Bonjour bonjour à tous !
Me voilà pour une nouvelle fanfiction ! Le scénario est déjà entièrement décidé, donc je n'aurais normalement pas de problème d'inspiration. Il s'agit d'une fanfiction UA MarcoxAce, ratifiée M puisqu'il y aura des Lemons - on commence dès le premier chapitre #Perverse - et des scènes de violence... Voilà voilà...
Il y aura quelques OCs, nécessaire après tout, et les personnages sont parfois OOC, donc vous êtes prévenus.
Et, il s'agit de YAOI, cad une relation homme x homme. Homophobes, vous connaissez la sortie, je pense.
Plutôt Romance/Aventure, un peu policier mais pas tellement je pense - j'avoue qu'il se peut que des erreurs à ce niveau-là se glisse dans le récit, vous avez le droit de me les signaler - et un peu d'humour de temps à autre, parce qu'on ne peut pas qu'écrire des trucs sérieux.
Disclaimer : Je le dis ici mais cela vaut pour toute l'histoire, les persos de One Piece ne m'appartiennent pas, je fais pas de l'argent avec, et je les emprunte juste pour mon plaisir et le vôtre.
Bonne lecture !
P.S : L'histoire s'ouvre sur un lemon...
Marco ouvrit la porte de son appartement, et laissa rentrer son petit ami, qui s'empressa de happer ses lèvres dans un baiser fougueux. Le blond referma la porte avec difficulté, puis mena son amant à sa chambre. Ils se déshabillèrent mutuellement avec empressement, goûtant avec délice au corps de l'autre, avec que Marco ne bascule sur le lit, poussé par son petit-ami qui arborait un grand sourire charmeur. Celui-ci monta sur le blond, le dominant de toute sa hauteur, ses fesses frottant contre le membre déjà réveillé. Mais Marco savait par avance qu'il n'aurait pas le dessus ce soir, il suffisait de voir comment son petit-ami le détaillait, avec tellement de désir et de luxure dans les prunelles noires obsidiennes qui viraient lentement à l'argent que cela augmentait le propre désir du blond. Il adorait quand son amant le regardait ainsi. Celui-ci vint l'embrasser tout en caressant son torse musclé, appuyant doucement sur les bouts de chair délicats pour le faire gémir. Il mit fin au baiser pour écouter les indécents murmures qu'il tirait de la bouche tentatrice du blond en torturant délicieusement ses perles rosés. Sa langue joueuse vint remplacer ses doigts fins et Marco laissa échapper un halètement qui fit sourire son amant contre sa peau. Une main descendit plus bas, effleurant sa chute de reins, avant de caresser avec légèreté ses cuisses musclés, tournant autour de son sexe érigé sans jamais le toucher.
- Bordel, grogna le blond, arrête de jouer...
- À tes ordres, susurra le brun, sa bouche descendant insidieusement jusqu'à l'intimité de son amant.
Il embrassa délicatement le gland avant de l'enfoncer doucement entre ses lèvres, torturant délicieusement Marco, qui laissa échapper un grognement de frustration. Il ne le fit pas plus attendre et prit entièrement en bouche la verge dressée, avant de faire de lents va-et-viens, ses doigts jouant avec les bourses gonflées. Le blond haleta, gémissant des mots sans queue ni tête, perdu dans les brumes du plaisir que lui procurait la bouche chaude, et finit par jouir quand son gland tapa au fond de la gorge de son amant. Celui-ci avala la semence avant de remonter l'embrasser, en partageant le goût dans ce baiser. Marco passa les doigts dans les cheveux bouclés de son amant, les tirant doucement pour glisser ses lèvres sur le cou offert, le marquant délicatement, avant que le brun ne reprenne les rênes. Il s'écarta avant de prendre le tube de lubrifiant sur la table de chevet, l'ouvrant avant d'en mettre sur ses doigts qui vinrent ensuite caresser l'entrée du blond. Il n'aimait pas particulièrement ce moment, il savait que ça faisait toujours un peu souffrir son amant malgré le nombre de fois où ils l'avaient fait, cependant la douleur était vite oublié, puisque le blond en redemandait toujours...
