Me revoilà avec un nouveau délire démontrant mon esprit totalement instable
Merci à ma correctrice Fumseck
Je précise que je ne possède malheureusement pas les personnages et les lieux de la saga Harry Potter. Mais l'histoire rocambolesque est belle et bien à moi…
Avertissement : Ce chapitre contiendra des scènes dures de violence sexuelle avec viol qui pourraient en choquer quelques-uns…
Comme d'habitude, le premier chapitre est une mise en place de l'histoire…
Bonne Lecture!
Au plus fort de la guerre faisant rage dans le monde magique, Voldemort prenait de plus en plus de force. Il utilisait des méthodes vraiment cruelles et souvent sadiques pour affaiblir ses opposants. Sa dernière innovation était de kidnapper quelques membres du clan adverse et de les soumettre à une petite partouze de force. Son idée de base était de violer et torturer ces sorciers avant de les laisser partir, l'esprit démoli par les actes crapuleux subits. Après les sévices dont ils étaient victimes, plusieurs sorciers et sorcières finirent par se suicider ou se retrouver à Ste-Mangouste dans la section des troubles mentaux graves. L'Ordre du Phénix perdit plusieurs membres important comme Nymphadora Tonk, Bill Weasley et son épouse Fleur, entre autre. La communauté entière était sur ses gardes et pourtant, Voldemort et ses sbires frappaient à leur guise.
- Lucius, mon brave, montre à cette sale Sang de bourbe la valeur d'un Sang pur, ordonna le Maître.
L'interpellé s'avança alors vers la victime tremblante et nue au centre de la pièce. Il savait qu'il ne pouvait en aucun cas refuser la demande de son Maître, même si pour lui le viol était une chose scandaleuse et ignoble. Il ne devait laisser transpirer aucun dégoût face à l'acte qu'il s'apprêtait à commettre. Il garda l'air fier et la prestance qui ont fait sa réputation malgré l'aversion qui l'envahissait.
- Vas-y, fais-toi plaisir! Je te laisse l'honneur de prendre sa virginité en reconnaissance de tes bons services à mes cotés, fit Voldemort.
Wow! Belle récompense, pensa sarcastiquement le blond, si seulement le Maître pouvait savoir…
Arrivé à la hauteur de la jeune fille pleurant sur le sol, il baissa lentement la fermeture de son pantalon, puis, discrètement pour ne pas se faire remarquer, il lança un sort à sa victime tout en sortant son équipement.
Au moins la douleur sera moindre ainsi, pensa-t-il.
- Allez, dépêche un peu, lança un mangemort plus loin.
- Arrête de prendre ton temps nous avons hâte d'en profiter, nous aussi, dit un autre.
S- i tu ne peux pas le faire, je peux prendre ta place, proposa son voisin.
Il ne pouvait pas reculer sans éveiller les soupçons des autres et son sort ne durerait pas éternellement, il s'installa donc au-dessus de la jeune femme et la pénétra d'un seul coup. Une slave d'applaudissement et de cris se firent entendre, comme à chaque fois qu'une telle cérémonie avait lieu.
Rapidement, il débuta un mouvement de va et vient, sans douceur pour la pauvre victime. Mais heureusement, son sort anesthésiait la douleur qu'elle aurait normalement du ressentir.
- Vas-y! Défonce-là!
- Fait la souffrir…
Lucius n'en pouvait plus, il en avait assez de leur attitude barbare, mais il devait continuer. Pour s'aider et se donner de la motivation, il ferma les yeux et pensa à son épouse. Narcissa avait toujours été celle qui alimentait ses envies depuis le premier jour où il était avec elle, même si ces dernières années, elle se faisait un peu plus distante avec lui. Mais l'image de sa femme dans son esprit prit le dessus sur l'écho des propos choquant qu'il entendait et l'aida à venir rapidement à ses fins.
