Voilà le premier chapitre de ma fiction, j'espère qu'il vous plaira !

Je m'excuse d'avance des fautes d'orthographe, je fais mon possible pour les éviter mais bon je dois quand même en faire. Si vous en voyez n'hésitez pas à me le dire pour que je corrige.

Disclamer : Les personnages principaux (sauf OCs) ne m'appartiennent pas.

Rating : T pour le moment

/ BAM /

Ma tête venait de cogner violemment la vitre contre laquelle je m'appuyais à ce moment précis, me réveillant par le coup inattendu. Je pestais silencieusement, me massant la tête. Mon regard se tourna vers la fenêtre que je venais de cogner et je me mis à regarder le paysage qui défilait à la vitesse du train dans lequel je me trouvais.

Le train en question était à moitié vide, ce qui ne m'étonnait pas pour le moins du monde. J'avais embarqué à 5 heures du matin et avais pris la ligne directe pour me rendre là où j'allais passer ma nouvelle vie.

Mes pensées vagabondaient. Je me demandais bien comment j'avais réussi à trouver un lycée, un boulot et un appartement dans la même ville. Sans doute était-ce grâce à la concession que je dus faire. Qu'était cette concession ? Bah c'était simple, au lieu d'avoir enfin une indépendance totale, je me retrouvais en collocation avec trois autres étudiants. Cela ne me ravissait pas le moins du monde, surtout que la sociabilité n'était vraiment pas mon plus gros atout.

Je soupirais tristement en me disant qu'il allait falloir que je fasse un peu d'efforts pour paraître aimable. Mais cette idée m'effleura à peine l'esprit que je l'abandonnais. Je n'avais pas besoin de me forcer, au pire des cas si mon caractère ne leur plaisait pas ils n'auraient eu cas aller vivre ailleurs.

Alors que je commençais déjà à prévoir la façon dont j'allais envoyer bouler mes futurs camarades de classe et mes futurs colocataires, le train entra en gare. Une voix annonça le terminus et je récupérais ma valise avant de sortir du train.

Le train repartit alors que j'observais les alentours. Il faisait plutôt beau pour un mois d'octobre, on se serait presque cru en été. Je devais avouer qu'à ce moment précis je regrettais d'avoir mis ma veste que j'avais l'habitude de porter là d'où je venais.

Je regardais la pendule affichée dans le hall de la gare et je remarquais qu'il était déjà 10 heures. Le trajet avait duré un long moment, chose pas étonnante sachant que je venais de l'autre bout du pays.

Je sortis de la gare, ma valise à la main, et je me dirigeai vers l'établissement dans lequel j'allais étudier. La ville où se trouvait ce lycée était immense, elle comportait de nombreux centres commerciaux, deux lycées et de nombreuses facs dont la plus prestigieuse des facs de médecine du pays. Je rêvais justement de rejoindre cette fac, seulement elle était bien trop coûteuse et avec ma moyenne désastreuse, principalement en biologie, la chance d'obtenir une bourse n'était même pas envisageable.

En attendant, je me trouvais dans la rue, regardant le petit papier où l'adresse de mon lycée était inscrite dessus. Tout en le regardant, je me cognais à quelqu'un devant moi. Mon petit corps ne supporta pas le coup et je tombai en arrière, sur ma valise qui amortit ma chute. Je grognais quelques injures tout en levant la tête vers celui qui avait causé ma chute. Mon regard tomba sur les yeux gris de mon vis-à-vis qui me regardait avec un sourire en coin. Je fus légèrement déstabilisée par cet homme avant de me relever.

« Faut faire attention un peu, grognais-je dans un murmure pour pas qu'il entende vraiment.

- Il fallait regarder devant soit, en même temps, miss, répliqua-t-il, m'ayant visiblement entendu me plaindre. »

Je fus surprise de sa réponse et je grognai tout en détournant le regard. Je voulus me concentrer de nouveau sur le papier qui m'avait donné l'adresse de là où je devais me rendre mais je me rendis compte que celui-ci n'était plus dans mes mains. Il avait dû tomber avec moi. Je regardais autour de moi avant de voir qu'il n'était pas là non plus.

