Bonjour ! Voici le premier chapitre de ma nouvelle fic, qui j'espère vous plaira.
Disclaimer pour toute l'histoire : l'univers d'Harry Potter appartient à J.K Rowling.
« Rattrapez-la ! » tonna une voix.
Plusieurs créatures en armes s'élancèrent. Une femme courait, courait portant ce qui ressemblait à un linge serré étroitement contre elle. Vite … il ne fallait surtout pas qu'il la rattrape. Pas question qu'elle leur remette son chargement. Pas à lui … il avait beau faire sombre, la femme dévalait une pente herbeuse à toute allure au risque de se rompre les os. Elle savait qu'il fallait mettre le plus de distance entre ces guerriers nauséabonds et son précieux fardeau. Les créatures couraient vite. Elle savait que d'ordinaire nul ne leur échappait. Mais elle n'était pas n'importe qui. Non. Elle était comme lui. Par conséquent, elle avait les moyens de leur échapper.
La pente se termina. Pas la course. La femme tendit une main devant elle. Un éclair vert toucha la terre. Elle passa à côté. Derrière, des créatures tombèrent dans le trou que leur cible venait de créer. La terre se referma aussitôt, engloutissant ses victimes. C'était peu bien sûr, cependant cela en ferait en moins à ses trousses. Elle avisa soudain un arbre. La fuyarde tendit à nouveau la main devant. Derrière elle, l'arbre de déplaça, bougeant ses racines. Il se plaça sur la trajectoire des soldats qui le percutèrent de plein fouet. Les branches s'abaissèrent pour gifler les autres, les racines en emprisonnèrent d'autres encore.
Elle devait quitter ce pays et tout de suite. Une lumière commença à émaner de la femme. Elle grandit, jusqu'à devenir aveuglante et à l'envelopper entièrement. Puis elle disparut dans un bruit de tonnerre. Lorsqu'elle réapparut, la fugitive était à quelques milliers de kilomètres de son point de départ. Accroupie sur le sol, elle prit le temps de la réflexion. Elle venait de se créer un court laps de répit. Cela ne durerait pas elle le savait. Sa fuite non plus. Non. Il fallait abandonner ce qu'elle transportait. Le mettre en lieu sûr. Après tout, ses grands-parents avaient bien fait la même chose. Sa décision prise, elle se releva. Pour commencer, elle se trouvait dans une forêt. Elle marcha longtemps avant d'en sortir.
Elle posa le pied sur une curieuse matière. Elle fit quelques pas dessus. Tout à coup, elle entendit un grondement. Puis un bruit agressif. La femme fit un bond en arrière, et une créature d'acier la frôla en mugissant. Ces hommes … dire qu'il y a quelque temps ils se seraient arrêtés et même jetés à ses pieds. Peu importe. Elle avait bien plus urgent à penser que la stupidité humaine. Elle traversa donc la route, attentive au moindre bruit. Elle finit par atteindre une ville. La femme se regarda. Mieux valait ne pas attirer l'attention. Aussi changea-t-elle ses habits. Pendant des heures elle marcha, cherchant un endroit sûr. Elle s'arrêta soudain devant un pâté de maison. Ah voici. Ici ce serait très bien. Regardant d'abord à gauche puis à droite, elle traversa la rue. Pour finir par déposer son paquet devant une porte, non sans l'avoir étreint une dernière fois.
« James ! Dépêche-toi nous allons être en retard ! »
« Doucement papa j'arrive ! » répondit un jeune garçon de onze ans.
Il se présenta à la cuisine de la grande maison familiale. Il s'assit pour prendre son petit déjeuner.
Son père le gratifia d'une caresse sur la tête.
« Ne traîne pas mon fils. Tu ne voudrais tout de même pas être en retard pour ton premier jour d'école n'est-ce pas ? »
« Non ! J'ai hâte de voir comment c'est Poudlard. Et j'espère que Sirius et moi on sera dans la même maison. » répondit James en attrapant une tranche de pain grillée.