- Il n'est pas trop tôt…
- Enfin nous pourrons y goûter, nous aussi…
- Je vais la faire hurler tant qu'elle en suppliera qu'on la tue…
Voldemort regardait le spectacle offert par ses hommes avec un plaisir sadique. Plus les victimes souffraient et suppliaient plus il était satisfait. Et tout au long de l'action qui se déroulait devant lui, quelques femmes de son groupe se succédaient devant lui, lui offrant parfois une fellation ou simplement une danse des plus sensuelle. Voldemort acceptait seulement les contacts avec celles choisies parmi ses mangemorts. C'était un immense privilège et un immense honneur qu'il faisait aux femmes qui le servait le mieux. L'une d'entre elle était sa préférée et elle avait toujours la première place. Voilée pour ne pas être reconnue, le Maître l'appelait par de petits surnoms pour ne pas la démasquer.
- Allez ma chatte, déhanche-toi pour moi…
Ou bien…
- Prends-la dans ta bouche et suce comme la belle salope que tu es…
Le spectacle était une stimulation incroyable pour la majorité des membres et c'était un privilège pour ceux qui avaient droit d'y participer. Seulement les meilleurs et ceux qui faisaient des exploits avaient la chance d'exciter le Maître en violant une victime. Les autres devaient rester spectateurs et n'avaient même pas le droit de se soulager en regardant la scène. Les mangemorts jugés médiocres, n'avaient même pas le droit d'être présent.
Lucius par contre n'était pas de ceux qui appréciaient cela. Il aurait aimé cent fois mieux se trouver ailleurs, loin de cette violence et cette cruauté faite à de jeune fille et parfois même à de jeune garçon. Mais étant un des préférés du Maître, il était toujours présent à ces cérémonies et il n'échappait jamais au devoir de les violer. Il avait horreur de ça et il avait horreur de lui-même pour les gestes qu'il faisait.
Le viol de la jeune femme dura plus de quarante-huit heures, les hommes se succédaient sur elle et parfois même ils se mettaient à deux pour la pénétrer. Quelques-uns éjaculèrent en elle mais la majorité laissait sortir leur plaisir dans la bouche de leur proie la forçant d'avaler le résidu de leur jouissance. Ensuite, lorsqu'ils jugèrent qu'elle en avait assez subit, elle fut déposée dans une ruelle insalubre, nue, souillée et ensanglantée.
Dans les quartiers de l'Ordre du Phénix…
- Severus… Minerva…Pompom… J'ai besoin de vous immédiatement, lança Rémus en portant un corps dans ses bras.
- Que s'est-il passé? Questionna la nouvelle directrice.
- Je l'ai retrouvée dans une ruelle, elle était inconsciente. Certainement encore une victime des mangemorts, précisa le lycanthrope.
- La pauvre enfant, fit l'infirmière en constatant l'état de la jeune femme.
Rapidement, elle commença à soigner les blessures, débutant par les plus urgentes. Severus s'activa à la préparation des potions nécessaire pour aider à la guérison et Minerva fut désignée pour aller annoncer à Harry et Ron qu'on venait de retrouver Hermione. Elle avait disparu de chez ses parents depuis trois jours.
- Je vais le tuer, le réduire en cendre, l'anéantir…
- Il va le payer…
- Dès que je le vois, je le détruis…
La rage était tout à fait visible dans les paroles et dans les visages de ceux qui apprirent ce qui était arrivé à la jeune femme. On du retenir Ron de force pour qu'il n'aille pas se jeter directement dans les pièges de Voldemort. Il y avait assez de perte sans en ajouter par stupidité.
Pompom avait réussi à soigner toutes les blessures physiques, mais c'était les blessures mentales qui inquiétaient toujours le plus. De plus, durant son examen de la jeune femme, elle s'aperçut qu'elle avait une parcelle de vie qui commençait à croître en elle. Mais ne sachant pas si l'embryon était le fruit du viol ou d'une relation précédente, elle n'osa pas le retirer sans l'accord de sa patiente.
- Pompom, elle n'est pas dans un état pour mettre un enfant au monde, déclara Rémus.
- Je sais, mais si j'enlève l'embryon et qu'elle savait qu'elle attendait un enfant, elle peut être choquée. Je préfère attendre et voir sa réaction avant. Il était peut-être voulu, elle et son petit ami voulaient peut-être fonder une famille.
- Son petit ami est l'insupportable roux assit dans la cuisine, je ne suis pas certain qu'il veut être père maintenant, répondit Snape. À moins qu'elle soit de nature volage et qu'elle ait eu plus d'un copain à la fois, ce qui ne me surprendrait pas non plus.
