Le matin se levait sur l'île de Beurk, comme à son habitude cette île était toujours déserte de si bons matins, personne n'était encore debout. Personne à part le chef de Beurk, le plus grand et redouter chef de l'archipel pour tous ses ennemis, le célèbre Stoïk La Brute. Stoïk descend d'une longue ligner de chef sur l'île de Beurk. Mais, malheureusement comme tous les anciens chef, il allait prendre sa retraite et laisser son île, son rocher entre les mains de son fils dont il est très fier. Il s'agit du prestigieux Harold Haddock IIIème du nom. C'est le seul homme qui a réussi à faire régner la paix entre les terribles vikings aussi têtus les uns que les autres et les terrifiants dragons qui étaient autre fois des mangeurs d'hommes et plus particulièrement de nos réserves et nos animaux.
Mais maintenant tout est fini, grâce à Harold qui a dressé son propre dragon, la plus majestueuse des bêtes: le Furie Nocturne, qui suite à un petit accident causé par Harold, a malencontreusement perdu son aile arrière gauche. Mais le Furie Nocturne lui a bien rendu, car au cours d'un combat durement mené par les dresseurs et leurs dragons contre la reine de toute ces bêtes féroces, Harold a malheureusement perdu sa jambe gauche. Mais il s'en est vite remis.
Harold a réussi à apprivoiser ce dragon, il l'a nourri, lui a donné le nom de Krokmou, et surtout, il l'a protégé. Comme Krokmou qui protège tout aussi bien Harold.
Ce matin-là Stoïk a été réveiller à cause d'une urgence. Son dragon Crâne-crocheur, un magnifique Cornebrute, avait disparu. Pourtant, il lui était énormément fidèle, jamais il ne serait parti sans prévenir. Cela inquiétait le chef, mais il ne devait pas être loin. Alors qu'il voulut prévenir Harold, il monta dans sa chambre, mais le vit paisiblement endormi, alors il n'osa pas le réveiller. Harold était tellement fatigué à cause de toutes ces expéditions. Personne ne pouvait l'arrêter même ses amis ou Stoïk., alors quand il fait enfin une pause c'est juste le temps de dormir. Aujourd'hui, le chef était parti pour toute une journée à la rechercher de son dragon. Encore une journée compliquer pour lui.
Quelques heures après le passage de Stoïk dans sa chambre, Harold se décida enfin à se lever, il avait mal partout, encore trop fatiguer pour entamer une nouvelle journée. Il sortit dehors et vit le village plus que réveiller, tous les villageois couraient partout, on croirait revivre une attaque de dragon comme à l'époque. Soudain Krokmou arriva au côté d'Harold qui était tout aussi choqué que lui. De loin, ils virent touts les deux Astrid accourir vers eux, elle aussi était presser comme toutes les personnes de l'île en ce moment. Elle s'appuya essouffler sur l'épaule d'Harold.
- Harold ! On a un problème ! dit-elle toujours fatiguer de sa folle course jusqu'à Harold.
-Á bon, je n'avais pas vu tous ces villageois en furie qui court dans tous les sens. répliqua-t-il accompagner d'un petit sourire moqueur.
-Ce n'est pas drôle Harold, le dragon de Stoïk à disparu et quand quelque chose ne plaît pas au chef, il le fait bien savoir.
-Crâne-crocheur ? Disparu ? Il ne doit pas être loin, il va revenir. dit-il sans la moindre inquiétude.
-C'est ce que tout le monde se disaient, mais on le chercher depuis l'aube. Personne n'a trouvé d'indice sur l'endroit où il peut se trouver. rétorqua Astrid tout aussi désespéré qu'un yak sans son herbe.
-Il va revenir, ça fait pas longtemps que l'aube s'est levée, il sera là dans quelques heures. continua Harold sans la moindre préoccupation.