Il glissa d'abord son index, tout en murmurant à l'oreille du blond des mots doux, des propositions crues qui le faisaient rougir et gémir d'envie, avant de rajouter son majeur. Marco gémit d'inconfort avant que son amant ne l'embrasse passionnément, étouffant ses plaintes. Il bougea ses doigts en lui, commençant à écarter les chairs par des mouvements de ciseaux, sa main libre venant caresser le corps offert du blond. Celui-ci commença à gémir, et son amant chercha la boule de nerfs qui le ferait crier en ajoutant un troisième doigt. Il finit par la toucher, faisant voir des étoiles à Marco, qui lui demanda de le prendre, là, maintenant. Un sourire malicieux et à peine sadique lui fut adressé en guise de réponse, et le brun continua à marteler de ses doigts la prostate de son amant. Il se cramponna à lui, levant volontairement son bassin, il en voulait plus, désespérément plus, son souffle erratique qui le suppliait au creux de son oreille de le prendre. Il savait que le brun adorait ça, qu'il en profitait, un peu trop parfois, cependant Marco finissait toujours par obtenir ce qu'il désirait.
Son amant retira ses doigts de l'antre préparée et reprenant le lubrifiant en recouvrit son sexe douloureux avant de pénétrer lentement le blond, savourant la sensation de chairs se frottant l'une à l'autre. Il se retenait difficilement de ne pas s'enfoncer d'un coup tellement Marco était chaud et serré autour de lui. Le blond mordit sa lèvre inférieur, ne laissant pas échapper sa douleur, et le brun attendit patiemment qu'il initie le contact avant de bouger. Son amant finit par bouger légèrement ses hanches, et le brun l'embrassa avant de bouger, se retirant doucement avant de s'enfoncer à nouveau d'un coup, entamant de lascifs va-et-viens, jusqu'à ce qu'il vienne de lui-même à la rencontre de son corps, et il accélère le rythme, le variant assez souvent, trop souvent, torturant délicieusement son amant pour que celui-ci finisse par le retourner avant de s'empaler à nouveau sur la verge dressée du brun, qui lui prit les hanches et l'aida à bouger.
Il le pilonna avec force, trouvant rapidement sa prostate, Marco se cambrant pour lui faciliter la tâche. Il le serra dans ses bras, une main dans les cheveux blonds, l'embrassant pour étouffer les cris de plaisir qui passait les lèvres de son amant. Il le sentait se resserrer peu à peu sur lui, et prit en main le sexe gorgé du blond avant de le masturber au même rythme qu'il le pénétrait. Marco vint en premier, se répandant entre leur torse en criant le nom de son amant, se resserrant vivement sur lui, et au bout de quelques va-et-viens le brun se libéra à son tour. Il se retira, et le blond se laissa retomber sur le matelas, épuisé. Son petit ami le câlina pendant un moment avant soupirer puis de se relever pour s'habiller, cherchant ses vêtements éparpillés aux quatre coins de la pièce.
- Tu ne restes pas ? murmura Marco.
- Pas ce soir, non, je dois me lever tôt demain, répondit son amant en l'embrassant, avant de se diriger vers la porte menant à l'extérieur. Bonne nuit Marco, je t'aime.
- Bonne nuit Ace, et je t'aime aussi.
Le brun sourit avant de sortir, et son sourire s'évanouit une fois dehors. Il fixa la porte qu'il venait de fermer. Une porte sur un avenir qu'il avait été vain d'espérer connaître. Mais il savait au moment même où il avait commencé à séduire Marco que leur histoire ne durerait pas. Il n'avait été qu'un pantin que le brun avait manipulé pour avoir des informations. Il eut un pincement au cœur en dirigeant son regard vers la fenêtre de la chambre du blond, et murmura un adieu. Ils ne se reverraient plus, en tout cas en tant qu'amants, et étrangement une part de lui le regrettait. Mais il la fit taire, en même temps qu'il détruisait son portable, avant d'aller le jeter dans une poubelle au bout de la rue. Il se dirigea vers son propre appartement, et se changea. Il avait un cambriolage à commettre.
Devant l'emplacement vide devant lui, où se tenait il y a quelques instants la toile à ses pieds, le voleur déposa sa carte, puis eut un étrange sourire. Après tout, il savait déjà que cette fois il ne pouvait pas partir sans se faire voir, alors pourquoi pas s'amuser... Il eut un grand sourire, et écrivit quelque chose sur le mur, puis sur sa carte, avant de repartir silencieusement, la toile sous le bras, s'évanouissant dans la nuit avec une étrange moue presque moqueuse sur les lèvres.
Marco fut réveillé par la sonnerie stridente de son portable, et après quelques tâtonnements finit par décrocher.
- Capitaine Newgate à l'appareil.
- Salut Marco, c'est Francesca à l'appareil. J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer.
Le blond s'assit sur le lit, priant pour que cela ne l'oblige pas à faire des heures sup' le soir même, il avait promit à son amant de passer la soirée avec lui.
- Vas-y, je t'écoute.
- Il y a eut un vol au Musée Klint. Devinez qui est notre voleur.