- Severus, intervint Minerva. Hermione est une fille bien et je ne pense pas qu'elle aurait joué dans le dos de Monsieur Weasley. Elle a de bonne valeur.
Hermione reprit conscience seulement quatre jours plus tard. Dès qu'elle ouvrit les yeux, Hermione paniqua. Elle ne savait pas où elle était. Elle essaya de se lever, mais ses membres étaient ankylosés. Lorsque Minerva entra dans la pièce pour s'assurer que la jeune femme allait bien, elle soupira de soulagement. Elle n'était plus en danger.
- Bonjour jeune fille, débuta l'enseignante. Vous nous avez fait une de ses peurs. Mais maintenant vous êtes en sécurité ici.
- Où suis-je exactement? Demanda-t-elle.
- Ce sont les nouveaux quartiers de l'Ordre, nous ne pouvions plus utiliser le Square Grimmauld donc, j'ai décidé de nous installer ici, dans le manoir Snape.
Depuis quelques jours, toute la communauté savait le rôle joué par le maître des potions pour l'Ordre, il avait uniquement obéit aux ordres de Dumbledore en le tuant, il avait toujours été du bon coté. C'est un mouchard qui avait vendu l'information à la presse pour récolter quelques gallions. Severus du donc se résoudre à rester cacher, Voldemort voulant maintenant sa peau. Pour l'aider à accepter la situation, Minerva avait accepté l'offre de l'homme d'installer les nouveaux quartiers de l'Ordre dans son manoir abandonné. Grâce à quelques travaux et quelques sorts de dissimulations, le manoir avait toujours l'air aussi lugubre et inhabité, mais à l'intérieur on avait l'impression d'entrer dans un palace luxueux. La décoration d'origine avait été restaurée et les armoiries des Snape, parsemées d'émeraudes, étaient visibles un peu partout dans le manoir.
L'infirmière expliqua à la jeune femme qu'elle était enceinte et elle lui demanda ce qu'elle comptait faire, cette dernière éclata en sanglot.
- Je ne peux pas, c'est impossible… bredouilla-t-elle.
- Il faut vous calmer un peu, dit Pompom avec douceur. Quelle que soit votre décision, je la respecterai.
Deux jours plus tard, Hermione rendit sa décision.
- Je ne serais pas capable de vivre en sachant que j'ai détruit la vie. Je ne pourrais pas me regarder dans le miroir. Je vais garder l'enfant et l'élever avec le plus d'amour possible.
La décision de la jeune femme en surpris plusieurs mais tous la respectèrent. C'était sa vie, son corps, son choix.
- Je dois avertir mes parents, ils doivent se faire du souci pour moi, déclara Hermione.
Minerva baissa les yeux, comment expliquer à la jeune fille la mort de ses parents par les mangemorts lorsqu'ils l'avaient kidnappée? C'était au-dessus de ses forces.
- Quoi? Ils leurs est arrivé quelque chose? Questionna la brunette.
C'est alors que Severus décida d'intervenir.
- Les mangemorts ont pour habitude d'éliminer tous ceux qui pourraient leurs nuirent, surtout si c'est des moldus. Tes parents n'ont pas été épargnés.
- Non… C'est impossible…
- C'est pourtant la triste vérité, répondit calmement Snape.
Minerva s'approcha de la jeune femme et la serra contre elle lorsqu'elle éclata en sanglot.
- Tout est de ta faute, Harry, hurla Hermione. Si tu avais détruit Voldemort lorsque tu l'as affronté, rien de tout ça ne serait arrivé. Tu es l'unique responsable de leur mort.
Le jeune homme encaissa mal les paroles de son amie. Il culpabilisait déjà de ne pas avoir vaincu le mage noir. Il n'avait pas besoin qu'on lui rappelle sa faiblesse. Il avait toujours fait de son mieux.
Snape posa une main sur l'épaule de l'Élu et le fit sortir de la pièce, laissant Minerva essayer de calmer et de consoler Hermione.
- Il ne faut pas que tu tiennes compte des accusations de Miss Granger, débuta Severus. Elle est sous le choc et je suis certain qu'elle ne le pensait pas réellement.
