bizarres, avec des grosses machines qui faisaient de la lumière colorée. Au final, le médecin l'avait emmené dans son bureau et avait pris une voix très douce, comme s'il avait eu peur qu'il se brise s'il parlait normalement. En y repensant, c'est peut-être ce qui s'était passé.

'Tu ne développeras jamais d'individualité.'

'Tu ferais mieux d'abandonner.'

Sa maman l'avait pris dans ses bras, lui répétant des 'je suis désolée' en boucle. Mais il ne comprenait pas pourquoi elle s'excusait : elle n'y était pour rien. Pendant plusieurs jours, il resta cloîtré chez lui à regarder des vidéos de héros. Peut-être cela le blessait plus que cela ne lui faisait du bien. Mais peu importait, il s'en fichait. Au final, cela n'avait fait que renforcer sa résolution.

'Je serai un héros, moi aussi. Même sans individualité.'

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Midoriya Izuku avait cinq ans lorsque Kacchan commença vraiment à le blesser. Avant, ça n'était que de petites remarques méchantes, ou des coups de poing dans l'épaule. Parfois même des bagarres lorsqu'il s'en prenait à des plus faibles que lui et qu'Izuku ne pouvait pas ne pas intervenir. Mais jamais rien de bien méchant et Izuku n'avait jamais mal très longtemps, alors il lui pardonnait.

'Les hommes ne naissent pas égaux.'

'Un héros se doit d'être juste et de défendre ceux qui ne peuvent pas se battre eux-mêmes.'

'Je veux rendre ce monde plus juste.'

Mais lorsqu'il eut cinq ans, le fait qu'il n'ait toujours pas développé d'individualité commençait à se remarquer. Bientôt, ses copains à l'école commencèrent à lui poser des questions. Mais lorsqu'il leur révéla la vérité, aucun d'entre eux ne resta à ses côtés et tous se tournèrent au fur et à mesure vers Kacchan.

'Une personne sans individualité vaut moins que rien'

'À partir de maintenant, Deku désignera quelqu'un de bon à rien !'

'Pourquoi ne se rendent-ils compte de rien ?'

La violence devint graduellement plus importante, jusqu'au point où Kacchan commença à utiliser son individualité contre lui. Les blessures faites étaient de plus en plus visibles, restaient de plus en plus longtemps, faisaient de plus en plus mal. Mais Izuku le pardonnait à chaque fois, parce qu'après tout, Kacchan voulait devenir un héros, donc ce qu'il faisait devait être bien, non ?

'Et les héros sont justes.'

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Midoriya Izuku avait six ans lorsqu'il comprit que lorsqu'on avait un but à atteindre, il fallait se donner les moyens d'y arriver. Il allait prouver à tout le monde que quelqu'un sans individualité pouvait faire un tout aussi bon héros que quelqu'un avec une individualité surpuissante. Mais pour qu'il y arrive, il fallait qu'il développe son propre atout, quelque chose qui lui permettrait d'égaler tous ces individus surpuissants. Être le numéro un lui importait peu. Être un héros signifiait aider les autres, pas se tenir au sommet. Même si pour atteindre son but, il lui fallait se battre dans l'ombre, avec des armes moins classes que des individualités, cela resterait ses armes. C'est dans ce but qu'il commença à collecter toutes les informations qu'il pouvait trouver sur les héros qui se tenaient dans ce monde, autant les plus anciens que ceux qui apparaissaient jour après jour. S'il s'y appliquait suffisamment, alors peut être que quelque chose de bon en ressortirait !

'La plume fait parfois plus de dégâts que l'épée.'

'Je deviendrais un héros, peu importe les efforts que je doive y mettre.'

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Midoriya Izuku avait sept ans lorsqu'il étendit sa base de données aux vilains.

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Midoriya Izuku avait huit ans lorsqu'il faillit se briser pour la deuxième fois. Cette fois-là, Kacchan avait été plus violent que d'habitude. Déjà en cours, il avait semblé très énervé, il l'avait rembarré plusieurs fois lorsqu'il lui avait demandé si quelque chose n'allait pas. Kacchan s'était même amusé à brûler ses affaires de sport. Alors, par prudence, Izuku l'avait laissé prendre de l'avance sur le chemin du retour. C'est là qu'il vit quelque chose qui l'horrifia. Kacchan, le poing en l'air, fumant, près à déclencher une explosion. À terre, une petite fille qui ne devait pas avoir plus de trois ans, l'air terrifiée. Kacchan s'apprêtait à baisser son poing. Izuku ne réfléchit pas, son corps se mit en mouvement de lui-même et se positionna entre la petite fille et Kacchan. Il subit l'explosion de plein fouet.