« Avec de la chance …. mais ne te fais guère d'illusions. Toute sa famille a été à Serpentard. »
« Pffff ! Ce serait vraiment trop nul. » bougonna James.
« Seul le Choixpeau décidera. Maintenant presse-toi. »
Le garçon se concentra donc sur son repas. Enfin le jour de la rentrée au collège Poudlard. Depuis le temps que lui et son meilleur ami attendaient ça ! Ils pourraient utiliser leur propre baguette magique, apprendre des tas de sort géniaux, fabriquer des potions, apprendre à voler sur un balai – enfin ça ils savaient déjà- et peut-être entrer dans une équipe de Quidditch qui sait ! Vraiment il avait hâte. Une fois son petit-déjeuner en ventre, il grimpa les escaliers quatre à quatre pour ramener sa valise. Il avait tout préparé la veille, sous la férule de sa mère. Le jeune garçon attrapa sa grosse malle et commença à la traîner.
« Attends je vais t'aider, elle est un peu lourde pour toi. » entendit-il.
« Merci m'man ! »
Sa mère prit la malle par l'autre côté, et l'aida à la transporter. James prit le temps de se brosser les dents, donner un vain coup de brosse dans ses cheveux pour tenter de les discipliner un peu.
« Je crois que je sais quel sort je voudrais apprendre en premier : un qui m'aide à me coiffer. » dit-il en examinant son reflet.
Il sortit de la salle de bains. Il était bientôt l'heure de se rendre à la gare. Il rejoignit ses parents dans la grande cheminée. Son père jeta de la poudre verte dans les flammes.
« Gare de King's Cross ! »
Les flammes devenues vertes les engloutirent un par un. La famille tourna comme une toupie durant un moment. Puis tous s'arrêta. Les membres de la famille Potter sortirent un à un d'une cheminée dans un vieux bureau désaffecté, conçu pour accueillir les membres de familles anciennes.
« Lord et Lady Potter, bienvenue. » annonça un homme d'âge mûr.
Le père de James le salua d'un cordial signe de tête, avant de poursuivre sa route. Ils descendirent une escalier rouillé, parcoururent un long couloir pas très éclairé avant de se retrouver sur les quais, à quelques pas du passage secret de la gare. Le trio marcha dans sa direction d'un pas naturel, se fondant parmi la masse de passager. Ils jetèrent ensuite un œil alentour, avant de franchir le passage un à un. Le quai 9 3/4. Déjà bondé bien sûr. James tenta de repérer des têtes connues.
« Ah voilà Sirius. » dit-il.
Il s'éloigna aussitôt de ses parents pour rejoindre le garçon de son âge. Les parents Black jetèrent un regard à la famille Potter, avant d'hocher la tête. Même s'ils étaient en désaccord sur deux trois points, aucun n'en oubliait la politesse. Surtout pas quand on était de même niveau. Mais ce fut tout le contact qu'ils eurent. Les garçons prirent leurs affaires, saluèrent leurs parents pour ensuite monter dans le train.
« Ça y est on y est Siri ! On va aller à Poudlard ! » clama James.
« Je t'ai déjà dit cent fois de ne pas m'appeler comme ça ! On dirait un surnom de fille. T'as que trois syllabes à prononcer, c'est pas la mort tout de même ! » protesta son camarade.
« Ok ok, te fâche pas Si-ri-us. »
Ils prirent place sur les banquettes de leur compartiment. Le train était équipé d'un sort permettant la lévitation des bagages jusqu'aux filets situés en hauteur. Ce qui quand on était âge que de onze ans, grand et épais comme une tige était bien pratique.
« Bon y démarre quand ce train ? » fit James en regardant par la fenêtre.
« Soit pas si impatient. Nous en avons au moins pour la journée de trajet de toute façon. » tempéra Black.
