Titre : D'un baiser sur tes lèvres...

Auteur : Typone Lady

Disclaimer : L'univers de One Piece ainsi que ses personnages ne m'appartiennent pas : ils sont à Eiichiro Oda. Je les emprunte le temps d'une histoire.

Noté: M

Genre: Romance, Drame, UA

Résumé : La vie n'est jamais facile, surtout quand on grandi dans un monde où tuer pour survivre est notre quotidien. Heureusement, dans un monde où la loi du plus fort est de maître il y a des personnes qui essayent encore de s'en sortir. Mais rien ne se passe jamais comme prévu et le cœur a ses raisons que la raison elle-même ignore... Yaoi.

Note : Merci à ma bêta pommedapi pour ses précieux conseils et aussi pour avoir corrigé ce chapitre ;)


Prologue

Paris, Résidence de Gold D. Roger, 1er janvier 1992

Il était à peine 3h du matin lorsqu'un coup de fil réveilla Roger. Ces derniers temps, son état s'aggravait, sa maladie prenait de plus en plus d'ampleur. Le monde de la pègre n'était pas de tout repos et il savait que si ses ennemis avaient vent de sa maladie, il en serait fini de lui. Il n'avait pas la prétention de vivre encore longtemps, il allait mourir, il le savait et l'acceptait. Mais il y avait une chose qu'il désirait cacher encore plus aux autres que sa maladie. Il avait toujours pris sa maladie avec désinvolture mais son autre secret, il y tenait particulièrement. Pour rien au monde il ne devait être découvert.

Pour rien au monde il ne laisserait des gens leur faire du mal.

Quelques années auparavant, il avait fait une rencontre qui avait changé sa vie. Il avait rencontré la personne pour laquelle il avait voulu se sortir de ce milieu où le sang coulait à flot. Un monde dans lequel la fin justifiait les moyens, où seul l'argent comptait. Seuls les forts y survivaient, les faibles se contentaient d'obéir s'ils ne voulaient pas y mourir comme un moins que rien.

Portgas D. Rouge avait changé sa vie...

Au bout de la troisième sonnerie, il décrocha enfin le combiné.

-Allô.

-Monsieur...il faut que vous veniez à Gandia de toute urgence! Le travail a commencé...

-J'arrive.

Il n'avait pas besoin de plus pour comprendre la gravité de la situation. Il ne perdit pas de temps, passa quelques coups de fil pour prévenir son chauffeur ainsi que son pilote personnel de préparer son jet privé . Après avoir fait le nécessaire, il se hâta de s'habiller. Il était tellement stressé qu'il avait peur d'oublier quelque chose. Une vingtaine de minutes plus tard, il était dans sa voiture.

-Amène moi jusqu'au jet le plus vite possible!

-Bien, monsieur.

Il avait environ deux heures d'avion, et c'était beaucoup trop. Il avait tellement peur d'arriver trop tard, de ne pas pouvoir être là pour elle.

Bientôt, ils seraient réunis.

Gandia, Hôpital

Franchement, qu'est ce qu'il lui avait pris de faire ça ? Lui, un homme digne, un homme courageux, un héros! Pourquoi avait-il accepté sans même protester de l'aider ? Ce qu'il était en train de faire pouvait lui coûter sa carrière...

Il soupira et alla s'asseoir. Peut-être qu'il arriverait à se calmer pour ensuite réfléchir à la raison qui l'avait fait accepté d'être ici. Il faisait parti de la police, il était même un haut gradé et le voilà qui aidait un mafieux.

Garp n'arrivait pas à y croire...

Mais peu importe ce qu'il en pensait et les doutes qui le submergeaient. Même s'il ne portait pas Roger dans son cœur à cause des crimes que celui-ci avait commis, ce n'était pas de lui dont il était question. C'était l'avenir d'un enfant innocent dont il était question en ce moment. Il se releva et se décida enfin à rentrer dans la salle en face de lui. A l'intérieur plusieurs médecin s'affairaient. Il s'approcha de Portgas D. Rouge.