-Il est déjà l'heure du déjeuner Harold, tu as dormi toute la matinée. On t'a tous déjà dit que tu partais trop en expédition, tu dois arrêter un peu, je suis sûr que t'as encore mal partout. avoua-t-elle inquiète pour la santé du garçon.
-Ouah, il est déjà si tard, et oui, j'ai mal partout, mais je vais voir ce que je peux faire pour mon père, je vais essayer de le calmer.
-Oui dépêche toi s'il te plaît, le village en peu plus.
Harold s'agrippa sur le dos de Krokmou en partant vers la grande salle laissant Astrid seul à l'entrée de la Hutte du commandant de Beurk et de son futur chef. Astrid siffla Tempête pour qu'elle rapplique à côté d'elle. Astrid grimpa sur son dos et courut à la poursuite de Krokmou et Harold jusqu'à la grande salle.
Cette salle était l'endroit où le trône de tous les grands chefs ayant régné sur Beurk est installé. Chaque jour, le bon vieux chef, y passait au moins une heures ou parfois plus, assis sur ce trône à écouter les lamentations des villageois et tous leur problème, tout en essayant de les régler, ce qui était une tâche difficile pour certain habitant.
Alors pour passer au mieux ces interminables heures le plus confortablement possible, Harold a inventé un super système révolutionnaire: un coussin de sièges. Ce n'était pas grand chose, mais Stoïk en avait beaucoup besoin. Ça devenait insupportable pour les habitants venant trouver de l'aide auprès du chef, de le voir sortir sa hache et de s'en prendre au pauvre Beurkiens. Mais depuis l'installation de ce fameux coussin, tout à changer. Stoïk est déjà moins exaspéré, c'est un début.
Mais dans cette salle, on n'y écoute pas que les villageois désespéré, on y fait aussi des festins, on y étudie, mais on y réunit aussi l'Assemblée de Beurk lors des grandes réunions auxquelles Stoïk obligeait son fils Harold, à assister pour qu'il soit près à prendre ses fonctions de chef.
Sur toute la longueur du chemin jusqu'à la grande salle, les habitants de Beurk avaient l'air tout aussi perdu que le Cornebrute. Chacun courait dans son sens, sans savoir où aller, ce qui ne servait strictement à rien puisque à cette heure-ci le dragon ne devaient sûrement plus être dans le village. Stoïk avait le don d'affoler tout un village de viking en espace d'un seul mais énorme grondement d'un chef Beurkien en colère.
Au moment d'arriver à la grande porte de la grande salle, Gueulfor arrêta Krokmou dans sa course. Gueulfor avait l'air d'avoir plus peur pour son chef qui maintenait sa hache avec une forte poigne, que pour autre chose.
-Gueulfor est-ce que ça va? questionna Harold au vieux viking.
-Non pas du tout Harold, ton père est, comment dire... il ne s'est pas levé du bon pied. Tu dois à tout prix retrouver son dragon et le plus vite sera le mieux. répondit le viking unijambiste, qui en plus reste que sa main droite.
-Merci, je crois qu'on l'a tous remarqué Gueulfor. rétorqua le jeune garçon aussi unijambiste.
-Fais quelque chose Harold, on en peut plus. J'ai bien peur que ton père commette un meurtre. supplia le vieil homme.
-J'y vais, je vais essayer de tout arranger, Crâne-crocheur ne doit pas être loin. dit-il en rassurant le meilleur ami du chef.
Harold continua sa route à l'intérieur de la salle suivi de Tempête et Astrid. Quand ils rentrèrent à l'intérieur du bâtiment, tout était dévasté, les tables et les chaises renversé. Plus rien n'était debout, mis à part le trône du chef, trop précieux pour être renversé. C'est alors qu'une table se projeta sur Harold, qui l'évita de très peu. En regardant plus loin, il vit que le responsable est évidemment son père, toujours autant en colère que le jour de la naissance de son fils.