« Merde comment je vais faire pour y aller moi ?! grognai-je pour moi même.

- Où voulais-tu aller ? demanda l'inconnu tout en me regardant paniquer.

- Au lycée général de la ville, lui répondis-je. Je suis attendu là-bas à 10 heures et demi.

- Tu es un peu en retard alors, il est 11 heures passées, m'informa-t-il avec un air moqueur qui commençait à m'énerver. »

Je le fusillai du regard, mais cela n'eut pour effet que d'agrandir son sourire, ce qui montrait qu'il se fichait clairement de moi.

Voyant que mon regard devenait de plus en plus insistant, il roula des yeux, toujours le même sourire aux lèvres. Il me prit le poignet alors que je ne m'y attendais pas et commença à me tirer à sa suite.

« Eh ! Mais lâche-moi ! criai-je en manquant de tomber et en attrapant ma valise au passage.

- Arrête de râler je t'amène à ton lycée.

- Mais je ne t'ai rien demandé ! m'énervai-je. »

Il ne répondit rien mais ne me lâcha pas non plus. Je n'avais assurément pas assez de force pour l'arrêter alors je le suivais tout en grommelant. Il s'arrêta brusquement devant une grille.

Pas préparée à cet arrêt brusque, mon nez vint rencontrer son dos. Je me le tins péniblement tout en grognant alors qu'il prit la parole.

« C'est ici, tu as de la chance de m'avoir croisé, tu aurais été encore plus en retard aussi non.

- En même temps si tu m'avais pas bousculée je n'aurais pas perdu mon papier, répondis-je du tac au tac sur un ton froid.

- Un merci aurait suffi, se moqua-il alors que son sourire fourbe commençait vraiment à m'énerver au plus haut point. »

Je ne répondis rien et passai la grille, emportant ma valise avec moi. Je ne me retournai même pas pour voir si l'inconnu était parti et avançai dans la direction qu'indiquait les flèches, me rendant dans le bureau du principal.

J'arrivai vite à celui-ci et toquai à la porte. J'entendis des rires venir de l'intérieur et j'entrais avant même que l'on m'en donne la permission. Je vis deux homme l'un en face de l'autre. Le premier était debout et avait une longue barbichette tressée, il semblait crier sur l'autre qui était assis sur un canapé, riant tout en mangeant des gâteaux.

« Tu dois être la nouvelle je présume, dit le premier en se tournant vers moi, le second riant toujours, alors que j'en déduisis qu'il s'agissait du principal du lycée.

- Oui, répondis-je simplement.

- Tu es en retard pour le premier jour, remarqua-t-il alors que j'avais envie de le féliciter sarcastiquement pour ce constat.

- Ça c'est la faute de l'autre idiot, me contentais-je de grogner doucement.

- Arrête un peu Sengoku, me défendit la seconde personne présente dans la pièce. Son train a dû avoir du retard.

- Ne te mêle pas de ça Garp et sors de mon bureau !

- Si on peut plus rire maintenant, rigola le second, sortant en mangeant toujours ses gâteaux. »

Une fois qu'il fut sorti de la pièce le principal reporta son attention sur moi.

« Tu peux poser ta valise ici, tu viendras la chercher ce soir. Suis moi je t'accompagne à ta classe. »

Je le suivis sans rien dire, laissant ma valise là où elle se trouvait. Nous marchâmes dans plusieurs couloirs, montant un étage, avant d'arriver devant une salle. Il toqua avant d'ouvrir la porte. Je rentrais à l'intérieur alors que tous les élèves étaient debout depuis l'arrivée du proviseur sauf trois en fond de classe. Un mangeait, l'autre avait un genou à terre devant une rousse qui s'était levée et le dernier dormait paisiblement.