-Est ce qu'il va venir?

-Oui, mais j'ai peur qu'il n'arrive pas à temps.

Il y avait environ un peu plus d'une heure trente que Rouge avait eu de fortes contractions. Ça lui arrivait de plus en plus souvent et c'était pour ça que Garp ne s'était pas trop inquiété. Ce n'est que lorsqu'elle avait perdu les eaux qu'ils s'étaient dirigés de toute urgence à l'hôpital. Avant de partir, il avait fait appeler le compagnon de la jeune femme pour le prévenir que dans quelques heures à peine, il serait père.

Il serra la main de Rouge pour lui dire que même si son compagnon n'était pas présent, il la soutiendrait.

-Merci.

Les contractions se faisaient de plus en plus rapprochées. La douleur était dure à supporter mais la jeune femme était tellement heureuse elle allait bientôt tenir son enfant, son trésor dans ses bras. Elle souffla puis se concentra sur ce que disait le médecin et sa sage femme. Puis elle commença à pousser de toutes ses forces en espérant que Roger allait bientôt arriver. Elle voulait qu'il soit là quand leur enfant naîtrait. Elle continua de pousser. Elle avait confiance, il arriverait bientôt.

Lyon, base d'entraînement des Supernovae

Un homme était assis sur son bureau et feuilletait les derniers contrats qu'il avait reçus. Quand il avait reprit l'organisation de mercenaires, il n'aurait jamais pensé avoir autant de succès. Il jubilait. Jamais il n'aurait pensé pouvoir se faire autant d'argent de cette manière. Après avoir fini de trier les nouveaux contrats, il constata qu'il n'en n'avait retenu que 4. Le premier contrat était une vengeance qui concernait un homme qui avait été accusé de viol et de meurtre. Il avait été innocenté pour manque de preuve. C'était une affaire assez complexe, mais rien d'inhabituel. Beaucoup de personnes faisaient appel à son organisation pour des histoires de vengeance. Le deuxième contrat concernait une sombre affaire d'héritage, un client voulait faire tuer son demi-frère pour ne pas avoir besoin de partager l'héritage. Les gens étaient vraiment prêts à bien des choses quand l'argent était en jeu.

-Patron...

C'était la voix de son '' secrétaire '' qui le sortit de ses pensé peu glorieuses. Apparemment, il était réveillé. Il jubilait et ne faisait rien pour masquer le sourire qui ornait son visage. Il se dépêcha de ranger tous les documents qui traînaient sur son bureau. A cette vision, son « secrétaire » eut un petit sourire. Son patron était si transparent ! Enfin, pour ceux qui le connaissaient vraiment.

-Dépêchons!

-Il n'attend que toi patron.

C'est au rythme du pas de course qu'ils se dirigèrent vers la chambre de leur nouvelle recrue.

Arrivés devant le pas de la porte, ils s'arrêtèrent quelques secondes avant d'ouvrir. Le patron de l'organisation s'avança d'un pas digne vers le lit où un petit enfant reposait. Celui-ci tourna légèrement la tête vers l'homme à coté de lui. Les médicaments l'empêchaient de trop bouger mais il pu tout de même s'asseoir sur son lit. Il refusait de se montrer faible devant quiconque. Il pu voir que derrière l'homme à ses cotés, se tenait un autre homme tout aussi austère.

-Qui êtes-vous?

-Ton futur patron. Quand on t'a amener ici tu étais grièvement blessé mais ça à l'air d'aller maintenant.

-Qu'est ce que vous voulez?

Le patron de l'organisation eut un petit rictus amusé. Il aimait bien ce garçon. Il le voyait aisément promu à de grandes choses. Il avait du talent et il comptait bien l'utiliser.

-Je vais t'entraîner et tu travailleras pour moi.

-...Qu'est ce que je devrais faire?

-Beaucoup de choses, notamment tuer.