Finalement, le train s'ébranla pour la plus grande joie des enfants. Ils bavardèrent durant un moment, notamment sur l'endroit dans lequel ils seraient répartis. Sirius espérait bien ne pas aller à Serpentard. Rien que pour faire enrager ses parents. Il en avait tellement assez de leurs idées étriquées et de leur prétention. Parlant de Gryffondor, tout deux eurent un léger accrochage avec un garçon de leur âge. Ce dernier finit par quitter le compartiment en compagnie d'une petite rouquine.
Après quoi, James sortit un jeu de cartes pour passer le temps.
Le soir marqua l'arrivée tant attendue. Chacun prit ses affaires puis sortit dans la nuit fraîche.
« Les premières années par ici s'il vous plaît ! » appela un homme.
« Wow t'as vu sa taille ? Il a été nourri au poussoss ou quoi ? » fit James à son ami.
« Ou alors, on l'a suspendu par les bras au lieu de le mettre dans un berceau. »
Ils durent néanmoins s'approcher du géant, qui se présenta comme étant Hagrid, gardien des clés et des lieux à Poudlard. Il les pria de prendre ensuite place dans une barque. Le géant rama ensuite sur le lac appartenant au château. Les jeunes élèves découvrirent ainsi la bâtisse illuminée. Ils furent ensuite conduit à l'intérieur. Tout le monde y allait de son commentaire. Une sorcière à l'air revêche leur expliqua ensuite quelques points de règlement, avant de les mener à travers une grande salle. Un vieux chapeau allait décider de leur répartition. La sorcière du nom de McGonagall les appela dans l'ordre alphabétique.
« Black, Sirius ! »
« Allez vas-y mon vieux ! » chuchota James à son ami.
Ce dernier avança avec une légère appréhension.
« Tiens … un Black. Voyons cela. » fit le couvre-chef.
Il se concentra un instant.
« Gryffondor ! »
Sirius écarquilla les yeux, puis sourit. Yes ! Le Choixpeau lui fut ôté puis alla s'asseoir chez les rouges et ors. James montra ses deux pouces. Sirius coula malgré tout un regard à la table des serpents. Il y découvrit ses cousines Narcissa et Bellatrix. Elles lui adressèrent un regard de mépris, auquel il répondit par un haussement d'épaules. Voyons où serait réparti son ami.
« Potter, James ! »
« Gryffondor ! »
Paaarfait ! Ils seraient ensemble. Et nul doute qu'ils allaient rendre leurs années scolaires mémorables. Ils se saluèrent en tout cas d'une bonne poignée de main. Ils prêtèrent ensuite une oreille distraite au reste de la cérémonie. Ils se concentrèrent de nouveau quand le directeur, le fameux Dumbledore leur adressa un discours de bienvenue. Le repas fut ensuite servi.
« Trop fort on est dans la même maison ! Mais tu crois que tes parents vont bien le prendre ? » fit James.
« Non. Mais tant pis pour eux. Là au moins, on me fichera la paix avec ces histoires de sang-pur. J'en ai ras-le-bol, la bille et la boule. » répondit Sirius en se servant.
N'empêche, les deux mois d'été risquaient d'être longs. Boh, il pourrait toujours venir les passer dans la famille Potter.
Peu après, ils furent conduits dans les dortoirs. James et Sirius y firent la connaissance de deux autres garçons, Rémus Lupin et Peter Pettigrow. Chacun se choisit un lit, et commença à déballer un peu ses affaires. Enfin surtout ce dont ils auraient besoin pour commencer les cours. Le premier fut d'ailleurs celui de métamorphose, dispensé par Minerva McGonagall. Ils allaient apprendre la théorie avant la pratique, pour transformer un cure-dents en aiguille. Nos deux héros échangèrent un regard. Pas très passionnant. Sans doute était-ce un échauffement. Puis il fallait bien l'admettre, ils n'y connaissaient pas grand-chose en métamorphose. Pas grand chose en tout en fait.
« T'inquiètes James ! On va travailler tout ça, la base et le reste, et on inventera nos propres sports ou on se servira des autres pour s'amuser. » le rassura Sirius.
