Disclamer: Ils ne veulent toujours pas devenir ma propriété...

Elucubrations de l'auteur: Voilà une nouvelle fiction ! (Enfin me direz vous, ou pas) Je m'excuse du peu de postes que je réalise depuis un moment, mais, le temps pour poster se fait rare...

Sur ce, voilà une fiction Xanxus/Squalo un peu particulière, qui se passe à une toute autre époque, dans un tout autre monde, c'est donc une fic qui se passe dans une Univers Altenatif. J'ai tant bien que mal respecté le caractère des personnages, alors tenez compte du contexte de l'histoire avant de me dire qu'ils sont OOC...

Remerciements: Sinon, mes remerciements vont toujours à la même personne et ce n'est pas pour me déplaire ! Merci ma douce correctrice (Kuro-Squ-chan) je suis contente d'enfin publier cette fanfic qui je crois est une de tes préférées !


Chapitre 1: Rencontre avec la cible:

Quelque part dans le château d'un des plus vieux royaumes de Roma, le conseiller du roi attendait posément un genou à terre, que son seigneur lui accorde la parole. Ce que fit le vieil homme, d'un signe de la main.

- Votre Majesté, êtes-vous sûr que votre idée soit la bonne ? Envoyer votre fils comme ça pourrait être très dangereux! On ne sait pas encore de quoi ce bandit peut être capable!

- Je ne le sais que trop bien, répondit le monarque aux cheveux grisonnants. Mais mon fils est le seul en qui je puisse avoir confiance pour régler ce problème. Et si ce qu'on dit est vrai, il sera le seul à pouvoir faire tomber ce brigand dans un piège...

Ailleurs, dans le château d'un royaume voisin, un jeune homme parcourait de long en large la chambre qu'on lui avait allouée pour la nuit. Sur ordre de son père, et aussi parce qu'il le voulait bien, le jeune prince avait accepté de se rendre à la fête qui allait avoir lieu le soir même afin d'y arrêter un brigand qui mettait à mal la sécurité de tous les nobles de Roma. S'arrêtant devant le miroir, il observa une fois de plus son reflet. Grand et mince, de longs cheveux argentés entouraient son visage fin. Il ne pouvait nier que son physique avait tout d'avantageux pour l'aider à réussir sa mission, mais encore fallait-il qu'il accepte de la continuer. Retournant faire les cent pas au centre de la grande pièce, il veillait à garder le dos tourné au lit, sur lequel reposait une magnifique... robe de bal comme toutes les grandes nobles de ce monde se devaient d'en porter. La robe en elle-même était certes fort belle mais, le prince, même sur ordre de son père, avait grand mal à se résoudre à l'enfiler...

- On dit que ce bandit aime à conquérir les jeunes femmes de la Cour pour mieux les laisser tomber. Cet homme brise tout ce qu'il touche, et ces jeunes femmes en font parties. Tu devras donc t'infiltrer parmi elles pour surveiller les hommes de la soirée et essayer de démasquer le bandit.

- Voo... Bien, père... Avait-il répondu en soupirant.

Le prince laissa échapper un grognement en se retournant en direction du lit. Son père n'avait pas fait les choses à moitié, choisissant pour lui une robe rouge vermillon, brodée de fils d'or, et ornée de bijoux de nacre pur. Détournant le regard, il réfléchit.

Son père, bien que roi du plus grand royaume de Roma, restait un homme simple qui avait élevé son fils avec tout l'amour paternel qui lui était possible de donner. Le prince, prénommé Squalo en l'honneur du grand animal fétiche de sa famille, était un épéiste reconnu. Mais, son côté casse-cou braillard lui valait souvent des reproches de son père et de ses proches. Au fond, il voulait vraiment réussir cette mission pour recevoir les félicitations de son père, mais de là à se travestir... Le prince soupira à nouveau.

Le plus important pour lui était de recevoir la reconnaissance de ses pairs, par quelques moyens que ce soit! Aussi il se dirigea enfin vers le lit, il était tard et il fallait qu'il se dépêche avant que la soirée ne débute.

Une fois la robe enfilée, à grand renfort de grognements et autres cris, le prince entreprit de boucler ses cheveux en de magnifiques – et ridicules – anglaises, pour ressembler à toute bonne jeune fille de la Cour qui se respecte. Puis il se maquilla légèrement et, se regardant une dernière fois dans le miroir, il décida qu'il était fin prêt à prendre le bandit dans ses filets ses jupons. Relevant les pans de sa robe, il attacha un couteau à sa cuisse. Bougeant pour vérifier que celui-ci y tenait bien, il se dirigea vers la porte et sortit pour rejoindre la salle de bal.

