Autatrice: Adelune

Disclaimer: Naruto et son univers ne sont malheuresemnt jamais à moi.

Genre: euh aucune idée... si quelqu'un pouvait me le dire

Résumé: L'histoire d'une jeune qui n'avait qu'un rêve devenir un ninja.


Ninja, ils n'ont que ce mot à la bouche. A peine savent-ils marcher que déjà ils ne rêvent que de ça: devenir ninja comme leur pères, mères , frères, sœurs… Je bouscule quelques uns de ses gamins ne leur accordant à peine un regard. Je les déteste comme je déteste tout les ninjas de Konoha. Ces gamins ne savent-ils pas qu'il existe d'autres professions?

Moi aussi, à leur âge j'ai rêvé de devenir une kunoichi. Mais je ne peux pas, on ne permettrais jamais à ce qu'une fille comme moi le devienne. Je ne suis pas faîtes pour être ninja. J'essaye tant de m'en persuader. Pourtant au fond de moi, je sens que j'aurais pu en devenir une, et même une excellente. Bon disons, j'aurais pu devenir un ninja moyen. Mais pas une personne comme moi. Je ne fais partie d'aucun clan. Je ne suis que la fille de ma mère une des plus célèbre catin du village, quand à mon père il m'est inconnu et pourrait être n'importe lequel des clients de ma très chère mère.

Je tape rageusement dans un caillou qui se trouve au milieu de mon chemin. J'entends les chuchotements médisants qui me suivent depuis mon enfance. Je grince des dents, depuis le temps je n'ai jamais pu m'y habituer. J'aimerais tant leur montrer que je ne suis pas comme ma mère, que je ne suis pas une putain. D'ailleurs je ne supporte pas que quiconque me touche. J'ai en horreur tout contact physique, sûrement cela est il dû au fait que ma mère vit de son corps. Elle vend peut-être sa vertu mais elle est belle et a toujours été là pour moi. Et voilà je me remets à la défendre alors que c'est à cause d'elle que je n'ai pu entrer à l'académie. Et pourtant elle m'a encouragé à trouvé ma voie, m'aidant autant qu'elle l'a pu. Elle a même tenté une fois, et une seule de me pousser à faire le même métier qu'elle. Elle a longtemps regretté une telle parole.

Moi, devenir comme ma mère jamais! Je ne veux pas vendre mon corps, je préfère cent fois crever! Et puis elle et moi sommes si différents. Elle est petite et a de jolies formes. Ses cheveux frisées forment une auréole autour de son minois d'adolescente. Car malgré qu'elle soit plus vielle que moi, elle ressemble toujours à la jeune fille qu'elle était et moi à sa sœur. Pourtant je ne lui ressemble pas tellement. Je suis grande et mince, détestant l'inactivité dans laquelle ma mère vit la journée. Et à l'inverse d'elle qui s'habille pour attirer le regard des hommes, je cache mes formes sous de larges t-shirt rapiécés, troués, épinglés, colorés comme mes jeans. Et on me déteste autant pour mon look que pour mon sang. Ah j'oubliais, je porte les cheveux coupé courts, à la garçonne. Ces derniers sont noir, comme ma mère. Peut-être mon géniteur me ressemblait mais nul n'a jamais pu me dire à quoi il pouvait ressemblait.

Mes pas m'ont conduits au terrain d'entraînement de l'équipe numéro 8. Enfant j'ai joué quelques fois avec eux. Mais depuis je ne leur ai adressé la parole qu'à de rares occasions. Pourtant je viens souvent les observer lors de leur entraînement. Ils ont peu à peu accepter mon observation. Je les envie tellement. Ils ont pu réaliser le rêve qui hante mes nuits. Toujours ce sentiment de rage au fond de mon cœur, j'aurais pû être une ninja.

Peu à peu le soleil décline. Je erre à nouveau dans les rues de Konoha rencontrant au détour des rues des ninjas revenant de mission. J'enrage, je pourrais être à leur place. Mais à présent la ville m'appartient, la nuit je peux devenir moi-même. A cet instant, j'ai une pensé pour ma mère. Elle ne s'inquiètera pas pour moi, et passera sa nuit en compagnie probablement d'un homme dont elle oubliera le nom le lendemain. Je me dirige vers un bar comme tout les soirs. J'ai décidé de quitter la demeure familiale mais pour cela il ma faut de l'argent alors depuis 6 mois je travaille comme serveuse et danseuse dans ce bar. Danseuse, c'est tout n'imaginé rien. Je danse pour des hommes qui veulent oublier leur misère, des ninjas qui veulent oublier le sang, des femmes qui veulent oublier leurs enfants perdus…