Astrid, elle, toujours derrière Harold, ne voulait pas trop s'aventurer dans ce désastre, de peur qu'elle aussi se prenne une table ou autre objet qui est à la porter de Stoïk et qu'il peut lancer à tous moment. Harold descendit de son dragon et continua sa route jusqu'à son père. Il jeta un dernier regard pour le moins confiant vers Astrid, mais avança malgré tout.
Harold essaya tant bien que mal d'enjamber toutes ces chaises au sol et ne manqua pas de tomber quelque fois, mais comme d'habitude Krokmou lui venait à son aide. Le jeune homme réussi enfin à arriver jusqu'à son père. Il était tout aussi tremblant qu'un poulet congelé. Sa hache bien tenue dans sa main, elle ne pouvait malheureusement pas échapper à son sort.
Stoïk surpris par son fils, ne l'ayant pas vu arriver, pointa son arme sur lui, tout en croyant que c'était un autre villageois venant encore se plaindre. Si c'était le cas, il l'aurait bien achevé. Harold se protégea à l'aide de son bouclier pour éviter le massacre de lui-même. Mais par l'élan, la hache finit planter dans le bouclier. Harold a de la chance de garder sa fidèle protection sur lui. Il décrocha l'arme de son père et l'éloigna pour ne pas qu'il essaye de la reprendre et ne pas commencer une guerre.
-Harold! Qu'est-ce que tu fais? cria Stoïk désolé par le geste qu'il vient de commettre.
-Je ne sais pas, peut-être pour calmer le viking fou qui se tient devant moi et qui a faillit planter une hache dans ma tête. répondit le garçon en colère. Je sais que Crâne-crocheur a disparu, mais ce n'est pas une raison pour faire paniquer tout un village.
-Désoler fils, j'aurais pu te tuer. Tu me fabriqueras le même bouclier? demanda t-il assurément. Il commençait enfin à se calmer.
-Oui si tu veux papa, mais pour l'instant, on a un autre problème: ton dragon.
-Mais, je l'ai cherché partout, il est nul par. dit-il en se remettant en colère.
-T'as cherché dans la forêt? demanda Harold exaspéré.
-Non, je n'ai pas été plus loin que l'entrée de la forêt.
-D'accord, je vais appeler les dragonniers et on va survoler la forêt, on va voir si on trouve quelque chose. Toi, tu vas prendre quelques habitants et chercher à pied, vous regarderez chaque recoin de l'île. C'est parti! ordonna Harold sûr de lui.
Stoïk enjamba les chaises toujours au sol et accourut à l'extérieur. Il prit Gueulfor et d'autre viking et parti à la recherche de son dragon dans la forêt.
Et le jeune garçon grimpa sur le dos de son dragon et sortir de la salle, là où finalement Astrid à été l'attendre, croyant l'endroit trop dangereux pour y rester. Elle attendait tranquillement sur le dos de Tempête.
-Va chercher les autres, on va fouiller la forêt. ordonna Harold à la jeune femme, qui elle exécuta son ordre sans demander ce qui s'est passé avec son père.
Ils partirent tous les deux chacun de leur côté pour aller retrouver les autres dragonniers. Alors que Astrid voulut retrouver Varek dans le village, elle le vit allonger au sol, piétiner par les villageois en furie. Bouledogre était entre les villageois en essayant de se frayer un chemin jusqu'à son maître. Elle se faisait toujours repousser à chaque fois qu'elle allait arriver à lui. Astrid arriva vite au secours de Varek. Tempête le prit par ses bras à l'aide de ses pattes et le posa sur Bouledogre. Ils s'envolèrent tout en expliquant à Varek les instructions qu'avait données Harold.
-Il faut aller chercher les jumeaux et Rustik, Harold nous a demandé d'aller fouiller la forêt pour retrouver le dragon de Stoïk. ordonna Astrid à l'autre dragonnier.