Le seigneur du château, au courant de la mise en scène, présenta le prince comme étant l'une de ses nièces habitant un royaume fort lointain et séjournant chez lui durant la saison froide. Puisque le bandit semblait s'intéresser aux perles rares, quoi de mieux qu'une jeune étrangère de passage...

Le prince se déplaça parmi les invités, observant les hommes qui lui étaient inconnus mais qui pour la plupart le surprenait par leur laideur. Les quelques autres, étaient insipides et basiques. Rien qui ne puisse expliquer que des jeunes filles se précipitent sur eux.

Après un moment, le jeune homme en arriva à la conclusion que celui qu'il recherchait ne se trouvait pas dans la foule. Se dirigeant vers les grandes portes de la salle, l'argenté sortit sur le balcon pour prendre l'air en soupirant.

Il faisait nuit et froid, mais c'était toujours mieux que de rester à l'intérieur. Il avait passé plus d'une heure à se préparer pour... rien. Et plus d'une heure à parader dans la foule... encore pour rien. Qui plus est, il se sentait particulièrement mal à l'aise dans cette fichue robe. Il soupira à nouveau.

- Serait-ce le soupir d'une jeune femme en mal d'amour? Demanda une voix masculine dans la pénombre, faisant sursauter le jeune prince.

- A qui donc ai-je l'honneur? Questionna le prince.

- Mystère ma chère, mystère...

Un homme de grande taille sortit, se dévoilant devant la lumière des grandes portes-fenêtres. L'homme, grand, brun et... terriblement séduisant, s'approcha du jeune prince, lui permettant ainsi d'observer les deux yeux vermillon qui brillaient entre les mèches sombres qui parsemaient son front. Il sourit au prince, d'un de ses magnifiques sourires de séducteur qui faisait se pâmer les jeunes filles. Squalo détourna les yeux, feignant la gêne. Finalement sa mission allait surement aboutir, car il en était sûr, l'homme qui se tenait devant lui était bien sa cible.

- Je pourrais peut-être avoir la chance de vous inviter à danser. Cela vous détournerait surement de votre ennui, suggéra le brun.

- Réfléchissant en un quart de tour, l'argenté tendit une main vers le brun. Il imaginait mal l'homme essuyer un refus. S'il n'acceptait pas sa proposition, le brun se douterait à coup sûr de quelque chose.

L'inconnu saisit alors la main tendue, avec douceur, ramenant la «demoiselle» dans la salle. Puis déposant sa main sur sa taille, il entama une première danse.

Sous couvert des pas de danse, le jeune prince sentait les mains du brun lui caresser le dos, descendant subtilement vers sa chute de reins. Squalo devait reconnaître que l'homme savait y faire. Pas étonnant qu'autant de jeunes filles se soient fourvoyées entres les bras d'un tel homme.

- Me serait-il enfin possible de connaître votre nom? Tenta le prince qui se retrouvait à présent étroitement collé au brun après une troisième danse.

Le mystère ne préserve-t-il pas une part d'excitation? Mais soit, appelez-moi Vicomte X, belle demoiselle. Mais, me serait-il permis à mon tour de connaître votre nom?

- Squa-lita, se rattrapa-t-il. Je m'appelle Squalita.

Le brun sourit, caressant doucement le dos du prince.

- Dans ce cas, que diriez-vous de faire plus ample connaissance, Demoiselle Squalita? Murmura le « Vicomte » contre l'oreille de « sa partenaire ».

L'argenté saisit sa chance en acceptant la proposition plus que suggestive du brun, à renfort de grands sourires. S'il arrivait à se trouver seul avec lui, il pourrait certainement le coincer. Du moins il l'espérait car, la carrure de l'homme, qui le tirait à présent à travers la foule, était vraiment impressionnante.

Le brun finit par le faire rentrer dans une chambre inconnue du jeune prince. La pièce, plutôt spacieuse, ne pouvait avoir été prêtée qu'à un noble, ce qui surprit l'argenté. L'homme qui se trouvait en face de lui, était-il vraiment un Vicomte?

Son partenaire le poussa brusquement contre un mur à côté du lit, jugeant surement que la couche était trop loin à son goût.

- Eh bien Demoiselle, si on passait aux choses sérieuses? Fit le brun d'un ton bestial qui inquiéta le jeune prince.

- Vi... Vicomte, vous...

Le brun le força au silence en posant sauvagement ses lèvres sur celles du jeune homme. L'une de ses mains se dirigea vers le dos du plus jeune pour commencer à défaire les croisillons de son corset.

L'argenté qui arrivait enfin à reprendre ses esprits malgré le baiser ardent que lui donnait l'autre, commença à se débattre. Le brun mit fin au baiser en le regardant avec un sourire ironique.