- Elle a pourtant raison, si…
- Non, coupa l'enseignant. Il ne faut pas culpabiliser, c'est exactement ce que voudrait Voldemort. Tu ne dois pas rentrer dans son jeu, il veut t'affaiblir et si tu t'en veux, il va réussir. Chacune des fois où tu l'as affronté jusqu'à maintenant, tu n'étais pas de taille pour le vaincre mais tu as fait beaucoup plus que ce qu'on aurait pu attendre de toi. Tu es un sorcier puissant mais tu ne seras jamais aussi puissant que lui, il a vendu son âme au diable pour obtenir une telle force.
Au repère du mal…
- Lucius, tu as l'air songeur, fit Voldemort. Quelque chose que je devrais savoir?
- Rien de bien particulier Maître, je ne faisais que me questionner au sujet de ma femme, répondit l'interpellé en faisant la révérence et en cachant qu'il était aussi inquiet pour la dernière victime de son clan.
- Est-elle toujours soumise comme il se doit?
- Bien sur, Maître. Mais j'ai l'impression qu'elle est de plus en plus distante avec moi.
- Ce n'est sûrement rien de grave, tant qu'elle est soumise, je ne vois pas le problème.
- Oui, Maître.
Dans les quartiers de l'Ordre du Phénix…
Hermione n'avait pas pu participer à l'enterrement de ses parents, mais elle alla se recueillir sur la tombe de ceux-ci dès qu'elle eut la permission de l'infirmière de quitter son lit. Minerva l'accompagna pour s'assurer sa sécurité. La jeune fille alla aussi s'excuser de ses paroles blessantes auprès d'Harry. Elle avoua avoir été cruelle en l'accusant de la mort de ses parents, elle ne le croyait pas du tout responsable. Il avait toujours donné le meilleur de lui-même à chaque affrontement, elle le savait et elle s'en voulait énormément de l'avoir attaqué aussi injustement.
Lucius vint faire une visite à la jeune femme dès qu'il put s'éclipser du repère de son Maître sans provoquer de soupçons. Il voulait réellement savoir comment elle se portait et il voulait aussi lui présenter ses excuses pour l'horrible crime auquel il avait été obligé de la soumettre. Hermione resta surprise de la présence du blond et de ses paroles, mais en y réfléchissant bien, elle réalisa qu'il était sincère et elle le remercia pour le sort anesthésiant qu'il avait posé sur elle, réduisant ainsi la douleur ressentie. Lucius était resté en tout temps près de la porte, n'avançant pas pour ne pas effrayer plus la jeune femme et il quitta rapidement lorsqu'il la vit commencer à trembler.
Severus était, quant à lui, dans un coin de la pièce, confortablement installé sur le fauteuil qu'il utilisait maintenant depuis près d'une semaine pour surveiller son invitée. Minerva s'approcha rapidement de sa protégée et la pris dans ses bras pour la calmer. Après quelques minutes, Hermione entendit Severus grommeler des paroles incompréhensibles, elle se sentit mal à l'aise. Minerva le ressenti et la rassura :
- Ne t'en fait pas pour lui, il est simplement jaloux que ce soit toi que je chouchoute ces derniers temps et non lui.
Hermione vint avec les yeux ronds et sa mâchoire manqua de se décrocher. L'homme éclata de rire en voyant sa réaction. Pour la jeune femme, entendre Snape rire était tout à fait effrayant et anormal.
- Vous n'arrivez pas à imaginer votre enseignant si froid désirant recevoir un peu d'affection? Fit-il en se levant pour se rapprocher du lit.
- Mais … Je …
Incapable de parler et rouge de honte, Hermione baissa les yeux en direction du planché.
-Il ne faut pas être gêné, dit Minerva, personne n'est encore au courant de notre relation qui dure pourtant depuis très longtemps. On devait la garder secrète pour protéger mon chou face à Voldemort. Même Albus ne l'a su que quelques jours avant sa mort seulement, il n'avait, pour une fois, rien deviné avant.
- Le vieux fou, fit Snape avec amertume.
- Lorsqu'il a confié à Sevy qu'il était mourant, il lui a demandé de l'achever à la place du jeune Malfoy, mon chou a refusé immédiatement et il est venu chercher réconfort dans mes bras. Mais Albus voulait s'assurer que sa demande serait bien exécutée, il le chercha dans le château. Il est venu me demander si je l'avais vu, je ne pouvais lui mentir. Il a ainsi tout découvert.