Sans m'attarder sur les gens de la classe, je reportais mon attention sur la jeune femme qui semblait être le professeur de ce cour là. Elle discuta avec le principal avant qu'il ne quitte la salle.

« Enchantée Leiko, me sourit la prof en se tournant vers moi, je suis Nico Robin, ton professeur d'histoire. Il y a une table juste là-bas, à côté de celui qui porte un chapeau de paille, fini-t-elle en m'indiquant le fond de la classe. »

Je me dirigeai vers la table indiquée sans dire un mot. Les regards me suivaient ce qui m'agaçait fortement. Une fois que je fus assise je regardais par la fenêtre, fixant le portail.

Je songeais à l'homme qui m'avait amenée jusque-là, grognant fortement. Je ne lui avais rien demandé, et je n'aimais pas du tout son air arrogant. Je me renfrognais dans mon coin avant de penser que je ne le reverrais sans doute jamais.

Je soupirais de soulagement, pensant qu'au moins je serais plus tranquille maintenant qu'il était parti, mais ce fut sans compter sur mon voisin de classe qui venait de terminer de manger et qui avait décidé de taper la causette avec moi.

« Salut ! Moi c'est Luffy ! me sourit mon voisin alors que ça bonne humeur me surprit légèrement. On peut devenir amis si tu veux.

- Non merci, je n'ai pas besoin de personnes encombrantes dans mon entourage, dis-je froidement en lui lançant un regard noir. »

La sonnerie retentit juste après que j'eus prononcé ma phrase. Mon voisin ne perdit pas son sourire, ce qui me surprit et m'agaça fortement. Tout le monde était sorti de la classe alors que je restais assise mon voisin se leva.

« Aller ! Viens je vais te présenter à mes amis ! »

Il prit ma main et m'emporta avec lui sans mon accord. Je fus contrainte de le suivre, n'arrivant pas à le faire lâcher prise de mon poignet.

Il me traîna au travers de plusieurs couloirs avant de monter des escaliers. Cela me surprit légèrement, généralement pour sortir il fallait descendre les étages, pas les monter.

On monta un petit escalier qui se trouvait sur un côté caché et il ouvrit la porte se trouvant au bout du dit escalier. Il me tira à l'extérieur et je remarquai qu'on se trouvait sur une petite terrasse de l'avant dernier étage. Surprise d'un tel endroit je me laissais emporter sans continuer de me débattre.

Il s'arrêta devant un groupe de gens. Je les regardais tous attentivement, surprise des personnes que j'avais devant moi. L'un d'entre eux avait les cheveux verts et me regardait de haut en bas de manière nonchalante. Un autre était blond et était en train de charmer la rousse à côté de lui qui l'envoya bouler. A côté d'eux se trouvait un gras bizarre qui avait le nez allongé. Mais le plus bizarre de tous était justement celui qui m'avait conduit jusqu'ici. Il affichait un grand sourire, respirant la joie de vivre.

Je regardais chacun des gens devant moi avec un air froid, montrant ainsi que je n'étais pas prête de devenir leur amie.

« Je te présente mes amis ! Lui c'est... commença-t-il avant que je ne l'interrompe.

- Je t'arrête tout de suite, commençais-je en dégageant mon bras de son emprise, je t'ai dit il y a à peine deux minutes que je en cherchais pas d'amis alors va ramener ta joie de vivre ailleurs. »

Tous semblèrent choqués de ce que je venais de dire à leur ami, et celui-ci pencha la tête sur le côté en signe d'incompréhension.

« Comment ça ?

- Je ne veux pas d'amis ni de pot de colle alors laisse-moi, me répétai-je d'un ton glacial. Est-ce assez clair là ?

- Mais avec qui tu vas rester alors ? insista-t-il avec un air intrigué.

- Certainement pas avec vous en tout cas, répondis-je froidement avant de lui tourner le dos. »

Une fois que j'eus dit cela, je marchais vers là d'où on venait d'arriver, mais je vis deux portes. Ne sachant pas laquelle nous venions d'emprunter, je pris celle de droite.