- Ça ne sert à rien de vous débattre jeune fille. Après tout, les femmes ne sont-elles pas là pour veiller au bon plaisir des hommes? Elles sont tout juste bonnes à coucher et enfanter, et à être jetées comme les déchets inutiles qu'elles sont...

- Ça tombe bien puisque je n'en suis pas une! Cria le prince en le repoussant plus violemment, puis il le projeta sur le lit d'un coup d'épaule.

Remontant rapidement les pans de sa robe, le prince se saisit du couteau sanglé à sa cuisse et se mit – bien que difficilement – à califourchon sur le brun qui n'avait pas cherché à bouger. L'argenté lui plaça la larme sous la gorge.

Le brun sourit, d'un de ses sourires sauvages, qui étrangement commençait à avoir de drôles d'effets sur le corps du jeune prince. Il releva une main pour la porter sur la joue du jeune homme, la caressant doucement.

- Mon seigneur, j'espère que vous me pardonnerez de ne pas avoir de suite reconnu le célèbre braillard que vous êtes... Commença-t-il avec dédain, en passant sa main derrière la nuque du plus jeune pour violemment rapprocher son visage du sien. Je vous conseille de vite réagir « majesté » car sinon vous finirez comme toutes ces catins que j'ai déjà dépucelées! Ajouta-t-il avec un rire qui glaça le sang du prince.

Cet homme ne voulait quand même pas dire qu'il oserait violer le prince du plus grand royaume de Roma? Non c'était impossible! Il appliqua plus fortement la lame de son couteau contre la gorge du brun, la marquant déjà d'une ligne écarlate.

- Vooi, s'écria le jeune homme qui se retenait déjà depuis trop longtemps. Je dois vous ramener à mon père, vivant. Mais si vous cherchez à bouger, je n'hésiterais pas à vous trancher la gorge.

- Vous ai-je déjà dit ce que je pensais des travelos, mon seigneur? Eux aussi ne sont bons qu'à écarter les cuisses comme des catins! Voyez donc l'effet que vous avez sur moi... dit-il froidement en attrapant les hanches de l'autre pour le faire reculer.

Le prince se retrouva bien vite assis sur le sexe durci de l'autre, qui prenait soin de le maintenir à cette place plus que gênante.

- Voi, bâtard ! Je suis pas un travelo ! Cette tenue n'était là que pour t'attirer jusqu'à moi et au moins ça a marché! Grogna l'argenté entre ses dents.

- C'est vrai. Mais vous auriez tout aussi bien pu vous contenter de porter votre tenue d'apparat habituelle. Je ne me serais pas gêner pour vous trainer dans mon lit quand même... Eh bien oui petit prince des braillards, j'aime aussi les hommes. Fit-il avec un sourire carnassier.

La main du prince sur le manche du couteau se mit à trembler. Il regarda le brun avec un regard halluciné. Ça allait mal, très mal... Quelque chose lui disait qu'il ne contrôlait plus la situation, plus du tout même.

Le Vicomte lâcha enfin les hanches de prince. Mais ses mains passèrent rapidement sous la robe pour se saisir des deux fesses nues du prince, dont le père n'avait trouvé de sous-robe assez grande pour son fils.

- Ôtez vos mains immédiatement, rugit l'argenté en menaçant toujours plus l'homme sous lui de son couteau.

- Est-ce vraiment ce que vous voulez? Demanda-t-il en laissant une de ses mains aller vers l'entrejambe du plus jeune qui gémit de surprise. Vous êtes bien sensible ici, petit prince catin.

Sa deuxième main sortit alors rapidement de sous la robe pour attraper le bras de l'argenté qui tenait le couteau. De surprise, le prince lâcha son arme qui tomba au pied du lit. C'est toujours avec autant de rapidité que le brun renversa le prince sous lui. Et déchirant un morceau de la robe, il s'en servit pour attacher les poignets du prince à l'un des piliers du baldaquin.

- Eh bien mon seigneur, voyons si votre corps est meilleur que celui des autres catins ou si vous n'êtes, vous aussi, qu'un déchet tout juste bon à combler un manque passager...

Attrapant le couteau à terre, il entreprit de couper les lanières du corset pour déshabiller plus rapidement le corps de celui qui allait l'occuper pour cette nuit...


Alors nous voilà à la fin et là, je sens votre regard se poser sur moi avec suspicion... Je vais répondre à une question que surement beaucoup se posent ou se poseront : Comment Squalo fait-il pour avoir une voix de fille ? Et bien... Je ne sais pas Mouahahah. Il est juste doué ! 100% Varia Quality ! Si si je vous jure que sa voix est convainquante !

En revanche, j'accepterais volonter une petit Review pour avoir votre avis sur cette fanfic un peu particulière XD

À bientôt !