Titre: Le jour ou j'ai compris
Auteur : moi Sakura - okasan
Beta : Marjo76
Genre : Yaoi Angst/ Romance
Disclamé : Les personnages ne m'appartienne pas ils sont à Tohru Kousaka et Hitoyo Shinozaki .
Je dois avouée que cet Os n'est pas le meilleur que j'ai pondu ,il et sans prétention alors si ne vous plait pas ,je ne vous en voudrais pas ,lol pour ce qui est de ma première fic sur no money j'ai décidé de mis remettre celas ne sera malheureusement pas pour tout de suite mais cet en bonne voie, merci à toute les personnes qui me suive je vous fait de gros bisous.
Le jour où j'ai compris :
-C'est une affaire personnelle, j'irai donc le chercher tout seul.
Somuku alla donc chercher son amant, chez cet infâme Konomi, il ferait sa fête à ce traitre de Kuba. Une fois sur place, les sbires de Konomi l'amenèrent à leur boss, là, debout devant l'assassin, il vit son… son quoi déjà son jouet ? Non, il ne l'était plus. Son sauveur, son ange, retenu par une vulgaire laisse comme un chien. Il s'avança pour le libérer, mais avant qu'il n'ait fait un pas, l'assassin le mit en garde :
-Si j'étais toi, je ne ferais pas ça, à moins que tu ne veuilles que ton jouet adoré ne se fasse défigurer ?
-Dis-moi ce que tu veux, espèce d'enfoiré
-Moi ? Mais, voyons mon cher Kanô, je veux te voir souffrir comme moi j'ai souffert, te torturer et seulement, je t'achèverai.
Konomi fit un signe de la main et le sbire derrière Kanô, le frappa. Celui-ci se retrouva à genoux, au sol, le regard de tueur.
-Kanô-san !
-Tut tut tut, mon cher, couché, ou je le tue de suite.
Ayase s'assit, de nouveau, sur la banquette, les larmes aux yeux. Konomi fit, une nouvelle fois signe à son sbire de frapper Kanô, celui-ci se laissait faire, sans bouger. Le jeune homme, voyant cela devant lui, cria et se débattit, supplia que cesse cette folie, mais son ravisseur n'en avais cure, si bien qu'il frappa. Le pauvre jeune homme s'en retrouva avec une lèvre fendue.
Ce revirement de situation déchaina Kuba, qui en fit de même avec Konomi. S'en suivit une bagarre avec les hommes de main de l'assassin, Kanô profita de l'occasion pour éliminer les déchets pressants sur son chemin. Une foi près de son ange, il le tira à lui et l'embrassa à pleine bouche.
-Kanô-san, je...
-Idiot !
Puis, tout se passa trop vite pour le blond. Il se retrouva, de nouveau, sur le sofa, après qu'un bruit sourd ait retenti. C'est seulement quand il sentit une douce chaleur se répandre sur lui, qu'il paniqua.
-Kanô-san, Kanô-san... dit Ayase, en le secouant.
Il le retourna et une vision d'horreur se répandit devant ses yeux. Une tâche écarlate s'épandait au bas du ventre de celui-ci.
-Non ! Non ! Ne me laissez pas, Kanô-san.
-Ayase-san.
Le blond resserra sa prise sur le blessé.
-Ayase-san, l'ambulance va arriver. Lâchez, monsieur.
-Non ! Laissez-le ! S'exclama le blond, hagard, resserrant sa prise sur le plus vieux. Pardonnez-moi, Kanô-san. Je suis désolé, pardon.
Le jeune homme paniqua encore plus, quand il se rendit compte que son amant ne bougeait plus. Il cria de plus belle. C'est à ce moment-là, qu'il comprit qu'il aimait l'homme qui était en train de mourir devant lui. Il laissa donc sortir les sentiments si profondément enfouis en lui.
-Somuku ! Ne me laissez pas seul, je ne... ne pourrais pas vivre sans vous. Je… je vous aime…
Il ne sut comment il était arrivé là, mais il se trouvait dans une chambre d'hôpital, à veiller sur Kanô-san, quelqu'un lui avait dit, qu'il allait s'en sortir, cependant, il ne serait soulagé que quand il le verrait se réveiller.
Plusieurs heures -ou jours ?- passèrent, quand enfin, il vit les paupières papillonner. Un léger son parvint à ses oreilles.
-Ayase ?!
Et là, ce fut plus fort que lui, il sourit. De toutes ses dents, tellement heureux que son amour se soit réveillé.
Fin.