- Mais maintenant que Tu Sais Qui m'a démasqué, on n'est plus obligé de se cacher. Mais on a passé tellement de temps à le faire, c'est rendu routinier. C'est bizarre de savoir que quelqu'un est au courant de notre relation.
- Moi je suis contente, je vais pouvoir maintenant dire à tous combien tu es fantastique, fit Minerva en déposant un baiser sur les lèvres de Severus.
Hermione était encore plus gênée si c'était possible. Non seulement elle n'avait jamais pu imaginer son enseignant pouvant avoir une vie sociale, encore moins une petite amie et absolument pas une vie amoureuse. C'était terrifiant pour elle, elle ne reconnaissait plus l'homme qui les avait tant insulté et humilié dans les années précédentes. Même l'entendre parler d'une voix douce était apeurant. Si elle n'avait pas fait confiance à son enseignante, elle aurait certainement cherché à savoir qui était caché derrière l'image de son professeur grâce au polynectar.
Quelques jours plus tard…
- Harry, on vient de recevoir une lettre pour toi, fit Rémus en lui tendant la missive.
« Mon cher ennemi,
Comme tu l'as certainement constaté, je m'amuse beaucoup ces derniers temps. Ta copine Granger fut très appréciée de mes hommes, et la sœur de ton copain roux est diablement bien roulée. Si tu désires que j'arrête de m'attaquer à tes proches, tu n'as qu'à te rendre à moi. Si tu viens et te prosterne devant ma puissance, je libérerai la rousse.
Lord Voldemort »- Oh mon dieu! Ginny!
- On a trouvé cette lettre sur son lit au Terrier, expliqua le lycanthrope. Molly est dans tous ses états avec la disparition de sa fille et Ron est parti à la recherche de celle-ci sans avertissement. On ne sait donc pas où il est lui non plus.
- Merde! Il faut que j'y aille.
- Non, Harry. Tu n'es pas de taille, tu le sais. Si tu n'as pas de plan, tu cours à l'échec automatiquement.
- Je ne peux pas laisser Ginny et Ron sans protection face à Voldemort, scanda-t-il.
- Mais il te faut une tactique si tu ne veux pas te faire tuer, insista Lupin.
- Par Merlin! Il faut que je fasse quoi?
- Allons demander à Severus, il a peut-être une idée, proposa l'animagus
- Snape par ici, Snape par-là! Y'a pas que lui qui existe. Y'aurait pas moyen de lui donner moins d'importance à celui-là. Il n'aime pas Ron, ni Ginny et encore moins moi. Je ne vois pas pourquoi il nous aiderait.
- Vous avez raison Potter, je ne vous aime pas, fit l'homme en entrant dans la pièce. Mais je ne suis pas cruel non plus. Je vais vous aider à délivrer vos amis. Si vous êtes capable de suivre mes instructions, vous aurez une chance…
Au repère du mal…
- Allez ma chatte, soit sensuelle pour moi, viens te frotter contre moi.
Voldemort attendait patiemment que Potter se présente devant lui. Il savait qu'il viendrait connaissant la stupidité gryffondorienne qui était sienne. Il l'avait vu mainte et mainte fois se jeter dans la gueule du loup pour venir sauver ceux qui lui sont chers. En attendant, il voulait une petite gâterie et avait demandé à sa préférée de danser érotiquement pour lui.
Elle était arrivée devant lui en tenue légère, dévoilant ses courbes magnifiques. C'était la première fois que Lucius la voyait ainsi dénudée. Immédiatement, il reconnut le tatouage en forme de lune sur la fesse droite de la danseuse. Narcissa avait le même et étrangement, la danseuse avait la même couleur de cheveux. Voyant son air interrogateur, Bellatrix répondit à ses soupçons.
- C'est bien ta femme qui est là. C'est la favorite du Maître. Depuis qu'il l'a vue danser la première fois, il ne peut plus s'en passer. Il ne lui confie aucune mission, sa tache à elle est simplement de lui faire plaisir et de le soulager lorsqu'il le désire et elle a l'air d'apprécier autant que lui.