Oh non, pensa le fonctionnaire, pas ce voleur-là, pitié. Parce que sinon il ferait des heures sup', obligatoirement.
- C'est ''Ace of Spade''. Désolée pour vous, capitaine. Mais...
Ce ''mais'' cachait quelque chose. Et Marco n'était pas sûr d'apprécier la nouvelle.
- ... Il vaudrait mieux que vous veniez voir par vous-même.
Le capitaine grogna, puis se leva en maugréant, déclarant qu'il arrivait avant de raccrocher. Il se dépêcha de prendre une douche, effaçant la trace de ses ébats de la nuit, puis se vêtit à toute vitesse, prit les clés de sa voiture et rejoignit les lieux du cambriolage.
Son lieutenant l'attendait sur le trottoir, anxieuse, triturant entre ses doigts une mèche de ses cheveux rouges vifs, ce qui fit sourire le blond. Il gara sa voiture et la rejoignit en commentant :
- Tu as encore essayé une nouvelle couleur ?
Cela détendit la jeune femme, qui le fixa avec fatigue de ses yeux bruns avant d'acquiescer.
- Qu'est-ce qu'on a cette fois de différent ? demanda-t-il à sa subordonnée, qui lui fit signe de le suivre jusqu'à l'emplacement de la toile volée.
Et là, le blond comprit pourquoi elle lui avait demandé de venir. Sur le mur s'étalait un message provocateur :
'' Attrape-moi... Si tu peux.''
Cela mit Marco en pétard. C'est la première fois que le voleur laissait un indice, mais il fallait qu'il soit provocant ! Oh, cela faisait déjà deux ans qu'il courrait après ce voleur, et il se promit de ne plus le laisser filer.
- Il y autre chose, capitaine. Il y a un mot pour vous sur sa carte de visite et il apparaît sur l'une des caméras de surveillance. Même si l'image est mauvaise on peut l'apercevoir. Pas d'empreinte ou d'ADN exploitable, sinon, comme d'habitude.
Le blond soupira, épuisé d'avance, et prit la carte que lui tendait son lieutenant. Une simple carte à jouer représentant un as de pique, ce qui expliquait son surnom. Mais cette fois-ci il y avait marqué dessus ''Pour le capitaine Newgate''. Il retourna la carte, intrigué, et pâlit en lisant le message.
'' J'ai hâte de te revoir pour une partie de sexe, t'es un des meilleurs coups de ma vie... La prochaine fois, renseigne-toi d'abord...''
Il avait peur de comprendre, peur de s'être fait avoir.
Peur d'avoir perdu l'homme qu'il aimait.
Il demanda à voir l'image, et ce fut Evan qui lui apporta, le petit génie de l'informatique de son équipe. Il lui tendit la capture d'écran, agrandie au maximum. Le capitaine perdit le peu de couleurs qu'il lui restait. Même s'il ne pouvait pas voir le visage de l'homme, il l'identifia grâce à une chose. Le tatouage sur son bras gauche. A$CE. Son petit ami était celui qu'il recherchait depuis plus de deux ans, sans succès. Celui à cause de qui il avait passé des nuits blanches. Qu'est-ce qu'il avait dû se marrer, de voir le petit flic tourner en rond alors qu'il était à sa portée, il avait fait l'amour avec lui, bordel ! Il mit sa tête entre ses mains, anéanti. Il avait été manipulé, et avec brio. Il ne s'était aperçu de rien.
- Capitaine ? s'inquiéta la voix chantante de Francesca.
- Appelle le dessinateur, s'il te plaît, et Evan, fait une recherche pour une personne prénommé Heart Ace, même si ce n'est sans doute pas son vrai nom.
Ses deux subordonnés le regardèrent sans comprendre, avant que la lumière ne se fasse, et ils le fixèrent horrifiés.
- Marco... Ne me dis pas que...
- Si, Francesca. Mais je l'attraperais, quoi qu'il m'en coûte. Et s'il pense pouvoir m'échapper...
Le blond releva la tête, une lueur de détermination brillant dans ses yeux bleus.
- … Il peut toujours rêver. Je l'aurais.
Le jeu du chat et de la souris commence... L'heure tourne, les aiguilles courent sur le cadran, et il se pourrait bien que Marco ait beaucoup moins de temps qu'il ne le pense... Tic, tac, les aiguilles courent vers l'heure fatidique...
J'espère que vous avez aimé, votre avis ?
N'hésitez pas à laisser un commentaire/critique/suggestion, par exemple pour les couples secondaires que vous aimeriez voir, etc.
En espérant vous voir pour le prochain chapitre qui sortira le 17 mars, je vous dis à bientôt !