'Si j'avais été plus fort, j'aurais pu agir autrement.'

'Aucune des informations que j'ai collecté ne m'a aidé.'

'Ce que j'ai fait n'a servi à rien.'

Après cela, il lui a fallu rester à l'hôpital pendant quelques jours, puis chez lui plus d'une semaine. Il n'avait aucune séquelle, rien qui ne cicatriserait pas ou qui laisserait une marque quelconque. Kacchan… cherchait sans doute un moyen de passer sa colère, il n'avait pas dû utiliser plus d'un dixième de ce qu'il était capable. Izuku était tellement découragé par son impuissance à sauver quelqu'un alors que son ennemi se retenait autant qu'il faillit abandonner son rêve.

'Peu importe le nombre de données que j'amasse, si je suis incapable de les utiliser.'

'Je ne peux pas devenir un héros, après tout…'

C'était un mercredi matin, trois jours après qu'il ait repris les cours, qu'il croisa à nouveau la petite fille. Lorsqu'elle le vit, celle-ci se jeta dans ses bras et le remercia comme jamais quelqu'un ne l'avait fait auparavant. À aucun moment elle ne dit qu'elle le considérait comme un héros, mais elle n'avait pas besoin, car cela passait sous-entendu. Izuku n'avait jamais autant pleuré, pas même lorsqu'on lui avait annoncé qu'il ne développerait jamais d'individualité.

'J'ai aidé quelqu'un.'

'Je peux le faire.'

'Je vais le faire.'

'Je n'abandonnerais plus.'

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Midoriya Izuku avait neuf ans lorsqu'il agrandit à nouveau sa base de données. Il se mit à observer les combats des héros avec encore plus d'attention, développant des stratégies à utiliser face à chaque vilain, conjecturant le héros le plus efficace contre lui et celui qui serait le plus désavantagé – All Might ne comptait pas, il gagnait contre tous.

Plus les années passaient et plus sa base de données devenait exacte et précise.

'Peut être que je peux avoir une arme, moi aussi...'

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Quelques mois plus tard, All Might combattit la Tronçonneuse Vénéneuse et fut hospitalisé. Des semaines durant, nul ne su s'il serait capable de se rétablir, si le symbole de la paix serait capable de se relever et de continuer à assumer son rôle. La ville, non, le pays subit une vague de crimes gigantesque. Les civils n'osaient plus sortir de chez eux, de crainte de se faire agresser. Les commerçants engageaient des héros pour protéger leurs échoppes. Plus personne n'était en sécurité. Le symbole de la Paix s'était ébréché et les vilains semblaient déterminés à le faire tomber.

Izuku décida qu'il lui fallait redoubler d'ardeur pour aider les gens, que cela soit dans des tâches que Kacchan considérait 'de bas étage', comme aider les personnes âgées à traverser ou à transporter leurs courses, ou dans les tâches quotidiennes, comme aider les commerçants du quartier à fermer leur boutique lorsqu'ils ne pouvaient pas se permettre de payer un héros.

À aucun moment il ne se fit attaquer, cependant, cet événement lui permit de développer une certaine expérience, aussi ténue soit elle. Il s'empressa alors d'agrandir sa base de données, regroupant des techniques qu'il pouvait utiliser pour venir en aide aux gens lors de catastrophes.

Il y avait quelque chose d'étrange, cependant. Malgré toutes les recherches qu'il avait pu faire sur ce vilain capable de blesser autant le No.1 des héros, Izuku fut incapable de trouver quoi que ce soit, pas même une photo ou le nom de son individualité. C'était comme si ce vilain n'avait jamais existé…

Lorsque All Might fut annoncé guérit, toute la ville fêta la nouvelle. Les héros reprirent confiance en eux et la criminalité régressa jusqu'à atteindre le niveau qu'elle possédait initialement. La vie reprit son cours et l'incident fut vite oublié. Néanmoins, le mal était fait. Il y avait eu preuve qu'All Might pouvait tomber.