Le petit enfant tressaillit à ces mots. Son interlocuteur l'avait remarqué mais n'en montra rien.

-Et si je ne veux pas ?

-Tu ne veux pas?

-...Je ne sais pas. Non...je ne crois pas. Répondit-il incertain.

-Alors la question ne se pose pas.

Le plus âgé se leva, laissant l'enfant digérer ce qu'ils venaient de se dire. Il se dirigea vers la porte, faisant signe à son secrétaire qu'ils partaient mais avant de franchir le seuil de la porte, il se retourna et regarda l'enfant d'à peine 4 ans qui l'observait également.

-J'aimerais te souhaiter une bonne année mais maintenant que tu fais parti des Supernovae, je pense que tu ne passeras plus de bonne année. Alors je vais m'abstenir.

-Je n'ai jamais passé de bonne année.

Il ne put que sourire face cette réplique. Cet enfant était vraiment prometteur.

-Repose toi, ton entraînement commence à 6h00.

-Je ne suis pas fatigué.

-Repose toi quand même.

-Ne me donnez pas d'ordre.

L'homme ne prit même pas la peine de lui répondre car il savait que son message était passé.

Gandia, Hôpital

Il était là, il était enfin arrivé. Dès qu'il avait ouvert la porte, une vague de bonheur l'avait envahi. Là, dans les bras de sa bien aimée, il y avait son enfant. Leur enfant. Garp recula pour permettre à Gold de s'approcher et par la même occasion, laisser un peu d'intimité au couple.

Sa bien aimée avait l'air complètement épuisée. Elle tenait fébrilement leur enfant dans ses bras et souriait tristement à son compagnon. Roger était tellement ému qu'il prit délicatement l'enfant dans ses bras avant que le médecin ne le lui prenne pour aller le laver et l'habiller.

-Vous avez décidé d'un nom pour votre fils ?

Roger et Rouge se regardèrent avant d'échanger un sourire. Oui, ils avaient décidés. Rouge répondit d'une voix fragile.

-Ace, il s'appellera Portgas D. Ace.

-Bien.

Le père du nouveau né déposa un léger baiser sur le front de sa compagne avant de se diriger vers Garp.

-Garp, je te remercie pour ce que tu as fait pour Rouge.

-Épargne-moi ton baratin. Qu'est ce que tu veux me demander ?

-J'aimerais que tu le conduises à l'orphelinat '' Grey Terminal ''.

-Tu n'as donc pas changé d'avis...

-Tu sais bien que non.

Il soupira et poursuivit.

- Je suis un mafieux, c'est un monde particulièrement dangereux. Je suis son père, c'est de mon devoir de le protéger. Là-bas, il sera en sécurité. Mes ennemis n'attenteront pas à sa vie pour me nuire. Et puis grandir dans ce genre d'environnement n'est pas sain pour un enfant.

-Tu pourrais aussi te retirer du milieu.

-Tu sais bien que c'est impossible. Rouge est d'accord avec moi. Dès qu'elle le pourra, elle le récupérera.

-...Que veux-tu que je fasse?

-Rayleigh s'est déjà occupé de tout pour ce qui est de l'argent et de l'orphelinat. Tout ce que tu as à faire, c'est de le conduire jusqu'à là-bas. La directrice sait tout, elle s'occupera de Ace lorsqu'il y sera.

-D'acc-

Ils furent soudainement interrompus par de l'agitation derrière eux. Les médecins s'affairaient autour de Portgas D. Rouge. Elle était en train de mourir. Elle avait toujours été de constitution fragile et les médecins avaient eu peur qu'elle ne survive pas à l'accouchement. C'était pourquoi ils avaient été très vigilants dans les dernières semaines.

Mais malgré tous leurs efforts, ils ne pouvaient rien faire.

Portgas D. Rouge venait de décéder en donnant la vie.

Roger épuisé et anéanti regarda le corps sans vie de Rouge. C'était fini elle était parti. Il sentit une unique larme couler sur sa joue droite. Il l'aimait et ne pouvait se résoudre à la laisser.