« Ouais, je crois que t'as raison. Inutile de vouloir aller plus vite que le dragon. »
Bien plus loin ...
« Alors ? Vous l'avez retrouvé ? »
« Presque Monseigneur. Nous avons des pistes sérieuses. Mais si nous voulons le retrouver, le mieux est d'attendre que ses instincts se réveillent. Ce sera plus simple. »
« Mmmh. Tirénias ! »
Un craquement se fit entendre. Un homme à l'apparence âgée se présenta, appuyé sur une crosse de berger. Il était vêtu d'un long manteau violet pâle, dont le bas ne dévoilait que la pointe de ses pieds chaussés de sandales, et dont la capuche couvrait ses yeux.
« Devin des dieux, révèle-moi ce que je désire savoir. Et sans coup férir ou gare à toi. »
« J'ai survécu aux batailles de tes arrières-grands-parents et tes grands-parents. Crois-tu que tu vas m'impressionner ? Je te ne crains pas. » rétorqua Tirénias.
Son interlocuteur serra les poings.
« Dis-moi où est passé l'objet de mes recherches. » insista-t-il.
« Mon don ne fonctionne pas sur commande. Encore moins sous la menace. Je n'ai rien à te révéler fils du tonnerre. »
L'autre frappa une colonne de marbre. Un énorme trou en résulta. Tirénias ne broncha pas. Il préféra laisser cet homme à sa colère. Il sortit du palais de marbre où il résidait. Il s'éloigna suffisamment avant d'appeler.
« Rhéania ! »
Un craquement se fit entendre. Une enfant se présenta à lui. Il la salua avant de se porter à sa hauteur. L'enfant avait de longs cheveux noirs attachés de manière compliquée. Une multitude de points brillants parsemaient sa chevelure. Son habit était blanc, d'une seule pièce, sans manches, un peu lâche par endroit et fendu sur une cuisse.
« Il va falloir agir, ton oncle s'impatiente. » informa Tirénias.
« Il n'a jamais été patient, quand il ne s'agit pas de bataille. » répondit tranquillement Rhéania.
« Je sais. Mais tu vas devoir jouer ton rôle. Il faut que tu ailles retrouver ton cousin. Sais-tu où s'est réfugiée sa mère ? »
« Ne peux-tu me le révéler ? » répliqua Rhéania.
« Non. Je préfère l'ignorer. C'est plus prudent. »
« Bien. Je vais aller voir Nadjatep et Aménix. Ils m'aideront dans ma tâche. »
« Fort bien. »
Rhéania quitta Tirénias. Elle disparut dans un craquement évoquant un léger éclair. Lorsqu'elle réapparut, elle se trouva devant l'entrée d'un temple orné de deux statues de chats noires au bas des escaliers. Elle grimpa. En haut deux gardes félins à l'allure anthropomorphe la saluèrent.
« Jeune Rhéania. Nous prévenons notre maîtresse de votre arrivée. » l'informa d'un d'eux.
« Très bien. »
Elle patienta un très bref instant avant que la propriétaire de l'endroit ne se montre. Elle avait le même âge que Rhéania. Affublée d'une tête de chat, d'une fourrure tachetée elle parut dans la lumière.
« Maaaooow qu'avons-nous là ? Ma chère Rhéania. » salua-t-elle.
« Nadjatep, ravie de te revoir. »
Nadjatep portait de fins habits transparents. Des bracelets d'or ornaient ses bras, un pectoral couvrait sa poitrine, et de fines chaînes ceignaient ses chevilles. Nadjatep fit entrer sa camarade, avant de lui demander la raison de sa visite. Elles s'installèrent sur une confortable pile de coussins. Des chats apportèrent des boissons sur des plateaux d'argent. Rhéania lui conta tout.
« Je vois. Suis-moi. » fit Nadjatep.
« Nous aurons aussi besoin d'Aménix. » informa Rhéania en chemin.