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Midoriya Izuku avait dix ans lorsqu'il se rendit compte que son 'arme' était loin d'être suffisante. Quand bien même la plume fait parfois plus de dégâts que l'épée et que savoir, c'est pouvoir, les beaux proverbes ne servent à rien dans le monde réel, face à un vilain qui a la force nécessaire pour vous écraser. C'est pour cela qu'avant de pouvoir défendre les autres, il est nécessaire qu'il sache se défendre lui-même. S'il est mis KO dès le début du combat, alors il sera incapable d'aider ceux qui sont en danger.

'Maman, j'aimerais apprendre à me battre.'

Sa mère n'avait pas apprécié l'idée, bien sûr. Mais il avait des arguments convaincants à ses côtés, notamment le fait qu'il ne reviendrait plus couvert de bleus. Elle céda plus rapidement qu'il ne l'aurait pensé et c'est à ce moment qu'Izuku comprit que cette situation devait vraiment être difficile pour elle. Avoir un fils qui revient souvent amoché par des bagarres mais ne vous en dit rien, qui clame devenir héros alors que personne sans individualité ne l'a fait avant lui… cela devait vraiment inquiéter sa mère. À sa façon, sa mère était une héroïne elle aussi. Bien qu'elle ne croie pas en lui, en sa capacité à devenir un héros, elle l'encourageait, elle l'acceptait entièrement, tel qu'il était, sans son individualité, et si elle n'était pas d'accord avec ses décisions, elle gardait le silence et toujours, toujours, elle le soutenait. Elle était la seule personne à lui avoir offert un tel soutien inconditionnel – quant à son père, n'en parlons même pas – et même si elle ne valait pas grand-chose pour le reste du monde, pour Izuku, sa mère était son héros et son exemple, au moins autant qu'All Might.

'Merci Maman.'

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Midoriya Izuku avait onze ans lorsque sa mère décida de déménager pour se rapprocher de son lieu de travail. Le déplacement eu lieu lors des vacances d'automne, quelques jours avant la rentrée. Cela avait été marrant de tout emballer dans des cartons, de dessiner des plans pour choisir l'emplacement de chacun des meubles, de tout déballer et de faire une bataille de boules de polystyrène. Izuku ne se souvenait pas de la dernière fois qu'il s'était autant amusé avec sa mère : il avait eu l'impression de retourner en enfance. Mais à un moment, sa mère s'était figée. Rapidement, elle avait sorti un gros livre d'un carton et l'a rangé au fond d'un grand tiroir. Elle a semblé hésiter un instant, puis elle a fermé le tiroir à clef et s'est tournée vers Izuku avec un grand sourire aux lèvres.

'Tu es forte, maman. Mais je suis là si tu as besoin d'aide. Tu peux t'appuyer sur moi, tu sais ?'

Malgré tout, Izuku n'avait rien dit. Il avait retourné son sourire et avait envoyé une nouvelle attaque de polystyrène, espérant l'arracher à ce qui l'avait distrait en premier lieu. Cela avait fonctionné et la fin de l'emménagement s'était effectué dans la bonne humeur. Malgré tout, Izuku ne se rappelait pas avoir vu les épaules de sa mère aussi basses qu'elle les avait ce jour-là.

Quelques jours plus tard, alors que sa mère était encore au boulot, Izuku rouvrit le tiroir et en sorti le livre. C'était un vieil album photo. Les premières pages regroupaient des images de sa mère et de son père prises lors de vacances, ou encore des moments quotidiens, comme sa mère en train de faire la cuisine, ou son père sortant les poubelles. En dessous chaque photo se trouvait une date, un lieu, les prénoms des personnes présentes et plus souvent que jamais, un petit commentaire. Puis, vers la moitié de l'album environ, les photos se concentraient sur sa mère, enceinte, puis sur lui, dans tous les lieux et dans toutes les activités possibles. Il pouvait voir son évolution à travers ces images : à un an dans les bras de ses parents, à deux ans en train de jouer avec le chien du voisin, à trois ans, dans une fête foraine en compagnie de son père, à quatre ans en train de fêter son anniversaire.

Les photos s'arrêtaient peu après cette période, alors même qu'il restait encore quelques pages vierges. C'est à ce moment que son père était parti.

Izuku n'a que très peu de souvenirs de ce qui s'est passé dans sa vie avant ses quatre ans – ou avant ses six ans, vraiment. Si ce n'était pour les photos, il se doutait qu'il n'aurait plus qu'une vague image de son père dans son esprit.