-Oui, mais ils sont où ? Il y a trop de personnes qui court ! demanda Varek
Soudain, une explosion retentit non loin des deux dragonniers, ce qui attira l'attention de tout le monde. Partout où il y a un feu, les jumeaux ne sont jamais très loin. Comme le proverbe dit : « Il n'y a pas de feu sans les jumeaux ».
-Je parie qu'ils sont là-bas, dépêchons-nous. affirma Varek
Astrid et Varek volèrent sur leur dragon jusqu'à la fameuse explosion.
Lorsqu'ils arrivèrent sur place, comme par pur hasard, c'était les deux Thorston qui s'y trouvaient. Leurs têtes enduites de poussière noires dû à leur explosion. Comment ils se débrouillent pour faire des catastrophes partout où ils passent ? Même le chef en pouvait plus de toutes leurs bêtises qui détruisaient parfois des maisons ou qui faisaient fuir les moutons et les yacks.
-Vite, les jumeaux on a besoin de vous pour fouiller la forêt, où sont Proute et Pète ? questionna Astrid folle de rage à cause de toutes les catastrophes qu'ils causent.
-J'en sais rien, ils sont partis après l'explosion. répondis Kognedur sans la moindre préoccupation sur tout ce qui se passe.
-Ouais, c'est ce qu'on aurait dû faire nous aussi. Ajouta son frère avec la même tête que fait sa sœur, sans aucune agitation de leurs parts.
-Allez retrouver votre dragon et retrouver Rustik, dépêchez-vous. ordonna Astrid en remontant en selle sur Tempête.
Les jumeaux partirent à la recherche de leur dragon tandis que les deux autres dragonniers s'envolèrent vers la forêt à la recherche de celui du chef.
Harold toujours dans les airs sur le dos de Krokmou, continu sans relâche à cherché Crâne-crocheur. Depuis maintenant une heure, il survolait la forêt et il n'a toujours rien trouvé, pas un seul indice sur l'emplacement de ce dragon. Peut-être qu'il est tout simplement parti pensa le jeune dragonnier. Mais non cela était impossible, un dragon ne peut pas partir du jour au lendemain sans laisser de traces. Aurait-il été capturer pas des chasseurs ? Rien que d'y penser mit en rage Harold. Des chasseurs ne peuvent pas emmener un aussi gros dragon de ce genre, ça paressait impossible, même pour le plus fort des vikings.
Alors que lui et son dragon arrivèrent de l'autre côté de l'île, l'endroit plus éloigné du village, ils virent de tout là-haut quelques branchages s'agiter. Krokmou descendit en flèche à quelque mètre de cet endroit. Harold qui est toujours sur le dos de Krokmou s'avança petit à petit vers les feuillages toujours en train de bouger. Alors qu'ils sont qu'à quelque centimètre du buisson, le dragonnier le poussa de ses propres mains et ce qu'il vit derrière était horrible. Le dragon du chef, Crâne-crocheur était suspendu dans un filet d'un piège à dragon. Comment à t-il pu se retrouver ici ? Il n'a pas pu s'y accrocher tout seul. Soudain derrière lui, des hommes très costauds pointaient des flèches vers Harold et son Furie Nocturne. Était-ce des chasseurs de dragon ?
Et là, tous commencèrent à s'agiter, d'autre homme arrivèrent de partout avec un filet dans leurs mains. Ils le lancèrent sur les deux prisonniers accompagnés d'une flèche à la pointe couverte de racine de dragon raffiné qui se planta sur la patte de Krokmou. Il est devenu plus qu'incontrôlable et il finit finalement par s'allonger au sol et ne bougea plus. Harold arriva à son secours, il lui enleva la flèche, mais s'était déjà trop tard, Krokmou était déjà endormi profondément.
Un des chasseurs enfila un vieux sac sur la tête de leur prisonnier et lui attacha les mains à l'aide d'une corde bien solide. Ils les emmenèrent vers la flotte de bateaux qui étaient accostés sur le bord de la plage. Il y en a plus d'une dizaine qui sont amarrés là à attendre les ordres du chef pour repartir.