« Tant mieux. » commenta son ami dans un sourire qui dévoila de fines dents pointues.
« Yaaaaaawnnn ! »
« Pas si fort Sirius ! Tu vas nous faire prendre ! » chuchota Peter.
« Désolé. Mais ce cours est d'un ennui ! J'ai jamais vu ça. » répondit Sirius.
Les élèves venaient en effet de découvrir les merveilles du cours d'histoire de la magie, dispensé par le professeur Soporifin. Euh Binns.
« Mais comment fait-il pour être aussi ennuyeux ? » chuchota James.
« Sais pas. » répondit Rémus, une main soutenant (et déformant) son visage.
James soupira, puis tenta de suivre ce que disait le professeur. Il y parvint durant cinq minutes, avant de sentir ses paupières s'alourdir. Il essaya de résister, mais ce fut peine perdue. Comme d'autres il sombra dans le sommeil.
Guerre … guerre … destruction … guerre … l'assoiffé de guerre … ces mots résonnèrent dans le sommeil de James. Trois fois, avant qu'une image ne se forme. Celle de la silhouette d'un homme. Il distingua une partie d'une armure. Puis un flot de squelettes armés dévalèrent telle une monstrueuse vague. Ils furent suivis d'une mer de sang. James entendit ensuite des hurlements de désespoir, de peur et de douleur. Un rire satisfait résonna par-dessus cette vision de cauchemar. Il se réveilla dans un sursaut, attirant l'attention de la moitié de la classe.
« Ben alors qu'est-ce qui t'arrive ? » demanda Sirius.
« Un cauchemar. » répondit Potter.
Un peu trop réel à son goût. D'où sortait-il ces images ? Il n'avait pourtant pas lu de roman d'horreur ou il ne savait quoi. En tout cas, c'était terrifiant. Il se souvenait d'avoir même senti une odeur putride. En y repensant cela lui souleva le cœur. Pour se changer les idées, il reporta son attention sur le cours.
Il ne fut pas fâché lorsque ce fut terminé. James et ses amis allaient comme leurs aînés et prédécesseurs apprendre à réemployer cette heure de cours. Pour le moment, direction les potions.
La journée s'acheva paisiblement, dans ce qui commençait à devenir la routine scolaire. Nos héros se perfectionnaient dans l'apprentissage de leur art. Globalement, ils étaient plutôt doués, notamment Sirius et James. Ils connaissaient mieux les lieux, et allaient bientôt pouvoir passer à la phase blagues en tout genre.
Ce soir-là, trois silhouettes apparurent devant le portail délimitant le domaine de Poudlard.
« Bien, nous y sommes. »
« Chouette. J'espère que la nourriture est bonne. » commenta un autre visiteur.
« Et que l'on pourra s'amuser. » fit le troisième.
« On n'est pas là pour ça. »
« Je sais je sais. Mais avant qu'on le trouve de toute manière. Allez, allons-y. »
Ils passèrent à travers le portail. Depuis son bureau, Albus se redressa. Quelque chose venait de passer les protections. L'homme transplana immédiatement, baguette au poing. Il observa et écouta. Seul le silence lui répondit. Après un moment d'attention intensive, le directeur décida d'ausculter les sortilèges assurant la protection des lieux. Il promena donc sa baguette sur le portail. Une dizaine de minute plus tard il l'abaissa, perplexe. Ce qui était entré ne semblait pas nuisible, toutefois la magie qui en émanait était totalement inconnue. Il resta pensif un instant, avant de décider de rentrer. Sans se douter que trois paires d'yeux l'épiaient.
« C'est un rapide le papy ! » lança un des trois.
« Oui il faudra s'en méfier. » ajouta un autre avec un sourire.
« Et pas que de lui si vous voulez mon avis. Heureusement qu'il est pas discret, on l'a entendu venir à au moins un kilomètre. »
Ils sortirent de leur cachette pour pénétrer dans le château en lui-même. Ils allaient se mélanger aux élèves.