Contrairement à ce que je m'attendais, devant moi se trouvait un escalier qui montait au lieu de descendre. Curieuse de savoir où il menait je l'empruntais avant de monter à peu près deux étages. J'ouvris la porte qui se trouvait devant moi et sortit une nouvelle fois à l'extérieur.

Je me trouvais sur le toit du lycée, élevé à 5 étages. J'avançais vers la rambarde qui empêchait toutes chutes et regardais le paysage. Je vis la grande cour du lycée, pleine de monde, mais je ne m'attardais pas là-dessus. Je remarquais un bâtiment collé à celui du lycée. Il semblait tout aussi grand, mais n'avait pas de toit comme celui-ci, où l'on pouvait monter.

Je regardais ce bâtiment, intriguée, me demandant ce que cela pouvait être, mais je n'eus pas le temps de m'attarder plus là-dessus que la sonnerie retentit.

J'empruntais la porte que je venais de passer, jetant un dernier coup d'œil à l'endroit que je venais de découvrir. Je décidais alors que j'irais là à chaque récrées, je trouvais la vue jolie d'ici et l'endroit était tranquille.

Je descendis les escaliers tout en fermant la porte et me rendis en cour.

La journée se termina enfin, j'allais chercher ma valise avant de me rendre devant le portail. Alors que je passais à peine un pied en dehors du lycée, un cri m'appelant me fit me tourner.

« Eh oh ! Leiko ! »

Je regardais la personne s'avancer avant de reconnaître le pot de colle ayant toujours un grand sourire accroché au visage. Je ne lui répondis pas, le regardant durement.

« Tu vas où ? me demanda-t-il en souriant.

- En quoi cela te regarde-t-il ? demandai-je froidement en guise de réponse.

- Je me disais que si on n'habitait pas loin je pouvais t'accompagner, continua-t-il sans perdre son sourire.

- Désolée mais je ne rentre pas chez moi maintenant, et puis je n'ai pas besoin qu'on m'accompagne.

- Et tu vas où ? insista-t-il

- Ça ne te regarde pas, conclus-je. »

Je lui passais devant avant de partir dans une direction inconnue, tirant toujours ma valise derrière moi. Au bout d'un moment de marche, et m'étant assurée que l'autre idiot ne me suivait pas, je sortis un petit papier de ma poche et lus une adresse dessus.

Je me dirigeai vers le lieu indiqué avant de me trouver devant le bar dans lequel j'avais été engagée. Je passais la porte et je remarquai que le bar était plutôt vide, pas étonnant vu qu'il était encore bien tôt.

Je vis une femme au comptoir du bar et je me dirigeais vers elle. D'une manière aimable je me présentais, chose pas très courante chez moi, cependant lorsqu'il s'agissait de boulot je savais faire la part des choses.

« Bonjour, je m'appelle Kyuusone Leiko je suis là car j'ai été engagée comme serveuse.

- Enchantée je suis Shakky, je suis la propriétaire de ce bar, se présenta-t-elle à son tour en me souriant. Suis moi je vais t'expliquer ce que tu dois faire. »

Shakky m'expliqua gentiment toutes mes taches avant de me donner mon uniforme de travail. Cette femme était vraiment gentille. Il était rare que j'apprécie les gens, mais comme de toute façon je n'avais pas vraiment le choix puisqu'il s'agissait de ma patronne, autant bien m'entendre avec elle.

Mon service commençait à 20 heures et se terminait à minuit. Pour le moment j'avais qu'un petit 20 heures par semaines, mais j'avais fait les calculs et ça suffisait largement pour payer le lycée et ma part de loyer.

L'heure de commencer à travailler arriva assez vite. Je me changeais avant de commencer mon service. Le bar s'était vite remplit et je jonglais entre les tables pour prendre les commandes et amener à boire aux clients.