De son côté, Garp n'osait rien dire, et osait encore moins interrompre le silence qui régnait dans la salle. Roger était en train de faire son deuil. Il fut tiré de ses pensées par la voix de son vieil ami.

-Dans deux semaines...tu amèneras Ace au Grey Terminal. J'aimerais que tu restes quelques jours pour t'assurer que tout se passe bien.

-Bien.

-...Je te remercie.

Roger donna un dernier baiser sur le front de sa bien aimée avant d'aller voir son fils. Il resta quelques minutes à le regarder dormir et lui caressa doucement sa joue avec l'index. Il n'arrivait pas à croire qu'il ne le reverrait sans doute plus jamais. A cette pensée, une autre larme coula. Il aurait tant aimé pouvoir vivre avec lui.

Mais c'était impossible. Ça aurait été bien trop dangereux.

-...Je t'aime.

Lyon, Grey Terminal, 14 janvier 1992

Dadan était la directrice de l'orphelinat Grey Terminal. Avant de s'occuper d'enfants orphelins, elle n'était qu'un vulgaire brigand. Auparavant, elle avait souvent eu des ennuis avec la justice puis elle avait vieilli et en avait eu marre de cette vie. Elle voulait être utile, faire quelque chose de sa vie.

C'est pourquoi elle avait accepté de s'occuper du jeune Ace. Elle voulait lui offrir une chance de vivre comme n'importe quel enfant.

-Je pense qu'il ne devrait rien manquer.

Dans son bureau, elle discutait avec Rayleigh et Garp des détails concernant Ace.

-Je ferai virer de l'argent sur un compte en suisse, n'hésite pas à l'utiliser si besoin. Son père a également fait le nécessaire. Il ne manquera pas d'argent que ce soit maintenant ou pour ses 18 ans.

-...Et pour ce qui est des éventuelles questions qu'il pourrait se poser sur ses parents?

-Tu ne dois rien lui dire concernant son père.

-J'espère que le gosse ne sera pas trop curieux concernant son père alors.

-Qu'il soit curieux ou non, tu devras juste faire comme si tu ne connaissais pas l'identité de son père!

-Tu pourrais être plus aimable, je ne suis pas obligée de vous aider alors sois reconnaissant!

-Comment?

-...Non rien.

La jeune femme n'osa rien dire. L'officier Garp avait toujours cet ascendant sur elle. Elle aurait préféré discuter calmement avec le bras droit de Roger mais il avait fallu que Garp s'en mêle.

Il y eu ensuite un moment de silence ou ils se contentèrent de boire leur thé.

-C'est vrai ce qu'on dit?

Garp s'arrêta de siroter son thé et observa Dadan. Il n'avait pas besoin de précision non plus. Il savait très bien ce à quoi elle faisait référence.

-Oui.

Dadan n'arrivait pas y croire. Elle but encore une gorgée de thé avant de se concentrer sur la fenêtre.

-Alors comme sa Gold D. Roger est mort...

Ce n'était qu'un murmure mais il l'avait très bien entendu.

Lyon, vieil entrepôt désinfecté

Dans cet entrepôt vide, un vieil homme à l'allure plutôt baraquée était assis sur un vieux fauteuil, une bouteille de vin à moitié vide dans la main droite. Il était seul avec pour seule compagnie de la musique classique. Il avait le regard vide. Il n'arrivait toujours pas à y croire. Il but une autre gorgée directement à la bouteille. Il savait qu'il ne devait pas boire autant. Si ses infirmières étaient au courant, il était certain qu'il se ferait passer un de ces savons!

Il soupira et se leva pour changer la musique mais à peine s'était-il mit debout que sa tête lui tournait déjà. Il se rassit aussitôt. Ce n'était qu'une musique après tout, et puis ce n'était pas comme s'il l'écoutait de toute façon.