Mais au faite, qui est le chef de toute cette tribu ? Harold n'avait pas eu le temps de se poser la question, il était trop occupé à s'imaginer la chose la plus horrible que cette bande de chasseurs puissent faire à son dragon.
Harold continua de marcher toujours les mains attachées sans savoir où il allait. Mais soudain, il fut projeté au sol par un garde. Il tenta de se relever, mais un autre homme le remettait à terre.
-Enlever-lui le sac. Ordonna la voix d'un ton ferme, elle lui était inconnue à Harold.
Immédiatement, le dragonnier releva sa tête et vit un homme très grand tout aussi costaud que les autres. Ça doit sûrement être leur chef.
-Monter-le dans le bateau et enfermer-le. ordonna le chef toujours aussi ferme.
-Riker ! On a aussi son dragon et celui du chef de Beurk. affirma un autre viking.
-C'est un Furie Nocturne, intéressant, enfermez-le dans une autre cage loin du garçon. Pour l'autre dragon, il peut nous être utile, on le vendra à un prix d'or, ça peau est très chère sur le marché. Dépêchez-vous de les enfermer, il ne doit pas être seul. dit le chef des chasseurs. Il a l'air tout aussi impitoyable qu'un aile de la mort.
Harold se débattait pour arriver jusqu'à Krokmou, mais les gardes le tenait d'une main ferme. Il l'avança sur le pont du bateau suivit de Krokmou et de Crâne-crocheur, tout les deux endormis à cause des flèches d'herbe à dragon.
Du côté d'Astrid et Varek, ils virent au sol le reste du piège dans lequel était prisonnier un dragon. Ils s'approchèrent pour chercher des indices. Varek partit de son côté et trouva quelque chose par terre.
-Eh Astrid ! Vient voir ça, j'ai trouvé une écaille de Krokmou ! dit le Varek dragonnier apeuré.
-Il doit sûrement être blessé. affirma la jeune Astrid.
-Il y a des traces de pas ici. ajoute Varek pointant son doigt vers la direction des empreintes laissé sur le sol.
-On va les suivre, s'il leur est arrivé quelque chose ils ne doivent pas être très loin. dévoila Astrid qui commença à s'inquiéter après toute les découvertes des indices.
Les dragonniers avancèrent dans la forêt à dos de dragon jusqu'à se retrouver sur la plage face à des chasseurs excités à l'idée d'attraper de nouveaux dragons. Ils commencèrent tous à se battre, les horribles chasseurs contre les deux seuls dragonniers qui ont réussi à retrouver les responsables de tous ça. Harold entendant les cris de guerre se retourna et virent ses amis en train de se battre.
-Astrid ! Je suis là ! cria le jeune Harold aussi fort qu'il peut.
-Harold ! acclama Astrid tout en se débattant des haches de ces hommes.
Riker attrapa de lui-même Harold qui essayait de s'enfuir et l'obligea à avancer vers les cages. Il était trop tard les dragonniers ne pouvait plus récupérer Harold, alors ils s'envolèrent sur leur dragon et vit depuis le ciel, Harold se faire emmener dans la cale du bateau.
-Il faut aller le chercher, il va se faire tuer ! s'écria Astrid surmener par la peur que le jeune homme se fasse tuer.
-Non, c'est trop tard Astrid, on ira le chercher au bon moment, on ne peut pas s'aventurer sur ce bateau maintenant, ils sont trop nombreux. insista Varek inquiet lui aussi sur le malheur d'Harold.
Malgré tout, ils retournèrent au village avec beaucoup de regret en laissant Harold avec, c'est épouvantable chasseur. Astrid devient tout de suite très affolée, mais avant de partir, elle avait pu lire sur les lèvres du garçon emprisonné, il avait dit : « Ne t'inquiète pas pour moi ». Ils devaient se dépêcher de trouver un moyen de les récupérer sinon seul Thor sait ce qu'il va lui arriver.