Il est dix heure. Doucement le rideau se lève. Je m'angoisse toujours à cet instant. JE respire profondément. La musique commence. Je me laisse emportant oubliant comme les autres. Je ne hais plus. Je danse. D'ailleurs ils m'appellent tous la Danseuse. Mon talent en ce domaine ne fait aucun doute. J'aime ça et à présent je ne peux plus m'empêcher de danser. La musique s'arrête. Je suis à bout de souffle. Je ne peux plus penser à rien. Je souris contente de moi, et alors j'entends les applaudissements, les regards émus de mes compatriotes. J'en profite. Pour une fois je suis au centre de l'attention.

Mon service ets fini mais ma nuit ne fait que commencer. Si je ne peux être ninja, je peux quand même m'imaginer que si. Je me glisse silencieusement dans les bois. Seule. La forêt cache mon secret. Pendant des années je me suis entraînée ici, sans que nul ne le sache, copiant ce que j'avais observer la journée. Mais autant l'avouer tout de suite, je ne suis guère douée. J'arrive difficilement à atteindre mes cibles, je ne sais pas utiliser mon chakra et le moindre bruit me fait sursauter. J'ai inventer, ou peut-être est-ce seulement ce que je crois, une nouvelle façon de se battre liant étroitement dans et Taijutsu. Je voudrais tant montrer que j'aurais pu être une kunoichi.

Un bruit me fait sursauter. J'ai l'impression qu'il y a une présence. Je sers mon shuriken. Je me retourne à nouveau. Il y a quelque un j'en suis sûr. Mon cœur s'emballe comme mon imagination. Et si c'était un ennemi. Je me place en position de défense comme je l'ai déjà vu faire. Un frisson m'envahit que pourrais je faire face à un ennemi. Lui lançait mon unique shuriken et m'enfuir pour alerter le village ou essayait tant bien que mal à défendre chèrement ma vie. Je sais que je ne suis pas de taille. Alors il ne me reste qu'une possibilité: se cacher en espérant ne pas être repérer.

Doucement, je me plaque derrière un fourrée. Je ne peux m'empêché de frissonner et d'imaginer divers hypothèse. Imaginons que c'est un ennemi de Konoha, s'il me trouve je n'ai aucune chance de m'en sortir vivante mais si c'est un ninja du village mon sort ne risque pas d'être enviable. Je soupire à nouveau. Mais dans quelle galère je me suis fourrée.

Soudain une paire de pieds atterrit devant mes pieds. Je déglutit. Doucement je relève la tête et aperçoit une silhouette bientôt rejointe par deux autres. J'aperçois les bandeau de Konoha. Je respire un peu mieux. Je me relève doucement. Je dois faire piètre figure. Je connais ses personnes, ce sont des chunnins. Ils doivent revenir d'une mission. Je commence par ouvrir la bouche pour m'expliquer quand le premier me lance:

-Qui es-tu et que fais-tu ici?

Le Huyga, reconnaissable à ses grands yeux gris, me toise. Je cherche un quelconque mensonge à sortir mais rien ne me vient à l'esprit. Je réponds timidement:

-Heu… je suis Lunaï …… Konoha et bien je … mmm comment dire je ne faisais que me promener.

-Si tard?

Les trois chunnins ont l'air dubitatif. J'esquisse tant bien que mal un sourire et répond.

-J'aime beaucoup la nuit, la clarté de la lune…

Je sens que je m'enfonce mais que dire d'autre. Son regard se pose sur le churiken que je tiens encore à la main. Je sens que j'aurais pas du venir m'entraîner ici aujourd'hui. Des années que je fais ça et personne ne m'avait jamais remarqué. Mais là ce soir il faut me croire que la chance m'a abandonné.

-Et le churiken sert à la décoration?

Avant que j'ai pu articuler le moindre mot, les trois ninjas ont attaqué. J'ai paré du mieux que j'ai pu les premiers coups avant de m'écrouler. Le reste se perd dans le néant.

J'aurais pu être un ninja


Alors voilà j'espère que ça vous a plu. Il y aura bientôt une suite. Et vous verrez un peu plus nos ninja préférés.

Ah oui si vous avez la moindre idée, la moindre protestation... je suis à votre entière disposition.

Alors reviews?

Adelune