C'était la deuxième bouteille qu'il buvait mais il n'était pas encore assez saoul, il n'était jamais assez saoul à son goût de toute façon. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, il ne buvait que dans les moments de fête, pas quand il était triste...

Triste?

Oui, malheureusement, c'est ce qu'il était. Pourtant, il aurait du être heureux ou encore un peu nostalgique de ses années de jeunesse. Mais il n'était rien de tout ça... Il but une autre gorgée de vin. Sa gorge commençait un peu à le brûler d'ailleurs.

-Que me veux-tu, fils?

Le jeune homme silencieux qui était adossé au mur de l'entrée s'avança puis prit la parole.

-J'ai appris la nouvelle au sujet de Gold D. Roger.

-Oui, je suis déjà au courant.

-J'ai des informations concernent sa mort si cela vous intéresse.

-Dis moi, fils.

L'homme s'approcha un peu plus et prit place sur une chaise à coté de l'homme plus vieux.

-Apparemment, il a été tué par la police quand il faisait une transaction à Marseille.

Le vieil homme repris une gorgée de vin avant de fixer son regard sur son fils.

-Roger n'est pas un homme si bête. S'il s'est fait attraper c'est que peut-être il le voulait.

-Vous êtes en train de dire qu'il voulait se faire arrêter?

-Peut-être...personne n'a jamais su ce qu'il se passait dans sa tête, certain disait de lui qu'il était fou. Mais bon, dans tous les cas, nous aurons la réponse demain. Une information comme ça, les journalistes vont vite s'en emparer.

-Oui.

Le jeune homme se leva de sa chaise et se dirigea vers la sortie.

-Bonne nuit, père.

-...Bonne nuit, fils.


Dans le prochain chapitre :

Sabo ne lui donna aucune réponse, Ace posa sa main sur l'épaule de son petit frère pour l'interpeller. Mais dés qu'il entendit le gémissement plaintif à peine dissimuler de celui-ci la retira tout de suite. Il se redressa alors aussitôt complètement paniqué.

-Sab' qu'est ce qui y a?

-Rien...y a rien Ace.

-Te fous pas de moi! Montre moi ton épaule.

-Tu fais chier laisse moi dormir.

Voyons que son frère ne semblait pas vouloir coopérer il jeta le drap en bas du lit faisant se relever le blond. Ace en profita pour tirer légèrement la manche du t-shirt de Sabo en faisant tout de même attention à ne pas faire mal a celui-ci.

-Oh non...

Là sur l'épaule de son petit frère un bleu, ou plutôt un énorme bleu dégueulasse qui n'avait de bleu que le nom.

-C'est quoi sa?

-C'est rien Ace.

-C'est rien?! Tu te fous de moi, ce truc fait la taille de mon poing.

Sabo soupira quand Ace était dans cet état personne ne pouvait le résonner même pas lui, trop têtu.

-Tu as d'autres blessures?

-Ouais je dois avoir quelques bleu sur le torse, j'ai une plaie dans le dos.

-C'est grave?

-Non je crois pas Dadan a fait ce qu'elle a pu avec ce qu'elle a... Elle ma dit que le mieux serait d'aller voir un médecin.

-Et tu l'as fait?

-Non. Je peux pas me permettre de dépenser trop d'argent en ce moment.

-Je peux peut-être te dépanner...

-Non.

Sabo se leva et repris le drap que Ace avait jeter par terre tout à l'heure et s'allongea signifiant ainsi à Ace que la conversation était terminer.

Le brun en fit de même maintenant qu'il avait complètement dé-saoulé il aurait du mal à s'endormir. Sabo n'arrêtait pas de lui faire la morale par rapport a sa sécurité et a ces activités illicite il n'en faisait pas moins. Ace aussi s'inquiétait pour lui a chaque fois qu'il allait se battre au Colisée il ne pouvait s'empêcher de se faire du mourront pour lui.


Et voilà en espérant que ce chapitre vous ait plu! N'hésitez pas à commentez pour me dire ce que vous en avez pensez. ;)