Deux heures passèrent sans encombres. Je souriais et servais les gens avec une amabilité totalement fausse et ne me ressemblant absolument pas. Shakky m'avait dit de ne pas me gêner pour répondre aux gens s'ils me manquaient de respects, mais ce ne fut pas le cas alors je gardai le sourire et restai polie.

A un moment, un groupe de trois hommes rentrèrent dans le bar, saluant Shakky. J'en déduisis que c'était des habitués alors je me dirigeais vers eux avec un grand sourire aimable.

Je les observais attentivement, l'un d'eux avait le teint beaucoup trop gris à mon humble avis, un autre avait de longs cheveux blonds et le dernier avait des cheveux roux qui semblaient défier les lois de la gravité.

« Bonjour, que puis-je vous servir ? demandai-je avec un sourire crispé que je servais à tous les clients. »

Les trois me regardèrent sans rien dire, visiblement surpris. J'attendais gentiment qu'ils daignent me répondre, commençant tout de même à m'impatienter, mais gardant tout de même ce sourire béat collé au visage.

Ce fut seulement quand je vis le regard du roux dériver sur mon décolleté que je le perdis et commençai à m'énerver. Je me mis alors à crier.

« Non mais vas-y ! Faut pas te gêner ! »

Alors que je venais de dire cela il releva son regard dans mes yeux, un air pas du tout impressionné par ma remarque. Il ne fallut pas plus de temps pour que cet homme commence à me taper sur le système.

« Je ne savais pas que Shakky avait engagé des Play-girls, dit-il avec un sourire moqueur et lubrique.

- Pardon ?! Tu ne sais pas faire la différence entre une serveuse et une pute ?! m'énervais-je. Si tu as si chaud au cul que ça, va donc faire le trottoir toi-même ! »

Alors que les gens autours semblaient choqués par mes propos, le roux me matait toujours sans aucune pudeur ce qui m'énerva encore plus alors qu'il ajoutais avec un air provocateur :

« Tu es plutôt bien roulée, tu ne veux pas aller faire un tour avec moi ? »

Alors que j'allais répondre à ça, je ne trouvais aucune repartie. Ma mâchoire en tomba presque alors qu'il se mit à rire devant ma tête.

« Aller prend pas tout au sérieux ma belle. Apporte nous une bière et dis à Shakky de la mettre sur mon ardoise. C'est au nom d'Eustass Kidd. »

Enervée qu'il se moque de moi comme ça je serrais les poings avant de me rendre au bar vers Shakky qui me regardait avec un petit sourire amusé, montrant qu'elle avait assisté à toute la scène.

« Ne t'en fait pas, Kidd est comme ça, il aime bien provoquer, m'informa-t-elle.

- Je suis désolée de m'être emportée, m'excusai-je sans en penser un traître mot.

- Ne t'en fait pas, si les clients te manquent de respect tu as carte blanche, commença-t-elle avant d'aller chercher les bières et me les donner. Et puis ça ne lui fait pas de mal de se faire remettre un peu en place de temps en temps. »

Je pris les bouteilles sans rien dire avant d'aller les donner, adressant un regard noir au roux qui se foutait encore de moi.

Il était minuit et quart et je venais de terminer mon service, j'allai me changer et partis vers l'adresse de mon nouvel appartement, valise à la main. J'avais prévenu les trois personnes y habitants déjà que j'arriverais vers minuit.

J'arrivai devant l'immeuble et montai les trois étages pour me mettre devant la porte portant le numéro indiqué. Je ne savais pas encore sur qui j'allais tomber et j'espérais vraiment que mes trois futurs colocataires n'allaient pas essayer de faire ami-ami avec moi. J'avais rencontré assez de gens sociables pour cette journée-là.

C'est donc la boule au ventre que je toquais à la porte, attendant que l'on vienne m'ouvrir la porte.

Premier chapitre fait !

Bon, les chapitres sont peut-être un peu long mais bon...

J'espère qu'il vous a plu et n'hésitez pas à laisser votre avis.