Lucius était furieux, sa femme à lui se donnait en spectacle pour un être à moitié humain qui lui faisait horreur. Sa femme, celle qu'il avait toujours aimée et choyée satisfaisait les besoins vicieux d'un Maître cupide. Son monde s'écroulait autour de lui, déjà son fils avait eu à subir la foudre de Voldemort parce qu'il n'avait pas accompli sa tâche de détruire Dumbledore, maintenant il avait perdu sa femme. Et il savait qu'il ne devait rien laisser transparaître de ses déceptions s'il désirait survivre. Il devait faire comme si de rien n'était et comme s'il appréciait grandement le spectacle. Mais Lucius n'en pouvait plus, il devait prendre l'air et se changer les idées pour réussir à encaisser le choc. Il sortit donc, avec la permission du Maître et se dirigea immédiatement chez un ami où il pourrait se confier.
Dans les quartiers de l'Ordre du Phénix…
- Faites confiance à mon espion, il est de notre coté ne l'oubliez pas, précisa Snape au jeune homme.
- Mais…
- Ne me coupez pas Potter. Je disais donc que vous devez l'écouter attentivement, il vous amènera directement au Maître. Ensuite, vous n'aurez qu'à le confronter et essayer de le détruire. Ces hommes devraient être assez soul pour ne pas vous poser trop de problèmes. C'est toujours comme ça lorsqu'il y a une partouze au repère, l'alcool coule à flot jusqu'à ce que tout le monde perde la tête. Vous saisirez cette occasion pour vaincre avec force.
- J'espère que vous avez raison et que je pourrai en venir à bout une fois pour toute, soupira Harry.
- Ce n'est pas en ayant des doutes que vous réussirez, vous devez être convaincu pour vaincre et pour réussir. Je n'ai pas envie de vous voir échouer parce que vous allez hésiter par crainte. Voilà justement mon espion…
Un homme entra d'un pas rapide mais grandement élégant dans la pièce.
- Mais c'est Malfoy, s'indigna Harry. Comment pouvez-vous y faire confiance? Il est tellement corrompu, il va nous trahir devant Voldemort.
- Potter, je vous ai prévenu, vous devez lui faire confiance, il est de notre coté.
- Severus, débuta le blond, je peux te parler seul à seul un moment avant de partir?
Lorsque Harry eu quitté la pièce, Lucius expliqua à Severus ce qu'il avait découvert sur Narcissa.
- Ma femme, celle que j'aimais le plus. C'est horrible, je ne peux pas le croire. Depuis tout ce temps, elle me trompe avec le Maître. C'est pour ça qu'elle s'éloignait de plus en plus de moi. Je croyais qu'elle m'attendait sagement à la maison mais non, elle allait s'envoyer en l'air avec un monstre.
- Je suis désolé, Lucius, je n'étais pas au courant. Je ne savais pas que c'était ta femme.
Lucius était au courant du plan de Severus, ça faisait plusieurs semaines qu'ils l'avaient planifié ensemble et ils attendaient juste le moment idéal pour le mettre en oeuvre. Le blond devait faire croire à Voldemort qu'il avait capturé Harry et qu'il lui livrait. Aujourd'hui le temps était venu de mettre à exécution le plan si bien confectionné.
- Je veux en finir au plus vite, je ne supporterai pas de la voir encore longtemps s'exhiber comme ça devant tout le monde. Tu es certain que Potter va être capable de faire quelque chose de bien pour une fois.
- Il n'a pas le choix, il faut qu'il réussisse cette fois-ci. Sinon il nous reste juste à prier pour que les dommages ne soient pas trop grand lorsque le Maître prendra le pouvoir, soupira Snape. Notre espoir réside dans les capacités de ce jeune morveux à bien exécuter une tâche pour une fois.
Petite note : Je ne suis pas en faveur de l'avortement, c'est pour ça que Hermione poursuit sa grossesse même si elle est le fruit d'un viol. Je ne sais pas encore si elle fera une fausse-couche, mais il est certain qu'elle ne se fera pas avorter.
Voilà pour le début… J'espère que ça vous a plu… Si c'est le cas, n'hésitez pas à me le faire savoir en cliquant sur le petit bouton en bas… C'est avec vos commentaires que je réussis à m'améliorer à chaque fois…