Néanmoins, il aimerait pouvoir dire qu'il hait son père, qu'il lui en veut d'être parti, de les avoir abandonnés, sa mère et lui. Mais cela serait un mensonge. De la même manière qu'il n'a que peu de souvenirs de son enfance, il n'en a pas beaucoup de son père. Il sait qu'à un certain moment, son absence a dû le blesser, sans doute plus que Kacchan ne le pourra jamais, mais ce moment est passé depuis longtemps, et maintenant il ne ressent plus qu'une vague indifférence envers cette personne. Il a fait son deuil. Sa mère, en revanche, l'a connu bien plus longtemps que lui. Elle l'a aimé, aussi. Elle est toujours blessée par son absence, même si elle essaie de ne pas le montrer. C'est sans doute la seule chose qu'Izuku ne pourra jamais pardonner à son père.

'Où es-tu allé, papa ?'

'Pourquoi es-tu parti ?'

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Midoriya Izuku avait douze ans lorsqu'il remarqua qu'il progressait trop lentement dans son entraînement. Il avait décidé de s'inscrire dans un club de taekwondo, car c'est un sport qui préconise la défense, mais qui n'hésite pas à blesser son adversaire si besoin est. En deux ans, il avait fait de nombreux progrès et avait presque atteint la ceinture bleue. Son endurance, sa vitesse, ses réflexes, son équilibre, sa force et sa précision, toutes ses capacités sportives s'étaient améliorées. Cependant, c'était bien trop peu. En combat de rue, il n'aurait même pas le temps de placer un coup. Encore moins contre un utilisateur d'individualité. Et il n'avait plus que deux ans avant de pouvoir tenter le concours d'entrée pour Yuei. Il ne serait pas près à temps s'il continue sur cette lancée.

'Je dois encore progresser !'

Dans cet objectif, il s'organisa un planning d'entraînement et de renforcement musculaire. Il fit de nombreuses recherches afin de trouver des exercices, allant jusqu'à prendre rendez-vous avec un coach sportif. Ses journées furent rapidement organisées de son levé à son couché, remplies parfois plus qu'il ne pouvait le supporter. Mais cela n'était pas grave, parce qu'il s'adaptait, il apprenait de ses erreurs.

'J'y arriverais.'

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Midoriya Izuku avait treize ans lorsqu'il décida qu'il devait encore plus agrandir son panel de capacités. Sa force physique, bien qu'ayant augmenté, restait très limité. Il pourrait sans doute constituer un adversaire intéressant si aucune capacité n'était mise en jeu et si son opposant n'était pas Kacchan, mais cela s'arrêtait là. Avec aussi peu de compétences, il constituerait plus un fardeau qu'autre chose en cas de problème. Pour se déplacer sur les lieux d'urgence par exemple, il freinerait les autres, dont les individualités accéléraient la vitesse. Un autre point important serait la recherche d'informations : certaines individualités, bien qu'inutiles en combat, permettent de récupérer des informations cruciales très rapidement. Lui, qui possède une aptitude moyenne au mieux en combat, ne peut se permettre de laisser ces deux compétences de côté. Malheureusement, il ne lui restait plus qu'un an avant le passage au lycée et s'il voulait obtenir des résultats, il était obligé de sacrifier l'un des deux pour se concentrer sur l'autre.

D'un côté, il pourrait apprendre le parkour, qui serait sans aucun doute un moyen de déplacement rapide et efficace dans un environnement urbain. De plus, cela lui demanderait de développer à un tout autre niveau ses capacités physiques, ce qui aurait des conséquences intéressantes sur ses capacités de combat.

Mais d'un autre côté, il pourrait s'entraîner à la recherche d'informations. Les technologies se sont énormément développées dans les dernières décennies, au point de faire de l'information une sorte de commerce. Même les vilains sont obligés d'utiliser les technologies modernes pour communiquer et être capable de récupérer ce type d'informations pourrait permettre de prévenir les attaques et donc d'éviter tout type de victime. De plus, malgré tout son entraînement, ses capacités de réflexion et d'analyse restent bien plus développées que ses capacités sportives.

Certains pourraient soulever le problème de la légalité, mais…

'Je ferai tout ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs que je me suis fixés.'

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Midoriya Izuku a quatorze ans lorsque son histoire commence.

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Note de fin : Encore une fois, merci d'avoir été présent ! Au prochain chapitre, je l'espère.